Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 10635Fiche technique19274 caractères19274
Temps de lecture estimé : 12 mn
26/07/06
Résumé:  Dans la chaleur d'une boite de nuit, Alice va devoir choisir entre son statut d'épouse et ses pulsions charnelles. A moins que...
Critères:  fhh couple couplus extraoffre copains boitenuit danser volupté revede voir fellation cunnilingu anulingus pénétratio double sandwich fdanus fsodo
Auteur : Sweetsoline      
Alice, une émotion certaine

Comme le disait je ne sais plus qui : « Cette histoire est une histoire vraie, puisque je l’ai inventée de bout en bout ». Alors disons qu’elle mêle rêves inachevés, fantasmes tout juste effleurés et envies partagées. Partagées parfois avec des personnes bien réelles, qui se reconnaîtraient probablement au fil des dialogues et des situations. Mais s’il doit y avoir quelque chose d’authentique dans cette histoire, c’est bien le constat suivant : quand une jeune maman, désirable et sexy, commence à faire entendre qu’elle se laisserait bien aller à des expériences d’un genre inédit, il faut la croire. Vraiment. La question de savoir si elle est capable d’assumer ses propos est caduque, voire puérile, en de telles circonstances. La réponse est oui, définitivement. Et c’est ce qui distingue les jeunes mamans des petites filles. Alors jeunes papas, sexy ou pas, vous ne pourrez plus faire ceux qui ne savent pas.




Ce soir-là j’étais sorti danser avec un couple d’amis, Alice et Fred.


Nous entrons dans une boîte branchée, jeune et sympa. La musique est forte, les spots aveuglants. Nous traversons tant bien que mal la foule agglutinée à l’entrée pour se diriger vers la piste. Au centre, un essaim de minettes se trémousse sans retenue. Nombrils à l’air et tétons dressés, elles sont toutes plus affolantes les unes que les autres. Je jette un œil aux alentours pour m’assurer que je ne loupe rien. Mes amis rigolent :



Je fais mine de rien et me mets à danser en souriant. Ils m’emboîtent le pas. Je plonge dans la musique et brûle mon énergie au rythme des décibels.


Deux heures, la salle est pleine. Je commence à accuser le coup. Trop serré, je ne peux plus me défouler librement. Alice et Fred sont retournés s’asseoir il y a un moment. Je décide de les rejoindre. Ils m’attendent avec une bouteille de vodka dont je me sers une large dose, puis une autre. Sur ce, ils commencent à se bécoter, tout en se parlant à l’oreille et en pouffant de rire. Je leur demande si je gêne, ils me suggèrent de les suivre à nouveau sur la piste. Maussade, je préfère me resservir un verre. Affalé sur la banquette, je les regarde se lever et s’éloigner, sans rien perdre de la vue en contre-plongée que m’offre la courte jupe d’Alice. Tout en haut, dans la zone d’ombre où se perdent ses cuisses, on devine la bande sombre de ses dim-up. J’ai bien fait de rester assis.


Le temps passe, il est bientôt quatre heures. Depuis tout à l’heure, je n’ai pas débandé. Mes amis semblent s’éclater alors que je tourne et retourne sans cesse des visions de paradis perdu. La lumière des spots rend Alice encore plus sensuelle. J’ai les yeux rivés sur elle. Les flashs des stroboscopes projettent un diaporama permanent de ses formes en mouvement. Elle rejette la tête en arrière en se passant les mains sur le corps. Ses gros seins ballottés se découpent sur fond multicolore, balayés par ses longs cheveux noirs. L’effet est saisissant. En contre-jour, on l’imagine sans peine à moitié nue. Je savoure longuement ces images, ce qui n’arrange en rien l’état de ma braguette.


L’alcool commence à faire effet et bientôt un flot de pensées interlopes m’assaillit. Elle a un cul d’enfer, une paire de seins à couper le souffle… et pour couronner le tout, elle danse comme si c’était la dernière de sa vie. Je ne voudrais pas jouer les fins psychologues, mais si elle n’est pas en train de mouiller sa culotte, c’est à ne plus rien y comprendre. C’en est trop pour mes nerfs fragiles. Je me lève pour danser et me fraie un passage sur la piste. Je me retrouve très vite derrière elle. Trop absorbée par la danse, elle ne m’a pas vu arriver. En fait, on y voit bien mieux d’ici. Sans retenue, je contemple son cul moulé dans une jupe manifestement trop petite. C’est plus causant que tous les discours, et j’ai toujours aimé la conversation.


Le rythme se calme. Tout en continuant à danser, elle vient se coller à Fred comme une chatte en manque d’affection et se met à se tortiller de manière de plus en plus suggestive. N’y tenant plus, je m’avance un peu dans son dos jusqu’à la frôler à chaque mouvement. Mon souffle se mêle à l’odeur de ses cheveux. Elle remarque alors mon petit jeu. Tout en continuant à danser elle me lance un regard amusé par-dessus son épaule :



Elle n’est pas dupe, ça tombe bien. En guise de réponse, je la serre un peu plus et l’embrasse dans le cou, en laissant glisser mes lèvres humides sur sa peau granuleuse. Elle me laisse faire sans se dérober. Penché sur son épaule, mon regard plonge sans retenue dans les profondeurs de son décolleté somptueux. La naissance de ses seins me fait l’effet d’une promesse. Jamais je n’avais eu envie d’elle comme ça… Je préfère me remettre à danser pour me calmer. Mais c’est plus fort que moi et je reviens la coller, me frottant à sa croupe qui ondule au rythme de la musique. Très rapidement elle ne peut plus ignorer les pensées qui m’animent. Au lieu de s’effacer comme je l’imaginais, elle creuse les reins et se cambre. Je ne m’attendais pas à une réaction si compréhensive. Une fois ma braguette bien comprimée contre ses fesses, elle imprime à son cul un subtil mouvement de rotation. Un regard alentour me permet de constater que personne ne se soucie de notre manège. Fred semble plutôt amusé de voir sa douce et tendre se laisser aller de la sorte. Je serais curieux de croiser son regard, mais elle évite soigneusement de se retourner. Enfin, si elle n’a pas protesté jusque-là, j’ose imaginer qu’elle sait ce qu’elle fait.


Peu importe, ce n’est pas vraiment le moment de se poser des questions. Je pose mes mains sur ses hanches, puis je les remonte lentement jusqu’à la taille en glissant sous le chemisier. Le bout des mes doigts effleurent sa peau. Elle est douce, douce… Je me promène sur le ventre brûlant, le nombril. Pas de réaction. J’ai une envie folle de lui caresser les seins. Reste à trouver une idée pour accéder en toute discrétion à une partie aussi en vue de son anatomie. Et là je cale un peu. Alors tant pis. Tandis que je garde une main collée à son ventre, l’autre entreprend une lente et délicieuse ascension vers la chaleur des nichons. À peine ai-je effleuré la dentelle gonflée de son soutien-gorge, qu’elle se retourne brusquement. La récréation s’arrête net.



Je reste sans voix. Heureusement Fred, un peu déconcerté par cette intervention, tente de calmer le jeu :



Fred se penche alors sur son épaule et lui chuchote un truc à l’oreille en lui mettant une main aux fesses. Puis il la prend par la main et l’entraîne sans prévenir à l’écart de la piste. Elle semble un instant résister, puis lui emboîte finalement le pas. Perplexe, j’hésite à les suivre. Mais le regard étrange qu’elle me lance en s’éloignant m’incite à en savoir plus. Arrivés dans un recoin sombre, à l’abri des regards, nous nous asseyons tous les trois sur la banquette installée là. Je jette un œil aux alentours. La salle s’est quelque peu vidée et le DJ passe des vieux airs américains des années trente. J’attends que quelqu’un lance la discussion. Pas longtemps. Fred attaque d’une voix un peu éméchée :



Comme seule réponse, Alice ferme les yeux et laisse retomber sa tête en arrière. Très rapidement, Fred laisse courir sa main sur les boutons du chemisier blanc, et les détache un à un. Le tissu s’écarte sur une vision de rêve. Sans attendre, des mains se glissent dans l’ouverture. La dentelle du sous-tif gonflé défile sous nos doigts rapides. C’est ample, généreux, d’une fermeté qui incite à des caresses de plus en plus soutenues. Elle s’y abandonne totalement et se laisse palper les nichons sans retenue. Et progressivement, c’est entre les seins que nos mains se dirigent, comme attirées par la profondeur évocatrice du lieu et la douceur de la peau nue. Bientôt des doigts cherchent à s’immiscer sous la dentelle des bonnets. Malgré leurs dimensions très généreuses, ils n’ont pas été conçus pour de telles fantaisies et se mettent à déborder dangereusement. Alice se passe alors la main dans le dos et d’un geste rapide et sûr fait sauter l’attache. Ses deux seins volumineux se libèrent d’un coup et s’épanouissent sous nos yeux. Ils sont majestueux, lourds et élastiques. J’écarte les pans de son chemisier entrouvert. Les aréoles sont brunes et dilatées, les pointes longues et saillantes. Je plonge mon visage dans ce havre de douceur. J’embrasse le ventre et le nombril, puis je me rue vers la poitrine offerte.


Pendant quelques minutes, nous la dévorons avidement. Elle se laisse sucer les tétons avec délectation. Ils sont bientôt luisants de salive. Elle glisse peu à peu dans son fauteuil. Ses épaules s’enfoncent, son bassin remonte et le haut de ses dim-up apparaît peu à peu. Elle frissonne au contact de nos mains sur ses genoux. Le nylon tendu glisse sous nos doigts, qui remontent peu à peu vers l’intérieur des cuisses. Elle s’ouvre progressivement à nos caresses. Arrivés en haut de la bande sombre, nous nous attardons longuement sur le galbe tiède de sa peau nue, sans avancer plus loin. Rapidement, elle se met à remuer du cul en signe d’impatience. Elle est à point, ses miaulements sont sans équivoque. Rapide échange de regards complice entre Fred et moi. Sans plus attendre, je lui prends la chatte à pleine main et la presse vigoureusement. Elle est trempée, ça a coulé jusque sur le canapé. Je me mets à frotter avec insistance au travers de son slip, dont la taille ridicule pourrait prêter à sourire. Elle se tord sur le canapé. Sous l’effet de la friction, l’étroite bande de dentelle s’enroule sur elle-même et se mêle aux poils mouillés. Elle a une touffe très fournie. Mes doigts s’y perdent avec délice. Je pense qu’il est temps de descendre aux avant-postes.


Je lui remonte les fesses, roule sa jupe sur ses hanches et m’assieds au pied du canapé entre ses jambes écartées. Ma tête disparaît entre ses cuisses. J’écarte la dentelle avec les dents. Le contact de sa chatte baveuse sur mon visage est brûlant. L’odeur est forte, prenante. Je me barbouille de son jus contre ses lèvres charnues. J’ouvre la bouche à m’en décrocher la mâchoire, essayant d’avaler son sexe tout entier. En vain. C’est une grosse chatte, épanouie et dilatée qui s’offre à moi. Impossible de n’en faire qu’une bouchée. J’entreprends alors de la couvrir de grandes lapées baveuses, puis je lui fourre ma langue le plus profond possible.



Je m’exécute et me mets à lui sucer le bouton avec ardeur. Sa respiration se fait de moins en moins discrète. Fred, qui lui roule des pelles depuis que j’ai entrepris de lui bouffer la chatte, ne parvient plus à étouffer ses soupirs. Ce n’est pas le moment de se faire repérer. Il s’agenouille devant elle sur le canapé. Sans réfléchir elle le débraguette, extirpe la queue gonflée et l’avale goulûment. Je m’interromps un instant pour la contempler. Elle me fixe alors avec insistance, sans rien arrêter de son activité. Elle est adorable. Rien n’est plus troublant que le regard d’une fille amoureuse qui suce. Son homme se dégage bientôt de ses lèvres et se rassied. Elle se retourne alors et lui grimpe dessus. Elle passe sa main dans son dos, se saisit du sexe dressé et d’un geste sûr se l’introduit.


Commence alors une longue chevauchée. Fred la prend par les hanches et imprime à sa croupe un rythme puissant. Je viens à côté d’elle et la caresse tout le long du corps, jouant avec ses grosses doudounes qui ondulent librement. Elle se tourne vers moi et me tend ses lèvres entrouvertes. J’y colle les miennes. Elle me roule une pelle de manière bien cochonne. C’est profond, baveux, avec un goût assez relevé. Sa langue vibre au rythme des sensations qui lui traversent le corps. C’est difficilement racontable. Nous restons collés longuement. J’ai une main qui lui palpe les nichons, l’autre le cul. J’en profite pour relever sa jupe qui lui couvre la moitié des fesses. Je retire la dentelle coincée entre les deux globes et je fais doucement coulisser mon doigt le long du sillon. Ses fesses s’ouvrent bientôt sous la caresse. J’en profite pour effleurer au passage son anus avec délicatesse, sa respiration redouble d’ardeur. Je me relève et m’agenouille derrière elle. Je prends le temps de contempler son cul qui se soulève en cadence sous mes yeux incrédules. Puis je lui attrape les deux fesses à pleines mains. Je les mordille, les embrasse, les lèche. Je les mouille de mes lèvres avides. Je les croque comme des pêches juteuses. J’en profite pour mieux faire connaissance de sa petite rondelle, délicatement froncée… Brune, comme on imagine un anus de brune. Elle semble si fragile. Je l’humecte du bout de la langue, elle frétille doucement. Elle a ce petit goût que tous les bons vivants connaissent bien.


Soudain, la belle stoppe net ses va-et-vient et s’immobilise sous mon nez. C’en est trop. Je bande comme un âne. Je vais lui bouffer le cul à cette chienne. Je plonge mon visage entre ses fesses, et à grands coups de langue je lui fouille la raie de bas en haut. Elle tortille du cul comme c’est pas permis. Je lui plante alors le bout de la langue dans le petit trou. Ça peine à entrer, mais j’insiste. Elle répond en se cambrant au maximum. C’est beaucoup mieux. Alors que je joue dans son œillet élastique, elle semble essayer de capturer ma langue. Très vite, je sens qu’elle en veut plus. J’enduis mon majeur de salive et le lui mets. Elle gémit. Je le fais aller et venir en tournant doucement, puis de manière plus soutenue. Elle se détend peu à peu sous mes caresses. Elle s’ouvre sans protester à un doigt supplémentaire. Tout en continuant à lui branler langoureusement le cul, je me relève, je l’embrasse dans le cou et lui susurre à l’oreille :



Je me pince. J’ai du mal à y croire. Je retire mes doigts et je laisse couler un filet de salive le long du sillon. Il descend lentement et va s’agglutiner sur la pastille sombre. Sans se libérer de son homme, elle se penche en avant et relève ses fesses bien ouvertes. Je déboutonne mon pantalon et pose mes mains sur ses hanches. Mon gland luisant vient se coller contre la rondelle moelleuse, et sans forcer disparaît entre ses chairs secrètes. La demoiselle a le cul comme une motte de beurre. Disponible, devant, derrière, sans a priori… Juste avec l’envie de se faire prendre, autant que cela est possible… Et elle prend, sacrée Alice… Une bonne copine que je croyais bien connaître, et qui est juste en train de se faire partouzer sur le skaï lisse d’une banquette de boîte de nuit…


Une fois introduit dans les profondeurs de son cul, je reste fiché en elle. Sans bouger, je tente de contenir le trop plein de vigueur qui m’assaille. Puis j’entreprends de lents mouvements d’acclimatation. Mais peu à peu, c’est elle qui donne la cadence, afin d’assurer une meilleure coordination des sensations dans ses diverses anatomies… Du haut de mon nuage, je regarde mon sexe aller et venir en elle. Mes pensées se télescopent, les images se fondent. Son dos interminable, le creux de ses épaules, le flot de ses cheveux… Et encore et toujours son cul, ses seins, sa chatte… Son image charnelle, brûlante et pénétrée.


Assez rapidement, ça devient incontrôlable. La musique ne parvient plus vraiment à couvrir son émoi. Fred s’abandonne le premier, et je le suis de près. Dans le feu de l’action, je me retire. Les dernières saccades giclent sur ses fesses alors que l’anneau de chair se referme lentement. À son tour, elle se libère de son homme et de longues traînées de sperme chaud s’écoulent le long de ses cuisses. Je sors un kleenex et l’essuie délicatement. Elle agrafe son soutien-gorge, rajuste à la hâte sa jupe et son chemisier, puis fait glisser son slip souillé le long de ses jambes. D’un geste rapide, elle le ramasse et le fourre en boule dans son sac. Puis elle se lève et se dirige vers les toilettes. La boîte est maintenant vide excepté nous et le barman. Elle évite soigneusement de croiser son regard.


En l’attendant nous nous asseyons sur le canapé avec Fred. Non sans malice, je lui demande :



Après un instant de silence, il me répond d’un air pensif :



Elle sort des toilettes. Nous la rejoignions à la sortie. Le barman, le sourire jusqu’aux oreilles, nous souhaite une bonne fin de soirée. Nous nous retrouvons sur le trottoir, les yeux hagards. Le jour se lève. Avant de nous séparer, je l’embrasse une dernière fois dans le cou et lui glisse à l’oreille :



Elle me sourit en rougissant, puis s’éloigne au bras de Fred. Je pars rejoindre ma voiture garée un peu plus loin. Je démarre sans allumer la radio… Une émotion certaine…