n° 10585 | Fiche technique | 47404 caractères | 47404Temps de lecture estimé : 27 mn | 11/07/06 |
Résumé: Tout a commencé par un baiser forcé, un soir de grande détresse | ||||
Critères: fh douche hsoumis fdomine voir exhib odeurs fetiche fellation cunnilingu anulingus pénétratio fouetfesse | ||||
Auteur : Roger Bichon |
Nous nous étions rencontrés dans une radio libre, c’était la grande mode à l’époque.
Moi j’étais le type désespéré, au bout du rouleau, à moitié déprimé et presque suicidaire.
Elle, une toute petite puce d’origine britannique aux cheveux vaguement rouquins et coupés très très courts. Assez quelconque en fait, si ce n’est sa peau constellée de taches de rousseur. À part ça, à peine 1m50 en talonnettes, pas de fesses, pas de poitrine, juste une petite brindille, son prénom lui allait à ravir. C’était une fille studieuse qui restait plongée jour et nuit dans ses chères études. Elle ne sortait pas ou alors très peu, juste pour aller de temps à autres au musée ou à la bibliothèque.
Sa seule originalité apparente, c’était la fréquentation de cette radio libre. Liane y animait une triste émission de musique rétro, dédiée aux grands chanteurs morts, Mike Brant et Claude François, j’en passe et des meilleurs. De mon côté, je sévissais dans une émission rock, passablement déjantée et un tantinet trash.
Ce jour là, j’étais arrivé complètement ivre au studio. J’avais bu plus que nécessaire, pour oublier, pour fuir la vie. J’avais même dû m’allonger sur une banquette, tellement j’étais bourré.
C’est en sortant du studio qu’elle m’a trouvé dans cette position, gémissant et inerte. Intriguée, elle s’est approchée de moi, elle m’a parlé très gentiment alors que moi, comme le dernier des sagouins, j’en ai profité pour l’attirer à moi, pour l’embrasser de force, pour lui rouler un gros gadin baveux. J’étais en manque d’amour, un vide énorme, j’étais au désespoir depuis beaucoup trop longtemps… Mais ce n’est pas une excuse, à peine un début d’explication.
Elle s’est dégagée sans trop de peine et m’a repoussé doucement, après ce long baiser forcé :
Elle s’est écartée de moi, je gisais comme une vieille épave.
La honte s’est abattue sur moi, après ce regrettable incident. Les jours qui suivirent je n’osais plus lui parler, ni même la regarder. Je faisais tout pour l’éviter. J’ai même eu envie d’arrêter la radio pour ne plus avoir à la croiser dans les couloirs. Je me sentais vraiment miteux.
Tu t’es vu quand t’as bu ? Justement pas, mais rétrospectivement je voyais ce que j’avais fait et cette vision m’était insupportable.
Quelques semaines plus tard, c’est elle qui est revenue vers moi et qui a détendu l’atmosphère :
C’est vrai que j’habitais à deux pas, je squattais depuis trois, quatre mois, à quelques pâtés de maison de là, dans un immeuble en ruine.
Comment pouvait-elle me proposer ça, après tout ce que je lui avais fait ? Je n’en croyais pas mes oreilles, je la regardais, elle me souriait, un sourire très doux et emprunt d’une grande tendresse.
Il y avait eu un problème d’émetteur, la radio était HS et toute la station était fébrile !
C’est ainsi que je me suis retrouvé coincé, ne pouvant de fait qu’accepter cette invitation. Je l’ai suivie passivement dans la rue, sans rien dire, ne prenant même pas la peine de faire le pitre pour mettre en valeur mon insuffisance, comme à mon habitude.
Et nous nous sommes bientôt retrouvés dans sa petite chambrette, elle préparant le thé et moi inspectant les lieux. Il y avait même un gros nounours en peluche qui trônait sur le lit.
D’ailleurs c’était vrai, après ce baiser volé, il y avait eu dans mon esprit, comme un immense trou noir…
J’ai secoué négativement la tête.
Nous avons parlé de tout, de rien, de la radio, du temps qu’il fait, des études, histoire de meubler la conversation. Une discussion courtoise mais sans grand intérêt.
Tandis qu’elle buvait son thé, je la regardais, elle était particulièrement nerveuse, très fébrile, un peu bizarre aussi. Elle avait plein de tics et semblait plutôt mal dans sa peau. Je l’avais déjà remarqué lors de notre première rencontre : une très grande fragilité matinée d’incertitude émanait d’elle. Mais là, de près, dans l’intimité de sa chambre, c’était encore plus flagrant.
Si je l’avais embrassée, elle et pas une autre, il y avait bien une raison. Même complètement bourré, je ne me jette pas sur toutes les femmes !
Ce n’était pas sa beauté physique car elle était assez quelconque. C’était quelque chose de beaucoup plus secret, une espèce de fragilité intérieure qui m’avait profondément touché. Au cœur de mon désespoir, j’avais crié « au secours », espérant probablement qu’elle puisse me tendre la perche.
Rien que sa façon de saisir les objets, avec tact et avec grâce, elle semblait si précieuse et si fragile !
J’ai eu l’intuition que je pourrais peut-être lui parler de mon mal être et de mon désespoir, mais les mots ne venaient pas. Et puis, comment avouer que je restais trop souvent enfermé dans cette très grande solitude ?
Je me suis levé pour partir.
Mais, devant cette lâche défection, elle s’est insurgée :
Que de révélations en si peu de mots ! M’avait-elle dit tout cela simplement pour me faire rasseoir, parce qu’elle sentait que j’étais sur le point de partir ? Elle s’était assise en tailleur sur le lit et, machinalement, elle se triturait doucement les pieds, de tous petits pieds à l’image de son corps. Mais ses ongles étaient vernis, rouge vif, cela faisait un peu étrange.
J’aurais aimé la convaincre que ma musique était géniale mais, à quoi bon, tous mes délires de révolte n’étaient souvent que des illusions qui ne menaient qu’à de nouveaux malaises.
Depuis quand n’avais-je pas eu de copine stable ? En fait : depuis toujours. Juste des amours d’un soir, des jeunes filles branchées en mal d’expérience, des bons coups à consommer vite fait, et les inévitables capotes qui vont avec, pour se protéger les uns, les autres. Cette, soi-disant « envie de vivre intensément », alors que ce n’est souvent qu’une longue redite de situations toujours identiques.
D’un autre côté, je n’aurais surtout pas voulu avoir une copine stable, j’exècre le mariage, j’exècre la famille et j’exècre les enfants : Aucun lien, aucune dépendance, aucune soumission, tout ce traditionalisme social, je le perçois comme un enfer !
J’ai levé les yeux vers elle, étonné de sa question. Alors elle l’a reformulée :
Son analyse me laisse pantois. Le pire c’est qu’elle a mille raison. Je suis au bout du rouleau, je n’en peux plus de cette vie de merde.
Les liens, quels liens ? Mais de quoi parlait-elle cette foldingue ? Et qu’est-ce que je faisais là avec ce petit bout de chou qui me prenait la tête avec toutes ces considérations complexes ?
Je n’ai pas l’habitude d’être soumis à une femme mais cette situation était tellement bizarre et c’était demandé avec tellement de simplicité ! Elle avait l’art et la manière de présenter les choses et d’aboutir à ses fins.
Je me suis levé et me suis approché d’elle, me penchant un instant vers sa bouche dans l’espoir d’un baiser :
Le ton est désormais plus incisif. Elle allonge maintenant les jambes et pose les pieds par terre.
Je m’agenouille devant elle et me penche vers ses extrémités.
Je m’exécute, à plat vente sur le sol glacé, une odeur de pieds caractéristique, mais pas désagréable. Je respire son odeur et embrasse religieusement ses doigts un à un.
Ses dessous de pieds sont vraiment sales, à force de marcher pieds nus. Au début j’hésite un peu, passablement dégoûté mais, l’excitation aidant, je finis par faire fi de mon dégoût initial. Maintenant je gobe ses orteils sans retenue et les lèche comme des sucettes de chair. Pendant que je m’occupe d’un pied, l’autre me caresse la joue ou m’appuie sur la tête.
Alors que je me hasarde un peu plus haut :
Tandis que je suce ses orteils, elle pousse son pied plus avant, au risque de m’étrangler.
Elle a relevé sa jupe et vient de glisser sa main dans sa culotte.
J’obtempère mais je sais qu’elle se masturbe. D’ailleurs je perçois le léger clapotis de ses doigts qui fouillent sa petite chatte. C’est très excitant, tous ces petits bruits. Je redouble d’ardeur pour lécher ses jolis petits pieds. Je les suce, je les gobe, je les pourlèche, je les nettoie. Sa masturbation se fait plus chaotique, le clapotis de son sexe en devient plus obscène. Je redouble d’ardeur, excité comme un fou.
Et, lorsque enfin elle se cabre en gémissant comme une bête, toute l’extrémité de son peton est entrée dans ma bouche. J’ai envie de l’avaler, de m’étouffer avec. Ses spasmes de jouissance remontent le long de sa jambe et parviennent jusqu’à ma bouche.
Mais elle ressort son pied et me repousse violemment avec :
Elle rajuste sa jupe.
Et, alors que je fais mine de me relever :
Elle se relève, monte sur son lit.
Je n’ai toujours pas compris comment je dois l’appeler ni quelle attitude exacte adopter avec elle, elle joue sur l’incertitude pour pouvoir mieux me piéger.
Quelques minutes plus tard, je reçois devant les yeux une petite culotte.
Je le respire à pleins poumons. Son odeur est très forte et sirupeuse. Elle sent aussi un peu la jeune fille négligée. Cette odeur est très excitante et ne laisse aucun doute sur la force de son émoi.
Elle est debout sur le lit, entièrement nue, ses seins à peine prononcés, quasi inexistants mais ornés d’une constellation de taches de rousseur. Par contre elle a gros tétons érigés qu’elle caresse lentement avec ses mains. Et, au niveau de son sexe, juste une petite touffe de poils fins et délicats.
Je pose religieusement un baiser au beau milieu de son entrecuisse. Son odeur est réellement divine.
A peine rentré dans ma piaule, je me suis masturbé en reniflant sa culotte. Je revoyais son corps entièrement nu, près du nounours, ses gros tétons dressés et sa petite touffe de poil, je me revoyais aussi en train de lécher ses pieds sales, de les gober jusqu’à plus soif.
Elle voulait que je souille mes caleçons, alors je les ai bien souillés, abondamment, sans retenue, excité comme un fou par ce que je venais de vivre. Et j’ai recommencé le lendemain matin, au réveil. Puis une nouvelle fois vers 18h, juste en rentrant du boulot.
J’avais imaginé que je recommencerais peut-être une dernière fois avant de lui rendre visite, mais un copain est arrivé et ça a perturbé mes plans. J’ai d’ailleurs failli louper mon rendez-vous, j’ai dû mettre mon pote à la porte. En sortant j’ai choppé discrètement les trois caleçons souillés en les glissant dans une pochette.
J’ai frappé plusieurs fois à sa porte, mais personne n’a répondu. M’avait-elle posé un lapin ? Déçu j’allais m’en retourner, j’étais déjà à l’autre bout du couloir lorsqu’elle m’a interpellé :
J’ai fait demi-tour et, lorsque je suis entré dans sa chambrette, elle était déjà en train de nous préparer un thé. Plus rien à voir avec la fille de la veille ! Déjà dans son accoutrement, elle avait troqué sa jupette par un pantalon de soie. Pareil en haut, elle était habillée asiatique. Quelque chose aussi dans son attitude avait changé, mais je ne saurais trop dire quoi. Plus rien à voir avec la jeune fille fébrile du début, mais rien à voir non plus avec la déesse dont j’avais baisé les pieds.
Je pose le plastique sur la table. Elle l’ouvre délicatement et sort les preuves de mon méfait.
Elle les porte à ses narines et les respire un long moment.
Elle me donne vraiment la honte.
Je dégrafe mon pantalon et le descends en même temps que mon caleçon.
Elle frappe une première fois sur une fesse, suivie d’une deuxième fois. Je tourne la tête, elle tient une règle en plastique.
La règle s’abat encore plusieurs fois sur mes fesses. Des coups de plus en plus percutants, tant et si bien qu’à la fin la douleur arrive, je serre un peu les dents. Elle teste mes limites et prend un plaisir évident à me voir grimacer. Elle délaisse la règle et frappe avec des mains. Des coups bien marqués qui reviennent à intervalles réguliers.
C’est le moment qu’elle choisit pour glisser ses doigts dans la raie de mon cul. Je les sens passer et repasser plusieurs fois tout près de mon anus. Ensuite, elle les retire et j’attends son verdict.
Elle me présente ses doigts à l’entrée des narines. C’est vrai que je sens plutôt fort. Machinalement, je détourne la tête.
Elle insiste un peu, m’obligeant à bien sentir.
Je la sens tout près de moi. J’ai l’impression qu’elle est à genoux derrière mon dos. Ses mains empoignent mes fesses, elles les écartent et je sens bientôt quelque chose de chaud et d’humide contre mon cul. C’est sa langue, elle me lèche. Elle lèche mon cul sale : c’est incroyable ce que je peux avoir honte à cet instant précis. Mais elle continue, sa langue parcourt ma raie et s’insinue dans les moindres interstices. Sa langue titille mon trou, son bout pointu cherche à le pénétrer.
Cela dure très longtemps. Je ferme les yeux, je l’imagine derrière moi, en train de me lécher le cul. Petit à petit, je me détends, mon sphincter se relâche, mon petit trou brun attend de plus en plus le retour de sa langue qui se fait de plus en plus osée et pénètre toujours plus loin dans mon antre. Ça me procure des sensations inédites. Mon sexe durcit d’envie et se redresse jusqu’à pointer fièrement. C’est alors que je sens un doigt humide pénétrer mon anus. Il me fouille, il me lime, il m’explore.
Je m’exécute.
Elle me branle le cul avec vigueur. Je suis tellement excité que je tarde pas à jouir. Je jouis à gros bouillon, aspergeant la cloison qui dégouline de mon jus.
Elle a délaissé mon cul. Elle me tend un mouchoir et retourne s’asseoir à la table.
Je lui tends le petit bout de tissu poisseux, elle le porte à sa bouche, elle lèche un peu partout, attirée par le sperme frais, sans trop faire attention à moi. Elle me tend négligemment le sac qui contient mes caleçons et sa petite culotte :
Je ferme la porte sans avoir droit à un seul regard.
J’ai rarement connu fille aussi cochonne. Je me demande ce que la prochaine fois, elle va pouvoir nous inventer. Elle ne m’a laissé aucune consigne particulière. Dois-je lui ramener de nouveaux caleçons sales ? J’ai l’intuition que tout ça c’est déjà du passé, qu’il ne faut pas recommencer. Il lui faut du nouveau, de nouvelles sensations fortes. Il faut que j’essaie de trouver quelque chose pour la surprendre. Trop de redites et elle va finir par se lasser. C’est bien la première fois que je me creuse autant la tête pour satisfaire une fille !
Je m’endors avec ses deux culottes sur son oreiller. Son odeur m’est déjà presque familière et désormais indispensable.
Le lendemain matin, je passe à la laverie, je fais une grande lessive. En revenant chez moi, j’évite de me branler. J’ai envie de tout garder pour elle.
Ce soir-là, je l’attends à la fac de Sciences. Elle a un cours Amphi B de 16h à 17h30, et puis ensuite plus rien. La veille, j’ai regardé discrètement son planning. Les étudiants sortent en masse. Planqué dans mon coin, j’ai peur de ne pas la voir. Peut-être a-t-elle séché le cours ? Non, ce n’est vraiment pas le genre. Elle ressort finalement avec une autre fille, elles se dirigent toutes les deux vers l’arrêt du bus et je les suis à distance. Puis, voyant qu’elle m’a repéré, je me décide à les rejoindre. Liane fait comme si elle ne me connaissait pas, elle parle négligemment avec sa copine :
Le bus vient d’arriver. Il est bondé. Nous restons debout. Je m’arrange pour me retrouver juste derrière Liane. Elle s’est agrippée à une barre centrale. Et moi, je tiens la même barre, je suis collé à elle, mon sexe bien dur contre ses fesses, je bande comme un sagouin. Elle, de son côté, elle n’hésite pas à tendre ses fesses vers moi.
Même si les filles parlent tout doucement, la conversation n’échappe nullement aux deux étudiants qui sont près d’elles. Probablement excités par les propos salaces, ils se mettent à les draguer.
Liane décline immédiatement l’offre mais sa copine ne dit pas « non ». Du coup ils se mettent tous les deux à brancher cette dernière et Liane s’en retrouve libérée. Les mouvements du bus accentuent les frottements de ma queue sur les fesses de mon amante. Je suis hors de moi. J’ai tellement envie d’elle que je me sens prêt à exploser.
Sentant mon émoi profond, à l’arrêt de bus suivant, Liane décide de descendre :
Je lui emboîte le pas discrètement. Je bande comme un sagouin. Elle tourne dans une petite rue et m’entraîne dans le couloir très sombre d’un immeuble assez sordide. Elle trouve un petit recoin, tout près de deux poubelles. Et, malgré l’odeur fétide, elle s’agenouille de suite devant moi. Elle dégrafe ma braguette et libère une queue bien dure qu’elle embouche aussitôt avec appétit. Ma queue sent-elle aussi fort que dans son histoire ? Je crains bien que non car j’ai pris une douche la veille au soir. Mais cela n’altère en rien son entrain. La voici qui s’active comme une malade dans le noir. Des gens passent en riant dans la rue et, au-dessus de nous, une porte claque. À chaque fois, je tremble un peu, mais cela ne l’empêche nullement de continuer son travail. Elle pompe de tout son cœur… Et voici que je jute. Elle ne boit pas mais elle s’asperge copieusement le visage avec mon jus gluant.
A peine le temps de me rafistoler et, elle, de se redresser, que nous entendons quelqu’un dévaler l’escalier. Nous courrons à perdre haleine et rejoignons la rue. Elle a encore du sperme plein les cheveux, sur le visage, un peu partout d’ailleurs, ce qui ne l’empêche pas de rire aux éclats…
A l’arrêt de bus, elle attrape un mouchoir dans son sac et je l’aide à se nettoyer.
Et elle rit, elle est heureuse.
Elle était en train de déguster lentement son thé.
Liane se resservit une autre tasse de thé.
Elle buvait lentement son thé, elle me regardait, le regard illuminé, mais je ne trouvais pas grand chose à répondre.
Cette fille là était complètement folle, mais c’était la meilleure chose qui me soit arrivée depuis bien longtemps !
Elle sourit, elle est radieuse, elle est sincère, elle tend ses lèvres vers moi, je pose ma bouche doucement dessus. Sa langue cherche la mienne et c’est bientôt une pelle d’enfer à laquelle nous nous livrons. Elle ferme les yeux et se donne sans ambages. Je l’attire vers moi, c’est une toute petite puce, maigrichonne, souffreteuse mais elle se donne à fond dans ce baiser fiévreux. Enlacés sur son lit, nous nous bécotons encore un très long moment, parfois de façon plus calme mais souvent avec ferveur. C’est si bon de l’embrasser, si bon de la serrer tout contre moi…
Beaucoup plus tard, elle s’est relevée :
Je n’étais pas spécialement rassuré à l’idée de ce que nous allions faire.
Elle a opté pour la grande cabine de douche, celle pour handicapés. Elle est rentrée sans refermer la porte et s’est de suite déshabillée en accrochant ses vêtements sur le porte-serviette. J’ai mis un peu plus de temps à rejoindre la tenue d’Adam. Elle me charriait, elle s’amusait en me faisant passer pour un pétochard.
Une petite touffe de poils soigneusement épilés, c’est tout ce qui lui restait. J’ai posé ma bouche sur son abricot, elle était toute juteuse.
Cela faisait maintenant un bon moment que je dégustais sa fève, avec toute l’attention d’un joyeux gourmet, quand j’ai entendu dire derrière mon dos :
C’était un grand barbu très brun qui nous regardait.
J’ai immédiatement reçu un jet de cyprine sur les lèvres. Cette petite salope venait de jouir, très excitée par l’intrusion de son voyeur.
Le gars, au demeurant fort sympathique nous a fait un petit signe de la tête et a cru bon d’ajouter un « Bonne bourre » de circonstance.
Il avait pris la cabine d’à côté, il était en train de s’agiter sous sa double. Peut-être en train de se masturber. Cette présence étrangère juste derrière la cloison semblait décupler l’excitation de Liane :
Elle se retourna, me présenta ses fesses, saisit ma queue et la glissa dans son fourreau.
Tant et si bien qu’un nouveau visage apparut bientôt devant la porte : Une jeune blonde, plutôt bien faite de sa personne qui nous regarda sans rien dire durant un bon moment, bientôt rejointe par une autre jeune femme, une métisse qui se joint à elle pour nous mater.
Les deux femmes étaient scotchées devant la porte. Liane les regardait, ses yeux révulsés tournés vers elles, hors d’elle-même, complètement débridée :
Mais je ne pouvais déjà plus résister. Complètement hors de moi, j’éjaculai en elle, libérant toute ma semence dans son ventre. De son côté, elle venait de jouir une bonne dizaine de fois, depuis que les deux filles nous regardaient. Elles constituaient un étonnant catalyseur à son orgasme.
Sans me laisser aucun répit, elle se désemboîta de mon vit, s’agenouilla dans la douche et emboucha de suite mon membre visqueux de nos sécrétions intimes, suscitant par la même occasion l’admiration à peine voilée de nos deux visiteuses.
C’est l’ouverture de la porte d’à côté qui eut raison de leur curiosité. Elles se retrouvèrent comme deux connes en face du grand barbu qui n’ignorait rien de ce qui se passait dans notre cabine de douche. L’une d’entre elles, probablement la petite blonde, se sentit obligée de fournir quelques explications vaseuses, avant qu’il ne lui laisse la place. Quant à l’autre, elle fila directement dans la cabine du fond où elle s’enferma sans rien dire.
On entendit le barbu sortir des douches en sifflotant, sans doute heureux d’avoir vécu cette bien curieuse expérience. Quant aux deux filles, Liane n’eut aucune pitié d’elles. Elle continua un bon moment à me pomper bruyamment puis quand il n’y eut plus rien à tirer de mon vit vidé de toute substance, elle ajouta très distinctement à l’intention de ces demoiselles :
Les autres, dans leurs cabines, devaient être blêmes.
Ceci étant dit, nous avons ramassé nos affaires et traversé le couloir dans le plus simple appareil, et sans même prendre une petite douche, laissant aux deux donzelles le soin d’imaginer la suite.