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n° 10631Fiche technique38910 caractères38910
Temps de lecture estimé : 25 mn
25/07/06
Résumé:  Un jeune garçon hétéro découvre les plaisirs du sexe avec un homme qui va tout lui apprendre.
Critères:  hh hbi hplusag jeunes inconnu hsoumis cérébral vidéox hmast facial fellation anulingus hdanus hsodo init
Auteur : Pleomex  (Jeune homme 21 ans originaire de Lille)            Envoi mini-message
Juste pour ton plaisir

*DZIOUT*, me voilà dans le noir, mon PC vient de s’éteindre et je reste là, dans mon fauteuil à roulettes, la main encore barbouillée de mon plaisir solitaire, je sens le sperme passer les creux de mes phalanges et couler le long de ma cuisse, que c’était bon…

Aie, la lampe du bureau me mord les yeux, mais il me faut bien ça pour ne pas me cogner le pied dans le bordel qui traîne dans ma chambre, une chambre de célibataire qui passe de fille en fille, d’histoire foirée en histoire avortée. Juste le temps de passer sous la douche et de m’écrouler sur le lit, pas de drap, pas d’oreiller, il fait beaucoup trop chaud. Je me sens coupable et excité à la fois par ce que je viens de vivre, ce mec m’a fait me branler avec une vigueur que j’avais oublié depuis longtemps, juste avec des mots, des mots tendres et crus à la fois.

J’avais l’impression de sentir sa main me caresser, sa langue me titiller là où je n’avais laissé aucune fille égarer ses doigts, quel pied !

Puis ça me rattrape, ça me frappe en plein visage et me donne un début de nausée incontrôlable ; il m’a donné rendez-vous ! Et j’ai accepté. Oh mon dieu, ce mec habite à deux rues de chez moi et j’ai accepté d’aller chez lui demain soir. Quel con ! Mais à quoi je pensais ? Merde, je suis pas homo moi, qu’est-ce qu’il m’a pris bon sang, si mes potes l’apprenaient… Je n’ose pas l’imaginer. Pourquoi mon excitation ne retombe-t-elle pas ?

Mais bon sang, ça y est, j’ai joui, pourquoi tu ne me laisses pas tranquille ? Pourquoi j’ai encore cette chaleur dans mon ventre ?

J’essaie de me retourner dans mon lit pour m’éloigner de cette moiteur qui remplit l’endroit où je me trouve, qui me dégoûte et m’excite à la fois.

Bon sang je ne veux …. je ne veux … je ne…


"JE VEUX PAS !". Le choc est si fort que je ne vois d’abord que du blanc, j’émerge petit à petit et le sifflement dans mes oreilles s’estompe. Je me retrouve assis dans mon lit, le cul trempé. Merde, quelle heure il est ? 15 h, rien que ça …

Allez une bonne douche fraîche, ça va me faire du bien, j’y reste une bonne heure, puis me remets sur mon fauteuil adoré et pousse mon ordinateur pour qu’il se réveille lui aussi.

Je me rappelle de ma soirée d’hier, elle me gêne, comme un caillou au fond de ma pompe, mais que j’ai envie de laisser de côté, pour l’instant.

MSN s’ouvre, tiens Marjo est là, cool, allez j’engage la conversation, plusieurs fois je l’ai sentie chaude quand on se ballade en bande. C’est une des rares de notre groupe que j’me suis pas fait :



Ça y est, ça me saute aux yeux, tout se remet en place en une fraction de seconde, comme un élastique trop longtemps tendu. La photo juste en dessous de Julien, mon nom, c’est une bite en érection, ou plutôt MA bite. Aïe, mon con si tu veux t’en sortir sans trop de dégâts t’as intérêt à mettre le paquet :



Pathétique, elle se déconnecte sans même un au revoir, mon vieux tu viens de te dépasser sur la connerie, t’as atteint les hautes sphères, change cet avatar et va te pieuter, ça sera mieux pour toi.

Je m’endors sur le dos, la main posée sur mon sexe, un sommeil léger et sans rêves m’envahit…


*TRULULU* me voilà debout, le temps que mes yeux s’habituent à la blancheur de l’écran, je me rends compte qu’une formidable érection m’a poussé entre les jambes. J’ai encore les jambes flageolantes de m’être levé si vite, comme si on m’avait tiré un poil du cul pendant mon sommeil.


Le nom qui clignote en bas de l’écran me saute aux yeux ; "Pour Ton Plaisir" il n’y a pas de doutes, c’est lui, mon sexe se contracte encore plus, c’est mon rendez-vous de ce soir, faut-il que je clique ? ….


C’est plus mon sexe que ma tête qui appuie sur le bouton de la souris, le fait que je saute à peine du lit y joue aussi pour beaucoup, si j’y avais réfléchi à tête reposée, la suite des évènements aurait été complètement différente, j’en suis sûr.



J’y crois pas, il m’appelle par mon surnom maintenant !



J’ai peur de toucher le clavier ou de bouger encore la souris, de peur qu’il voit que je le lis, mon status affiche toujours Parti(e) dormir sur MSN, il ne doit pas se douter que je le lis. J’ai envie de tout couper, de tout oublier, mais je ne peux pas oublier la boule dans mon ventre…


J’entends la musique de Windows qui se ferme, j’ai fermé alors qu’il était en train de m’écrire, j’ai tout coupé sans même dire un mot à celui qui hier soir m’a donné une des plus intenses expériences sexuelles que j’ai connues.

Bizarrement je me sens bien, pas de remords, pas de regrets, une douche, voilà ce qu’il me faut.

Le seul vestige de sa conversation, c’est cette érection qui ne part pas, qu’à cela n’tienne, j’vais m’occuper de toi vite fait, tu vas voir !


Avec un peu de savon je commence à me masturber sous le jet d’eau assez froide, les yeux clos, j’essaie de penser à Marjo.

"Eh si ça se trouve mon pote, elle a aimé voir ta bite, elle a peut-être pris une photo et elle se touche dessus en ce moment", mon mouvement de poignet se fait plus précis et je commence à ressentir du plaisir, mais au lieu de voir Marjo et sa bouche à pipe, je vois un mec en train de me caresser le ventre, un mec qui me sourit mais dont je ne vois pas le visage. Ça m’effraie un peu, comme hier soir quand il est venu me parler et que j’ai tout de suite senti qu’il m’attirait. Mais j’ai envie, c’est tout ce que je sens, juste envie que ça continue et que ça se propage comme une traînée de poudre pour exploser les barrières qui m’empêchent de prendre mon plaisir, là, maintenant. Ma main gauche passe derrière ma cuisse et caresse ma fesse. Mon doigt n’a qu’une idée dans l’ongle, aller caresser l’endroit que je me suis toujours refusé.

"Merde mon gars, tu perds la boule !" Rien à foutre, c’est comme si chaque vague de plaisir venait recouvrir le sable de la raison, et qu’à chaque fois elle en emportait un peu avec elle.

Je sens le liquide chaud de ma jouissance monter, mais j’arrête net, alors que ma bite continue de pulser dans ma main serrée.


Je sors sans réfléchir de la douche, met un 507 qui me moule les fesses (je le réserve d’habitude à mes soirées de chasse en boîte) et un maillot moulant noir en stretch.

Je passe devant la glace pour mettre mes cheveux en place très vite et je me vois dans la lumière des lampadaires qui filtre à travers la fenêtre de ma salle de bains. Au lieu de me dégoûter, comme je l’aurais certainement pensé il y a à peine deux jours, je me sens bien, désirable, presque bandant.

Je sors, mets mes pieds nus dans mes baskets et sors de l’immeuble.

Le vent un peu chaud me fouette le visage et j’y sens une odeur de désir, palpable, moite, qui me donne déjà l’envie de prendre en bouche, quoi ? Je n’en sais rien…

Je marche vers sa maison, je la sens qui se rapproche et la bosse dans mon jean qui grossit, et à chaque pas je m’imagine un peu plus soumis, un peu plus femme, tout ce feu qui passe de ma tête à mon ventre me donne envie de gémir ou de pleurer, ou les deux. J’ai l’impression de laisser chez moi le Julien que j’ai été, et c’est bon, c’est tellement bon que j’ai envie de le dire aux quelques personnes que je croise.

J’arrive dans sa rue, déjà trempé, la chaleur est écrasante maintenant. Je sonne, j’attends des secondes qui me paraissent des heures, puis une très faible lumière filtre par des petits carreaux en haut de la porte du garage auquel je m’appuie. Apparemment, ce garage fait toute la largeur de sa maison.


Il ouvre enfin, mais il fait à moitié noir, je ne distingue que son corps éclairé par la lumière du lampadaire de la rue et son sourire, radieux…



Je sens la joie dans sa voix, mais aussi l’excitation, tout à fait contrôlée, à l’inverse de moi quand je m’entends dire :



Quel con, je suis tellement excité que je n’arrive même plus à parler correctement !



Je passe la porte qu’il referme derrière moi. Nous sommes alors uniquement éclairés par la lumière qui filtre de la pièce de derrière, une lumière très faible qui nous donne l’aspect d’ombres et semble jouer avec son anonymat. Je devine enfin son visage quand il tourne la tête comme pour mieux m’observer. Il est tout à fait normal, ne ressemble pas à l’un des pervers que j’avais imaginé rencontrer. Il a un visage qui me serait totalement passé inaperçu si je l’avais croisé dans la rue.


On ne parle pas, on reste ainsi à s’observer pendant plusieurs minutes, mais il voit forcément que mon regard n’est attiré que par son bas-ventre, je l’imagine tellement, même caché derrière ce pantalon, que je le vois.

Je n’en peux plus, je tombe littéralement à genoux et il comprend ce que je veux, il s’approche de moi et pose ses mains sur mes cheveux qu’il commence à caresser. Je ne vois plus que ça, la bosse encore petite qui s’approche de mon visage, ma bouche se met à saliver plus que de raison et ma langue passe discrètement sur mes joues.

J’ai honte d’être ainsi exposé à sa vision, honte d’être à genoux devant un mec à qui je n’ai pas dit plus de deux mots, et cette honte me rend fou, elle me ravage l’esprit et me gonfle de plaisir.


Mes mains s’accrochent au premier bouton de son jean …


J’ouvre enfin le carcan qui renferme l’objet de mon désir, la chose qui me fait plaisir et honte, envie et dégoût. Je déboutonne ensuite la braguette, je ne le sens pas dur, tant mieux, j’appréhende un peu de sentir un sexe trop dur et j’ai peur de ne pas savoir m’y prendre.

Je laisse sa braguette ouverte et sors délicatement son engin par l’ouverture de son caleçon. Il ne porte pas de boxers comme moi -tant pis - ; cette réflexion me fait prendre conscience que je n’ai rien enfilé sous mon jean. La voilà enfin cette bite, je l’ai enfin devant les yeux, flasque et molle ; je n’ose pas la toucher, de peur de mal m’y prendre, alors j’approche ma bouche tout doucement et l’ouvre en grand, penche la tête en arrière et la gobe en entier, je sens un goût un peu amer, un peu salé, qui au lieu de me rebuter renforce mon excitation. Sa main se referme sur mes cheveux coiffés en pic avec un peu de gel, et m’attire plus loin encore, me presse contre son bassin.

Ma langue tourne, fouille ce sexe tout mou, passe dans le prépuce et sort de ma bouche pour lécher ses couilles qui semblent se réchauffer.


Ses gestes sont durs mais à la fois tellement doux, je n’ai pas peur, je sens qu’il sait que j’aime me sentir un peu honteux, et il joue avec cela, il a bien compris qu’il lui fallait prendre le dessus pour me faire plaisir à moi. Il doit voir dans mes yeux cette brume et sent que je prends encore plus de plaisir que lui.

Ca y est, sa bite commence à gonfler, je la sens plus présente dans ma bouche, elle commence à taper au fond de ma bouche quand j’entame un va-et-vient dont il prend la mesure et qu’il accompagne d’une légère pression de la main.

Je m’affaisse totalement sur mes genoux, les bras le long du corps, la tête légèrement relevée pour qu’il puisse voir sa bite entrer et sortir de ma bouche. Il ne dit rien, il me sourit et je vois dans son regard un amour non feint, il me dévore des yeux non pas comme un pervers le ferait, mais comme un homme éperdument amoureux regarde sa femme.


Je me sens trou de désir, il gémit et moi aussi, au milieu des gargouillements et des bruits de succion que ma bouche exerce sur son sexe. Mon jean devient humide, je sens le liquide annonciateur de la pénétration s’écouler doucement de mon gland et s’étaler sur mon jean.


Son va-et-vient commence à me faire mal à la bouche, son sexe étant d’une taille assez imposante, je dirai 16 cm à vue de bouche. Il le voit et se retire immédiatement, me caressant la joue de sa main libre. Un léger filet de bave coule de ma bouche, certainement mêlé à un peu de sa semence. J’en ai envie, encore, j’ai envie de sentir. Je me suis toujours demandé ce que ça faisait de recevoir le sperme d’un homme sur soi, surtout lorsque mes conquêtes féminines me le demandaient.


Il a dû sentir que j’en voulais plus, car il se masturbe alors doucement à quelques centimètres de mon visage. Ça m’excite au plus haut point de voir ce gland s’approcher et s’éloigner de ma bouche maintenant en feu. Il accélère le mouvement et commence à gémir de plus en plus fort, à chaque passage ma langue sort le plus loin possible pour accueillir l’extrémité de sa hampe et son gland, puis le bout de sa main qui se retire aussitôt. Sa main s’est ré-agrippée à mes cheveux et c’est maintenant énergiquement qu’il s’astique.

Puis sa tête se baisse enfin et avec des yeux humides d’émotion :



Ces mots sont comme un coup de fouet pour moi, excité par le ridicule que cette situation m’inspirerait d’habitude et la force de ces mots alors qu’il va jouir dans ma bouche.


Le premier jet est trop puissant alors que son gland est à peine à trois centimètres de ma bouche, il passe au-dessus de mon visage, mais la deuxième salve, moins puissante, atterrit à cheval entre ma langue et ma lèvre supérieure. Il me caresse la joue alors que le troisième tombe sur le bout de ma langue.


Je n’ai pas encore senti le goût du sperme, alors comme je sens que celui-ci va aller de moins en moins loin par la suite, j’engouffre totalement sa bite. Le contact avec mon palais est exquis et elle glisse délicieusement au fond de ma bouche. Bloqué ainsi, je sens quelques soubresauts de son sexe ainsi que les derniers jets s’effondrer presque dans ma gorge.

Le goût m’envahit alors, pas bon comme le serait un bon plat ou une glace mais bon d’excitation, de savoir que c’est son jus, alors je recommence ma succion, pour ne pas en perdre. Je sens la chaleur qui a envahi ma bouche me donner le tournis, mon jean commence à littéralement suinter alors que je n’ai toujours rien fait, et je me rends compte que c’est son sperme qui coule de mon menton sur ma cuisse droite.

En fermant les yeux, lorsqu’il se retire, j’avale le mélange de salive et de sperme, le temps de réaliser ce qui m’arrive, je me retrouve le visage contre le carrelage frais du sol, anéanti, écroulé sous les émotions qui m’ont submergé pendant ces quelques minutes qui m’ont paru des siècles de plaisir…


Je le sens agité mais confiant au-dessus de moi, il m’agrippe fermement en dessous des bras et me porte comme si j’étais un enfant, je ne m’étais pas rendu compte à quel point il est musclé.

Je me sens posé sur un canapé, allongé délicatement, et il tire une couverture sur moi ; j’ai envie de lui dire que ce n’est pas la peine, que j’ai déjà chaud, mais rien ne sort de ma bouche encore endolorie.


Avant que mes yeux ne se ferment je remarque que sur le mur derrière moi est projeté un film où deux hommes s’embrassent… et je sombre …


Je me sens bien, je me sens détendu, je n’ai pas envie de bouger, j’entends du bruit tout autour de moi, je me sens émerger d’un endroit où j’ai envie de rester, où tout est calme.

Les bruits se transforment en gémissements, je sens une grosse chaleur sur mon bas-ventre, mais je n’ai pas envie d’ouvrir les yeux, je veux profiter. Mais je me sens attiré par la réalité, et je sens un coulissement sur mon sexe, un coulissement très pur, sans accroc, un aller-retour qui me donne l’impression de prendre une fille, mais cette idée me déplaît alors je la mets de côté, je me décide à ouvrir les yeux et ce que je vois me saute aux yeux.


Un mec suce une bite énorme sur le mur blanc en face de moi, c’est un film gay qui passe sur un projecteur. Alors mon regard se baisse et je vois mon homme en train de me masturber lentement, il me sourit quand il me sent me relever



J’ai encore la bouche pâteuse et je sens le goût du sperme qui n’a pas l’air de vouloir me quitter, tant mieux … Je suis totalement nu et ma tête repose sur le canapé, je n’ai pas encore entièrement émergé.

Son mouvement de main me berce, me fait monter, mais je n’ai pas envie de jouir, oh que non, de peur que tout retombe comme un soufflé resté trop longtemps au four.

Je n’ai pas envie qu’il me suce, c’est mon homme, et je pense qu’il l’a compris car sans me lâcher il s’approche de moi. Lui est encore habillé, mais n’a plus le haut, j’ai envie de caresser ses pectoraux mais la force me manque, mon bras s’écrase mollement le long du canapé. Il sait que je suis encore amorphe, alors il se met à genoux et me présente son sexe, mais je ne le vois que lorsque mes yeux se rouvrent, il bande déjà un peu, sa bite est à l’horizontale et il sait ce que je veux, alors il s’approche.


Je n’ai qu’à ouvrir la bouche pour engouffrer son objet de désir…



Il se lève, passe derrière le bar qui lui fait office de cuisine et me propose un whisky-coca que j’accepte d’un geste de la tête. Il me le sert, bien dosé d’après le temps pendant lequel j’entends le premier écoulement de liquide.


Il s’approche de moi et me le tend. Je porte le verre à ma bouche et laisse le liquide bouillant parcourir tout mon œsophage, le brûler puis me remonter à la tête, comme une drogue trop puissante qui ne veut pas s’arrêter là et prend d’assaut mon cerveau. Le verre est grand, mais ma soif me pousse à l’avaler d’une traite.



Son sous-entendu me fait pouffer et je manque de m’étouffer avec la dernière gorgée



Puis d’un élan commun, nos têtes se tournent vers le mur où est maintenant projetée la partie de jambes en l’air des deux protagonistes qui se léchaient il y a quelques minutes. Celui qui se fait enculer bande et son sexe est énorme, il se caresse en même temps. Celui qui le prend n’a pas un sexe moins impressionnant, et ça me fait peur tout d’un coup. Il doit s’en apercevoir et comme pour répondre à mon inquiétude, il me caresse tendrement le visage, me faisant fermer les yeux, il est debout face à moi, qui suis assis et qui ai de moins en moins envie de me recoucher. L’alcool fuse dans mes vaisseaux sanguins et envoie des signaux affolés à mon cerveau, j’ai le sexe en feu et maintenant, ses caresses sur mon visage m’attisent.


Il glisse son doigt dans ma bouche, je le suce avidement et je le sens se rapprocher, il passe son sexe sous sa main et fait rentrer sa bite dans ma bouche, tout en retirant le doigt. L’alcool qui imbibe encore ma bouche doit lui faire un bien fou car je le sens se raidir de plus belle. Ma tête avance et recule sur sa bite, maintenant un peu rouge, qui disparaît dans ma bouche et ses caresses se font maintenant plus pressantes. Ça y est, je ne bouge plus, il a pris le dessus, il me baise doucement par la bouche, puis s’active plus rapidement, venant faire buter son gland contre le fond de ma gorge. Je n’en peux plus, ma main trouve le chemin de ma bite et s’active dessus, doucement mais efficacement. Il m’arrache mes premiers gémissements de plaisir et je sens sa verge se gonfler. Il se retire et rentre comme dans du beurre, comme si ma bouche était taillée aux dimensions exactes de son sexe, on s’emboîte parfaitement, sans accrocs.


Il gémit de plus en plus fort et je sens qu’il va jouir, ses bourses, que je malaxe dans mon autre main, commencent à se raidir et à avoir des spasmes. Oh oui, oh oui ! J’en ai envie, encore ! Cette sensation chaude dans ma bouche, son jus qui m’inonde et coule même au-delà de ma gorge, directement au plus profond de moi. Mais non, je n’ai pas envie que ça se finisse comme ça ! J’en veux encore ! Si on finit là, ce sera terminé pour la soirée, j’en suis sûr !

Il sent mon appréhension et mon désir mêlés et pour me rassurer me murmure :



Cette phrase à un effet immédiat sur mon désir, l’alcool qui donne déjà un avantage certain à mon envie sur ma raison laisse passer cette vague de folie qui s’empare de tout mon corps. Je sens mon esprit répéter à tue-tête qu’il en veut, qu’il ne veut que ça, encore et encore, jusqu’à plus soif.


Il accélère, accélère encore. Mes yeux, déjà partiellement déconnectés de mon cerveau par le plaisir se portent sur l’écran derrière nous. Je vois un des deux garçons la bouche ouverte pendant que l’autre se masturbe frénétiquement au-dessus de lui. Puis il s’arrête. Tout d’un coup, sans prévenir, à l’entrée de ma bouche, il s’enfonce tout doucement jusqu’à buter au fond, et je l’entends gémir, je sens ses mains se raidir sur ma nuque. Ça y est, je sens le premier spasme, comme une lame de fond partir de ma langue et arriver jusqu’à ma gorge. La première giclée de sperme entre en force au fond de ma bouche et m’inonde les yeux de larmes, comme quand on met son doigt trop loin, je réprime le haut-le-cœur et savoure la deuxième qui arrive et s’ajoute. Il sort alors rapidement sa queue de son antre et la pose sur mon menton, le troisième et le quatrième jet se répandent loin sur mon visage, pendant que je sens celui dans ma bouche descendre sur ma langue. Le reste m’apparaît totalement sans importance, je savoure ce qu’il me donne et m’allonge tout doucement dans le canapé, sans avoir omis auparavant de pomper une dernière fois son dard tout rouge… Quel pied… Oh merde, en m’allongeant, je vois que je me suis fait jouir… Tant pis, ma main déjà humide de ma semence récupère un peu de sperme sur mon visage et l’accompagne dans ma bouche.


Il est superbe, je le vois d’en-dessous et si je ne dis pas qu’il est beau comme pourrait l’être une superbe fille, il a un charisme et une assurance qui me font chavirer, qui me donnent le tournis. Il me sourit et me laisse fermer les yeux.


Mais je le sens s’approcher de moi, de mes jambes, et s’asseoir sur le canapé. Je comprends ce qu’il veut, j’ai peur. Et il doit le sentir, car il me caresse les jambes, des pieds jusqu’aux cuisses. Je dois avoir l’air d’un bébé pour lui avec mon doigt dans la bouche, vestige de mon plaisir d’il y a à peine une minute.


Puis il se baisse, m’embrasse l’intérieur des cuisses et me place un coussin sous les fesses. Je sais ce qu’il veut faire, je le sais et pourtant je sens déjà pointer la prochaine érection, prémices d’un plaisir que je sens déjà intense …


Je ne me suis pas endormi, je sens ses mains jouer avec mon corps, le parcourir jusqu’à mon cou qu’il caresse lentement, puis mon torse qu’il lèche jusqu’à titiller mes tétons que je sens de plus en plus sensibles. Un endroit pourtant que je croyais sensible uniquement chez les femmes. Mon esprit essaie de se reconnecter à la réalité de ce qui se passe en ce moment, je sens le tabou essayer de pénétrer mon désir pour que je me rende compte de ce qui m’arrive, mais je m’en fous, au lieu de le pénétrer il glisse dessus, et je me sens plonger à nouveau dans le bien-être ressenti jusqu’ici.


Ses mains me quittent, et c’est un peu de moi qui m’en vais avec elles. Je les veux sur mon corps, encore et encore. Je l’entends prendre quelque chose sur la petite table devant le canapé, je capte les gémissements de l’homme que je devine en train de se faire sucer sur le mur projeté, ils m’excitent encore un peu, et je me prends à m’imaginer entre ses jambes, léchant son sexe gorgé et prêt à exploser…


Je sens un liquide couler sur mon ventre, quelque chose de chaud et gluant, j’imagine d’abord qu’il vient de me jouir dessus mais non, c’est un parfum différent, je me risque à ouvrir les yeux et aperçois une petite bouteille de laquelle il renverse une sorte d’huile. Son parfum m’enivre, ça sent les épices, les fleurs, l’homme, la chaleur, la sueur. Je n’arrive pas à tout reconnaître, mais cette odeur me remplit la tête, je ferme les yeux, et alors un jet vient mourir à la base de mon cou. J’ai compris qu’il remue la bouteille pour la faire gicler, jouant toujours avec mon désir. Il en met plus que de raison et dans le noir, je l’imagine en train de jouir tout son plaisir au-dessus de moi, de m’envoyer son foutre pour arroser sa belle plante, pour prendre soin de moi.


Sitôt fini de m’asperger, je sens ses mains se poser sur moi et étaler cette huile avec une douceur infinie. Il est doux, je commence à le savoir, et pendant ses caresses il m’emmène avec lui, loin, sur un bateau ou en voiture. Il nous emmène là où nous seront seuls, où personne ne nous verra, il m’arrache à ce monde et bâtit le notre, le monde parfait où je pourrai dormir dans ses bras…


Il me tire de mon rêve en s’allongeant sur moi, je sens son torse glisser sur le mien et son sexe forcer mes jambes à s’écarter. Il est plus grand que moi, et lorsque sa bouche se retrouve au- dessus de la mienne, je sens son souffle s’engouffrer dans ma bouche entrouverte, il ne bouge pas, certainement attendant que je l’embrasse. Je ne sais pas quoi faire, voler ce baiser serait me remettre totalement en question, et je sens la raison cogner à ma porte, me supplier d’arrêter ce jeu avant qu’il ne devienne incontrôlable. Je la ferme à double tour et me mords les lèvres



Il ne se le fait pas dire deux fois et approche sa bouche. Ses lèvres entrent en contact avec les miennes et je sens sa langue chercher la mienne. Je goûte sa salive, je me laisse fouiller dans un baiser qui dure peut-être quelques minutes, pour moi ce sera des heures. Ses mains passent dans mes cheveux et il joue à me mordiller les lèvres, j’ouvre les yeux, on sourit tous les deux.


Il redescend et son corps glisse comme un savon, il m’enduit partout, ses doigts voyagent partout, sauf sur mon anus, qu’il semble réserver pour après. Ahhhh ! Quel monstre de me faire languir ainsi… Je sens le canapé en cuir glisser sous moi lorsqu’il me retourne, fermement, mais avec douceur. Il reprend son jeu et me masse partout. Mon sexe dur me gêne sous moi, mais il glisse contre le cuir et commence à me donner du plaisir.


Je suis enfin huilé partout, il le sait et je sens ses gestes légèrement plus pressants, il insiste alors sur la raie de mes fesses, il la parcourt plusieurs fois de bas en haut avec le plat et le côté de sa main. Chaque fois qu’il passe sur mon petit trou, je sens une petite vague de plaisir remonter jusqu’à ma tête. Il se penche alors et je sens que sa langue glisse entre mes fesses pour lécher mon anus, il la passe plusieurs fois de haut en bas et cherche à en faire le tour. Mes mains attrapent alors mes fesses et malgré l’huile, j’arrive à les écarter légèrement. Il ne lui en faut pas plus, sa langue plonge et tente de forcer mon intimité, je la sens pénétrer, puis ressortir, et recommencer ce petit jeu plusieurs fois. Je sens une légère gêne au début, puis finalement une sensation étrange, empreinte de désir la remplacer. Ses mains remontent le long de mes cuisses et viennent s’ajouter à ce petit jeu.


Je sens l’un de ses doigts s’enfoncer lentement dans mon cul, puis remonter, puis reprendre son va-et-vient. Ça y est, le plaisir, bien que diffus, me gagne et mon érection perd de la vigueur. Comme s’il l’avait senti, l’une de ses mains me quitte et glisse le long du cuir jusqu’à ma queue qu’elle enserre et fait coulisser.


Mon premier râle arrive, à moitié étouffé par les petits gémissements que je ne cesse de pousser, un râle presque timide.


Puis son doigt se retire. Enfin. Je veux la suite, je trépigne, comme un gosse qui attend que sa mère lui déballe le bonbon et lui donne. Je sens mes fesses se lever, puis sa main me re-plaquer contre le canapé



Ca m’arrache un soupir, de plaisir, d’impatience. Allez, je t’en prie, mon homme, prends ta femme, ne la fais pas attendre. L’idée d’être sa femme m’embrase, me rend dingue, qu’il me considère comme sa conquête, son objet de désir. Je sens ses yeux sur moi, ou plutôt sur mon cul qui doit briller grâce à l’huile avec laquelle il m’a massé. J’ai l’impression qu’il m’engouffre, ses mains m’attrapent brusquement les fesses, ce qui me fait pousser un petit cri de douleur et de plaisir. Il les écarte, doucement mais fermement, et je sens mon petit trou qui résiste, qui résiste malgré les signaux de mon cerveau qui lui demande d’accueillir la queue de mon homme.


Puis il se baisse, et enfin je sens son gland caresser la raie de mon cul dans toute la hauteur, puis lorsqu’il passe sur mon trou se faire plus insistant. J’en veux, autant qu’on puisse envier quelque chose avant de devenir fou. J’en veux plus que tout. Mon oreille capte les sons de claquement de fesses d’un autre mec qui se fait enculer sur le mur, merde pourquoi lui ? Moi aussi il m’en faut !


Mon esprit perd pied, je ne sens plus rien d’autre que sa bite qui me titille. Puis enfin, je le sens pousser, et son gland s’engouffrer d’un coup, comme aspiré, alors je pousse moi aussi pour l’aider. Je ne sens plus de douleur, l’envie écrase tout, alors il progresse dans mon cul, sans s’arrêter, concentré, je peux sentir ses yeux apprécier le spectacle. Et il cogne enfin contre mes fesses, toujours à genoux au-dessus. J’imagine que la position doit être douloureuse pour lui, malgré son râle de plaisir qui me fait sourire. Alors je me relève doucement, pour qu’il me prenne en levrette. Ah, je sens tout, les nervures de sa bite, ses couilles qui me tapent les fesses, ses mains qui m’agrippent comme pour éviter de tomber, comme pour me garder au plus près de lui.



Il commence alors son va-et-vient dans mon cul, d’abord doucement en poussant de longs soupirs, puis de plus en plus vite, me repoussant puis m’attirant à lui, comme si j’allais partir, alors que mon envie c’est qu’il me retienne.


Je ressens ses assauts comme des vagues de plaisir qui échouent sur mon cerveau endolori. Pas de douleur, pas de crispation. Ça glisse, ça s’emboîte parfaitement en moi, sans accrocs. Il me baise maintenant, très vite, très fort, je glisse presque sur le canapé, il n’y a pas de frottements, juste sa pénétration, mes yeux se troublent, je ressens un plaisir nouveau, très pur. Ce n’est pas mon sexe qui me fait du bien, c’est mon cul, juste lui, très fort, je n’ai jamais ressenti ça.


Puis il se retire brusquement, m’arrachant un soupir de peine, de tristesse de ne plus le sentir en moi. Il se lève et me demande de le suivre ; j’ai du mal à tenir debout, alors il me porte presque, puis me pose les mains sur le mur où passe le film. J’ai la main droite sur la jambe de l’acteur qui se fait prendre et crie de bonheur. J’ai les yeux juste en face de la bite de l’homme qui rentre et sort dans le cul du premier. J’ai l’impression d’être avec eux, lorsque je sens à nouveau la bite de mon homme à moi me pénétrer. Il m’écarte les jambes et reprend sa besogne. J’ai du mal à me stabiliser, alors il me soutient. Mon sexe est en érection et sa bite pulse, je le sens près de la jouissance…




Coup de fouet pour son cerveau, il n’arrête pas pour juter dans mon cul, mais ressort rapidement entre deux assauts et n’a pas besoin de se masturber, je sens le premier jet de sperme atterrir dans mon dos et couler immédiatement le long de ma colonne. Quel bonheur, il rapproche sa bite de mon trou encore ouvert et déverse les autres salves autour de mon anus, sur mes fesses. Il tremble, je le sens, et le contact de son sperme tout autour de mon trou du cul encore endolori, qui commence à rentrer dans ce gouffre béant, me rend dingue. Il l’étale avec sa queue, puis la rentre, lubrifiée par son sperme. Je ne sens que le glissement. Mais il pousse tellement que mes mains sur le mur glissent et mon visage se colle à celui-ci. À quelques centimètres de ma bouche, je distingue encore la pénétration du film projeté. J’ai envie de pouvoir lécher cette bite qui s’affaire, et je suis frustré que ce ne soit qu’une projection, dommage, si je pouvais être rempli par les deux trous.


Il comprend que je profite du moment, et je sens sa bite ramollir dans mon cul ; alors il passe sa main sur le côté et commence à me masturber avec vigueur. Une des miennes quitte le mur et masse la base de sa queue et joue avec ce qu’il reste de foutre autour. Ma langue sort de ma bouche et passe sur mes lèvres, comme pour accueillir un homme imaginaire qui se tiendrait là à se branler pour se vider sur elle, pendant que le sexe de mon homme durcit à nouveau, prélude d’un nouveau jeu dont il me réserve la surprise. Cette vision m’emporte et je jouis le long de sa main, sans bruit, en me mordant les lèvres comme pour atténuer le plaisir qui devient trop intense.


Il me laisse me calmer et sens que je vais tomber bientôt. Il sort de moi et me conduit sur le lit, derrière une porte coulissante au fond de cette grande salle où je me suis fait dépuceler.

Je m’assois sur le bord et ferme doucement les yeux, il se rapproche et me caresse les cheveux, tendrement. Je commence à fatiguer, mes fesses me font mal, le contact doux du lit me pousse à m’endormir, c’est injuste. Tant de bonheur en seulement quelques heures, assez pour me remettre en question. Mais je n’en ai pas le temps, sa bite force l’entrée de ma bouche à moitié ouverte et il se branle dedans, ni plus ni moins.


Cette sensation m’est maintenant familière et je sais comment le faire jouir plus vite, ma langue s’affaire autour de son gland, je n’ai plus la force de le caresser, alors je le ferai jouir comme ça, sans artifice.

Mon érection revient, mais ça ne m’importe plus, c’est sur son plaisir que je concentre le peu d’attention qu’il me reste, je veux qu’il se souvienne de cette dernière éjaculation comme le feu d’artifice de cette soirée.


Ses mains sont à plat sur mes joues et pressent, certainement pour augmenter le plaisir, pour qu’il retrouve l’impression de m’enculer, et à nouveau j’ai l’impression de n’être plus qu’un trou, comme lorsqu’il m’a accueilli dans son garage.


Il me repousse et m’allonge sur son lit, me remonte et m’appuie la tête sur deux oreillers d’un rouge profond, très doux, qui m’invitent au sommeil. Il branle maintenant au-dessus de moi. Je vois ses yeux briller, et sa main astiquer sa queue encore mouillée de ma salive. Quel bonheur, j’ai envie de m’endormir sur cette vision, mais j’ai envie de le voir éjaculer. Je ne peux plus parler, mais il doit le lire dans mes yeux, ses genoux de chaque côté de mes épaules se resserrent, les spasmes que j’ai déjà ressentis plusieurs fois reviennent, se transmettent par le matelas et ma peau, ma bouche s’ouvre, elle ne peut faire que ça, et ma langue passe une fois de plus sur mes lèvres, puis sort un petit peu, pour ne pas en perdre.

Sa tête se renverse en arrière



Il arrête son mouvement de main et ne bouge plus, je vois la première coulée de sperme tomber, presque à la verticale et s’écraser sur ma langue, le reste ne va pas plus loin. Quelques gouttes se perdent sur les oreillers, liquide d’amour blanc sur le rouge sang des taies, mais presque tout son sperme vient emplir ma bouche. Il y en a trop, ça semble durer plusieurs minutes, alors j’en repousse avec ma langue et il coule le long de mes deux joues, comme des larmes, des larmes parce qu’il vient de me dire :


« Je t’aime. »


Je m’endors ainsi, en pensant à ces deux mots magiques, aux montagnes de plaisir qu’il m’a donné, je dors d’un sommeil profond.


Je t’aime aussi.