n° 10752 | Fiche technique | 7999 caractères | 7999Temps de lecture estimé : 6 mn | 09/09/06 |
Résumé: Le dimanche matin, gueule de bois et bite en fer, Atu karo soigne sa cuite et vire sa cutie, entre jus de pomme et belle Hélène. | ||||
Critères: fh fplusag fagée piscine hsoumis fdomine humilié(e) hmast anulingus hdanus | ||||
Auteur : Atu karo |
Je me réveille et j’ai la gueule de bois… Hier soir, je suis sorti et j’ai bu comme un trou, comme quasiment tous les vendredi et samedi soirs.
Je passe la tête par la fenêtre. Il y a un grand soleil dehors, il fait déjà chaud. Je tourne la tête vers la gauche et qui vois-je ? Hélène, la compagne de mon père, en train de se faire dorer le cul au bord de la piscine. Un beau cul d’ailleurs, bronzé à point et bien ferme. Huit heures de gym par semaine, ça sculpte un corps : malgré ses 51 ans, cette femme est magnifique. Quant à moi, 32 ans, je suis pas mal non plus, mais bon, en ce moment je suis célibataire : j’ai commencé par perdre mon boulot de consultant, puis je me suis fait plaquer par ma copine qui est partie avec un vieux plein de ronds, et je suis retourné chez papa, histoire de faire le point. Je suis fils unique, papa est riche, il travaille beaucoup et n’est quasiment jamais là. Hélène et moi profitons de la villa, nous sommes souvent seuls tous les deux, elle vit sa vie et moi la mienne. La maison est très grande, nous ne nous gênons pas.
Je prends une douche. Je suis encore soûl d’hier soir et c’est un plaisir de sentir l’eau couler sur mon corps. Je ferme les yeux, je me masse les couilles. J’imagine le corps d’Hélène… mon sexe commence à gonfler… merde, je suis vraiment bourré ce matin !
La toilette terminée, je file sur la terrasse de la piscine, histoire de piquer une tête. Elle est là, allongée sur le ventre, à même le sol, nue. Elle semble dormir et mon regard n’arrive pas à se détacher de ses fesses, de ses jambes, de son dos, de son cou… J’enlève la serviette qui m’enserre la taille et me retrouve nu moi aussi, les yeux rivés sur elle. Je reste là, à regarder, immobile, stoïque, le soleil me cogne sur la tête. J’avance et saute dans l’eau. Ça fait du bien ! Je sors la tête de l’eau et la tourne vers Hélène : elle me regarde d’un air dépité. Elle est belle, le visage marqué mais beau. Mon bruyant plongeon l’a réveillée.
Je sors de la piscine et je m’assois sur le rebord, les pieds dans l’eau. Elle est de l’autre côte du bassin, en face de moi. Mes yeux sont toujours braqués sur elle, je parcours les lignes de son corps. Elle aussi me regarde et je lis de l’ironie sur son visage. Nos regards se croisent, puis elle laisse descendre ses yeux vers mon sexe. Merde, je bande ! Je suis vraiment bourré… Bourré pour bourré, continuons dans le n’importe quoi. Je commence à me caresser le sexe, bien lentement. Je descends jusqu’aux couilles, je continue à la fixer.
Je continue à la regarder tout en astiquant mon sexe bandé. Elle tourne la tête de l’autre côté. J’ai la tête qui bourdonne et j’ai soif, un vrai lendemain de cuite. Je me lève et rentre dans la villa. J’ouvre le frigo et bois une grande rasade de jus de pomme à même le goulot :
Je sens une présence dans mon dos… une main se pose sur mon épaule et glisse vers mon cou.
Sa main descend le long de mon dos, son autre main passe sur mon torse. Puis elle commence à me caresser, l’une de ses mains descend vers le bas du dos tandis que l’autre se balade sur mes abdos. Je rêve, ma parole ! Je recommence à bander très fort et des frissons me traversent les reins. Toujours derrière moi, elle m’entoure de ses bras et saisit soudain mon sexe à deux mains en serrant très fort.
Elle me donne un léger coup de genou dans le coccyx.
Toujours derrière moi, les deux mains agrippées à ma queue, elle me fait marcher jusqu’au salon. Arrivée devant le sofa, elle me demande de m’agenouiller. J’ai maintenant les coudes posés sur le sofa et elle est toujours derrière moi. Elle desserre enfin la pression sur mon sexe. Je lâche :
Elle me caresse de nouveau, une main palpe mes couilles et ma tige, l’autre circule sur mes reins, descendant de temps à autres vers mes fesses. Elle parcourt ma colonne vertébrale avec sa langue, elle est douce, je n’ose plus rien dire et je grogne de plaisir comme une chatte. Elle continue toujours en douceur. De temps en temps, sa main passe entre mes fesses, effleurant légèrement ma raie, puis vient me gratter le bas des couilles.
J’ai maintenant le cul en bombe et j’ai mal à la bite tellement je bande. Ma belle Hélène a, elle aussi, complètement pété les plombs. Elle alterne les coups de langues entre mes couilles et ma grotte, tout en me griffant le dos. Elle grogne, elle vocifère, elle me traite de salope, elle ne sait plus ce qu’elle dit, ce qu’elle fait, elle est devenue complètement folle, j’ai l’impression qu’elle va me sauter. Puis, elle commence à me mettre un doigt dans la grotte et à faire des va-et-vient sans retenue. Je synchronise le mouvement de mes hanches avec ses coups de boutoir.
Elle continue son massage anal avec beaucoup d’habileté. Elle doit savoir comme c’est bon, elle a du se faire fister des dizaines de fois et elle sait exactement où faire pression pour augmenter mon plaisir. Elle rajoute un deuxième, puis un troisième doigt : je suis maintenant au septième ciel. Elle accélère le mouvement. Je sens ses seins sur mon dos. Elle se colle de plus en plus fort à moi, nos corps ondulent dans une même fréquence, nous ne faisons plus qu’un.
Je viens d’avoir mon premier vrai orgasme, tout ce que j’ai connu avant n’était que foutaises. Je reste là, le ventre écrasé sur le sofa, le cul éclaté. Hélène s’est affalée sur moi et je sens son corps sur mon dos, sa vulve ventousée sur mon coccyx. Elle gémit tout doucement, c’est doux, c’est bon… On reste comme ça plusieurs minutes, puis elle porte ses lèvres à mon cou et m’embrasse. Elle me dit doucement :
Elle se lève et sort de la villa. Je l’entends plonger dans la piscine.
J’ai mal à la tête et j’ai la bouche pâteuse. Qu’est ce que j’ai encore foutu ? Merde alors… Je vais aller me servir un pastis…