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Temps de lecture estimé : 11 mn
11/09/06
Résumé:  Je n'avais jamais remarqué cette femme auparavant, avant qu'elle ne lève les bras pour saisir un dossier.
Critères:  fh fplusag fagée poilu(e)s voir odeurs fellation cunnilingu pénétratio
Auteur : Martin L
Du poil sous les bras

J’avais nouvellement emménagé dans cette petite bourgade de trente mille habitants et j’avais proposé mes services à une association, histoire de sortir du cadre étroit de mon environnement professionnel et d’échapper à mon isolement.

C’est là que j’ai rencontré Nadine. Cette femme très effacée venait presque tous les jours car elle était à la retraite depuis de nombreuses années. Elle se mettait dans un coin et s’occupait de prendre les appels téléphoniques, consacrant le reste de son temps à faire un peu de secrétariat. Nous, de notre côté, nous étions plutôt sur le terrain, à nous occuper des personnes nécessiteuses.


Les six premiers mois, je ne fis pas trop attention à cette mamie plutôt boulotte, préférant de loin la compagnie des jeunes femmes de mon âge. Il faut dire aussi que presque quarante ans nous séparaient et que cela ne facilitait pas les rapprochements. Tout ce que je peux dire c’est qu’elle était gentille, serviable, et toujours de bonne humeur.

Deux ou trois fois, alors que j’attendais une mission au local, nous avions un peu discuté. Elle était veuve depuis cinq ans et n’avait pas de famille, voilà pourquoi elle consacrait toute son énergie à cette association.


C’est à l’approche de l’été qu’un événement insolite la mit tout de suite en valeur. C’était un soir assez tard, nous étions trois ou quatre dans le local. La journée avait été chaude et nous transpirions beaucoup. Nadine s’est levée et est allée chercher un dossier en haut de l’étagère. Ce faisant, elle a levé les bras. C’est là que j’ai vu cette grosse touffe de poil sous son aisselle. J’étais juste en face d’elle, je ne pouvais pas ne pas la voir. J’en ai été de suite intensément troublé. Pourtant je n’avais jamais fantasmé jusqu’alors sur les femmes poilues et toutes mes petites amies, à commencer par les plus brunes, prenaient toujours soin de soigneusement s’épiler.


Le trouble m’envahit. Je ne savais plus trop où j’en étais. Tout le reste de la soirée je n’eus de cesse de reluquer de temps à autre sous les bras de cette collègue, tâche rendue aisée par ce t-shirt sans manche. Poilue, elle l’était beaucoup plus que la normale, de longs poils noirs qui déliraient sans complexe.

À un moment donné, son regard croisa le mien et je crois qu’elle s’aperçut de suite que je n’étais pas très clair et que je passais mon temps à la mater. Par la suite, je me fis plus discret.


Ce soir-là, de retour dans mon appart, je me suis de suite intensément masturbé en pensant à cette femme très poilue, essayant d’imaginer l’exubérance de sa toison pubienne.


Les jours qui suivirent renforcèrent encore mes fantasmes envers elle. Elle avait certes troqué son t-shirt sans manche pour un t-shirt avec manche mais, malgré tout, dans certaines positions, j’arrivais à entrevoir quelques poils. Et puis, chaleur aidant, de très larges auréoles de transpiration ornaient ses dessous de bras et contribuaient à mon excitation. Ajoutez à cela que je venais de découvrir une poitrine plutôt généreuse, j’en étais tout retourné, complètement déstabilisé par cette femme qui avait pourtant l’âge de ma grand-mère.

Ce n’était que pur fantasme et je n’osais évidemment aucune démarche envers elle, essayant le plus possible de rester discret mais usant, malgré tout, de petits stratagèmes pour mieux la reluquer.


La semaine suivante, je fus gâté car elle remit des t-shirts sans manche et je pus à nouveau contempler cette belle touffe noirâtre. Il va sans dire que je passais plus de temps au local et que je ne m’empressais plus pour accepter les missions. Il va aussi sans dire que je venais pratiquement tous les jours.


Comment remarqua-t-elle mon obsession pour sa pilosité ? Je ne devais pas être très discret. Toujours est-il que c’est elle qui prit les choses en main. Elle attendit que nous soyons seuls, ce qui était fort rare car il y avait toujours beaucoup de passage à l’assoc’. Et, la porte à peine refermée, la voici qui m’annonça :



À ces propos, le sang m’est monté à la tête, je devais être rouge jusqu’aux oreilles.



Sur ce, la voici qui lève sans hésiter un bras pour dévoiler cette touffe épaisse.



Rouge de confusion, je me suis levé, j’ai contourné la table en titubant. Je voulais toucher, je voulais sentir. Elle avait toujours son bras levé, j’ai plongé mon nez sous son aisselle, dans sa luxuriante forêt poilue et j’ai reniflé à perdre haleine l’odeur forte et acide de ses dessous de bras.

Quel arôme, quel fumet ! Je devenais comme fou. J’ai posé une main sur sa poitrine pour la palper intensément. Elle n’a rien fait pour m’en dissuader. Au contraire, quand ma bouche a cherché la sienne pour une pelle baveuse, elle s’est donnée entièrement, sans réticence, comme une petite jeunette qui découvre le premier amour.


Le loquet de la porte nous a sortis de ce monde irréel. Je n’ai eu que le temps de me dégager. Sylviane entrait déjà dans la pièce. Elle a dû nous trouver un peu trop proches l’un de l’autre ou un peu trop évaporés, elle nous a regardés d’une façon qui m’a semblée bizarre. Je suis retourné m’asseoir sagement à ma place, évitant de regarder à nouveau Nadine.

Par la suite, les autres sont arrivés et un grand brouhaha a envahi la pièce. J’étais dans ma petite bulle, sur mon petit nuage, en train de me remémorer l’instant précis où nos langues s’étaient enlacées, où ma main avait palpé sa grosse poitrine, et puis l’odeur forte et acidulée de ses aisselles. Durant le peu de regards que je risquais vers Nadine, j’y découvrais ses poils, ses rondeurs harmonieuses, et ses envies pressantes.

Mine de rien, elle m’a tendu une feuille, un ordre de mission. Mais dans le coin en bas, elle avait en plus écrit : 31, rue des acacias. Appartement 33. J’y serai vers 23 heures.


---oooOooo---


L’immeuble était vieillot et partiellement tagué. Troisième étage sans ascenseur. J’ai frappé à la porte. Mon cœur battait la chamade. Nadine est venue m’ouvrir. Surprenante Nadine ! Vêtue d’une nuisette noire très sexy, partiellement transparente, elle était visiblement entièrement nue dessous, le fin voile masquant à peine sa lourde poitrine.

Bandante à souhait, cette mamie de 64 piges qui, la porte à peine refermée, s’est de suite jetée à mon cou pour que je lui roule une pelle.


Par la suite, je l’ai culbutée sur la banquette du salon. Sous ses aisselles, ses longs poils étaient toujours là, luisants de transpiration. Elle s’était changée mais n’avait pas pris de douche. Le fumet acide de ses dessous de bras était intact. Je l’ai inhalé de longues minutes puis j’ai léché ses poils. Je devenais comme fou. Cette odeur forte me faisait bander comme un taureau. Elle semblait prendre un réel plaisir à ce que je lui lèche les dessous de bras et se laissait aller, lascive.



Mon regard croisa le sien, ses yeux étaient joueurs et rieurs, elle m’incitait à aller plus loin. Après m’être attardé un instant sur ses deux obus lourds en forme de poire, je décidai d’explorer plus bas, puisque telle était son invitation.

Il est vrai que ses touffes de poil sous les aisselles faisaient finalement pâle figure devant l’abondance de cette forêt tropicale qui ornait son entrecuisse. De longs poils noirs désordonnés s’ébattaient en tous sens, camouflant entièrement ses lèvres et débordant partout de son pubis. Ils remontaient jusqu’à son nombril et remplissaient la raie de ses fesses, elle était presque plus poilue qu’un mec, elle en avait partout. Quant au fumet qui allait avec, il vous prenait de suite à la gorge : une forte odeur de chatte, une forte odeur de pisse, un arôme inoubliable, fort, prégnant, impérial, qui me mit dans tous mes états.

Je me mis à la lécher partout comme un dératé, excité au dernier degré, en essayant de profiter au maximum de ces odeurs divines.


À ce rythme, au rythme délirant de mes coups de langue, elle ne tarda pas à se cabrer, je sentis la jouissance lui traverser le corps, ce qui ne m’empêcha pas de continuer. Un flot de liquide bien chaud m’aspergea la bouche, j’essayai d’en avaler le maximum avant de reprendre mes explorations profondes de sa chatte et de la raie poilue de ses fesses. Elle gémissait à nouveau en écartant largement les cuisses pour mieux s’offrir à moi.


Nous fîmes une petite pause, le temps pour elle de retirer sa nuisette, qui aurait pu faire les frais de mon empressement. Puis elle extirpa prestement mon sexe de mon pantalon et entreprit de le lécher. Ma queue, quoique modeste, la faisait saliver et c’était un réel plaisir d’aller et venir dans cette bouche juteuse qui en bavait d’envie.

Pour ne pas jouir trop vite, je replongeai entre ses cuisses poilues pour dévorer à nouveau sa chatte et explorer son anus avec le bout de ma langue. Cette raie poilue était un puissant aphrodisiaque et j’eus de suite l’idée et l’envie de sodomiser ce petit trou ridé (ce que je fis d’ailleurs quelques semaines plus tard). Mais pour l’heure c’est surtout sa chatte qui en voulait :



C’est elle qui réclamait avec insistance cette queue en elle.

Comme je faisais mine de me déshabiller :



Ma queue plongea dans son antre humide. Cela me faisait tout drôle d’être ainsi, en costard, en train de baiser une vieille femme aux seins mous et aux aisselles poilues. Drôle mais paradoxalement très excitant. Je voyais ses rondeurs s’agiter en tous sens, au rythme de mes coups de rein. Sa chatte était accueillante, chaude et coulante. Curieusement je m’y sentais divinement bien.

Au comble de l’excitation, je me penchai vers ses aisselles pour renifler son odeur ce qui déclencha chez moi un orgasme irrépressible et c’est d’un jet puissant que je me vidai en elle. J’avais rarement pris un tel pied, peut-être jamais en fait. La vision de tous ces poils associée à ces odeurs très fortes m’avait conduit dans un état second.




Un peu plus tard, elle se leva et je pus voir mon jus couler le long de ses cuisses. Mais elle ne fit rien pour stopper cet écoulement. Entièrement nue, elle évoluait sans gêne dans la pièce pour mon plus grand plaisir. Quel beau spectacle que celui de cette femme mûre à la toison touffue ! Mais je dois avouer que ses touffes sous les aisselles étaient pour moi un encore plus grand aphrodisiaque.


Tandis qu’elle allait nous préparer un café, je fis le tour de la pièce. C’est là que je mis la main sur son album de photos. Beaucoup représentaient un moustachu qui devait être son défunt mari. Quelques photos d’elle également. J’en remarquai trois ou quatre où l’on devinait quelques poils sous ses aisselles. Déjà plus jeune, elle était tout aussi poilue.

Elle revint avec les cafés, toujours aussi nature :



Effectivement ! Que des photos coquines mettant en valeur la pilosité abondante de cette belle femme. Il y en avait sous toutes les coutures, dans toutes les positions.



Les photos étaient plutôt pornos, des gros plans de queues pénétrant sa chatte poilue. Une page retint plus précisément mon attention. On y voyait plusieurs clichés d’un homme se masturbant sous ses aisselles. Je me mis à bander de suite en ravalant ma salive…



Je me suis levé et me suis approché d’elle et j’ai glissé ma queue sous un de ses bras, commençant de suite à la baiser ainsi. J’étais tellement excité qu’il ne m’a pas fallu longtemps pour jouir. Mon jus a coulé en abondance sur ses poils luisants, les graissant un peu plus.




Nous avons fini la nuit dans son lit, mais beaucoup plus calmement et sans refaire l’amour. Ce n’est qu’au petit matin que, profitant de la lumière naissante, j’ai pu inspecter en détail sa riche toison pubienne, jusqu’au sillon de ses fesses… Quelques baisers et quelques attouchements eurent vite fait de la réveiller et de lui donner envie. Nouveaux ébats lubriques entre ses cuisses poilues… qui me firent arriver en retard au boulot.



---oooOooo---


Nous sommes restés amants pendant presque deux ans, avec Nadine, en fait pratiquement jusqu’à sa mort. Dans les derniers temps, elle se sentait fatiguée. Une crise cardiaque l’a terrassée un beau matin et les médecins n’ont rien pu faire.

Presque deux ans de bonheur intense avec cette femme poilue et sans complexe, deux ans de bonheur. De temps à autres elle recevait aussi un dénommé Jean-Claude. À chaque fois j’étais vraiment jaloux. Sans vouloir vraiment me l’avouer, je crois que j’étais non seulement amoureux de ses poils mais aussi tout simplement amoureux d’elle et de sa joie de vivre.

Maintenant, je la regrette profondément, même s’il m’arrive de me consoler avec d’autres femmes tout aussi poilues…