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Temps de lecture estimé : 16 mn
02/07/06
Résumé:  Quelques années après, Fabrice retrouve une ancienne élève et sa mère.
Critères:  fh hplusag jeunes profélève intermast cunnilingu nopéné init
Auteur : Fabrice sensuel  (Homme épicurien, croquant la vie !)            Envoi mini-message
Amandine et sa Mère

AMANDINE ET SA MÈRE (1)


Récit autobiographique, non romancé, mais sans doute enjolivé comme toute histoire personnelle qu’on peut raconter à ses enfants et petits-enfants ! Seuls les noms des personnages et des lieux sont faux.


Retrouvailles

Cela fait trois jours que je suis rentré en France. À la suite de la séparation de mon épouse. En attendant de «me retourner» comme on dit, je vis chez mon fils cadet, Armel, qui est resté à P…, la ville où nous habitions avant de partir pour l’Afrique.


Ce soir, nous allons au restaurant pour fêter mon arrivée. Nous avons décidé d’y aller à pied, le restau n’étant pas loin de chez lui. Nous marchons le long du trottoir quand j’aperçois venant à notre rencontre une jeune femme accompagnée d’une plus âgée, sa mère à première vue.



Il me regarde, étonné, puis, soudain :



Nous approchant des deux femmes, Armel s’écarte légèrement afin de rester en retrait.


Amandine n’a pas changé. Cela fait pourtant neuf ans que je ne l’ai pas vue. La petite fille de dix ans est devenue une jeune femme de… (Pendant que nous nous rapprochons, je fais le rapide calcul)… dix-neuf ans !

Qu’elle est belle ! Ce joli minois, qui m’était resté en mémoire, encadré par une magnifique chevelure blonde tombant sur ses épaules ; une silhouette fine mais aux formes évidentes et harmonieuses qui, sans être trop généreuses (sinon, je n’aurais pas flashé de la sorte !), ne peuvent pas échapper à des yeux avertis. Bien que nous soyons en hiver, ses vêtements, de coupe modeste mais portés avec une telle grâce et sensualité, laissent espérer de chaudes perspectives…


Tandis que mon esprit, comme à l’accoutumée lors de telles rencontres, vagabonde en de lubriques pensées, nous sommes finalement arrivés l’un en face de l’autre : elle, arborant un large sourire (visiblement, elle m’a reconnu) et, moi, sous le choc, perdant la notion de temps et savourant ce moment enchanteur.


Elle parle la première :



Et je perds vite ses autres paroles tellement je suis sous le coup de l’émotion. Je la regarde, là, devant moi… Je ne peux plus bouger… J’ai les tempes qui bourdonnent…



Ces dernières paroles me ramènent à la réalité, et, à mon tour de bredouiller :



Je ne l’avais même pas encore remarquée ! C’est un comble : nous qui avions eu un petit flirt un soir de 1996, à la sortie de l’étude. Quel goujat je fais !


Je détourne la tête et la regarde. Sylvie ! Elle n’a pas changé. Toujours aussi belle (on jurerait sa fille en plus âgée) et avenante : à l’époque où je l’ai connue, elle collectionnait les amants (et amantes disaient les méchantes langues !).

Sous le coup de l’émotion -quelques images de neuf années en arrière me remontent en mémoire- je fais un pas vers elle et lui fais la bise.

Pas n’importe quelle bise. Appuyée, comme je sais les faire, en plaçant le bras gauche derrière ses reins et le droit derrière la nuque, appuyant légèrement mais suffisamment du bout des doigts afin de montrer l’intérêt que je lui porte encore. Les lèvres à demi ouvertes -juste ce qu’il faut- sur les joues, à droite, à gauche, une, deux, trois et quatre bises.

Elle frissonne et je la sens s’abandonner dans mes bras. Instant délicieux. Nous en oublions que nous ne sommes pas seuls…

Surprise, Amandine s’esclaffe en riant à pleines dents :



Sylvie, comme prise en faute, s’écarte brusquement et ouvre la bouche pour répondre. Mais Amandine ne lui en laisse pas le temps et poursuit, moins enjouée tout de même :



Sylvie me lance un regard perdu. Troublé, j’essaie alors de «sauver les meubles» :



Fuyant mon regard, Amandine lâche dans un souffle :



Gêné et voulant m’échapper de cette situation qui commence à me peser, je reprends la conversation sur un sujet qui, je l’espère, nous remettra sur de meilleures bases :



Je dis ces derniers mots en les regardant toutes les deux avec un sourire en coin.


Sylvie ne montre pas de réaction.

Par contre, je vois le regard d’Amandine qui s’illumine. Elle se cambre (hum ! sa poitrine, bien que menue, qui se tend sous son léger blouson), elle avance vers moi, de deux pas bien décidés et… me prend dans ses bras pour me faire deux bises bien sonnantes !



A mon tour, je la plaque contre moi et je lui fais quatre belles bises, bien appuyées. Je la sens très chaude. Elle ne peut pas me cacher son émotion. Ce sont des sensations que je ressens facilement dans ces situations.

Pendant quelques secondes, le temps est suspendu. Personne ne dit plus rien. Amandine comme moi, nous avons quelques couleurs. Deux collégiens pris en faute ?


Je reprends la parole :



Est-elle encore sous l’émotion ? Ou c’est moi qui fantasme ?



On se dit au revoir en se faisant des bises (toujours les mêmes bises !). Je sens bien que le courant passe vraiment très bien avec ces deux femmes.

Je reste quelques instants à les regarder s’éloigner. Elles ont vraiment «du chien» ces deux nanas.

La mère et la fille ! Ça alors ! Ça ne m’était pas encore arrivé.



Et j’éclate de rire, content de moi. Nous poursuivons notre chemin, silencieux…

Content de moi ? Pas si sûr. Si jamais ça pouvait marcher avec l’une comme avec l’autre. Comment faire ? Serai-je à la hauteur ? Quoique, attention, Fabrice, rien n’est encore arrivé. Tu ne fantasmes pas trop, par hasard ?

Nous verrons bien demain soir…

C’est avec impatience que j’attends cette soirée qui promet, j’en suis persuadé. En tout cas, je ferai tout ce qu’il faut pour aboutir à quelque chose…



Amandine

21 heures.

J’ai opté pour une bonne bouteille de Bordeaux plutôt que le traditionnel bouquet. Quelque chose me dit que c’est le meilleur choix.

Fébrile, mais bien décidé, je sonne à la porte de l’appartement.


Amandine vient m’ouvrir, me fait aussitôt entrer et ferme rapidement derrière moi.



S’approchant de moi et se collant à mon corps, elle me dépose par deux fois ses lèvres sur les deux joues, beaucoup plus longtemps qu’il ne le faut habituellement.

Bien entendu, je lui réponds, moins adroitement que je ne l’aurais souhaité car j’ai les mains prises par la bouteille.

Réalisant alors que je suis un peu gêné dans mes gestes, elle prend le Bordeaux pour le déposer sur un petit meuble d’entrée et passe son bras sous le mien, s’appuyant dessus. Son doux parfum à base de vanille, agréablement, me met tout de suite sous le charme…


En tournant la tête vers elle, je la détaille. Un chemisier blanc au tissu léger laisse deviner un petit soutien-gorge mauve finement décoré par de la dentelle. De la position que j’occupe, j’ai une vue plongeante sur son décolleté ouvert, sans exagération, juste ce qu’il faut pour voir le sillon dessiné par ses deux globes moyennement galbés mais bien mis en évidence par la bonne coupe du sous-vêtement.

Le chemisier est noué au-dessus d’une jupe noire et laisse apparaître le nombril qui surmonte un ventre plat mais pas maigre du tout.

La jupe, courte et fendue sur les deux côtés, met en évidence de belles jambes nues qui ne demandent qu’à être caressées.

De jolis escarpins rouges complètent le tableau.


Je suis sous le charme…

Une réelle sensualité se dégage de mon hôtesse.

Les effluves de son parfum vanillé finissent de m’enivrer d’autant plus que j’ai ses cheveux fins dans mon cou, sa tête reposant sur mon épaule droite.

Amandine est une jeune femme pas du tout effarouchée et qui semble aimer l’affection. Ce qui n’est pas pour me déplaire.


Soudainement, je réalise le silence dans l’appartement et, semble-t-il, l’absence de sa mère.



Elle m’explique que, travaillant comme aide-soignante dans la maison de retraite du quartier, sa mère avait été appelée en début de soirée pour remplacer une collègue malade. Elle devrait rentrer très tard. Elle est désolée et a demandé à sa fille de bien me recevoir durant son absence. À priori, celle-ci ne se fait pas prier pour bien s’occuper de son invité ! Et elle montre qu’elle sait recevoir !


Tout en me donnant ces explications, elle m’emmène au salon, m’installe dans le canapé avec beaucoup d’attentions. Je me sens réellement à l’aise. Elle sait recevoir cette petite !


Debout devant moi, elle me propose de la musique et, devant mon acquiescement, elle met un CD de Tracy Chapman.



Du fait de l’absence de sa mère, elle me demande si une pizza à commander cela me conviendrait. Bien entendu, j’accepte. Elle téléphone donc notre choix.

En attendant, elle m’offre du vin blanc très frais comme apéritif et vient s’installer dans le fauteuil unique de l’autre côté de la table de salon.


En face de moi, j’ai une jeune fille de dix-neuf ans vêtue comme une jeune femme épanouie. À mon regard d’homme mûr de cinquante ans, s’offrent deux belles jambes surmontées d’une jupe fendue et serrée qui remonte assez haut laissant entrevoir la blancheur laiteuse de deux cuisses prometteuses de plaisirs charnels.

Visiblement, Amandine se rend compte de l’intérêt que je porte à ses jambes. Elle ne fait rien pour les cacher. Au contraire, discrètement, elle les décroise et leur donne une amplitude plus importante laissant entrevoir de la dentelle mauve assortie à son soutien-gorge.


En homme habitué aux situations chargées d’érotisme, ce geste ne m’a pas échappé. Je lui adresse un sourire et je ne peux m’empêcher de croiser à mon tour mes jambes. Ainsi, j’emprisonne mon sexe qui commence à gonfler et je me donne des sensations très agréables…


L’atmosphère se charge de tensions hautement érotiques, rehaussées par le chant langoureux de Tracy.

C’est à cet instant que je propose de lever nos verres :



Je me penche au-dessus de la table de salon, elle s’avance et, à son tour, bascule le thorax vers l’avant pour frapper nos deux verres.

J’ai une vue plongeante sur son décolleté. Voyant mon regard, sans doute pas trop discret, elle rougit quelque peu. Que de contrastes chez cette fille ! Autant elle peut laisser entrevoir sa culotte, effrontément, alors que, paradoxalement, elle rougit lorsque je laisse aller mon regard vers ses seins offerts dans leur écrin mauve ! Il est vrai que nous sommes très proches l’un de l’autre.


Si proches, que je sens sa respiration s’accélérer. Se rend-elle compte qu’elle va trop loin ? Je dois faire attention à ne pas la brusquer si je veux arriver à la séduire.


Je lui propose de s’asseoir près de moi. Elle accepte sans hésitation et se place de trois-quarts à ma gauche.



J’essaie ainsi de détendre la tension que je sens monter en elle.


Je pose mon verre et je lui prends doucement le sien pour le déposer.

En me tournant légèrement vers elle, de ma main droite, je lui prends la sienne et la tiens sans forcer, la laissant libre de la retirer, à sa guise. Elle n’en fait rien.

Je sens sous mes doigts de légers tremblements qui montrent son émotion mais aussi, peut-être, son appréhension.



Tracy Chapman accompagne agréablement ce moment de forte tendresse. J’apprécie tout particulièrement ces instants magnifiques. Annonciateurs de temps plus sensuels.


Je dépose délicatement un baiser sur sa joue droite. Je sens qu’elle se relâche. Je passe mon bras gauche autour de ses épaules et l’attire avec douceur vers moi. Elle ne me repousse pas. Sa respiration s’accélère encore. Elle laisse aller sa tête sur mon épaule et laisse échapper un profond soupir. Décompression.


Nous sommes maintenant rapprochés. Nos cuisses se touchent. J’ai toujours mon bras autour de ses épaules et son visage est maintenant tout près du mien.

Je tourne un peu plus mon visage vers le sien. J’approche lentement mes lèvres de sa jolie bouche aux lèvres charnues. Elle ne se dérobe pas. Les yeux fermés, détendue maintenant, elle semble attendre…


Je pose délicatement mes lèvres sur les siennes. Elle marque un léger tremblement, entrouvre ses lèvres et avec lenteur j’avance ma langue.

Amandine accueille semble-t-il avec satisfaction mon baiser que je prolonge.

Nos langues sont maintenant entremêlées. La passion fait place à la tendresse. Nos corps se frottent l’un contre l’autre…


Dring ! La sonnette !

C’est le livreur de pizza. Je suis le premier à réagir. Prestement, je prends la livraison, je le paye sans même attendre la monnaie.

Je dépose la pizza dans la cuisine et retourne rapidement au salon.


N’ayant pratiquement pas bougé, à demi étendue sur le canapé, dans une pose alanguie, Amandine m’accueille, le sourire aux lèvres :



Elle passe ses mains dans ses cheveux, s’étire, découvrant totalement ses jambes, m’offrant une vue incomparable sur son string (car je m’aperçois alors qu’elle porte un string !). Indécente volupté !

Je sens une érection formidable dans mon pantalon.


Je me jette carrément dans le canapé et, sans me retenir cette fois-ci, je l’embrasse fougueusement. Baiser qu’elle me rend avec tout autant de fougue.

Puis, ce ne sont plus que les frottements de nos corps qui, petit à petit, nous amènent à nous découvrir fébrilement.


Amandine se lève alors, échevelée. Diable ! Qu’elle est belle ainsi, les vêtements en désordre. Son chemiser est pratiquement ouvert, laissant voir une superbe petite poitrine maintenue dans les deux balconnets mauves.


Elle me prend par la main et m’amène dans sa chambre. Je n’ai même pas le temps de regarder l’agencement de la pièce qu’elle me prend dans ses bras et nous fait tomber à la renverse sur son lit.

Étendue sur moi, ayant remonté sa jupe sans que je ne voie le geste, elle frotte sauvagement son pubis sur mon sexe toujours emprisonné. Malgré mon expérience en la matière, je sens tout de même le plaisir qui me gagne.

Elle a ouvert ma chemise et passe ses mains dans mon dos.


Amandine, tout en m’embrassant fougueusement, sa langue allant dans les plus profonds retranchements de ma bouche, frotte de plus en plus fort son sexe sur le mien. Ses doigts par moments me griffent le dos au rythme de son plaisir naissant.

L’inexpérience sans doute, trop rapidement elle se lâche. Dans un profond râle, elle laisse échapper sa jouissance.

De mon côté, je me contrôle afin de ne pas jouir tout de suite.

Afin de l’apaiser -et de la rassurer ?- je lui caresse lentement ses cheveux pendant qu’elle reprend ses esprits.


Nous nous caressons mutuellement. Nous échangeons de nombreux baisers.

Amandine est couchée sur le dos, paisiblement. Je suis près d’elle, accoudé et l’observant. Elle m’attire à elle pour m’embrasser langoureusement. Puis elle passe longuement ses mains dans mes cheveux.

Sentant qu’Amandine est en confiance, je m’enhardis. Son chemisier totalement ouvert maintenant, je passe mes mains sur ses seins toujours enfermés dans leur écrin. J’enlève son chemisier, mes mains, dans son dos, défont rapidement l’attache de son soutien-gorge qui vole très vite à travers la pièce.


Ses deux seins maintenant libres de toute entrave érigent fièrement leurs pointes. Je suis tout de même surpris de voir de si jeunes seins aux pointes si développées. Prime à la jeunesse, sa poitrine est ferme et haute.

Je goûte avec délicatesse et ravissement ces fruits qui réagissent si fortement aux succions et pincements.

Amandine gémit de plaisir. Je la comble de baisers et de caresses.


Je m’attaque à la fermeture de sa jupe et fais glisser lentement, sensuellement, l’étoffe jusqu’à ses pieds tout en prodiguant des caresses le long de ses jambes.

Je caresse son sexe à travers le string en appuyant par moments sur les lèvres.

Je finis par enlever la mince dentelle. Je prends Amandine dans mes bras et la serre fortement contre moi.


Amandine, se dégageant de l’étreinte, me repousse sur le dos. Elle descend légèrement et dégrafe la ceinture de mon pantalon. Elle se met à mes pieds et fait glisser le pantalon qui va rejoindre son soutien-gorge.

Elle remonte le long de mes jambes en y frottant au passage ses seins. Elle arrive vite à la hauteur de mon slip.

Elle me regarde dans les yeux, me fait un clin d’œil et, avec un sourire malicieux, tout en continuant à me fixer, elle passe une main à l’intérieur du slip et trouve vite l’objet de sa recherche. Elle entoure ma verge de ses doigts fins et la libère de son emprisonnement.


Amandine enlève mon dernier vêtement et reprend en mains mon sexe qui grossit très rapidement. Elle commence un mouvement de va-et-vient sur la hampe. Je sens que je ne vais pas résister longtemps à ce traitement.

De temps en temps, elle approche ses lèvres de mon gland mais semble hésiter à me prendre en bouche. Je ne dis rien. Je la laisse découvrir. Étant donné son jeune âge, elle n’a pas une grande habitude dans ces jeux sexuels. Je ne veux pas le forcer. Si notre relation devait se poursuivre, il sera toujours tant de lui montrer quelques variantes.


Néanmoins, sa main ne reste pas inactive. Et, sous ce traitement, je ne tarde pas à exploser ma jouissance dans ses mains, éclaboussant un peu au passage son visage.

Elle regarde avec intérêt les traînées blanchâtres à l’intérieur de ses paumes. Me redressant un peu, je l’attire vers moi, je prends ses mains et les porte à ma bouche, léchant mon sperme consciencieusement.

Je lui présente mes lèvres afin d’échanger mes sécrétions à travers un baiser :



Nous nous embrassons longuement.


Je la couche sur le dos et descends le long de son corps jusqu’à son mont de Vénus. De mes doigts, je lui écarte la toison peu fournie d’ailleurs. Je caresse lentement ses lèvres profitant de ses sécrétions pour lubrifier.

Très vite, je la sens se relâcher et commencer à nouveau à pousser de petits bruits de plaisir, ni des cris ni des gémissements. C’est la première fois que j’entends ce genre de sons dans le plaisir.


Écartant ses lèvres, je présente ma bouche.



De ma langue, j’excite ses lèvres et passe quelquefois sur son clito. Elle mouille de plus en plus. Ses « petits bruits » sont maintenant devenus de vrais gémissements accompagnés par des ondulations de son corps. En levant le regard, je vois qu’elle se caresse les seins et se pince les pointes ou se les tord.

Je me dis que c’est le signe d’une activité masturbatoire évidente


J’enfonce de plus en plus souvent ma langue dans son vagin. J’ai passé mes mains sous ses fesses et j’en profite pour immiscer de temps en temps un doigt sur sa raie culière.

Ayant appuyé trop fortement mon doigt à l’entrée de son anus : elle tressaille. Je l’enlève rapidement, je ne veux pas qu’il soit la cause de l’interruption de sa jouissance.


Sa jouissance est maintenant arrivée à son paroxysme. Elle pousse des gémissements de plus en plus forts, elle se contorsionne, elle bouge sa tête dans tous les sens. J’ai des difficultés à la maintenir en place. De mes mains sur ses fesses, je la maintiens de manière à continuer à lui procurer le plaisir par son vagin et son clito.


Amandine est maintenant au bord de la jouissance. Elle pousse des cris qui marquent le plaisir aigu. De son minou, coule à flots sa jouissance dont je me délecte en avalant un maximum de liquide.


Dégoulinante, pantelante, échevelée, de légères traces de transpiration sur le ventre, Amandine, telle une gisante bienheureuse, les bras en croix, savoure les derniers spasmes du plaisir…


Et moi, je ne suis pas mieux, étendu à ses côtés, la nuque reposant sur le bas de son ventre, une main reposant sur son minou trempé et l’autre caressant doucement ma verge à moitié au repos. Qui ne demande qu’à être réveillée…


C’est à ce moment que j’entends un bruit : c’est une clef qui se glisse dans la serrure de la porte d’entrée de l’appartement !


Amandine, encore sous le coup de sa jouissance, n’entend rien. Je me redresse. Je la secoue légèrement, puis plus fort.



Je lui réponds, affolé, maintenant car la porte s’ouvre et la chambre où nous nous trouvons est ouverte :



Sylvie se trouve dans l’embrasure de la porte de la chambre.


Amandine, réagissant enfin, se redresse, voit sa mère qui nous regarde…


Sous l’effet de la surprise, nous retombons allongés sur le dos, n’esquissant pas un geste pour couvrir notre nudité…



A suivre…