- — Allô, Thierry ?
- — Oui chéri, je t’écoute.
- — Juste pour te rappeler que je serai en studio ce soir et que la nouvelle baby-sitter arrive à 18h. Tu n’as pas oublié ?
- — Non non bien sûr. Je pense rentrer vers 20h ce soir. Tu en auras pour longtemps ?
- — Je sais pas tu sais, ça peut prendre deux heures comme durer toute la nuit
- — Oui, d’ailleurs en ce moment c’est plus toute la nuit que ça dure… Je ne savais pas que l’on pouvait chanter aussi longtemps… enfin.
- — Tu ne vas pas recommencer avec tes crises de jalousie, on en a déjà parlé…
- — Mouais… Elle s’appelle comment la baby-sitter ?
- — Betty… Et, pas de bêtise…
- — Si tu n’en fais pas, je n’en fais pas.
- — Tu m’énerves !
- — Toi aussi.
- — Bon, a tout a l’heure ou à demain. Salut.
- — Et, Aicha…
- — Oui ?
- — Je t’aime.
- — Je t’aime aussi mon amour. Bientôt, j’aurai plus de temps pour toi, tu le sais.
- — Je sais. Assure.
- — Comme d’hab’ !
On ne se voit plus… Je pars tôt je rentre tard, et toi tu bosses la nuit. D’ailleurs, est-ce que tu bosses ? Avec tous ces requins qui te tournent autour… Merde, je suis jaloux.
Ça m’agace d’être jaloux. Et depuis que l’on a notre amour de petite fille, on ne s’occupe plus l’un de l’autre… On ne fait plus attention l’un à l’autre… On ne sait même plus se faire l’amour. Depuis combien de temps tu n’as pas joui ? Je commence même à préférer me caresser sous la douche en pensant à nos premières années plutôt que de te faire l’amour. Merde, tout ça dérape.
Pfff, j’ai plus envie de bosser moi… 18h30… allez, je rentre… fais chier.
Ah oui, j’avais oublié, la baby-sitter…
- — Bonjour. Tu t’appelles Betty c’est ça ?
- — Oui.
- — Bonjour Betty.
- — Votre femme m’a beaucoup parlé de vous.
- — En bien j’espère.
- — Oui bien sûr. Elle m’a dit qu’en ce moment vous aviez beaucoup de travail et qu’il fallait que je prenne soin de vous…
- — Quelle touchante attention… J’espère qu’elle vous a aussi dit qu’il fallait s’occuper de notre fille !
- — Oui… bien sûr. Elle est vraiment très belle. D’ailleurs, j’étais en train de lui préparer son biberon…
- — Très bien.
Je me sers un whisky, j’y ai pris goût… Ah, des glaçons…
Dans la cuisine, Betty s’affaire, je passe derrière elle pour atteindre le frigo. Je remarque discrètement son string qui sort de son pantalon taille basse. Décidément, les jeunes…
- — Vous auriez dû me demander Monsieur, je vous aurez apporté ces glaçons
- — C’est gentil Betty. Appelle-moi Thierry.
De mon fauteuil, je vois Betty dans la cuisine, je l’observe tout en dégustant mon verre. Jolie petite rousse à la frimousse coquine, quelle âge peut elle avoir ? 22, 23 ans. Un peu ronde, mais pas grosse, disons pulpeuse. De belles fesses bien fermes et des beaux gros seins lourds.
Je m’amuse à la détailler, elle me jette souvent des petits coups d’œil… elle doit sentir que je la regarde, ça n’a pas l’air de la déranger… Au contraire…
J’allume la télé.
- — Vous en voulez un autre ?
- — Hum, non merci Betty.
- — Vous êtes sûr, ça pourrait vous faire du bien !
- — Merci Betty.
- — Pour vous servir Monsieur, vous pouvez me demander ce que vous voulez.
- — J’en prends bonne note. Merci.
Elle n’a pas froid aux yeux cette Betty… Tout ce que je veux… Si elle savait…
- — J’ai fini Monsieur !
- — Très bien, merci Betty.
- — Je vous verrai demain ?
- — Normalement, je finirai plus tard.
- — Essayez de venir tôt, je n’aime pas rester toute seule !
- — Ah… Peut-être à demain !
Je la regarde partir. Son string est encore plus remonté que tout a l’heure. Elle se baisse pour ramasser ses chaussures… et je pense aussi pour me montrer ses fesses. Quelle garce ! Elle m’exciterait presque cette petite insolente.
5h00
- — Hummmm, c’est toi, t’as fini tôt dis donc !
- — Désolé, ça marchait bien ce soir, on a enregistré trois morceaux.
- — Mais c’est super…
- — Au fait, t’as vu la nurse ?
- — Ouais…
- — Alors ?
- — Tu l’as bien choisie…
- — Comment ça ?
- — Pulpeuse comme je les aime… parfait. Gros seins, belles fesses, belle bouche à pipe…
- — Connard ! Bonne nuit !
- — On ne fait pas l’amour ?
- — Dans tes rêves peut-être, mais moi je suis crevé. À demain.
- — Pffff, super. À demain.
Je me réveille excité. Tiens, je suis en forme ce matin. Etonnamment, je pense à cette Betty… Sous la douche, je commence à me caresser en pensant à ses gros seins… MAIS QU’EST-CE QUI M’ARRIVE ?… J’arrête tout de suite.
18h30, j’ai encore du boulot… J’ai envie de rentrer.
- — Allô Chérie ?
- — Oui ?
- — Tu pars en studio ce soir ?
- — J’y suis.
- — Tu rentres tard ?
- — Je sais pas. Et toi, tu finis à quelle heure ?
- — 21h, je pense, j’ai du boulot…
- — Tu vas laisser Betty avec la petite toute seule ?
- — Ça sert à ça une baby-sitter non ?
- — Oui. À tout à l’heure…
- — Essaye de ne pas rentrer trop tard !
- — Je vais essayer.
18h35, je rentre. Betty est là.
- — Bonjour Monsieur !
- — Bonjour Betty !
- — Merci d’être rentré tôt ce soir.
- — Je n’avais plus envie de travailler.
Je m’installe dans le fauteuil, me sers un whisky… les glaçons…
- — Tenez Monsieur, les glaçons pour votre whisky.
- — Betty, il ne fallait pas !
- — Ça me fait plaisir…
Elle se penche sur mon verre… la coquine. Aujourd’hui Betty a un large décolleté, très échancré qui me laisse amplement découvrir le soutien-gorge en dentelle noir qui maintient difficilement ces deux gros seins lourds. Elle a vraiment des gros seins cette gamine. Elle se redresse lentement et se cambre pour pointer vers moi ces deux tétons qui percent à travers son débardeur. Serait-elle excitée ? Et beh… Elle ne manque pas d’air. Je dois d’ailleurs avouer qu’elle ne me laisse pas insensible, à en juger par ce début d’érection qui me surprend.
- — Betty, tu peux me ramener des glaçons ?
- — Bien sûr monsieur.
Je me délecte du spectacle que Betty m’offre à nouveau… elle se penche un peu plus lentement, un peu plus bas, m’offrant un peu plus de profondeur dans le sillon de ses seins. Quelle belle poitrine ! Elle surprend mon regard qui plonge au creux de ses seins, elle me sourit malicieuse et coquine…
- — Vous êtes sur que vous ne voulez rien d’autre ?
- — Non merci Betty, pas pour le moment.
- — Si vous avez besoin de quoi que ce soit, n’hésitez pas.
- — Merci Betty.
- — Votre femme a beaucoup de chance…
- — Ah bon pourquoi ?
- — Bah… d’avoir un mari aussi beau !
- — Merci pour le compliment.
Mais quelle garce, je rêve, elle m’allume !
- — Au revoir Monsieur.
- — Au revoir Betty.
- — À demain ?
- — Non, je ne serais pas là.
- — Quel dommage, vous allez me manquer…
- — À après-demain…
- — Humm deux jours, c’est long quand on est jeune et impatiente comme moi.
- — Il faut savoir être patiente… Tout vient à point à qui sait attendre…
- — Et vous savez ce que je veux ?
- — Non, quoi ?
- — Vous.
- — Oh oh, ma chère Betty, tu sais que je suis un homme marié et que c’est ma femme qui te paie… et elle n’est pas facile !
- — Je sais, mais je n’y peux rien, depuis le premier instant, j’ai envie de vous…
- — Trouve-toi un petit copain de ton âge, ça vaut mieux.
- — Mais les hommes de mon âge ne savent pas comment faire… Vous, vous êtes un homme d’expérience, vous savez comment faire avec les femmes…
- — Betty ! A après-demain, on en reparlera…
- — D’accord monsieur.
- — Au revoir Betty.
Mais quelle coquine ! Elle m’a vraiment excitée cette gamine, j’ai presque envie de me caresser… Non, voyons, ce n’est pas sérieux.
5h30
- — Déjà, c’était pour enregistrer quatre chansons ?
- — Arrête, on est en pleine phase de mixages des pistes.
- — Et ça peut pas se faire dans la journée, genre entre 11h et 18h ?
- — Tu sais les artistes…
- — Oui, c’est ça…
- — Au fait, j’ai vu Betty aujourd’hui avant de partir.
- — Alors ?
- — Elle ne m’a pas plu du tout.
- — Ah bon ?
- — Je pense que je vais lui dire de ne pas revenir la semaine prochaine.
- — Attend, elle travaille très bien. Laisse lui sa chance.
- — Elle travaille bien ou elle baise bien ?
- — T’es malade ou quoi ! Je te demande, moi, si tu te fais baiser par ton mixeur qui ne connaît même pas la différence être un do et un mi !
- — Pardon, je ne voulais pas.
- — Bonne nuit !
- — Tu me fais l’amour ?
- — Non, je suis crevé, j’ai une grosse journée demain. Salut.
Les hormones commencent à me travailler, ça fait quinze jours que l’on n’a pas fait l’amour avec Aicha… Les hormones… et cette Betty qui m’aguiche…
18h30, je rentre.
- — Bonjour Betty !
- — Bonjour Monsieur !
- — Vous m’avez manqué hier…
- — Ah ah !?!
- — Je vous ai servi votre whisky.
- — Merci !
- — Je me suis aussi habillée pour vous.
- — J’ai vu, tu es une très jolie jeune fille.
Effectivement, chaussures à talon, jupe courte, petit t-shirt blanc moulant, et détail qui a son importance… pas de soutien-gorge. Ses seins pointent avec arrogance à travers son t-shirt et je découvre ses larges mamelons à travers la transparence du tissu.
- — Je ne vous plais pas ?
- — Si si, tu es très belle.
- — Je vous excite ?
- — Oh Betty, ça suffit ! Va t’occuper de la petite !
- — Betty, tu m’apportes un deuxième verre ?
- — Tout de suite Monsieur !
- — Alors, vous n’avez toujours pas envie de moi ?
- — Mais qu’est ce que tu as toi à la fin ?
- — Juste envie de vous Monsieur. Et regardez comme mes seins sont durs…
Cette charmante Betty remonte alors son t-shirt. Ces deux gros seins jaillissent devant mon visage. Ils sont durs, dressés, tendus, beaux. La blancheur de cette peau de rouquine leur donne encore plus de relief… Ses seins sont délicieusement excitants…
- — Vous n’aimeriez pas que je vous caresse avec mes seins… J’ai envie de vous les offrir.
- — Betty, tu as une très belle poitrine, mais maintenant ça suffit. Laisse-moi tranquille, s’il te plaît.
Elle fait chier cette gamine, merde !
- — Allô !… Ah oui chéri, ça va ?… Quoi, tu ne rentres pas ce soir ?!… Tu restes pour bosser ?!… Mais tu te fous de ma gueule !… Comment veux-tu que je ne m’imagine pas plein de trucs moi… Confiance ? Mais ça se mérite la confiance !… Aller, reste chez tes artistes, fais-toi bien baiser, et reviens quand tu veux !… Salut !
Merde, mais pourquoi elle me fait ça ? Pourquoi elle me fait si mal ? Merde Aicha, je t’aime tant… Je t’aime mon amour, ne me laisse pas…
- — Un problème avec votre femme ?
- — Non rien.
- — Un autre verre ?
- — Oui, j’en ai besoin.
Je vais me saouler… Je me saoule… Je suis saoul…
- — Encore un verre s’il te plaît, Betty.
- — Vous allez être saoul, monsieur.
- — Je sais…
- — Je sais ce qu’il vous faut.
Betty non, je ne vais pas pouvoir résister, pourquoi tu me fais ça ?
Betty a enlevé son t-shirt et s’est assise sur mes genoux. Ces deux gros seins sont devant mon visage. Je les prends dans mes mains. Ils sont fermes, lourds, durs… Ils sont bons. Je les caresse avec tendresse et je regarde ses larges mamelons se tendre… Tu es belle Betty.
- — Vous aimez mes seins, Monsieur ?
- — Oui, ils sont très beaux et très agréables.
- — Laissez-moi vous faire du bien…
Non Betty, non, arrête…
Elle s’est agenouillée entre mes cuisse, défait ma ceinture, ouvre mon pantalon, sors mon sexe. Je ne suis que moyennement excité, mon sexe est loin d’être dur… Je sais qu’il ne faut pas…
Elle le prend dans sa main et commence à le caresser, mon sexe prend de la vigueur et se dresse lentement. Betty approche mon sexe de ses lèvres, passe la langue sur le bout de mon gland, ça me fait du bien… mon sexe est maintenant très dur, gros.
- — Votre femme ne m’avait pas menti, vous êtes vraiment bien monté.
- — Quoi, ma femme t’a parlé de mon sexe ?!
Pas de réponse, Betty a avalé tout entier mon sexe et maintenant me suce avec envie et gourmandise. Mon sexe est tout entier dans sa bouche, et il faut bien le reconnaître, c’est une sacrée suceuse ! Elle fait de larges mouvements de tête autour de mon sexe… Elle me baise avec sa bouche cette petite garce… Sa langue est gourmande, je la sens sur mon gland qui s’agite… Elle m’excite, je regarde sa bouche de suceuse s’empaler sur mon sexe, elle en redemande… mon sexe est gros, extrêmement dur… Je sens mon gland qui se gonfle, elle va me faire jouir cette Betty. Sa main caresse mes bourses et la base de mon sexe… Je me raidis… je me cambre… elle me branle un peu plus fort, elle enfonce mon sexe un peu plus profondément dans sa gorge… hummm, c’est bon… je suis là… ouh, je vais jouir ! Mais quelle suceuse, c’est incroyable… Elle sors mon sexe de sa bouche, continue de jouer du bout de sa langue avec mon gland, puis me fixe droit dans les yeux
- — Monsieur, jouissez sur mes seins, je veux que vous recouvriez mes gros seins de votre foutre, j’ai envie de sentir votre sperme couler entre mes seins.
Elle a un regard diabolique… Je suis à elle, elle peut faire de moi ce qu’elle veut… qu’elle est bonne ! Elle me reprend en bouche… me resuce encore un peu plus fort, me branle un peu plus vite… Je suis là, je ne tiens plus… je vais venir sur les seins de cette petite garce…
Elle sort mon sexe et continue de me branler avec gourmandise avec envie devant sa bouche grande ouverte… Je viens, je suis là… Elle ne me lâche pas du regard… Son regard est vicieux… je suis là, mon gland se gonfle encore un peu plus, mon sexe se tend, mon gland va exploser… et j’explose, je jouis d’abord sur ses lèvres, dans sa bouche grande ouverte, puis sur ses seins… Elle se cambre pour m’offrir ses seins… continue à me branler… je continue à jouir abondamment, mon sperme se répand sur elle… encore… encore… c’est si bon… Mon sperme coule entre ses deux gros seins laiteux, elle me regarde avec envie… Quelle diablesse ! Quelle suceuse !
Du bout de ses doigts, elle récupère un peu de mon sperme sur ses lèvres, puis l’avale… Quelle effrontée… Enfin, elle étale sur toute la largeur de ses seins le fruit de ma jouissance… elle semble apprécier, elle se caresse les seins avec mon foutre… Qu’est ce que j’ai fait ?… Une gamine…
Merde Thierry, qu’est ce que tu as fais ! Chez toi ! Chez nous ! Tu es con ou quoi !
Je suis gêné.
- — Ça vous plu ?
- — Je dois avouer que oui.
- — Je peux rester ici dormir, j’ai cru comprendre que votre femme ne rentrait pas ce soir…
- — Non Betty, il faut que tu rentres. Ce n’est pas bien ce que l’on a fait. C’est une erreur de ma part. Ça ne se reproduira plus. Je suis désolé de te dire ça. Je ne veux pas paraître dur, mais ça ne se reproduira plus. J’aime ma femme, et même si ça ne va pas fort entre nous en ce moment, je veux la récupérer. Je suis fou amoureux d’elle, tu comprends ?
- — Je comprends Monsieur. Je vais y aller. Je peux prendre une douche ?
- — Bien sûr, Betty. Je vais te donner une serviette.
Une douche plus tard
- — Au revoir monsieur.
- — Au revoir Betty, à demain, je suis vraiment désolé pour ce soir. Je n’aurais pas dû.
- — Ce n’est rien monsieur, à demain.
22h45
- — Toi ici, je croyais que tu ne dormais pas ici ?
- — J’ai changé d’avis, j’ai eu envie de passer la soirée avec toi.
- — Ah bon, c’est nouveau ?
- — Elle était pas mal Betty, non ?
- — Pourquoi tu me parles d’elle ?
- — Je viens juste de la quitter, on buvait un verre en bavardant…
- — Quoi ? Qu’est-ce que tu me dis ?
- — Tu as été parfait chéri…
- — Tu ne veux pas dire que…
- — Et si, un piège…
- — Mais quelle salope tu fais ! T’as pas le droit de faire ça !
- — Allez, tu ne vas pas me dire que tu n’as pas apprécié la pipe magistrale qu’elle t’a faite ?
- — Quelle garce, tu vas me le payer…
- — Je t’aime mon amour, il n’y aura toujours que toi. Viens dans la chambre, à mon tour maintenant de te montrer ce qu’est une vraie fellation… Et après t’as intérêt à assurer toute la nuit, parce je suis grave en manque moi…
- — Toi, je t’aime, et fais-moi confiance, je ne vais pas te décevoir ! J’espère…
- — On verra… À toi de jouer !