n° 10627 | Fiche technique | 14234 caractères | 14234 2551 Temps de lecture estimé : 11 mn |
23/07/06 |
Résumé: Un homme découvre la vraie personnalité de sa femme. | ||||
Critères: fhhh grp fbi extracon freresoeur anniversai cunnilingu fist fdanus uro | ||||
Auteur : Jean |
Avant toute chose, je précise que les faits rapportés ici sont véridiques, seuls les prénoms des protagonistes chargés de faire jouir Emilie ont été changés par soucis de discrétion.
Emilie est ce qu’on peut appeler une belle plante; brune aux yeux verts, 1m70 pour 58 kilos, de petits seins en poire, un ventre plat malgré deux grossesses et de belles fesses rondes.
Quant à moi, brun au teint mat, j’ai quelques kilos de trop, mais qui, aux dires de ma chère et tendre, sont agréables à regarder et à toucher. 1m80, 85 kg.
Nous nous sommes mariés après un coup de foudre et cela dure depuis plus de vingt ans, avec des hauts, des bas mais toujours avec tendresse, complicité et amour. Bref, une vie sans histoires.
Depuis très longtemps je fantasmais sur la possibilité d’offrir ma femme à d’autres hommes et je ne manquais jamais une occasion pour évoquer cette possibilité avec elle. Je ne voulais pas d’une liaison avec un autre homme, c’était plus sauvage que ça, plusieurs hommes, Emilie ma douce et tendre Emilie objet de plaisir…
Souvent en faisant l’amour à ma belle, je lui murmurais à l’oreille des propositions obscènes, je lui demandais si elle n’aimerait pas sucer un autre sexe que le mien pendant que je la pénètre, ou de façon plus crue, si elle ne voudrait pas sucer une belle bite pendant qu’une autre lui défonçait sa petite chatte. Evoquer ces actes plus proches de la baise pornographique que de l’amour avait sur Emilie un effet terrible, elle se mettait à bafouiller, son sexe se mettait à couler encore plus et je sentais les parois se distendre au point que j’en arrivais à imaginer que je pourrais y glisser la main.
Nous faisions l’amour assez souvent et j’imaginais qu’Emilie était satisfaite, que ces moments de plaisirs étaient suffisants. Je me trompais.
Mon anniversaire tombait le 3 mai, et donc, cette année, pendant les vacances de Pâques. Les enfants étaient chez leurs grands-parents, à cette occasion, ma femme me dit :
« Ce soir je te prépare une surprise, mais j’ai besoin de temps, il faudrait que tu ne rentres pas avant 20h30. » Pour moi cela ne posait aucun problème, j’acquiesçais.
En rentrant le soir je m’attendais à trouver la maison pleine de monde, ou encore une table dressée pour deux, ou ma chérie prête pour sortir dîner en ville. Rien de tout cela. Pas de lumière, pas de femme, pas d’amis, juste une enveloppe épaisse avec mon prénom inscrit dessus sur la table du séjour. J’ouvris l’enveloppe et me mis à lire les feuillets écrits de la main de ma femme.
« Mon amour,
Depuis si longtemps tu me parles de baise, de sexe à plusieurs, tu me vois parfois comme un objet sexuel que tu aimerais partager, tu sais combien ces mots peuvent être pénibles pour moi, mais aussi l’effet indiscutable qu’ils ont sur ma libido. Et bien voilà, c’est chose faite, je suis un objet sexuel. J’ai choisi quatre hommes, sélectionné quatre sexes qui vont me prendre et me reprendre, me faire jouir sans toi. Ces hommes pourront faire de moi tout ce qu’ils souhaitent, se vider en moi comme ils veulent. Tu trouveras dans cette enveloppe des tests HIV sur trois mois pour chacun d’eux.
Bien sûr, pour les convaincre il m’a fallu passer à la casserole comme tu dis si bien et ce fut très agréable, cela fait maintenant plus de six mois que je prépare ton anniversaire, mon chéri. J’ai été baisée par plus de dix hommes différents depuis, afin de trouver ceux qui seraient parfaits pour cette mission. Tu es cocu, mon amour. J’en suis heureuse, car j’ai découvert combien j’aimais le sexe et que tu ne pouvais seul me satisfaire. Je t’aime sans doute encore plus depuis cette découverte.
Pour te prouver que je suis très sérieuse, tu trouveras aussi dans l’enveloppe dix photos de moi nue, avec dix hommes nus différents. Je te laisse le soin de trouver ceux qui auront eu ma faveur.
Tu vas maintenant allumer la TV et le lecteur DVD . Toujours dans l’enveloppe, il y a un CD Rom, tu le prends et tu le places dans le lecteur DVD, tu peux maintenant regarder ta femme, la mère de tes enfants, se faire prendre, se faire défoncer, comme tu aimes à me le dire, en un mot jouir !
Je te souhaite un bon film, j’espère qu’il te sera aussi agréable à regarder qu’il m’a été à le tourner.
Je t’aime.
EMILIE. »
J’étais effondré, mais aussi passablement excité. Mon sexe était dur comme un morceau de bois. Je fouillai donc l’enveloppe pour en sortir tout ce qu’elle avait énuméré. Je trouvais les photos, elle n’avait pas menti, il y avait bien dix photos, avec des hommes nus et elle aussi, nue comme au premier jour, mais ce que je découvris alors sur les images me figea. Emilie, la bouche déformée par de beaux sexes, l’anus dilaté par des bites de taille très correcte, le vagin rempli par d’autres sexes, et sur une photo, un homme lui glissant sa main dans le ventre! C’étaient des impressions sur papier A4 de photos numériques ; sur chaque page, une annotation pour évaluer la performance ; je n’en pouvais plus, je sortis mon sexe et je me branlai sur les photos. Quelques secondes suffirent à me vider, mais mon sexe n’en devint pas plus mou pour autant.
Je continuai à fouiller l’enveloppe, et je sortis la liasse de tests HIV, puis le DVD. Je le glissai dans l’appareil, puis j’allumai le lecteur.
La première image était un plan fixe ; au bas de l’écran la date et l’heure, 03 mai 2006, 13h25 ! Emilie nue, sur la table de notre salle à manger, bras et jambes écartés. De son sexe coulait un épais liquide blanc que je reconnus comme étant du sperme ; ses seins étaient rouges comme s’ils avaient été giflés, les tétons étaient étirés et portaient des pinces spéciales. Quand je pense que ce matin j’ai quitté la maison à 13h00….elles n’a pas perdu de temps.
Puis l’image s’anima, je vis entrer dans les champs un homme que je reconnus aussitôt : c’était celui qui avait mis sa main dans la chatte de mon aimée. Puis trois autres qui avaient eux aussi déjà profité de mon épouse. Leurs sexes étaient épilés, de belle taille au repos ou presque. Elle se releva, le sperme qui se trouvait encore en elle s’échappa et fit une large tache sur la table. Elle attrape le sexe le plus proche et se pencha pour le sucer, la queue de l’homme se redressa, et elle dit à l’attention de la caméra : voici Phil. Et elle fit de même pour les trois autres hommes : Roger, Daniel, et David.
Une fois les quatre hommes ainsi bandés, elle se mit debout, se dirigea vers la caméra, saisit l’appareil et le retourna, et là nouvelle surprise : je découvris Annie, ma sœur jumelle, divorcée, aussi nue que tous les autres, je ne pus m’empêcher de regarder son corps plantureux, ses seins lourds, son sexe entièrement lisse, car Emilie parcourut de son objectif le corps de ma sœur. Sur l’intérieur des cuisses de longues traînées blanches faisaient état de l’activité réalisée quelques minutes avant. Mon sexe me faisait mal à force d’être dur, je me branlai à nouveau en regardant cette femme que j’avais l’impression de voir pour la première fois.
J’étais complètement abasourdi : ma femme et ma sœur, avec quatre hommes. Emilie tendit la caméra à Phil, lequel la saisit et devint caméraman, il filma les deux femmes ventre contre ventre, seins contre seins, qui s’embrassaient à pleine bouche. Emilie arrêta leur baiser, regarda la caméra et dit à mon attention : « Voilà mon Amour, j’avais besoin d’une personne de confiance, intime et discrète, pour filmer et peut être même participer à ce moment. C’est donc pour moi, pour nous, l’instant de te révéler ce que tu ignorais mon Amour, ta sœur et moi sommes très proches depuis longtemps, très longtemps. Nous n’étions pas encore mariées, ni elle ni moi, que nous étions déjà amantes. Si tu te souviens bien, c’est elle qui nous a présentés, et c’est parce que vous vous ressembliez tant à l’époque que je suis tombé amoureuse de toi. Ta gentillesse, ta tendresse et l’amour que tu me portes ont fait le reste, je l’aime, et je t’aime. Il était temps que cesse cette duperie. Pour toi maintenant, je vais vivre comme tu me l’as si souvent demandé, mais maintenant qu’Annie est seule, elle viendra vivre avec nous. La question n’est pas de savoir ce que vont penser les gens, c’est juste de savoir si tu sauras continuer à être l’homme ouvert et juste que tu as été jusqu’à présent. »
Phil continuait de filmer cette scène quasi surréaliste, je vis la main de ma femme caresser le ventre de ma sœur, ses doigts écarter les lèvres, entrer, aller et venir dans la fente et ressortir luisants et brillants de mouille et de sperme. Emilie lécha le tout en faisant un clin d’œil à la caméra.
Les autres hommes ne restèrent plus inactifs : l’un d’eux se plaça derrière Emilie, la fit se pencher légèrement en avant. La caméra se déplaça et vint filmer ce qui se passait dans le dos de ma belle. L’homme écarta les fesses avec ses mains, puis il posa le gland sur l’œillet brun qui n’est plus fripé, il semble bel et bien que ce dernier ait déjà servi aujourd’hui. Un autre homme s’approcha et à son tour posa les mains sur les fesses les tenant ainsi très écartées. Celui qui avait posé son gland plaça ses mains sur les hanches et serra les doigts jusqu’à ce que la peau devienne rouge. D’un seul coup, il s’enfonça jusqu’aux couilles dans l’anus de ma femme. Elle poussa un feulement digne d’une tigresse mais n’en bougea pas moins le bassin en arrière pour la sentir encore mieux, je connaissais bien sa façon de faire, j’en étais malade, moi qui pensais que je l’initierais au trio je bandais comme un malade en regardant les images qui défilaient sous mes yeux. L’homme s’activa un moment, puis très vite laissa la place à un autre homme qui à son tour pénétra ma femme encore plus sauvagement. Sa queue était sans aucun doute la plus grosse et la plus longue que je n’aie jamais vue en vrai, et Emilie semblait partir très loin jusqu’au moment où le premier enculeur vint présenter sa queue à la bouche de ma femme qui avala aussitôt le gland et suça ce sexe comme si sa vie en dépendait. La caméra bougeait, tressautait, une pensée fugace traversa mon esprit, « Annie est en train de se faire prendre, elle aussi par l’homme qui tient la caméra. »
Le premier homme continuait de pistonner le cul de ma femme, il s’arrêta un moment. Il s’allongea et lui demanda de venir se mettre sur lui, de dos. Elle fit ce qu’il demandait, l’autre homme s’allongea alors et vint lécher le sexe d’Emilie. Le dernier, qui jusque là n’avait pas bougé, vint alors présenter son sexe à la bouche de ma femme. Elle était là comme une marionnette, plantée sur un sexe par l’anus, avec une langue sur le clito et une bite dans la bouche.
La caméra se rapprocha, je vis maintenant la langue de l’homme qui écartait les lèvres luisantes de salive et de mouille. Emilie semblait en transes, elle avait du mal à sucer la queue qui était dans sa bouche. Elle gémit, cria parfois, mais ne chercha à aucun moment à fuir, à échapper à ce qui se passait en elle. L’homme continua à la pistonner par le cul, et celui qui léchait la branla en même temps avec trois doigts. Je le vis mettre un quatrième doigt dans le vagin de ma chérie qui coulait comme une fontaine sur la main de l’homme ; à aucun moment il n’était allé chercher de gel ou un autre moyen pour faciliter cette pénétration hors norme. Et puis la caméra se rapprocha à nouveau, et je vis les chairs de ma femme se distendre et avaler la main entière. Elle avait un sexe dans les fesses et une main dans la chatte. La main commença son mouvement lent et profond, puis de plus en plus rapide, tout comme la queue qui continuait à bouger. D’un coup elle se raidit et je perçus les spasmes qui annonçaient l’éjaculation, la main elle continuait à bouger de plus en plus vite, elle entrait et sortait entièrement maintenant, laissant le vagin béant entre chaque pénétration. L’homme continua et ferma ses doigts pour la baiser maintenant avec le poing. Emilie quant à elle, hurlait de plaisir et se contrôlait plus. Elle bougeait son ventre dans tous les sens pour jouir toujours et encore et d’un coup, elle se lâcha totalement. Elle faisait pipi sur la main de l’homme qui cessa lentement de la défoncer. La caméra remonta sur le visage de ma femme. Les yeux étaient éteints, mais remplis de larmes, les joues écarlates, son souffle rapide, elle pleurait. Sa jouissance avait été fulgurante. Le contre coup l’était tout autant. Nouveau plan large, l’homme retira sa main, laissant le vagin béant, la queue sortit lentement de l’anus en laissant couler une belle quantité de foutre, celui qui se faisait sucer, prit ma femme dans les bras et sortit de la pièce, laissant les autres seuls avec Annie.
Elle se tourna vers la caméra et s’adressa alors à moi : « Mon cher Jean, je ne suis pas désolée de t’apprendre ça ainsi, j’aime Emilie, et elle m’aime depuis si longtemps, tu devais finir par savoir. Pour ta gouverne, c’est grâce à moi si tu as pu épouser Emilie, c’est aussi grâce à moi qu’elle est devenue une amoureuse accomplie, car si tu te souviens bien, elle était plutôt godiche au lit. Enfin c’est grâce à moi qu’aujourd’hui elle pu franchir le pas et accomplir ce que tu viens de voir. Je vais maintenant à mon tour me faire mettre comme elle, pendant qu’elle est partie avec Phil qui va se faire un devoir de la baiser seul, hors de toute vue. Tu ne me verras pas comme tu l’as vue, elle, tout au moins pas aujourd’hui. Quand tu rentreras ce soir, tout sera rangé, propre et désodorisé. Tu nous trouveras dans la chambre, prêtes à recevoir ce que tu estimeras juste de nous donner. »
Sur ces mots j’ai vu les trois hommes restants s’approcher d’elle, et plus rien, elle avait éteint le caméscope. Ce que je ressentis n’avait d’égal que la confusion qui régnait dans mon esprit. Mon sexe était dur et me faisait un mal terrible, mon cœur et mon esprit étaient chamboulés.
Je me suis levé, je suis allé à la salle de bains, je me suis mouillé le visage, et je me suis dirigé vers ma chambre, j’ai ouvert la porte, elles étaient là toutes les deux, nues, couvertes de sperme, enlacées, endormies. J’ai pris le drap, que j’ai remonté sur leurs corps magnifiques. Sans faire d’autre bruit, j’ai refermé la porte et je suis retourné dans le séjour. Je venais de prendre conscience que ma vie allait basculer, qu’elle avait basculé.