n° 10560 | Fiche technique | 7211 caractères | 7211Temps de lecture estimé : 5 mn | 30/06/06 |
Résumé: Celia, qui s'etait rangée, se rend finalement compte que l'appel de ses fesses est plus important que la raison. | ||||
Critères: f extracon collection volupté fsoumise cérébral revede fmast | ||||
Auteur : Pe_Hanni (Celebration du plaisir charnel et sensuel) |
Celia avait choisi…
Mariage, maison, Volvo, deux labradors et bientôt, sûrement, un enfant.
Jolie petite vie. Oui, jolie petite vie.
Surtout petite, et jolie. Jolie comme mignonne. Jolie pas comme bandante, pas comme excitante, pas comme jouissive.
Celia s’ennuyait ferme. Elle ne pouvait même pas dire qu’elle s’ennuyait dur, tellement sa vie paraissait douce.
Et c’est bien d’une bonne bite bien dure dont elle rêvait, celle de sa jeunesse, celle qui lui avait donné tant de plaisir, tant de jouissance, celle qui la faisait mouiller quand elle y pensait.
Parfois elle lui parlait. Pas à cette queue, non. Une queue ne parle pas, ne pense pas. Une queue, cette queue la remplit, la fait crier, la fait jouir et l’assomme. Mais elle ne parle pas.
Cara, lui, si. Cara savait lui parler. Il savait ce qu’elle aimait, ce qu’elle attendait, ce à quoi elle rêvait.
Il connaît son cul, son sexe, ses seins… Il la connaît en entier, dans ses moindres recoins, ses moindres replis, ses moindres courbes. Il sait comment lui parler, à elle, à son corps, à son cul. Il sait combien il compte pour elle. Il sait qu’il peut compter sur elle, sur cette amitié sexuelle, ce mélange de plaisir et de souffrance, de frustration et de libération.
Depuis quelques semaines, elle joue. Elle jouit. Le jour, la nuit. Plusieurs fois par jour même. À côté de son mari, loin de lui, dans son lit, à ses côtés, ou lorsqu’elle est seule. Elle aime à se faire jouir ainsi. Selon « ses » règles. Avec ses doigts. C’est encore une sorte d’ultime honnêteté envers son contrat oral. Une ultime promesse. La dernière avant de sombrer, avant d’accepter ce manque.
Pour ceux de nos lecteurs qui avaient eu la chance lire « Celia, mon vit, ses fesses », l’intermède de 4 ans est maintenant terminé. Celia a envie. Le Cul de Celia a envie. Il veut recevoir, être rempli. Comme on le dit maintenant, elle veut se faire enculer. Elle veut. Elle en a envie. Mieux, elle en a besoin.
Tout son être respire ce besoin. Dans ses yeux, si vous regardez bien, vous pourrez déceler, au fond de son âme, une (sa) queue. Toute dure et luisante. Elle y pense en se réveillant, en s’habillant. Cette pensée la rend humide environ 12 heures par jour. Elle aime sentir ses lèvres poisseuses. Le fond de sa culotte collant de sa mouille. Son anus palpitant. Ses seins sensibles. Toujours en alerte sexuelle. Elle aime sentir enfin son corps revivre. Sa chatte miauler. Elle a l’impression que chacun peut sentir son odeur sexuelle. Elle aime devenir cette chatte hystérique.
Elle a faim maintenant. Elle sait qu’un jour, bientôt, mais jamais assez tôt, elle va recevoir en elle cette queue dont elle rêve tant. Elle a envie de la sentir. De sentir des doigts également. Une langue aussi. Le tout en même temps.
Elle rêve alors de scénarios. Elle se voit offerte. Son cul ouvert. En levrette. Elle aime ce terme. Il aime la penser ainsi. Il aime la voir si obscène, l’entendre lui demander de l’enculer.
Elle aimait le penser. Elle aime le dire. Elle aime le penser à chaque instant.
Alors, pour le moment, elle se débrouille. Le samedi, jour de repos pour elle, jour de tranquillité où son cher et « tendre » (plutôt mou même) va s’entraîner sur son vélo, elle en profite. Le samedi est « son » jour. Le jour de son plaisir. Le jour sain et saint de sa semaine. Le jour où, semaine après semaine, elle se rend compte de la dépravée qu’elle aime devenir.
Depuis quelques semaines, elle arrive à s’introduire 3 doigts. Dans son cul. N’oublions pas que Celia est une anale. Une vraie. Une pure. Son cul, c’est sa jouissance, son paradis. Son cul, c’est son maître. Son maître doit la mettre. Elle aime se faire mettre. Elle jouit à l’idée, elle jouit avec ses doigts, elle jouit de son cul. Elle aime sentir que ça rentre. Elle aime le sentir s’écarter, se dilater, se détendre. Ça la détend. Ça lui plaît.
Elle seule, elle et sa queue. Son cul. Sa queue. Sa queue dans son cul. C’est une obsession. C’est une obsédée. Mais elle aime ça. Et elle aimera. Elle a aimé. Mais le meilleur reste à venir.
Elle attend qu’il tienne ses promesses. Ses fantasmes la font déjà jouir. Elle attend cette queue. Elle sait qu’elle la sentira bien. Qu’elle la fera bien jouir. Gémir. Crier. Elle attend maintenant ses doigts. Sa main. Elle la veut. Dans son sexe (chatte), son cul (encule-moi).
Elle veut le/la sentir partout en elle. Elle veut être écartée, remplie, possédée. Elle veut s’abandonner. À lui et à sa jouissance. Elle veut mouiller. Mouiller comme jamais. Elle sait qu’il aime ça. Il aime sa mouille. Il aime la lécher, la sentir, la respirer.
Il aime l’entendre aussi. Alors elle criera, c’est promis. Elle sera sa chienne, son jouet, sa chose sexuelle. Elle ne sera qu’un sexe, qu’un trou. Elle ne sera plus qu’une jouissance continue. Elle aime tellement jouir. Qu’il la fasse jouir, putain, qu’il vienne la prendre. Qu’il vienne la faire jouir.
Elle n’en peux plus. Elle va encore devoir se toucher. Encore devoir se faire jouir pour avoir un peu de répit. Elle va devoir encore ruiner sa culotte. Elle la retirera. Encore. Elle aimera se sentir ainsi vulnérable. Et surprenante. Elle aime savoir son sexe si peu couvert. En quelques mouvements, s’il était là, il pourrait la toucher, l’atteindre, profiter de son clito, de ses lèvres, de son cul, la sentir se contracter autour de ses doigts, puis de sa queue.
Mais il n’est pas là. Pas encore. Elle n’est pas encore pleine. Pas encore. Pleine de sa queue, pleine de son foutre. Elle veut se faire foutre. Elle veut de ce foutre, plein… partout. Sur ses seins, ses cuisses, sa langue, ses fesses, dans ses fesses. Elle veut se sentir poisseuse de ce jus d’amour, de sa jouissance, mêler sa mouille a son sperme et respirer cette odeur de sexe en fusion. Elle veut que chacun puisse la respirer, que chacune puisse l’envier. Elle ne veut être que jouissance et plaisir.
Et encore une fois, elle mouille. Encore une fois, elle va aller se faire jouir. Allongée, debout, a quatre pattes, peu importe. Elle souhaite juste oublier ce manque. Et reconnecter sa vie.
Sa vie, son quotidien. Putain, jouir. Ses courses, ses collègues. Jouir. Son mari, putain encule-moi. Sa ville, ses amis, un plug vite.
Elle va maintenant basculer, c’est certain. Son cul, son esprit. Deux entités la commandent. Schizophrène. Jouisseuse. Mouillée. Trempée. Ecartelée. Dilatée.
Putain elle veut jouir. Jouir. Jouir et jouir. De son cul. Son cul le veut. Son cul a faim. Son sexe va l’aider. Son clito va l’aider. Ses seins vont l’aider. Son corps va devenir un jouet, Son jouet. Leur jouet. Elle saura comment prendre du plaisir de tout.
Et si son officiel continue à assurer le minimum syndical, elle tiendra. Officiellement.