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n° 10708Fiche technique10161 caractères10161
Temps de lecture estimé : 6 mn
26/08/06
Résumé:  Les visites médicales, avant, j'y allais à reculons. Mais cette histoire a tout changé. Regardez par le trou de serrure, dans le cabinet d'une femme médecin, et voyez par vous-même.
Critères:  ff fplusag jeunes inconnu médical volupté noculotte
Auteur : Aurore      
Ma visite médicale

Bonjour à toutes et tous !


Je voulais vous faire partager une petite aventure personnelle que j’ai déjà publiée sur un forum consacré aux personnes aimant ne pas porter de sous-vêtements. Un forum qui traite de cette pratique, étonnant, non ?


Venons-en à cette histoire :



Cela s’est passé au mois de mai dernier. Pour le travail, il m’a été donné l’occasion de réaliser un check-up complet de mon état de santé avec prise de sang, visite médicale… la totale !


Le moment crucial s’est déroulé l’après-midi de cette journée marathon, lors de la fatidique visite médicale.

Il était 13h30 à la pendule de la salle d’attente, le médecin, que je ne connaissais pas, ne tarderait plus. Tranquillement assise, je digérais mon déjeuner tout en me grattant le bras qui me démangeait depuis cette satanée prise de sang du matin.

Quand tout à coup, dans un flash de lucidité, je bondis pratiquement de ma chaise et pestai intérieurement :


"Merde ! j’ai oublié de mettre une culotte !"


Eh oui, j’ai gardé une certaine pudeur, et pour la visite médicale j’avais prévu d’en enfiler une en rentrant chez moi le midi. Hélas, j’avais totalement oublié !

J’étais donc là, en jupe blanche, plutôt ample, m’arrivant au-dessus des genoux avec un top noir moulant à bretelles, sans dessous et les joues rouges de honte.


Je faillis m’enfuir en courant mais le médecin apparut à la porte et avec un sourire rayonnant me convoqua :



Je poussai un grand OUF de soulagement : il s’agissait d’une femme ! Vraiment ravissante en plus, je dois le reconnaître. La petite quarantaine, brune, élancée, des yeux malicieux et ce sourire qui, vraiment, ne semblait jamais s’effacer de son visage. Et ce ton dans la voix qui vous met à l’aise instantanément si comme moi, vous n’aimez pas trop vous livrer à ce genre d’examen. Sa démarche était gracieuse, et ses enjambées faisaient s’entrebâiller les voiles de sa blouse et de sa robe, laissant apparaître une paire de jambes exquises, gainées simplement d’un bronzage naturel.


Une fois enfermées dans son cabinet, elle installée à son bureau et moi sur le fauteuil d’en face, et après les questions d’usage sur ma santé, mon alimentation, les conseils pour arrêter de fumer, etc… vint l’auscultation. Toujours avec cette sympathie dans les yeux et dans la voix, elle m’invita à me débarrasser de mes vêtements et à m’allonger sur la table d’auscultation :



Je ne sais pas pourquoi elle me tutoyait. Malgré mes 22 ans, il est vrai que je fais un peu plus jeune.

Il n’y avait même pas de paravent alors ni une, ni deux, je m’empressai de me dévêtir. "Plus tôt ce sera fait…" me dis-je. Et finalement, je ne ressentais plus vraiment cette honte qui m’avait anéantie quelques minutes auparavant. J’étais en confiance désormais même si, je l’admets, je n’osais pas affronter le regard du médecin. Je me rappelle distinctement l’avoir entendue manipuler tout un tas de papier alors que je retirais mon top.

Malgré tout, j’avais l’étrange sensation que son regard se posait sur moi, sur mes formes. L’impression même qu’elle m’épiait derrière ses feuillages, en se tenant debout juste devant moi. Ma jupe glissa enfin le long de mes jambes.


Nue comme un ver, je m’allongeai sur la table (d’auscultation !).

Plus personne ne disait mot, je me demandai laquelle de nous deux était la plus gênée. Le médecin fit son travail. Très professionnelle. Les gestes précis. Jamais je ne sentais son regard s’attarder sur mes parties intimes. Le silence pesant s’acheva enfin quand elle me demanda de me redresser afin d’écouter mon cœur. Le ton de sa voix avait légèrement changé, elle semblait concentrée dans sa tâche. Son stéthoscope qui parcourait ma poitrine puis mon dos me prodigua mille frissons. Elle laissa échapper un petit rire.



Puis :



Mon cœur bâtait effectivement la chamade.



En réalité, peut-être l’avez-vous compris, c’était bien plus que de l’émotivité. Me retrouver nue, offerte même, en tête-à-tête avec une inconnue qui parcourait mon corps me transportait dans des états indescriptibles. Et lorsqu’elle me palpa l’abdomen, je me tordis sous ses mains douces. Toujours de son petit rire amusé :





Le "supplice" terminé, je fus de nouveau allongée. Je sentis à ce moment une certaine humidité entre mes cuisses.



Elle me semblait déjà plus à l’aise. Pendant que la pression se faisait autour de mon bras, et que la dame en blanc m’offrait sans le vouloir une vue imprenable sur un superbe décolleté, elle se décida enfin à rompre la glace :



Comme si elle ne s’était rendue compte de rien, la menteuse !



Elle s’arrêta net, mais son sourire recommençait à illuminer son visage.



Et voilà que je rougis à nouveau !



J’hésitai : devais-je répondre ’merci’ ?

Je me tus.




Pendant cette petite conversation, elle avait posé le bout des doigts de sa main inoccupée sur le haut de ma cuisse. Je mis plusieurs secondes avant de m’en apercevoir. Elle les promenait nonchalamment en m’effleurant simplement la peau, prenant de plus en plus de terrain sur mon ventre, sur mon pubis soigneusement épilé, remontant sur mes seins puis redescendant. Elle me regarda d’un air espiègle :



À présent je n’en pouvais plus, le plaisir prit ma raison en otage lorsque je murmurai :



Je n’en revenais pas ! D’une parce que cette femme médecin était maintenant en train de me masturber, de deux parce que j’écartais les cuisses et me laissais aller, les yeux clos. Elle posa ses lèvres délicates sur les miennes tandis que je jouissais sous ses doigts. Je me cambrai pour mieux me laisser submerger par cette vague de bonheur.


Après avoir repris mes esprits, je l’entendis m’annoncer :



Avais-je donc rêvé ?

De nouveau, alors que j’enfilais mes affaires je sentis son regard sur moi. Sauf que cette fois-ci, elle ne s’en cachait plus. Et quand je glissai mes pieds dans mes escarpins, elle me lança :



J’adorais quand elle prononçait mon prénom.

C’est ainsi qu’après quelques formalités et une poignée de main légèrement moite nous nous quittâmes, comme si de rien n’était, mais toutes deux souriantes :



Il y eut une certaine complicité dans nos regards à ce moment précis. Je savais qu’elle l’avait aussi sentie. Et malgré son professionnalisme à toute épreuve, la dame en blanc ne put rien cacher.




Après avoir lu cette histoire vous penserez peut-être que je suis attirée par les femmes. Je ne suis pas lesbienne mais je reste sensible aux charmes d’une femme et à l’ambiguïté que certaines situations provoquent.

J’espère que mon histoire vous a plu et qu’elle n’est pas trop mal racontée. Certes, elle est soft mais j’en garde un souvenir très marquant.


N’hésitez pas à me faire part de vos commentaires : amygal@hotmail.fr


Bisous


Aurore