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Temps de lecture estimé : 13 mn
31/08/06
Résumé:  Ce que je croyais être une parenthèse dans ma vie, mais qui a eu des conséquences heureuses que je n'apprendrai que beaucoup plus tard, trop tard.
Critères:  fh extracon alliance fépilée campagne jardin amour nudisme noculotte fellation 69 fdanus fsodo hdanus
Auteur : Tonio            Envoi mini-message
Isabelle ou une « parenthèse » dans ma vie

Je voudrais vous raconter ici un épisode de ma vie, il s’agit d’une tranche de vie, cela ne fait donc pas partie d’une série, même si je prépare un autre texte avec les mêmes acteurs.


Cela s’est passé il y a une dizaine d’année, j’étais marié avec Virginie, nous vivions à Singapour. Je devais me rendre à Bruxelles pour une formation. Celle-ci durait trois semaines, je pensais loger à l’hôtel, mais Virginie m’en dissuada.



C’est ainsi que je débarquais un soir de juin chez ma belle-sœur, belle n’est d’ailleurs pas usurpé. C’est une grande femme d’un mètre quatre-vingt, elle a des yeux bleus lumineux, un sourire ravageur, de longs cheveux blonds qui lui tombent au creux des reins, une taille fine qui met en valeur sa poitrine et des jambes interminables. Elle est toujours de bonne humeur, riant de toutes les blagues, sans pour autant tomber dans le rire gras chaque fois que le sujet est un peu leste, non il faudrait plutôt dire d’elle qu’elle a de l’esprit.

Elle était, à ce jour, divorcée sans enfants. Après sa séparation, elle avait trouvé une cure dans un village à la campagne, la maison était sûrement trop grande pour elle, mais elle l’avait décorée avec beaucoup de goût. L’université de Louvain n’étant qu’à une dizaine de kilomètres, elle pensait en louer une partie à des étudiantes. L’inconvénient de cette maison est les cloches de l’église, la cure est la plupart du temps à côté de celle-ci et elle se faisait sonner les cloches à toutes heures du jour et de la soirée. Heureusement la commune avait renoncé à marquer les heures après dix heures du soir et avant sept heures du matin. Tout le charme de la maison venait de son jardin, il était grand, plat et enclos de mur. Elle n’avait pas encore eu le temps de beaucoup y travailler, se contentant de tondre la pelouse.


Je sonnai à la porte, comme je n’obtenais pas de réponse, je décidai d’entrer avec la clé trouvée dans les fleurs à droite de l’entrée. Honnêtement il y a mieux comme cachette, car c’est bien le premier endroit que l’on va inspecter. De la musique aérobic jazz venait depuis le jardin, je traversai le salon et la vis sur la terrasse. Elle était entièrement nue et me tournait le dos. Virginie, ses parents et ses sœurs sont tous naturistes convaincus, j’avais déjà eu l’occasion de passer des vacances avec ses parents et Laurence, mais jamais avec elle. Je la voyais nue pour la première fois. Elle était debout, faisant des exercices d’assouplissement vers l’avant, j’avais une vue imprenable sur sa vallée des merveilles. Je me suis mis à bander immédiatement comme un âne, cela en était presque douloureux. Je tenais ma veste en main et la mit fort opportunément devant moi pour cacher mon émoi.



J’essayais de rester le plus naturel du monde. Elle se retourna et me sourit. Elle était vraiment superbe, elle avait de beaux seins fermes, couronnés par de grandes aréoles sombres, ses tétons ne pointaient pas particulièrement, sa chatte était partiellement épilée.



Elle s’approcha de moi tout naturellement et m’embrassa sur les deux joues, je faillis éjaculer sans me toucher, tant la situation était excitante et imprévue. J’essayais de la regarder dans les yeux et de ne pas laisser fureter mon regard sur ses appâts. Elle me demanda des nouvelles de sa sœur, des enfants, de notre vie sur place, j’étais au supplice. Elle semblait faire durer les choses malicieusement.



J’accueillis cette proposition avec soulagement.



Je montai mes affaires et me précipitai dans la salle de bain, en moins d’une minute j’étais nu sous la douche. Je laissai couler l’eau longuement tout en me caressant la queue d’une main, de l’autre je jouai avec mes couilles gorgées d’excitation, je fis coulisser ma main le long de ma tige, jouant avec le prépuce, le frein, tournant autour du gland, ouvrant et fermant le méat et je recommençai encore et encore. Je n’avais pas besoin de phantasmes, dès que je fermais les yeux je revoyais ses seins, son pubis délicieusement épilé, ses fesses, son œillet, sa chatte et à nouveau ses seins.

L’excitation monta brutalement, je sentis mes couilles et mon anus se contracter par spasmes, mon cerveau bouillonnait, je voyais des tâches bleues partout, j’avais la chair de poule, je m’astiquai la queue à toute vitesse et j’éjaculai abondement, imaginant lui faire subir les derniers outrages. Dix minutes plus tard j’étais calmé et habillé. Je la retrouvai au salon, elle portait un top écru, ses seins étaient libres de toutes contraintes, une jupe mi-longue complétait sa tenue, je l’imaginais la chatte à l’air, ma queue se réveillant déjà, j’arrêtai les phantasmes. Le dîner se passa agréablement, j’allai me coucher tôt étant un peu dans le gaz avec le décalage horaire.


La journée du dimanche se passa sans problèmes, il pleuvait, je n’eus donc plus l’occasion de la voir dans sa beauté nature. Je ne la vis presque pas les jours qui suivirent, je partais très tôt le matin pour éviter le trafic, le soir je rentrais assez tard, il avait été convenu qu’elle ne m’attende pas pour le dîner durant la semaine. Le vendredi nous finissions plus tôt pour permettre aux Européens de passer le week-end en famille. Il faisait enfin beau, après plusieurs jours de pluie, je rentrai chez elle, espérant la voir nue, je ne fus pas déçu, elle faisait sa gymnastique en musique dans le jardin.



J’improvisai.



Je réservai une table pour neuf heures, pris une douche, je me caressai longuement la queue, sans pour autant me faire jouir.


Elle portait un cœur croisé des plus suggestifs et un pantalon corsaire assez moulant, difficile de dire si elle portait un string ou simplement rien, j’optai pour le string. Le dîner se passa à merveille, je la draguais discrètement, elle semblait répondre favorablement à ma séduction, nous parlions à cœur ouvert, enfin surtout elle. En sortant du restaurant elle s’appuya sur moi et me posa un long baiser sur les lèvres, je sentais ses seins contre ma poitrine, ses tétons durs dardaient à travers le tissu, je voulus l’embrasser plus profondément mais elle se dégagea.



Elle passa son bras au creux du mien et nous marchâmes tranquillement vers la voiture ; portant un pantalon de toile, je ne pouvais pas masquer mon érection impérieuse, elle fit comme si de rien n’était, je la vis toutefois regarder en coin, elle semblait heureuse et flattée de l’hommage peu discret.


Arrivé à la maison, elle me donna encore un baisé appuyé, un tout petit peu moins long et me souhaita bonne nuit. En se dégageant sa main effleura mon sexe comme si elle voulait vérifier sa rigidité.


Le soleil et des bruits de vaisselle me réveillèrent, après une rapide douche je descendis les escaliers, j’avais décidé de rester nu. Elle était dans la cuisine nue, elle aussi, je me mis à bander aussitôt en la voyant, elle me regarda un instant dans les yeux, puis baissa son regard vers mon sexe turgescent, raide, rouge, réclamant des caresses.

La tension était palpable, j’étais attiré de toutes mes fibres vers cette femme, vers ce corps, elle semblait pétrifiée, son regard fixé sur mes attributs sexuels. Je fis deux pas vers elle, elle se jeta dans mes bras, nos bouches étaient scellées, nos langues se cherchaient, se caressaient, s’enroulaient, je passais les mains sur son dos, ses fesses, elle ne restait pas inactive, me caressant aussi le dos et les fesses. Mon sexe était collé sur son ventre, je sentais ses tétons durs, elle frissonnait sous mes caresses, poussait des petits gémissements de joie.


Je l’emmenai vers le salon et la poussai dans un fauteuil, je me laissai tomber à genoux devant elle, mis ses jambes sur mes épaules et me penchai pour lécher sa chatte d’une langue avide et fébrile. Elle me caressait les cheveux, maintenant ainsi mon visage contre son sexe, elle tremblait, gémissait, prononçait des mots sans queue ni tête. Elle mouillait abondamment, sa chatte était douce, son odeur était forte et m’excitait encore plus, son goût était un peu acide et poivré, je passais le long de ses grandes lèvres, dardant ma langue sur son clito, puis revenais entre ses lèvres, enfonçant ma langue le plus loin possible dans son puits d’amour, je recommençais encore et encore le même manège.

Elle sursautait chaque fois que je stimulais son clitoris, respirait profondément quand je la pénétrais avec la langue. Elle sursauta encore plus alors que ma langue s’aventurait hardiment sur son œillet, elle se contracta aspirant de l’air par la bouche comme un poisson hors de l’eau. Elle se pencha vers l’avant, plaquant ma bouche contre sa chatte, hurla son orgasme, je lapai longuement son plaisir, elle retomba dans le fauteuil comme une poupée de chiffon, reprenant son souffle, me regardant hébétée.


Je me redressai, ses jambes encore sur les épaules, la pénétrai en un seul mouvement, je cognai mon gland contre sa matrice, je lui triturai les tétons et me mis à la limer alternant les mouvements lents et rapides, elle ferma les yeux et se mit à hurler de plaisir, je soufflais comme une forge, courrais le marathon de ma vie. Maintenant je la labourais le plus vite possible, le plaisir me prenait tout entier, je frissonnais, gémissais, ma queue me faisait mal à force d’être bandée, je sentis la jouissance se ruer depuis le creux des reins vers mon sexe, j’éjaculai longuement, j’étais tétanisé par le plaisir.

Je restai emboîté dans son sexe, reprenant mon souffle, elle avait les yeux brillants, les joues rouges, les cheveux en bataille.

Je me dégageai dans un bruit humide et visqueux et me penchai à nouveau vers ses lèvres intimes, elles étaient rouges et gonflées. Son clito pointait fièrement vers moi. Je me mis à la lécher à nouveau, aspirant et léchant le mélange de sa mouille et de mon sperme. D’un mouvement souple, elle sortit du fauteuil et vint se mettre en soixante-neuf au-dessus de moi, son abricot coulait abondamment de nos liquides intimes, elle suça mon sexe avec gourmandise, cherchant à lui donner de la vigueur. Le traitement fut rapide et efficace, mon sexe reprit les proportions souhaitées.


Elle se leva et se mit à quatre pattes dans le fauteuil, me présentant ses fesses, je la pris en levrette, claquant mon ventre contre ses fesses, elle serrait son sexe autour du mien, je tenais une fesse dans chaque main et la limais comme un forcené. Elle me caressait entre ses jambes, jouant avec mes couilles, elle hurla à nouveau son plaisir, ce qui déclencha le mien. Je me reculai vers le sofa derrière moi, tout en la maintenant emboîtée sur mon sexe, je m’assis doucement. Elle se tourna délicatement vers moi et embrassa tout ce qui était à sa portée ; nous ne disions rien, nos mains, nos yeux et nos langues parlaient pour nous le langage de l’amour.


Nous avons fait l’amour tous les jours, partout, aussi souvent que possible, nous passions toutes les nuits ensembles. Au petit matin avant de partir, je la léchais pour garder son goût en bouche le plus longtemps possible.


Notre dernier jour était là, nous ne nous étions rien promis, nous avions discuté de la situation et avions décidé de garder cela comme une parenthèse sexuelle dans nos vies. Je crois surtout qu’elle ne voulait pas faire de peine à sa sœur.


Elle avait préparé un dîner froid sur la terrasse, se doutant bien que l’apéritif puisse durer très longtemps. Elle portait la même tenue que lors de notre premier dîner au restaurant, mais je savais qu’elle ne portait pas de culotte, je lui avais dit que cela m’excitait. Je lui avais dit aussi que les mots crus provoquaient le même effet. Cela semblait tellement dissonant lorsque ces mots sortaient de sa bouche.

Elle se lova dans mes bras, m’embrassant partout, me mordillant le lobe des oreilles, piquant de petits baisers dans le cou, frottant son ventre contre mon sexe raide de désir pour elle. Elle s’écarta, défit ma ceinture et laissa tomber mon pantalon sur mes chevilles, je ne portais pas non plus de sous-vêtements, mon sexe était dressé, impérieux, mon gland était rouge, une goutte d’excitation perlait. Elle se pencha et la lécha, puis s’agenouilla et regarda mon membre sous toutes ses coutures, le caressa, joua avec le prépuce, tout en léchant mes couilles, elle lécha la hampe, mordilla le gland, l’avala et recommença encore et encore.


Sa langue tournait autour du gland, elle me masturbait d’une main, l’autre explorait mes fesses, un doigt curieux vint toucher ma rosette et s’y enfonça. Elle se mit à me pomper tout en me branlant le cul à la même vitesse. J’écartai les jambes pour faciliter la pénétration, elle glissa un deuxième doigt, je n’étais pas habitué à ce genre de caresse, mais je trouvais cela très excitant. Elle me branlait la queue d’une main, labourait mon cul avec l’autre et pompait mon gland avec avidité. Je soufflais de plus en plus vite, sentais le plaisir comme un courant électrique me prendre dans le bassin, l’anus, les couilles, je sentais que je ne pourrais pas me retenir plus longtemps, je lui demandai, la suppliai d’arrêter, mais elle pompait, branlait, masturbait encore plus fort. J’explosai dans sa bouche, elle avala chaque trait de sperme. Elle garda mon sexe en bouche comme une friandise, jusqu’à ce qu’il fut complètement débandé.



Je la pris dans les bras, lui embrassai les lèvres, le nez, les yeux et je recommençai encore goûtant mon sperme dans sa bouche, fébrilement je lui enlevai son top et son corsaire puis je la poussai gentiment dans un fauteuil de jardin qui lui tendait les bras.



J’étais à genoux devant elle, la tête entre ses mains, ses yeux brillaient d’excitation.



D’une langue fiévreuse, je redécouvris la douceur de la peau de ses lèvres, passant et repassant autour, dardant sur son clito, elle réagissait immédiatement à cette sollicitation en se tendant, son souffle s’accélérait, elle me tenait fermement la tête sans pour autant lui imprimer de mouvements, je passais encore et encore entre ses lèvres, revenant chaque fois vers son clito pour augmenter son plaisir, je plongeai enfin la langue au plus profond de son sexe, l’embrassant sur les lèvres.

Elle jouit une première fois violemment en tremblant de tout son corps, elle gémissait, m’encourageait, je recommençai inlassablement ne lui laissant pas le temps de respirer, cherchant à la faire jouir encore une fois plus fort que la précédente. Elle mouillait abondamment, replia ses jambes sur son torse, releva les fesses et me poussa la tête vers son anus, je ne réfléchis pas et caressai sa rosette, dardant la langue pour l’ouvrir, je titillai son clito avec un pouce, enfonçai deux doigts entre ses lèvres, branlai son clito, branlai son sexe, branlai son anus avec la langue.


Elle se tendit comme un arc et hurla sa jouissance, mais au lieu de retomber comme une poupée dans le fauteuil, elle se dégagea, s’agenouilla sur les accoudoirs, agrippa le dossier à deux mains, me présentant les fesses, je pris la première matière grasse à proximité, du beurre, et m’enduit le gland, j’en pris sur les doigts et les enfonçai dans son œillet, élargissant le plus possible le passage.

Puis très doucement j’appuyai mon gland, poussant lentement mais inexorablement pour faire passer le gland, je la sentais se tendre se raidir un peu à cause de la douleur, je la calmai, lui parlai, une fois le gland passé, je poussai plus rapidement, elle sursauta, se tendit, me demanda d’arrêter. J’étais à fond, mon ventre collé contre ses fesses, je lui branlai doucement le clito pour la distraire et repris un mouvement de va-et-vient, plus ample, plus fort, plus rapide, elle gémissait, je ne pensais plus à rien sauf à lui baiser le cul, je cherchais mon plaisir, elle me criait de la baiser, de lui défoncer le cul, je soufflais, haletais, mon cerveau bouillonnait, j’explosai enfin.


Cela dura une minute, une heure, un jour, un an, un siècle, je ne sais plus, je n’avais jamais eu autant de plaisir de ma vie. Je la regardais hébété, mon sexe fiché dans ses reins, je me retirai avec autant de douceur que je n’en avais pas mis pour la prendre. Elle se releva, m’embrassa longuement sur la bouche.



Le reste de la soirée fut très calme de même que la nuit qui suivit. La séparation fut très triste.


Trois mois plus tard ma vie avait repris son cours normal, je n’avais eu aucune nouvelle d’Isabelle, comme si tout cela n’avait été qu’un rêve. En rentrant du bureau je trouvai Virginie rouge d’excitation :



« Sa visite m’a fait un bien fou, m’a ouvert de nouveaux horizons, cela a été un peu douloureux mais après ce fut une vraie révélation ». Tu comprends ce qu’elle a voulu dire ?



Tard dans la nuit j’ai appelé l’Europe, elle a décroché à la troisième sonnerie.