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Temps de lecture estimé : 11 mn
27/08/06
Résumé:  Ma femme me fait cocu en ma présence.
Critères:  fh extracon humilié(e) fsodo
Auteur : Marc      
Cocu et content


Cocu et content


Je vis avec Chantal depuis quelques années. Elle a la quarantaine, des cheveux châtain clair, des yeux verts, des fesses fermes, une opulente poitrine, en l’occurrence 95C et une toison peu fournie très claire avec de grosses lèvres et un vagin étroit, presque comme une jeune vierge.

Elle me surprenait parfois en ne portant rien sous sa robe ou sa jupe et sans m’en avoir fait la confidence auparavant, même lors de nos sorties en public, ce qui m’excitait lorsque je le découvrais. Un jour, elle se préparait alors que j’étais présent à ses côtés, prêt pour ma part à partir au boulot. Elle se trouvait devant moi et portait un fin collant brillant, une culotte en coton, un chemisier blanc et un soutien-gorge de la même couleur. Elle enfila une jupe courte bleu marine, suivie de chaussures noires à talons mettant ses jambes en valeur. Et alors qu’elle commençait à farder ses lèvres et ses yeux de maquillage, je lui demandai ce qu’elle comptait faire dans cette adorable tenue. Elle me répondit prestement qu’elle avait envie de faire les boutiques en ville et me demanda de la déposer en voiture. Je le fis volontiers et partis ensuite à mon travail. Habituellement, Chantal ne sortait pas comme cela d’un coup de tête pour faire les boutiques, encore plus dans une tenue soignée.

En rentrant le soir, je la retrouvai, le chemisier sorti de la jupe, lui demandai si sa tournée des magasins s’était bien passée et elle me répondit qu’elle avait passé une bonne après-midi. Le soir, une fois sur l’oreiller, elle finit par me dire qu’en fait elle était allée à un rendez-vous avec un homme avec qui elle avait dialogué sur le Net et me raconta tout de cette rencontre :



Nous étions dans le lit, nus tous les deux et alors je caressais ses grosses lèvres bien mouillées et glissais un doigt dans le fourreau de sa chatte :



Pour toute réponse je vins me placer entre ses cuisses et je n’eus aucun mal à faire entrer mon gland et à glisser à fond ma queue tendue. Tout en la « besognant » je lui posais les questions suivantes, en parlant de cet inconnu qu’elle avait rencontré :



Chantal mouillait encore plus sous mes mots et sans les toucher, je voyais ses tétons s’ériger et ses larges aréoles brunes devenir granuleuses.



J’étais déjà fortement excité à imaginer le fait que elle avait mouillé sa culotte et s’était laissée aller à se faire caresser les cuisses, que je lui glissai à l’oreille, tout en la pénétrant profondément :



D’un coup, nous sommes partis tous deux dans une jouissance extrême et tandis que j’inondais sa chatte de mon sperme, Chantal a attiré ma bouche sur la sienne et m’a roulé une pelle, mélangeant avec fougue sa langue à la mienne, tandis que je sentais que de son côté elle jouissait fortement et je peux le dire, car je sentais ses ongles griffer mon dos.

Après avoir repris nos esprits, nous étions tendrement enlacés à nous bécoter, Chantal me dit :



Un court silence puis elle me répondit :



Chantal me demanda :



Et je ne fis aucun autre commentaire.


Quelques jours passèrent sans que nous reparlions de cela entre nous, pour ma part j’avais presque oublié et cela me paraissait un fantasme de ma bien-aimée quand, BÉNI pour moi ce jour où, je rentrai plus tôt que prévu à la maison vers les 18 h. Je glissai ma clé dans la serrure mais ne pus ouvrir la porte et je pensais que Chantal avait omis de retirer la clé d’autant plus que cette serrure avait un défaut. Je sonnai donc en m’attentant à ce que ma chérie vienne m’ouvrir, ce qui fut le cas, mais surpris l’un et l’autre, elle de me trouver là à cette heure et moi de la trouver vêtue de sa robe noire sans manches qui s’ouvrait par le dos à l’aide d’une longue fermeture éclair. Je fus sur le coup étonné de sa tenue et elle encore plus de ma venue. Chantal paraissait plus qu’embarrassée de mon arrivée impromptue et finit par me dire qu’elle n’était pas seule. Elle me dit juste qu’il était là et je crus comprendre qu’elle parlait du mec de sa rencontre en ville, mais je ne lui laissai point le temps d’en rajouter plus et lui dis simplement :



Chantal me devança et je fus face à un mec assis dans le canapé (pour moi d’un physique commun) et deux verres sur la table avec une bouteille d’apéritif.

Chantal me présenta cet homme comme étant Christian et comme elle hésitait à mon encontre, je rétorquai à cet étranger que j’étais un simple copain de Chantal, sans plus. Elle me proposa un verre, ils ne devaient pas en être à leur premier je pense et je me trouvais face à eux qui étaient assis côte à côte sur le canapé. Ce qui pouvait me permettre de voir que ma chérie portait des bas auto-fixants, car assise, sa robe remontait assez haut sur ses cuisses. J’arrivai même à distinguer sans être vraiment sûr qu’elle portait un string sous sa robe. Je commençai à discuter avec ce Christian en lui demandant comment il avait connu Chantal



Pour savoir si vraiment ma chérie ne m’avait pas raconté d’histoire lors de leur première rencontre, je poussai le toupet à lui demander ce qui s’était passé et sans aucune gêne, il me répondit :



C’est là que je demandai à Chantal de me montrer où se trouvaient les toilettes et elle m’accompagna, comme si je ne connaissais pas les lieux et elle me dit en chuchotant :



Elle est revenue au salon et moi peu après. Tandis qu’il me parlait, Chantal reversait une dose d’apéritif à chacun et l’ambiance commençait à chauffer du moins pour eux deux, car ce Christian posa sa main sur la cuisse de Chantal et se mit à la caresser tout en remontant sa robe, dévoilant la peau nue au-dessus de la lisière des bas. Puis, glissant sa main dans le dos de Chantal, il avait dû faire glisser la fermeture éclair de la robe car celle-ci se relâcha par le devant et il tira dessus faisant glisser le tissu pour dévoiler ses seins aux tétons déjà dressés et gonflés de désir et la fit se lever pour que la robe tombe totalement à terre. Chantal ne portait que son string et ses bas. Malgré tout, je l’entendis chuchoter à l’oreille de ma chérie :



Je fus assez surpris de sa réponse quand elle répondit :



Je regardais sans faire de commentaires et il eut vite fait de faire glisser le string pour découvrir la chatte de Chantal qu’il investit aussitôt d’un doigt tout en commençant à prendre son téton dans la bouche et à le mordiller. Ma chérie ne restait pas inactive. D’elle-même, elle ouvrit le pantalon de son amant et le baissa aux chevilles ainsi que son slip, pour libérer une belle queue bien dure qu’elle prit dans sa main pour commencer à la branler par des va-et-vient, décalottant un gland luisant.

Ma chérie semblait ne plus faire attention à ma présence, quand Christian la renversa sur le canapé, cuisses largement écartées, chatte ouverte. Il se glissa entre ses cuisses pour commencer à lui lécher ses grosses lèvres et enfin son clito, chose qu’elle n’avait pas demandée, et elle se tirait sur les tétons, chose que je connaissais quand je posais ma bouche sur sa chatte, ce qui lui donnait encore plus de plaisir. Après l’avoir faite jouir une première fois par sa langue, Christian lui présenta sa queue aux bords de ses lèvres en souhaitant se faire sucer. Chantal me regarda et je lui fis un signe de la tête comme quoi elle devait le faire ; avec ses lèvres, elle décalotta le gland de son amant et commença par lui lécher le gland avant de prendre sa queue en bouche. Trouvant qu’elle ne mettait guère de cœur à l’ouvrage, je lançai juste à l’intention de Christian :



Ce dernier ne demanda pas son reste et je le vis claquer les fesses de Chantal sans lui faire mal, mais de façon à ce que la main s’abatte sur son cul. Ainsi, elle le suçait plus fort et plus profondément encore. J’entendis alors Chantal dire, voire supplier son amant de la prendre et ce dernier devait y penser car il l’a mise aussitôt sur le dos, lui écartant les cuisses. Il la pénétra profondément. Je voyais les couilles de son amant battre contre les fesses de la chérie qui prenait encore du plaisir et le premier à jouir fut Christian qui se vida dans la chatte de ma chérie. Pour ma part, je bandais ferme dans mon pantalon et je restais stoïque, bien que la situation m’excitât au plus haut point. Sans un mot, Christian se rhabilla alors que Chantal restait nue avec ses bas. Ce dernier dit :



Chantal lui donna non seulement son string porté, mais posa ses lèvres sur les siennes et entreprit de lui rouler une pelle tout en ouvrant à nouveau sa braguette. Sa main se glissa dans le pantalon pour sortir une verge molle, et contre toute attente, je la vis prendre cette queue dans sa bouche et lui tailler une pipe. Il n’était pas en reste et arriva aisément à bander dans la bouche de ma chérie et à se vider dans cette dernière. Chantal avalait son sperme, je ne savais pas s’il était abondant ou pas. Une fois Christian sorti, je l’attrapai par la taille et lui demandai si elle avait été contentée.


D’un air ravi à cause de l’apéro un peu trop arrosé et de son envie de sexe, je la fis mettre à quatre pattes en lui disant :



Chantal se mit aussitôt à quatre pattes sur le sol tandis que j’ôtai pantalon et slip ; la queue dressée et dure, je lui pénétrai la chatte pour récolter sa mouille et le sperme de son amant. La queue bien huilée, je lui écartai les fesses et posai mon gland contre sa rondelle, entre ses fesses rondes. Chantal me dit : « Non tu sais bien que je n’aime pas, par là ! »



Et je poussai mon gland entre ses fesses pour lui pénétrer le cul entièrement et je me vidai vite dans ses entrailles tant le conduit était serré.

A présent Chantal était toute à moi.