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n° 10711Fiche technique48223 caractères48223
Temps de lecture estimé : 27 mn
27/08/06
Résumé:  Je suis hébergé chez une tante que son mari délaisse. Étant moi-même en manque de sexe, nous faisons l'amour sous le toit familial.
Critères:  fh extracon oncletante groscul poilu(e)s jardin intermast fellation pénétratio fsodo
Auteur : Pedro  (Homme désirant partager un souvenir récent)      
Le mariage de mon cousin

J’éprouvai tout d’abord une immense joie lorsque je reçus le faire-part de mariage d’un de mes cousins, m’invitant moi et Michèle, mon épouse, à ses noces. Mais cette joie fut vite remplacée par une amère déception. Du fait d’un grave accident de ski ayant occasionné une fracture de la hanche, ma femme se trouvait contrainte à une immobilité forcée. J’allais donc être obligé de m’excuser auprès de mon cousin.

Comprenant mon amertume, Michèle sachant que dans notre famille nous attachions une grosse importance aux fêtes familiales, me conseilla de me rendre quand même à la cérémonie, ses parents habitant près de chez nous viendraient s’occuper d’elle et de nos deux enfants. Après réflexion et m’étant assuré que mon épouse ne manquerait de rien durant mon absence, je prévins mon oncle Eugène, l’un des frères de mon père et frère du père du futur marié que je serais chez lui le vendredi soir.


Comme prévu j’arrivai donc sur le coup des vingt heures chez mon oncle, dans la campagne autour de Guéret. J’avais bien roulé, c’était le début de l’été, la route ne m’avait posé aucun problème. Après les bises de convenances pour ces retrouvailles et mes explications pour l’absence de mon épouse, nous parlâmes de la pluie et du beau temps devant un bon petit pastis, pendant que Marie, ma tante, préparait le repas.


Eugène, ancien inspecteur des postes était à la retraite depuis un an, et il partageait ses loisirs entre le jardinage, la chasse et la pêche ce qui correspondait parfaitement à la convivialité et à la joie de vivre de ce personnage. C’est ainsi que j’appris quelques histoires de mes cousins et cousines, où en étaient leurs amourettes. Ils avaient quelques années de moins que moi, mais jusqu’à mes dix-huit ans, je venais passer mes vacances dans la région. Nous avions fait les cents coups ensemble, j’avais dragué pas mal de leurs copines, mais surtout nous nous faisions pas mal d’argent de poche en revendant les cèpes que nous trouvions dans les bois du coin… Nous étions déjà la joie de vivre.

De sa cuisine, tante Marie participait à notre conversation et se désolait que pas un de ses trois garçons ne soit encore marié… et de ne pas être grand-mère.


Au fil des verres de Pastis, je constatai que mon oncle était en pleine forme, car en une demi-heure, on s’était tapé pas loin de six verres, et moi, qui n’y étais guère habitué, je commençai à me sentir quelque peu vaseux. D’ailleurs, lorsque ma tante nous appela à table et qu’elle découvrit nos regards brillants et le niveau de la bouteille, elle ronchonna :



Ne tenant nullement compte des remarques de son épouse furieuse, mon oncle ouvrit une bonne bouteille pour le repas. Jugeant que j’avais mon compte d’alcool, je m’en tins à l’eau, bien que la cochonnaille excellemment préparée par Marie et délicieuse à souhait eut supporté le bon rouge que mon oncle avait ouvert.

Malgré les regards furibonds de son épouse, Eugène non seulement siffla la bouteille à lui seul, mais il en ouvrit une seconde pour le fromage. À la fin du repas, la deuxième bouteille était vide et alla rejoindre son aînée à la poubelle. Après que j’eus aidé ma tante à ranger les assiettes et les verres dans la lave vaisselle, mon oncle m’entraîna vers le salon et me proposa une gnole :



Et avant que j’aie pu refuser son offre, deux verres étaient servis. J’avais beau avoir un peu récupéré de l’apéro, j’avoue que j’avais du mal à prendre un digestif. Aussi je pris le verre et en toute discrétion, le vidai dans le pot d’une plante verte placée sur un guéridon. Trop occupé à vider son verre cul-sec, oncle Eugène ne s’était pas rendu compte de mon geste. Comme je levai mon regard de la table où nous étions assis, je vis ma tante qui nous regardait l’un et l’autre d’un air consterné.


Vers vingt-deux heures trente, mon oncle, après avoir avalé son énième verre de gnole, décida d’aller se coucher. Il essaya maladroitement de se lever de sa chaise, pour aussitôt y retomber lourdement, vaincu par tout l’alcool qu’il avait ingurgité.



Nous plaçant chacun d’un côté de l’oncle, nous le prîmes par un bras et, péniblement - car l’Eugène pesait bien dans les cent kilos - nous l’amenâmes vers sa chambre. Une fois sur le lit, ma tante le déshabilla pour le mettre sous les draps, pendant que je retournai au salon. Cinq minutes après des ronflements me parvenaient emplissant la maison.



Et soudainement, comme si elle avait été à bout de nerfs, ma tante se mit à pleurer.



Je restai sans voix devant ces confidences. Je ne trouvais pas les mots qui auraient pu aider ma tante ; je demeurais là, comme un con, à la regarder pleurer.



Ne sachant trop quoi faire pour venir en aide à ma pauvre tante, je m’approchai d’elle, passai derrière son fauteuil et, bêtement, entrepris de lui caresser les cheveux, comme je l’aurais fait avec une enfant malheureuse. Marie, toute à sa peine, accepta mes caresses sans bouger.



Puisque ma thérapie semblait lui convenir, je continuai de lui masser le crâne, descendant de plus en plus bas, au niveau de sa nuque.



Puisque ma malheureuse tante avait l’air d’apprécier mes caresses, je tâchai de la réconforter par ce seul moyen que j’avais trouvé. Insensiblement, je laissai mes mains descendre de plus en plus bas sur les épaules rondes et encore fermes.

Mais au bout de dix minutes de ce manège, je demeurai stupéfait en sentant au bas de mon ventre une transformation bien connue. C’était incroyable, voilà que je commençais à avoir une érection ! Heureusement que ma tante, assise sur son fauteuil et me tournant le dos, ne pouvait s’apercevoir de mon étrange excitation. Je continuai néanmoins à lui caresser les cheveux et la nuque, comme un con.


Le corps de ma tante ne m’avait jamais fait fantasmer. À cinquante ans, avec son gros fessier et ses petits seins, tante Marie n’était pas ce que l’on pouvait appeler une beauté. Ses cheveux grisonnants et quelques rides autour des yeux n’ajoutaient rien à son sex-appeal déjà inexistant. Peut-être que trente ans plus tôt elle avait fait tourner la tête aux hommes, Eugène en était la preuve, mais aujourd’hui il ne restait pas grand-chose de sa séduction.


Ça faisait maintenant bien dix bonnes minutes que je massai le crâne et la nuque de ma parente et, étrangement, dans mon slip, ma virilité avait pris des proportions énormes. Il est vrai que, du fait de l’immobilité de Michèle suite à son accident, j’étais en retard d’affection.

Soudain, Marie se leva de son siège. Les yeux rougis par les larmes elle prit mes mains dans les siennes pour les caresser et, dans un geste plein de tendresse, elle les porta à ses lèvres pour les embrasser :



J’essayai de retrouver un semblant de conversation.



Et comme si ses confidences avaient ravivé ses peines, tante Marie se remit à pleurer comme une fontaine.



De très longs soupirs baignaient ses larmes. Et alors que je cherchais vainement comment consoler ma parente, celle-ci passa ses bras potelés autour de mon cou et posa sa tête contre ma joue. Ne sachant pas vraiment quelle contenance adopter, je l’enlaçai tendrement et je lui massai doucement le dos, comme je l’aurais fait avec une enfant apeurée. Cela dura bien cinq bonnes minutes, avec pour musique de fond les ronflements sonores d’oncle Eugène. Machinalement, je m’attardai sur la colonne vertébrale de ma compagne, la massant de plus en plus sensuellement sans vraiment m’en rendre compte.


À un moment, dans un mouvement tout à fait involontaire, j’appuyai plus fortement sur les reins de Marie. Je ne sais ce qui se passa alors dans la tête de ma tante, mais je sentis brusquement son ventre se presser contre le mien. C’eût été quelque chose de naturel si l’on avait tenu compte de son chagrin, mais pour moi, il y eut vraiment un contact physique et je ressentis une véritable décharge électrique me traverser les entrailles. Ma verge qui, doucement, était retombée en état de semi-érection, se redressa brutalement de toute son arrogance. Malgré sa peine, ma tante se rendit compte immédiatement de mon état.



Mais malgré cette dureté déplacée qui devait lui meurtrir le bas-ventre, tante Marie ne bougea pas, n’essaya pas un instant de se soustraire à ce contact inconvenant. C’est moi qui, quelque peu gêné par cette érection mal venue, tentai de m’écarter de ma parente. Immédiatement, cette dernière se recolla à moi, cherchant visiblement à garder le contact avec ma virilité gonflée. Il me sembla même que Marie éprouvait un certain plaisir à frotter son pubis à cette barre durcie qu’était devenue ma verge. Avec émoi, je la sentis soudain onduler insensiblement des hanches, frottant presque délicatement son ventre contre mon sexe.


J’avais beau me dire que c’était ma tante que je tenais contre moi, la propre belle-sœur de mon père, je ne pouvais rester insensible à ce frottis langoureux… Je ne savais vraiment pas comment me tirer de ce mauvais pas. Devais-je repousser brutalement cette quinquagénaire dévergondée ou bien laisser nos sens nous guider ? Les bruits des ronflements de l’oncle Eugène semblèrent doubler de puissance. Les larmes salées de Marie s’imprégnaient sur mes lèvres. C’est cette dernière qui prit soudain l’initiative des opérations. D’une toute petite voix, presque inaudible, comme si elle avait honte de ce qu’elle allait me proposer, elle me murmura à l’oreille :



Que pouvais-je répondre à pareille offre ? D’ailleurs, avant que j’aie pu émettre le moindre avis, tante Marie avait déboutonné ma braguette. Comme je ne m’opposais pas à son idée, elle continua en dégrafant ma ceinture puis, sans un mot, elle baissa mon pantalon et s’affaira sur mon slip qu’elle baissa à son tour, libérant mon membre viril extrêmement tendu. Se saisissant alors fermement de ma verge, elle s’exclama :



Oubliant son chagrin, Marie commença alors à me branler maladroitement, me serrant trop fortement la queue. C’est certain que ma chère tante n’avait pas une expérience très poussée dans l’art de la masturbation. Mais le fait d’être branlé par une femme de plus de cinquante ans aux doigts quelque peu rêches, qui de plus se trouvait être la femme de mon oncle, m’excita étrangement. Pas très douée pour ce genre d’attouchements, tante Marie avait une façon bien particulière de me caresser. Elle activait énergiquement sa main refermée, de bas en haut le long de mon membre dressé, repoussant à l’extrême la peau mobile de mon prépuce, comme si elle voulait la déchirer. Puis tout aussi vigoureusement elle la remontait sur mon gland, recouvrant entièrement celui-ci. Une comparaison me vint à l’esprit : Marie agissait à la manière d’une ouvrière à la chaîne, pressée de terminer son labeur, et pas comme une femme désirant procurer du plaisir à son compagnon. Pauvre tonton ! Mais mon excitation était telle que malgré le manque de sensualité de cette masturbation, je sentis peu à peu le plaisir irradier mes entrailles. Au bout de deux ou trois minutes de ce traitement actif, je compris que je n’allais pas tarder à éjaculer. Ne sachant comment Marie allait réagir à ma jouissance, je préférai la prévenir de l’imminence de mon éjaculation :



Alors que je m’attendais à ce que Marie accélère sa masturbation pour me faire rapidement jouir, elle goba mon gland gonflé, tout en continuant de branler énergiquement la partie de ma verge restée hors de sa bouche. C’était trop pour mes sens en ébullition ! Dans un grognement bestial, je m’abandonnai à l’orgasme et lâchai ma semence en rafales répétées. Attentive à mon plaisir, consciencieuse, ma tante avala la totalité du sperme que je lui offrais généreusement, sans cesser pour autant de me branler. Ce n’est que lorsqu’elle se rendit compte que plus aucune salve ne jaillissait de ma queue immobile qu’elle se décida à recracher ma virilité momentanément apaisée.



Après un moment de silence, Marie me murmura :



Ne voulant pas me montrer égoïste, je m’empressai de proposer à ma tante de lui rendre la pareille :



Pour toute réponse, je l’attirai à moi et, déposant un chaste baiser sur son front ridé, je saisis le bas de sa jupe pour la retrousser. Mais ce que je découvris calma quelque peu mes élans… Marie portait un corset qui lui ceinturait les hanches, la taille et les seins. Je n’avais encore jamais vu ce genre de gaine. Peu de femmes aujourd’hui, où la mode était au string, utilisaient ce type de tenue !

Ma surprise passée, je glissai mes doigts entre les cuisses grassouillettes de ma parente pour atteindre l’entrejambe de sa culotte. Je ne fus pas spécialement étonné de trouver celle-ci largement humide. La masturbation et la succion de ma verge avaient quelque peu excité Marie.



Je restai sidéré à l’écoute de ces confidences. Ainsi, avec le temps, un couple pouvait perdre tout amour… Ces deux êtres qu’étaient mon oncle et ma tante avaient certainement dû s’aimer, à un moment de leur existence. Ils avaient dû, comme tous les amoureux du monde, se donner du plaisir chaque fois qu’ils en avaient la possibilité. Comment, trente ans après, cet amour a-t-il pu se transformer en simple tendresse - et encore ?

Voulant montrer à ma tante toute l’affection que je lui portais, je l’embrassai tendrement à la commissure de ses lèvres et lui murmurai :



Remontant mes doigts jusqu’à la ceinture de la culotte de nylon, j’entrepris alors de la baisser complètement, dénudant le bas-ventre de ma parente. Un bas-ventre abondamment velu. Tante Marie possédait une toison incroyablement épaisse et encore bien brune. Je me laissai tomber à genoux aux pieds de ma malheureuse compagne, afin d’avoir le visage à la hauteur de son mont de Vénus broussailleux. L’odeur épicée émanant de l’entrejambe dénudé me chatouilla les narines. Éprouvant un étrange désir devant ce pubis quinquagénaire, dont aucun fil blanc ne venait rompre la monotonie, j’entrepris de caresser la longue fente sexuelle, encore cachée au milieu de sa luxuriante forêt. Je commençai par gratter longuement les grandes lèvres sexuelles, cherchant le merveilleux bouton parmi les replis vulvaires. L’ayant trouvé, tapi au sommet de la longue sente embroussaillée, je l’effleurai et le titillai délicatement.


Debout, jambes largement écartées, ses deux mains accrochées à mon crâne, Marie me laissait œuvrer à ma guise. À genoux à ses pieds, je la sentais frémir chaque fois que mon ongle venait griffer doucement son clitoris. Des petits glapissements, pareils à ceux d’un nouveau-né, jaillissaient parfois de la gorge de ma victime. J’insistai longuement sur le bouton de chair rose et enflé. Tante Marie ne possédait pas un clito très gros. Il n’avait rien d’un berlingot, c’était plutôt un minuscule bonbon rose et luisant, mais extrêmement sensible. À mesure que je le triturais, je voyais les jambes de Marie frémir, fléchir. Mettant un point d’honneur à faire connaître à la belle-sœur de mon père un orgasme fabuleux, je m’acharnai sur son bouton d’amour de plus en plus gonflé. Soit je le frottai énergiquement sous la phalange de mon pouce, soit je réussissais à le pincer délicatement entre deux doigts. Chacun de mes attouchements déclenchait un petit gémissement de la part de ma victime.



Comme ses vagissements se faisaient de plus en plus rapprochés, je compris que ma compagne disait vrai et qu’elle approchait à grand pas de l’extase finale. Aussi je décidai de l’y amener rapidement. Abandonnant le clitoris maintenant gorgé de sang et extrêmement sensible, j’enfonçai mon majeur, puis mon index et enfin mon annulaire dans la chatte, d’où s’écoulait un véritable torrent de mouille brûlante.

Cette soudaine pénétration, à laquelle elle ne s’attendait pas, déclencha chez ma tante un orgasme violent et incontrôlable. Poussant un long râle de bonheur, Marie s’écroula sur les genoux, emprisonnant ma main entre ses cuisses parcourues de frémissements.


Nous restâmes bien six minutes ainsi, à attendre que ma tante reprenne ses esprits. Lorsqu’elle émergea enfin de ses vapeurs érotiques, Marie posa sa tête sur mon épaule.



Comme je me penchai vers elle pour l’embrasser sur les joues, Marie devança mon geste en collant ses lèvres aux miennes. Avant que je puisse réagir, je sentis sa langue s’enfoncer dans ma bouche à l’intérieur de laquelle elle entreprit un ballet désordonné. Marie avait beaucoup à apprendre sur la façon d’embrasser… Elle n’était pas plus douée pour les baisers, qu’elle ne l’était pour les masturbations ! Toute son éducation sexuelle aurait été à refaire. Je la saisis par la taille, qu’elle avait assez large, afin de lui rendre son baiser et, par la même occasion, lui apprendre à activer sa langue. Mais échappant à mon enlacement, Marie se recula précipitamment :



Je regagnai donc ma chambre. Les ronflements de l’oncle Eugène persistaient, m’empêchant de m’endormir. Je me remémorai ma soirée ? Je n’en revenais pas : j’avais déchargé dans la bouche de ma tante ! J’aurais même certainement pu la baiser, si j’avais insisté un peu. Tante Marie était dans un tel état de tristesse vis-à-vis de son époux, que je la sentais prête à s’abandonner au premier homme qui lui montrerait un peu de douceur et de compréhension. Et le pire, c’est que si elle avait été d’accord, je n’aurais eu aucun remord à lui faire l’amour.


Au bout d’une heure dans l’obscurité, le sommeil continuant à me fuir, je me levai afin d’aller boire un verre d’eau. Comme je m’approchais de la cuisine, je m’aperçus qu’elle était éclairée. Quelqu’un s’y trouvait, et ce ne pouvait être l’oncle Eugène dont j’entendais les ronflements. Poussant la porte, je découvris tante Marie, vêtue d’une longue chemise de nuit, un verre à la main.



Pour toute réponse, je l’attirai contre moi, la forçant à plaquer son ventre contre ma virilité qui, depuis un bon moment, avait retrouvé toute sa force. Et afin qu’elle ne tente pas de se soustraire à ce contact, je l’immobilisai en lui saisissant fermement les fesses.



Et pour achever de la persuader, j’imprimai un balancement à ses hanches, forçant ainsi son bas-ventre à se frotter contre la raideur de ma virilité tendue.



À la façon que ma tante avait de se frotter contre mon membre viril, je compris que la bataille était presque gagnée pour moi :



Lorsque nous passâmes devant la porte de sa chambre, d’où s’élevaient les ronflements d’Eugène, tante Marie eut un moment d’hésitation. Mais comme je la poussais en direction de la mienne, elle ne résista pas et me suivit. Arrivée près de mon lit, elle s’immobilisa, incapable de faire le moindre geste. M’asseyant sur le lit, je lui pris les mains et, doucement, la fis avancer jusqu’à moi. Sans un mot, comme si elle avait déjà honte de ce qu’elle allait faire, elle s étendit à côté de moi.

Je me penchai sur elle et tendrement je lui embrassai les lèvres. Lentement, ayant peur qu’elle se refuse soudainement, je repoussai les bretelles de sa chemise de nuit que je fis glisser le long de son corps frémissant.

Malgré son âge, ma tante possédait un corps étonnement ferme, bien qu’un peu enveloppé, et c’était dommage qu’elle ne sache pas le mettre en valeur. Du fait de leur petite taille ses seins, qui se tenaient encore bien, me firent penser à ceux d’une jouvencelle. Me penchant sur ces modèles réduits, je les embrassai lentement, avant de mordiller très délicatement les deux minuscules tétons roses. Sous mes baisers appuyés, Marie se mit à respirer plus vite, tandis que son bas-ventre s’agitait nerveusement. Comme je m’apprêtais à glisser ma bouche le long de son torse, en direction de son mont de Vénus, Marie m’arrêta :



Me rendant à ses raisons, comprenant que notre intimité ne pouvait s’éterniser, je m’étendis sur elle ; nos lèvres se trouvèrent, s’ouvrirent pour laisser passer nos langues qui s’enroulèrent en même temps. Tout en fouillant le palais humide de ma tante, j’épiais les ronflements de mon oncle.

Bien calé entre les cuisses grandes ouvertes de ma parente, je guidai mon membre gonflé par de savantes oscillations du bassin. Je n’eus pas à tâtonner longtemps, car ma sensuelle tante était si mouillée que ma verge glissa sans effort à l’intérieur de son corridor intime, pour se loger au plus profond de son vagin torride.

Afin de ne pas faire grincer le sommier, je m’activai doucement à l’intérieur de sa chatte accueillante. Pendant près d’un quart d’heure, je la pistonnai en douceur, faisant naviguer souplement ma queue dans un magma brûlant. Les yeux clos sur son plaisir, les mains accrochées à mes épaules, Marie haletait doucement. Peu à peu son ventre s’anima, d’abord timidement, puis de plus en plus sauvagement. Croisant soudain ses jambes dans mon dos, elle lança son sexe baveux au-devant de ma virilité, en m’encourageant d’une voix sourde :



Sentant ma tante au bord de l’orgasme, je stoppai net mon va-et-vient et retirai mon membre de sa vulve ruisselante.



Je la fis alors descendre du lit et la fis mettre à quatre pattes à même le sol. M’étant placé derrière elle, je pus alors contempler à loisir son énorme derrière, vaste, charnu. Une véritable croupe de jument berrichonne, séparée en son milieu par un long sillon.



Impatiente de retrouver la présence de mon dard à l’intérieur de son sexe, Marie s’écartela au maximum. Le visage plaqué sur la descente de lit, elle écarta son opulent fessier à l’aide de ses deux mains, afin de me faciliter l’accès à sa grotte intime. Lui saisissant alors les hanches, je présentai mon gland gonflé à l’entrée de la faille sexuelle et d’un violent coup de reins j’enfonçai la totalité de ma verge dans le vagin torride, arrachant un long râle à ma victime.



Je donnai libre cours à mes coups de reins. Geignant à la façon d’un nourrisson, Marie résista stoïquement à mon matraquage, les ongles plantés dans la chair tendre de ses fesses. Mais à la pistonner à cette cadence, je ne tardai pas à ressentir les prémices de la jouissance. Dans un râle inhumain, je déchargeai la totalité de ma semence dans le vagin élargi. Je restai planté dans le corps de ma tante, immobile, à attendre de reprendre mes esprits.


Ayant retrouvé une respiration normale, je me décidai alors à retirer ma verge du sexe gluant de ma tante. Celle-ci resta longuement le cul en l’air, prostrée, comme tétanisée. Les jambes flageolantes, je regagnai mon lit sur lequel je m’assis.

Se redressant enfin, Marie vint me rejoindre, une main à plat contre sa vulve :



Se penchant sur moi, elle déposa un léger baiser sur mes lèvres.



Me montrant sa paume, où en effet s’était répandu une petite quantité de mon sperme, elle la porta à sa bouche pour lécher d’une langue gourmande ma semence virile.



Sitôt ma tante partie, je sombrai dans un sommeil réparateur, jusqu’au lendemain huit heures. Il fallait que je me lève, car on devait tous se retrouver à dix heures pour le mariage civil. J’enfilai une robe de chambre et me dirigeai vers la cuisine où mon oncle et ma tante étaient déjà en train de déjeuner.



Lui avait complètement récupéré de sa « cuite » de la veille. À côté de lui, tante Marie sirotait lentement son café.



Nullement contrarié par nos remontrances, Eugène finit lentement son café et, après un rot sonore, se dirigea vers la salle de bain en chantonnant. Je me dépêchai à mon tour de vider mon bol et aidai ma tante à débarrasser la table. Marie ne disait mot. Je tentai de la dérider :



Étrangement, entendre ma tante me rappeler ce qui s’était passé la veille entre elle et moi déclencha en moi un début d’érection.



Elle se rapprocha de moi pour déposer une petite bise sur mes lèvres. Immédiatement je sentis ses mains se glisser sous ma robe de chambre. Avec un petit sourire complice, elle s’empara de ma bite et commença à me masturber lentement.



Ne désirant pas rester inactif, j’ouvris le peignoir qui recouvrait le corps de ma chaude tante. De nouveau son corps replet aux petits seins m’apparut dans sa totale nudité. Au bas de son ventre, l’épais triangle noir de sa toison formait comme un écu. Je glissai ma main droite entre ses cuisses potelées, cherchant la longue fente de sa chatte. Immédiatement, je dénichai son petit bouton déjà fort excité, que j’entrepris de frotter au même rythme que celui que tante Marie imposait à sa main le long de ma verge tendue. Marie ne tarda pas à accompagner le frottement de son clitoris d’une série de petits gémissements de plus en plus rapprochés à mesure que j’accélérais mes frottements.

Jugeant au bout d’un instant que ma tante était suffisamment excitée par mes attouchements sur son bouton d’amour, j’en profitai pour tenter une caresse perverse qui, depuis un moment, me trottait par la tête. Insidieusement, je glissai ma seconde main en direction de l’opulente croupe qui ondulait doucement. Réussissant à glisser mon majeur entre les deux énormes rondeurs jumelles, j’explorai la profonde raie où se cachait l’orifice de mes désirs. J’eus un peu de mal à localiser l’anus de ma compagne tant celle-ci possédait de grosses fesses, et la fente qui séparait ces dernières était d’une profondeur inouïe : un véritable défilé. L’ayant enfin déniché, après maints tâtonnements, je le frôlai de mon majeur. Surprise par cet attouchement auquel elle ne devait certainement pas être habituée, ma tante cessa aussitôt de me branler, dans l’attente de ce que j’allais faire.

Dans le silence soudain de la cuisine, nous parvint le bruit de la douche. Ce qui me rassura pour la suite des évènements.


Je tentai alors d’enfoncer mon doigt dans l’orifice secret de tante Marie. Opération délicate, tant ma parente était étroite de ce côté-la. L’oncle Eugène n’avait pas dû souvent explorer ce territoire défendu. Je dus vraiment forcer pour arriver enfin à faire pénétrer la première phalange de mon doigt dans le cul resserré. Marie me fixait, les yeux agrandis et les traits soudainement figés. Comprenant que j’aurais énormément de difficultés à poursuivre mon désir, je m’apprêtai à y renoncer lorsque mon regard tomba sur la plaque de beurre du déjeuner, encore en évidence sur la table. Ce qui me donna aussitôt une idée pour faciliter l’introduction anale que je souhaitais.

Retirant mon majeur du cul récalcitrant, je le plongeai, ainsi que mon index, dans la motte ramollie. Je les agitai longuement afin de bien les lubrifier. Puis une fois mes deux doigts recouverts d’une épaisse couche graisseuse, je les dirigeai vers la croupe convoitée.

Ayant suivi chacun de mes gestes, Marie, avec un sourire souleva sa robe de chambre et me présenta son opulent derrière :



Mais, désirant certainement me montrer sa bonne volonté, tante Marie s’accouda des deux bras sur la table de la cuisine, me présentant son fastueux derrière.



M’obéissant, Marie lança ses deux bras dans son dos et, saisissant ses deux masses fessières de ses mains elle les écarta largement, m’offrant la vision affolante de son orifice anal, brun et plissé. Plaçant alors mes doigts enduits de beurre contre l’anus que quelques poils brunâtres entouraient, je le badigeonnai copieusement. J’enfonçai d’abord mon majeur dans ce pertuis que je massai de l’intérieur. Puis je tentai d’y joindre mon index qui glissa aisément, pour ma plus grande joie. Afin d’habituer ma tante à cette nouvelle pénétration, j’entrepris de faire coulisser un moment mes deux doigts accolés.



Elle avait raison, l’oncle Eugène pouvait faire son apparition à tout moment. Tendant l’oreille, je l’entendis chanter dans la salle d’eau. J’avais encore quelques instants devant moi. Me plaçant derrière ma tante, je dirigeai mon gland gonflé face à l’orifice recherché et je commençai à pousser. J’enfonçai lentement mon membre, par petits coups, afin que tante Marie s’habitue à cette pénétration hors norme.



Les mains accrochées à ses larges hanches, je m’activai de plus en plus rapidement. J’enculai la femme de mon oncle, le frère de mon père, avec un plaisir extrême. De temps à autre, je me retirais du cul élargi pour enfoncer ma queue dans la chatte béante et ruisselante de mouille, que je pistonnais allègrement. Puis tout aussi rapidement je replongeais ma verge gluante dans le cul encore élargi. Tout en enculant frénétiquement tante Marie, afin d’atteindre rapidement la jouissance avant le retour de son mari, je lui fourrai deux doigts dans la chatte. Mais, un peu trop stressé par la proximité de mon oncle, j’éjaculai rapidement, sans pouvoir me maîtriser.

Malgré tout, Tante Marie était euphorique.



Nous reprîmes aussitôt une tenue plus correcte avant le retour de l’oncle Eugène.



Elle pénétra à son tour dans la salle de bain. Mon oncle chantonnait maintenant « Qu’est-ce qui va s’passer ce soir ! ». Je rangeai ma chambre, fis à mon tour ma toilette, m’habillai et me préparai à aller à la mairie.

Nous embarquâmes tous les trois et arrivâmes sur la place où se pressaient déjà les membres de la famille. Je retrouvai mes cousins (dont le futur marié), mes cousines, mon autre oncle Édouard et sa femme, les parents du marié. Quel bonheur de les revoir ! Tous me demandèrent des nouvelles de ma femme. Je leur expliquai qu’elle en avait encore pour un mois au moins, avant d’être d’aplomb. Les retrouvailles, les présentations durèrent un petit quart d’heure avant que n’arrivent la mariée et les siens. La cérémonie en elle-même ne m’intéressait pas et je me demandais plutôt dans quel groupe j’allais me retrouver. J’avais cru comprendre qu’on serait près de deux cents pour la soirée. J’espérais être avec les jeunes, car il fallait que je mette un terme à toutes les conneries que j’avais faites depuis que j’étais arrivé. J’avais baisé ma tante Marie, mais ce n’était pas un acte de tendresse, d’amour. C’était le hasard des sens de l’un et de l’autre qui avait permis de concrétiser nos instincts animaux.


Je revins au milieu de mes cousins. Je demandai quand même en déconnant s’il y avait de bons coups célibataires, ils se mirent tous à rire.



S’ils savaient combien j’en avais ratés, ils auraient encore pu se foutre davantage de ma gueule.



Je tournai mon regard vers une jeune brune, d’une beauté et d’une classe à couper le souffle, qui discutait au beau milieu d’un groupe et me tournait le dos. Je mis plusieurs secondes avant de me rappeler ce flirt de jeunesse avec qui j’avais joué souvent à touche-zizi… Mais encore une que j’avais ratée par maladresse ou inexpérience. Je ne voulus pas passer pour triste et m’approchai d’elle pour la saluer.



Je l’embrassai sur les deux joues. J’appris ainsi qu’elle était mariée, mais que son mari, actuellement au Kosovo, n’avait pu avoir une permission.



Je ne vis pas passer la cérémonie de la mairie. Je déconnais avec mes cousins tout en n’ayant en tête qu’une chose : c’était de trouver un plan pour essayer de choper Françoise. Je me rendis compte que celle-ci avait rejoint son groupe. Je me dis que c’était jouable… Je me retournai et tombai sur ma tante.



Putain, comment il faut faire gaffe ! Mais merci ma tante, je m’en serais douté. Elle continua sur un autre mode.



Elle rit de bon cœur.



En effet, dans ces campagnes, la noce peut durer depuis le samedi matin jusqu’au dimanche midi. Et pour celle-ci ça semblait bien parti. J’espérai que l’on n’allait faire qu’un repas léger pour le midi, car on était peu nombreux. Je m’en retournai vers mon oncle Eugène et lui conseillai de démarrer au Perrier, car sinon l’après-midi allait être dure avec les occasions… de trinquer et cette satanée chaleur.


On mangea. Je surveillai toujours mon oncle Eugène du coin de l’œil et je constatai avec plaisir qu’il était resté à l’eau, même pour le repas. Sa femme était radieuse, et tous deux étaient d’un entrain remarquable. Mais il fallait se presser, aller se changer pour certaines femmes, car la cérémonie religieuse avait lieu à seize heures.

La chaleur était vraiment intenable, tout le monde ruisselait… L’arrivée dans l’église apporta à chacun cette fraîcheur qu’on ne trouvait nulle part ailleurs. La cérémonie fut simple et chaleureuse ; toute l’assistance était émue.

La bouffée de chaleur qui nous frappa lorsqu’on sortit nous accabla de plein fouet, et chacun chercha l’ombre des arbres. Restait encore l’épreuve de la photo, et c’est ce qui provoqua une dizaine de malaises, surtout parmi les plus anciens, mais personne ne fut épargné ; c’est ainsi que l’un des témoins s’évanouit peu après. C’est donc moi qui pris sa place pour conduire les mariés pour les photos du couple. Ils prirent place à l’arrière du véhicule et je me retrouvai avec… Françoise, la témoin de la mariée, à mes côtés.

Le trajet dura vingt minutes, toujours avec cette satanée chaleur. À peine arrivés, les jeunes mariés s’engouffrèrent dans le studio et sa fraîcheur. Je sortis de la voiture pour m’abriter à l’ombre d’un arbre du jardin public.


Françoise me suivit et se rapprocha. Je n’hésitai pas : je pris ses lèvres et elle ne se refusa pas. Le baiser fut tendre et voluptueux, mais ce qui me surprit le plus, c’est qu’elle ne tarda pas à se mettre à genoux, à ouvrir ma braguette comme une furie. Mon sexe avait démarré au quart de tour. Elle le goba, le pompa, le masturba avec ses lèvres. Si bien qu’au bout de trois minutes, elle avala la totalité de mon sperme qu’elle avait si bien su tirer de mes couilles.

On était dans un espace public, elle était vraiment gonflée, mais à priori personne n’avait remarqué notre manège. Elle m’embrassa alors sur la bouche et me dit :



Je n’en croyais pas mes oreilles et me dis qu’il allait falloir reprendre des forces…




Pedro