n° 10654 | Fiche technique | 21990 caractères | 21990Temps de lecture estimé : 13 mn | 05/08/06 |
Résumé: Un homme ordinaire, enfin pas si ordinaire que ça... | ||||
Critères: fh jeunes copains nympho grossexe jardin strip lingerie facial fellation anulingus 69 pénétratio fdanus hdanus init humour | ||||
Auteur : Traffic (Fabien 29 ans) Envoi mini-message |
Bonjour, je me présente, je m’appelle Fabien, j’ai 29 ans, je mesure 1m78 pour 77 kilos, je suis brun et j’ai les yeux marrons. Un physique assez passe-partout, on va dire, à un détail près, mon sexe. Oui, je sais ce que vous allez dire, encore un qui se vante, et bien non, la nature m’a très généreusement avantagé, mon sexe en érection mesure 29 cm pour un diamètre de presque 6,5 cm.
Enfin quand je dit « généreusement », je mens un petit peu, car je subis cet état, n’étant pas forcément en mesure de l’exploiter, vous allez comprendre pourquoi !
Dès l’âge de 15 ans, j’ai compris que j’avais un petit quelque chose en plus par rapport aux autres, en constatant les regards envieux de mes camarades de classe lors de ces séances un peu gênantes de douches collectives après les cours de sport. En comparant moi-même avec eux, je me suis rendu compte qu’effectivement, comme disaient les chuchotements peu discrets :
Évidemment, une certaine réputation m’a précédé au cours des années auprès de la gent féminine, ce qui n’était pas pour me déplaire, quoique être le gibier et non le chasseur peut avoir quelque chose de frustrant.
Je n’étais pas totalement puceau, disons que mon expérience en matière de sexe était assez large : attouchement, pipe, cunnilingus, massages érotiques, masturbations mutuelles, mais aucune pénétration.
Ma première véritable expérience avec une fille date de mes 18 ans. Elle s’appelait Marianne, et rétrospectivement elle semblait plus intéressée de vérifier si la vox populi disait vrai que par ma personne. Elle était dans ma classe et, du jour au lendemain, sembla se souvenir de mon prénom. Il lui arrivait même de me sourire comme ça sans raison. Elle était plutôt jolie, beaucoup de charme, caractérisé principalement par une merveilleuse paire de seins (quand on a 18 ans c’est LA définition du mot « charme »), châtain clair, 1m70, bref le genre de fille qui fait tourner les têtes lorsqu’elle passe dans la rue.
Même si j’avais remarqué son manège, je n’ai rien tenté, l’inexpérience, la timidité ou la stupidité m’empêchait de l’aborder, et si je l’avais fait cela aurait donné un truc de ce genre :
Et le tout avec un visage qui passe du rouge au blanc en quelques secondes. C’est elle qui a fait tout le travail d’approche, heureusement d’ailleurs… C’était au mois de septembre, il faisait assez chaud, elle était court vêtue, jupe plissée et T-shirt sage quoique terriblement moulant. Elle m’aborda après les cours alors que j’étais en train d’ôter le cadenas de ma 80cc.
Il s’agissait du stade d’à côté, celui ou nous allions user nos articulations sur la piste d’athlétisme, et qui était entouré d’arbres, de buissons et de gradins, multipliant les coins discrets où s’isoler, pour se bécoter ou plus si affinités. Rien qu’à l’idée d’aller au stade avec une fille, voilà ma queue qui se réveillait ; à cette époque, il n’en fallait vraiment pas beaucoup.
Ce faisant, elle m’attrapa le bras et m’administra le plus bandant des sourires, qui fit son effet vraiment très rapidement. Dur de cacher son érection quand elle est grosse, quand c’est dans un jean un peu moulant et qu’on a les deux mains prises par des sacs. Elle ne sembla pas s’en apercevoir, ou bien elle fit semblant de ne rien voir.
J’avais devant moi son petit cul moulé dans sa jupe et, sincèrement, je n’avais de toute façon pas l’intention d’aller ailleurs que dans son sillage, cette vision suffisant à mon bonheur. Elle m’entraîna ainsi dans un coin ombragé, isolé des regards.
Je commençais à trouver la situation amusante et très intéressante.
Son ton changea alors d’un coup, un léger agacement dans les yeux.
Là je résumai dans ma tête : on se côtoie depuis un an, elle connaît à peine mon prénom et elle me propose carrément de baiser avec elle, après deux minutes de conversation, surréaliste. Devant mon hésitation (en fait, j’étais en train de reconnecter tout mes neurones, certains ayant grillé prématurément) elle ajouta :
Aussitôt elle s’accroupit devant moi, en me regardant dans les yeux. Sa main passa sur la bosse de mon jean. Dès qu’elle sentit la consistance, un léger sourire carnassier se fit sur son visage. Ses mains plus rapides qu’un cobra royal se mirent en action, la ceinture fut à terre en moins d’une seconde, le bouton et la fermeture éclair du jean ne prirent pas plus de temps. En moins de deux secondes, j’avais le pantalon sur les chevilles et l’érection douloureuse libérée, enfin presque, disons que 10cm dépassent du bas du caleçon. Je la regardai pendant toute l’opération, pour jouir de la vision de son visage lorsqu’elle découvrirait l’objet de son désir.
Elle avait la bouche grande ouverte et les yeux écarquillés. Pendant quelques secondes, elle resta tétanisée par cette vision, ne sachant que dire ou que faire, et puis presque machinalement elle empoigna le caleçon et le baissa, libérant totalement mon sexe de toute emprise de tissu. Elle pouvait désormais le contempler dans toute sa splendeur. Elle me regarda, le regarda et semblait ne pas y croire.
Petit hochement de tête de ma part.
Oui, à voir son regard, elle se rappelait.
Elle se leva et ôta de façon désordonnée son T-shirt et sa jupe, elle se retrouvait devant moi en string et soutien-gorge blancs, si si vous le connaissez l’ensemble Aubade des leçons 5 (string) et 6 (SG).
La salope, elle avait tout prévu depuis longtemps (oui monsieur le juge, il y avait bien préméditation).
Moi aussi, je restai bouche bée. Elle avait vraiment un corps de rêve, des seins de belle taille (un superbe 85D, j’ai vérifié sur l’étiquette du soutif), un ventre plat, des hanches biens pleines, et des fesses, oui au fait comment elles sont ses fesses ?
Fesses rondes et dodues, elles semblaient très fermes, courbes harmonieuses. Pendant qu’elle me tournait le dos je virai chaussures et chaussettes (quoi de plus con qu’un homme qui fait l’amour en chaussettes ?) et hop le fut et le caleçon churent en même temps. Je m’approchai d’elle, je pris bien soin de laisser mon gland reposer sur le haut de ses fesses. Dans cette position, je caressai ses épaules, mes mains descendirent sur l’attache de son soutif, hop avec difficulté j’enlevai la double agrafe.
Le soutien-gorge fut rapidement enlevé, mes mains prenant position avidement sur ses seins. Sitôt fait, elle prit mon sexe dans sa main et le caressa doucement, le soupesa, l’évalua, le cajola.
C’est exactement ce que je me disais en caressant ses seins.
Effectivement, en glissant ma main dans son string je sentis immédiatement une chaleur au-dessus de la moyenne. Je glissai un doigt dans sa fente et je sentis une humidité de bon aloi. Mais glisser un doigt dans un string n’est pas pratique, alors puisqu’elle avait l’air d’aimer recevoir des instructions (on verrait plus tard si elle aimait recevoir des ordres) :
Le ton était sec, cassant, sans équivoque. Elle tourna son visage vers moi, elle sourit, ses yeux parlaient pour elle, elle aimait ça ! Lentement elle se décolla de moi, lâcha ma verge et obéit.
Sa descente de string fut à montrer dans toutes les écoles de strip-tease, lente, sensuelle et terriblement excitante. J’eus tout le loisir d’observer sa chatte, dodue, entièrement rasée et très appétissante, on en aurait mangé, d’ailleurs j’allais la manger.
Je pense que j’ai dû réfléchir une seconde, comprendre en deux et la troisième j’étais au sol attendant. Je n’ai pas attendu longtemps, presque en courant elle est venue s’installer sur moi en 69. À peine installée « il mostro » était dans ses mains, le gland sur ses lèvres.
Sa langue descendait de mon gland à mes couilles de façon lente et régulière, puis de plus en plus vite et de plus en plus désordonnée, sa main me branlant de plus en plus vite, m’électrisant de façon merveilleuse. Elle s’excitait toute seule, ne parvenant pas à se maîtriser, comme folle.
De mon côté, je n’étais pas en reste, mes mains écartant ses fesses, ma langue jouant avec son clitoris, ses lèvres dodues, plongeant dans sa chatte humide. Le goût de sa chatte était merveilleux, un mélange de framboise et de musc. Ses gémissements se firent de plus en plus forts, s’amplifiant lorsque j’introduisis 2 doigts dans sa chatte. Je fus pris de frénésie, je léchais, mordillais ses lèvres, aspirais son clito, ma langue était partout à la fois. De son côté, elle avait embouché mon gland, sa langue virevoltait tout autour celui-ci, ses mains tripotaient grossièrement mes couilles, m’arrachant un cri de plaisir. Un de ses doigts s’égara sur mon anus, tourna autour, de façon suave et délicate. Caresse nouvelle pour moi mais pas du tout désagréable.
Ma langue partit en exploration du côté de son cul, elle titilla sa rondelle. Je la léchai, doucement puis de façon un peu plus appuyée, faisant pénétrer la pointe de ma langue. Un doigt vint parfaire le travail en pénétrant lentement dans son cul. Ma langue revint sur son clito, le faisant vibrer à l’intérieur de son étui de chair. En faisant ça, j’étais obligé de me concentrer pour ne pas éjaculer tout de suite dans sa bouche, tant sa main qui me branlait et sa langue me faisaient de l’effet, j’aurais aimé que cela dure encore un peu.
Soudain, je la sentis se contracter, une plainte de jouissance jaillit de sa gorge, elle lâcha ma queue et s’affala sur moi, sa main sortant précipitamment mes doigts dans sa chatte et son cul. Elle trembla pendant quelques secondes, collée contre moi.
Elle attrapa dans son sac un préservatif (tiens un Manix King Size… décidément elle avait décidé de croire la rumeur et avait anticipé en fonction), déchira l’emballage précautionneusement et le déroula sur mon sexe.
Elle se releva et se tourna de façon à se positionner mon gland sur sa chatte. Sa position exposait à mon regard envieux et à mes mains baladeuses ses jolis seins en poire que je ne me gênai pas pour caresser. Elle descendit lentement sur mon sexe, je sentis la chaleur de sa chatte au contact de mon gland. Doucement, elle s’empala sur ma queue, entre ses jambes j’observai la lente et inexorable pénétration, j’étais tellement excité de regarder ça que je manquai de jouir. Le gland était presque entièrement passé lorsque elle se cabra brusquement, le visage marqué par la douleur.
Mais après diverses tentatives infructueuses il fallait bien se rendre à l’évidence, ça ne passerait pas. Marianne avait les larmes aux yeux, je saurai dire si c’était la douleur ou la frustration de ne pas pouvoir s’engouffrer LA bite du siècle.
Que voulez-vous répondre à ça, vous, hein !
Je me levai et présentai ma queue devant sa bouche. Sa main s’en empara avidement, ses yeux pétillaient, son regard se fit coquin, salope même. Elle me branlait lentement, son geste était sûr, fluide. Son regard ne me quittait pas, elle jaugeait mes réactions ; à ce moment-là, je m’aperçus qu’elle me dominait. Son autre main se saisit de mes couilles, elle les malaxait en douceur, les caressait, les flattait. Sa langue vint rejoindre sa main sur mes couilles, elle les lécha l’une après l’autre, lécha la peau entre elles. Un de ses doigts partit à la recherche de mon anus, le trouva, le pénétra.
J’étais bien, je savourais cet instant, je me laissais aller à ses caresses en fermant les yeux. Sa langue frétillait sous mes bourses, remontait le long de ma bite, titillait le méat, enduit mon gland de salive. Sa bouche était chaude, humide, elle salivait abondamment sur mon gland. Sa main accéléra le mouvement sur ma queue, son doigt dans mon cul aussi. Bon dieu que c’est bon, je la regardais, elle ne me quittait pas des yeux, je lisais la fierté dans son regard. J’aime quand une fille me regarde avec ce regard de salope, ça m’excite encore plus.
Je ne sais pas si ses remarques y furent pour quelque chose mais j’ai soudain senti le plaisir monter en moi, et là je me suis lâché, j’ai pris ma bite en main pour me branler, de mon autre main j’ai relevé son visage.
Un premier jet de sperme jaillit à une vitesse phénoménale, pour atterrir sur sa joue, le deuxième finit sa course sur son front et son nez, le reste finit dans sa bouche. Je me suis vidé comme jamais, j’avais l’impression que cela n’allait jamais finir.
Marianne encaissa la douche de sperme sans broncher. Elle attendit patiemment que cela se termine, la bouche ouverte. Elle récupéra tout le sperme dans sa bouche avec la langue pour l’emmener sur le devant et me le montrer. Ça faisait une belle quantité. Elle ferma la bouche, déglutit, lorsqu’elle rouvrit la bouche. celle-ci était vide.
Disant cela, elle récupéra ma queue qui devenait flasque pour lécher les dernières gouttes de foutre.
Morale de l’histoire, il ne sert à rien d’en avoir une grosse, encore faut-il avoir un réceptacle à sa taille. Je vous le dis, c’est pas gagné ma vie sexuelle.