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Temps de lecture estimé : 17 mn
09/09/06
Résumé:  Comment mon mari m'amène à accepter une épilation définitive.
Critères:  fh couple fépilée sexshop fsoumise noculotte fgode pénétratio fsodo sm attache baillon yeuxbandés fouetfesse
Auteur : Damien
Vous auriez pu vous raser



Virginie - Partie I




Je m’appelle Virginie. Il y a treize ans de cela, j’ai rencontré Damien, mon mari maintenant. Il était gentil mais timide, encore puceau, et c’est moi qui ai dû faire les premiers pas. Les premiers, car un seul n’a pas suffit. Notre premier ébat ne fut pas une victoire ; l’armée tira avant que la troupe ne monte à l’assaut et tout termina au caniveau.

Mais bon : gentil, doux, attentif, il sut m’attendrir et patiemment, de rencontres en rencontres, il prit de l’assurance et sut me faire l’amour de mieux en mieux.


Mon précédent amant était un expert, et il m’avait enseignée et fait découvrir les plaisirs du sexe. Avant lui, je croyais être frigide, que l’orgasme n’était qu’une simulation, et je me demandais comment les femmes pouvaient ressentir du plaisir en se faisant remplir le minou.

C’est donc avec plaisir, en tant qu’experte cette fois, que j’initiais mon jeune puceau à l’art et à la manière de préparer, chauffer et consommer une femme - ou plutôt moi, car toutes mes demandes étaient centrées sur mes attentes.


Ce fut un excellent élève qui apprit vite et, avec dix ans d’arriérés sous le bras, il avait des réserves à revendre. Très rapidement il prit de l’initiative, proposa des positions, des situations nouvelles. Chose inédite par rapport à mon ex, il parlait pendant l’amour et savait me raconter des histoires cochonnes qui m’excitaient encore plus.


Trois mois après notre rencontre, nous vivions ensemble. Les pilous, culottes et tee-shirts que nous utilisions au début pour dormir étaient maintenant bannis du lit. C’est nus l’un contre l’autre, et parfois lui en moi que nous nous endormions.

Dès le début, il m’avait proposé de s’occuper de l’épilation de mon maillot, et cette idée me plut beaucoup. Étrange, moi qui n’aimait ni me montrer, ni être touchée, j’avais avec lui le besoin inverse. Avec beaucoup d’attentions, deux ou trois fois par semaine, il m’épilait le minou à la pince à épiler.


Je compris très vite qu’il aurait aimé que mon minou soit vierge de toute pilosité, mais je campais sur mon besoin de rester femme en conservant une portion de toison. Cette toison, au fil des ans, se rétrécissait de plus en plus. Il était expert de la pince, j’étais habituée aux picotements et mes poils pubiens perdaient de l’autorité et du terrain. La forêt était maintenant réduite au pourtour de ma fente.


Dès le premier été, je compris très vite qu’il aimait me voir en jupe courte, jambes nues, sans culotte. Cette situation lui permettait de caresser à loisir mes cuisses et de flatter mon entrejambe.

De mon côté, ce que j’aimais, c’est qu’il soit en bermuda, sans slip dessous. Cela me permettait de le toucher à volonté, surtout dans les lieux publics. Je m’amusais comme cela à le faire bander et à le laisser en plan au beau milieu d’un supermarché. Mais cela me permettait aussi de le caresser et lui faire une fellation en voiture, ou dans toutes autres occasions.


Si de son côté il nous fallut oublier le bermuda pendant les mauvais jours, un été suffit à me rendre accro à ses caresses sur mes jambes nues. Aux premiers froids, j’avais remis mes collants, mais ne plus avoir sa main caressant ma cuisse en voiture ou à la maison m’a vite agacée. J’ai donc pris le parti de bannir les collants de ma garde-robe. C’est donc jambes nues, avec des jupes plus longues, que je m’habillais pendant les frimas. Tout au plus, c’est une paire de bas que je mettais avec une jupe courte. Cela lui permettait de les descendre à la première occasion et d’avoir le contact de sa peau sur la mienne.

Avec cette tenue, ma culotte ne faisait pas long feu, et je savais qu’il se réjouissait de me l’ôter pour la mettre dans sa poche ; il se prenait pour le maître.




Depuis plus d’une décennie, ce sont ces règles ou pratiques simples qui règlent notre vie. Quelques objets achetés dans un sex-shop nous servent à intensifier nos ébats. Pour chacune de nos visites au sex-shop, j’arbore pour son plaisir la même tenue : une jupe en jean très courte, jambes nues, des bottes noires, un chemisier blanc, un blouson court en cas de froid, et surtout pas de sous-vêtement (ni en haut ni en bas). Je dois ainsi évoluer devant les rayons, sans oublier d’écarter les cuisses pour bien lui montrer mon bijou lorsque je me baisse.

Lors de notre dernière course, il avait ajouté à la tenue des boules de geisha dont la ficelle dépassait outrageusement. Je pense tout le monde en a profité dans la boutique : des pervers huileux qui bavent à longueur de journée devant les jaquettes de DVD, au vendeur de la boutique que mon mari a appelé pour quelques renseignements sur les boules de geisha vibrantes et autres stimulateurs de clitoris. Je suis sortie de la boutique avec un phare, le cœur battant la chamade, me sentant honteuse, mais avec la chatte qui coulait le long de mes cuisses. (J’ai même dû m’essuyer discrètement pour pouvoir marcher.) Pourtant, je ne suis pas exhibitionniste.


Comme je l’ai dit plus haut, mon mari souhaite très fort voir mon minou lisse. Je lui ai déjà procuré ce plaisir plusieurs fois et dans ces occasions, il ne me lâche pas d’une semelle et passerait volontiers sa journée à « cunnilinguer » ma chatte.

On peut dire simplement qu’il n’aime pas toute forme de pilosité chez une femme. Fort heureusement pour lui, hormis les endroits habituels (aisselles, mollets et maillot), je n’ai que quelques poils très clairs (je suis blonde) sur le reste du corps.


Cette aversion est quasiment une phobie chez lui. Combien de fois, en regardant un film, une émission, un magazine ou en se promenant, il me fait remarquer que telle nana a du poil aux bras, du poil aux cuisses. Ça dérape vite chez lui dans les délires de paillasson portugais à la place du minou ou de tricotage avec les poils de cuisses.


Récemment, il a retrouvé un ancien camarade de lycée. Ils s’étaient perdus de vue depuis vingt-cinq ans et se sont rencontrés par hasard dans un magasin de bricolage. Thierry, marié à une ravissante blonde prénommée Evelyne, est dermatologue. Nous avons sympathisé et plusieurs fois dîné chez les uns et les autres. Un soir, au cours d’un repas chez nous, Thierry nous raconte très enthousiaste la dernière acquisition de son cabinet médical : un laser destiné à réaliser des épilations définitives.

Tout de suite, je vois mon Damien très intéressé par le sujet et le voilà parti à demander à Thierry des explications sur le fonctionnement, le principe, la durée des traitements, la longévité du traitement, etc. Sa phobie du poil revient et il se prend pour un pilokiller.

Les laissant à leur conversation, nous papotons Evelyne et moi de choses intéressantes lorsque la dernière question de Damien me stoppe net :



Je vois déjà où il veut en venir. Ses questions, et surtout la dernière, ne sont pas sans arrière-pensée. Et ça se confirme. Une fois le repas terminé et nos invités partis, mon Damien attaque tout de suite :



Un peu gêné, Damien s’assoit dans le canapé en me tirant par la main. Il passe alors sa main sur mon avant-bras à rebrousse-poil.



Exclamation et interrogation. Comment réagir à ça ? Le baffer, l’envoyer ch… aux toilettes, ne rien dire et faire la gueule pendant une semaine ?



Un ange passe… Et puis il se ressaisit :



Il ne se désarme pas le bougre.



Comme qui dirait, la semaine des quatre jeudis.




Une semaine s’est passée, et Damien n’est pas encore revenu à la charge avec l’épilo-laser de Darth-Vador. J’étais prête à parier que la rediffusion allait bientôt avoir lieu. D’un autre côté, ses remarques avaient tout de même réussi un travail de sape. En effet, depuis plusieurs jours, en prenant ma douche, j’observe mes cuisses, et c’est vrai qu’au-dessus du genou, j’ai maintenant des poils plus gros, plus sombres et plus longs qu’il y a dix ans. La faute aux esthéticiennes qui à chaque séance, malgré mes remarques, montent toujours plus haut et dépassent le genou. À force, les poils repoussent plus drus. Tant qu’à faire les jambes, pourquoi pas les faire complètement ? Mais bon, je ne vais pas lui avouer ça, ou alors je déclare échec et mat tout de suite.


Deux soirs plus tard, bingo, l’empire contre-attaque. Il sait y faire mon bougre de mari. Il est d’abord monté dans la chambre avant moi. D’habitude, il m’attend toujours pour se mettre au lit, et là, la lumière était éteinte, même pas de lampe de chevet d’allumée.

« Sympa » pensai-je.

Alors que ma main va chercher l’interrupteur, derrière la porte entrebâillée, Damien arrive dans mon dos et me met un bandeau sur les yeux.


Docile, je me laisse faire. J’adore ça, quand il devient maître du jeu. Je sens quelque chose de froid bloquer mes poignets : une chaîne. Au clic, je pense qu’il a dû mettre un mousqueton pour la refermer. D’habitude c’est une ceinture de peignoir que j’arrive toujours à enlever, mais là, je vais avoir du mal, je suis bien coincée. C’est donc les mains attachées par-devant qu’il m’entraîne par la chaîne vers le lit.


Non, pas le lit, c’est notre fauteuil en velours que je rencontre. Avec un léger coup de cravache sur les fesses, il me fait mettre à genoux sur le fauteuil. Je le sens monter sur quelque chose, sûrement la chaise où il pose ses affaires, et mes bras sont tirés vers le haut. Il y a quelques années, il avait discrètement mis un anneau dans la poutre du plafond à cet endroit et il doit être en train de m’y attacher. Ça y est, je suis les bras en l’air, avec très peu de mou.

Comme c’est le week-end, je suis restée toute la journée sans culotte sous ma mini-jupe portefeuille, uniquement pour son bonheur. Ces quelques préparatifs en plus, je sens maintenant ma chatte couler le long de ma cuisse.

Il passe dans mon dos, me fait poser un pied à terre et l’autre sur le coussin du fauteuil. Alors que je suis ainsi fendue, les doigts de sa main droite sont en train d’explorer mon joyau sous ma jupe et découvrent sans peine mon clitoris déjà bien gonflé d’envie. Sa main gauche s’est glissée dans mon soutien-gorge et saisit le bout de mon sein. Elle passe de l’un à l’autre, et plonge ensuite dans mon dos pour faire sauter la fermeture. Un exploit : il réussit le crochetage du premier coup, d’habitude, il lui faut plusieurs tentatives…


Reprenant le chemin inverse, il flatte chacun de mes seins et remonte vers ma gorge. Sa main saisit le bas de mon visage et me force à pencher ma tête en arrière sur le côté. Mes lèvres rencontrent les siennes et sa langue vient fouiller la mienne. Il descend vers mon oreille, m’en mord le lobe et me murmure :



Ses caresses sur mon clito font leur effet. Je commence à ressentir l’envie d’être envahie en même temps. J’adore qu’il m’attache. Ah ! ce doigt sur mon clito, c’est insupportablement bon. Je lance mon bassin à la rencontre de son doigt pour que l’appui soit plus fort.

Sa main caresse ma cuisse en même temps, sa bouche tète mon sein, je ne vais pas résister encore longtemps.



Dans mon dos, je sens sa verge gonflée. Mais quand va-t-il enfin me pénétrer ? Si mes mains étaient libres, je l’aurai déjà empoigné et mis en moi.


Son gland touche enfin ma fente. Il est bien gros, bien excité, je le sens commencer une lente pénétration, et s’arrêter à peine la tête passée. C’est insupportable, il m’en faut plus. Je pousse alors vers l’arrière pour m’empaler dessus, et je reçois immédiatement une claque sur le creux de la cuisse :



Ce supplice devient insupportable. Son doigt magique qui me fait brûler le bas du ventre, et ce gland bien gonflé qui ne veut pas me soulager. Et cette bouche qui me tète le sein. Lorsque je me caresse, j’arrive à me faire jouir avec le clito, mais j’ai un manque ensuite. J’ai besoin d’être envahie. Là, ce jeu d’esclavage sexuel, ses stimulations et cette frustration m’empêchent de jouir. J’ai besoin d’être soulagée et qu’il explose en moi.



À ce moment-là, l’idée d’être constamment épilée m’excite et me fait encore plus chauffer.



Enfin il me soulage. D’un coup sec, il s’enfonce jusqu’à la garde. Ses va-et-vient sont amples, d’abord lents et de plus en plus rapides et brutaux. Son doigt continue son travail sur mon clito ultra-lubrifié.

Il plaque maintenant sa main derrière ma nuque, me forçant à me baisser, les bras au-dessus de la tête, bloqués par la chaîne, et continue son manège. Il est endurant et énorme ce soir, la situation l’excite diablement. Il grossit encore et encore. Je sais qu’il va jouir. Son éjaculation est violente, je sens son jet brûlant arriver au fond de mon vagin, et ce choc déclenche alors mon orgasme, violent et fort aussi, je crie ou plutôt je râle, je miaule tandis qu’il continue.

Mon chéri est vraiment excité ce soir, car il conserve son érection et continue son œuvre. Pour moi, c’est déferlante sur déferlante. J’ai la sensation d’être soulevée, de bientôt m’évanouir. Mes oreilles bourdonnent et je ne sais plus quel bruit j’émets. Je le sens grossir à nouveau en moi, signe annonciateur du bouquet final.


Son explosion est de nouveau énorme, comme son pieu. Le choc me fait hurler, je serre les dents et grogne. Pendant tout ce temps, son doigt n’a cessé de m’agacer le clitoris. La chaîne et ma position m’empêchent de me frotter plus fort sur sa main ou de contrôler la pénétration, à tel point que j’ai maintenant des spasmes dans le bas-ventre.


Il reste plaqué contre moi, son torse sur mon dos, figé en moi, bien calé au fond. Je sens le sang battre dans sa verge, son cœur répond dans mon dos à sa queue. Il m’embrasse la nuque, me caresse les cuisses, le ventre. Il me complimente, me serre fort contre lui.



Toujours avec mon bandeau sur les yeux, je l’entends attraper la boîte de mouchoirs en papier sur la commode, en prendre trois ou quatre, et tout en se dégageant de mon fourreau, il les coince en guise de bouchon entre mes lèvres.


Je crois alors qu’il va me libérer, mais au lieu de cela, je l’entends bouger et s’asseoir sur la chaise.



Il a de la suite dans les idées, mon cochon. Après ce qu’il m’a fait, j’ai envie de dire oui. Mais je serais faible. Si je dis non, je vais me mentir :



Un compromis pas si promis, mais pas trop con. Un peu comme un oui qui peut redevenir non.



Un silence, je l’entends toucher quelque chose. Qu’est-ce qu’il fait ? Soudain un contact froid, humide et un peu visqueux sur mon clito. Après le coup de chaleur, ce coup de froid me refait dresser la pointe de mes seins. Il recommence à me caresser avec du lubrifiant.



Il s’est levé, passe derrière moi, ouvre et retire ma jupe portefeuille. Il retire ensuite le bouchon de papier.


« Ça va couler, me dis-je. Il va y en avoir partout sur le fauteuil… Fait ch… Oh là ! »


Je reconnais la chose, il vient de m’introduire le gros gode « fabrication maison ». Un moulage de sa queue en plastique, bien dur, bien gros. À son extrémité extérieure, il y a un anneau enfiché, et clairement, je le sens en train de me passer une fine chaîne autour de la taille. Il la boucle avec un mousqueton. Un autre contact froid dans la raie des fesses : il vient d’accrocher une autre chaîne derrière, la passe dans l’anneau du gode, et la boucle devant de façon bien serrée. Il ne doit plus y avoir beaucoup du gode en dehors de moi.



Un flash ? J’ai bien vu un flash !



Mais peine perdue : en guise de réponse il introduit une boule dans ma bouche et une bande se resserre autour ma tête. Un bâillon-boule ! Souvent on avait évoqué l’usage de cet accessoire au cours de nos ébats, mais jamais au cours de nos virées en sex-shop nous n’en avions acheté.



C’est malin, c’est tout ce que je peux dire ! Le voilà qui fait comme cet idiot de dentiste, qui vous pose des questions alors qu’il est en train de vous transformer la porcelaine en gruyère.



Une chose vibre maintenant sur mon clito. Il vient de coincer une des boules de geisha vibrantes entre le gode et la chaîne, bien plaquée sur mon clitoris.

C’est différent de son doigt. Juste une vibration qui devient agaçante. La taille du gode m’empêche de resserrer les cuisses pour diminuer la gêne, et la vibration commence à me chauffer.

Oui, c’est différent, j’aime moins. Mais ma situation de soumise, attachée, bâillonnée, aveuglée, godée et branlée m’excite terriblement.


Il relève mon chemisier, m’embrasse dans le dos, la nuque, les bras, les cuisses. J’aime ses baisers. Ses mains me caressent partout.



Accélération des vibrations de la boule sur le clito. Ça devient dur, j’ai la gorge qui se serre, j’ai envie d’écarter ou de resserrer les cuisses, de faire quelque chose pour que ce soit plus fort ou plus faible. Sur ce rythme, la boule fait maintenant vibrer le gode mammouth aussi. J’ai comme des fourmis dans tout le bas-ventre. Je n’ai même pas réagi lorsqu’il m’a envoyé une giclée du tube de lubrifiant entre et dans les fesses.


Mais maintenant, je le sens écarter la chaîne, présenter son gland et appuyer sur mon œillet. Mon salaud, il est vraiment excité. Je n’ai pas beaucoup l’habitude de le recevoir de ce côté, mais une chose est sûre : il n’est pas aussi gros que cela, d’habitude. J’essaye de bouger, mais je reçois une claque sur les fesses. Il appuie.

Ça rentre tout seul ! À mon grand étonnement, je ne sens pas la brûlure habituelle et il n’a même pas pris la peine d’y aller doucement. Je ne suis plus maîtresse de mon corps, le plaisir me fait tout accepter.


Je ne sais pas combien de temps il a joué avec mon petit cul. Son pilonnage anal, les vibrations, le gode, le bâillon, le bandeau, les chaînes, ses doigts qui me pincent le bout des seins, ses morsures dans le cou, tout cela me réduit à l’état de chatte en chaleur. Je me sens en sueur lorsqu’il finit par jouir dans mon fondement. Il reste alors figé en moi un long moment, me serrant dans ses bras, le sang battant très fort dans sa queue.


Puis il commence par enlever le bâillon, retire les chaînes du gode et de la boule, le bandeau des yeux, et détache mes mains. J’ai les bras engourdis. J’attrape des mouchoirs pour essuyer le sperme qui coule entre mes cuisses. Il est encore en moi et continue son câlin.

C’est incroyable : en tant normal, une fois l’excitation arrêtée, mon anneau se referme et l’expulse. Là, cela fait bien cinq minutes que tout est arrêté, et on dirait que mon anus reste ouvert et continue à l’accepter. Certes, Damien a perdu de sa splendeur, mais quand même, il est toujours en place. Doucement, il se retire.



S’asseyant sur le fauteuil, il m’attire sur ses genoux et me caresse les cuisses.



Ça y est, j’ai craqué.