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14/09/06
Résumé:  De mes premiers pas dans la vie à mes premiers pas en amour.
Critères:  fh fplusag extracon poilu(e)s bain campagne amour voir fellation pénétratio fdanus
Auteur : Tonio            Envoi mini-message
Mes premiers pas

Mes premiers pas



J’ai fait mes premiers pas sur cette terre bien avant qu’un homme ne marche sur la lune. Je suis l’aîné d’une famille de quatre enfants, aujourd’hui on parlerait probablement de famille recomposée, disons que nous avons tous un père différent.


Le mien, un baroudeur-aventurier, était grand, mince, très blond et avait des yeux d’un bleu sombre presque violet. Ma mère en est tombée raide dingue au premier regard, il l’a quittée aux premiers signes de grossesse ; pour autant il m’a reconnu, bien entendu cela ne se fit pas de manière classique, non il le fit dans une mission diplomatique en Papouasie Nouvelle-Guinée. Je recevais de loin en loin une carte postale de pays tous plus exotiques les uns que les autres ; dans des lettres, encore plus rares, il me racontait dans les détails ses expéditions dans la forêt amazonienne, dans l’Himalaya à la conquête d’un sommet, en Afrique, dans des régions du globe où les hommes vivent encore à l’âge de la pierre ou encore dans les régions polaires.

Il est décédé, banalement, dans un accident de voiture sur le périphérique de Paris il y aura deux ans au mois de septembre. J’ai appris la nouvelle par le notaire chargé de sa succession, il m’a laissé une Land Rover Defender et un compte en banque bien garni, fruit de ses collaborations avec des magazines géographiques et de ses livres relatant ses expéditions. Physiquement je lui ressemble un peu, mais j’ai les cheveux noirs de ma mère, de lui j’ai aussi le goût pour la randonnée et l’escalade mais pas au même niveau que lui. Ah oui, aussi la photo, enfin moi ce sont plutôt des photos à caractère érotique. Je vous raconterai cela à une autre occasion.


Ma mère, très fleur bleue, s’enflammait au premier regard. Croyant chaque fois au grand amour, elle mettait un enfant en route. Malgré toute sa naïveté, au bout du quatrième elle arrêta de se reproduire. À chaque amour nous déménagions tous. J’ai eu beaucoup de "pères", plus ou moins sympas et beaucoup de lieux de vie différents.


Durant ma sixième nous avons déménagé, à la campagne, dans le Gers. J’ai adoré tout de suite la région, mais pas du tout le nouveau compagnon de ma mère. Bien qu’ayant un type méditerranéen, elle est d’origine du nord-est de la France. Elle m’y trouva une pension, pensant que sa famille me prendrait en charge durant les week-ends et certaines vacances. J’y arrivai pour la rentrée en cinquième et y restai bon an mal an jusqu’au bac.


Je passais les week-ends chez mes grands-parents ou dans la famille, ce n’était pas très marrant car ils n’avaient pas d’enfants de mon âge et surtout ils jugeaient assez sévèrement ma mère. J’étais très solitaire, je me promenais souvent seul dans la campagne et je m’y adonnais à mon activité favorite : l’observation des oiseaux. Un Jules de ma mère, passionné d’ornithologie, avait voulu se rapprocher de moi et voyant mon intérêt pour le chant des oiseaux, m’avait donné son ancien matériel d’écoute et d’observation. Les week-ends, je battais la campagne avec mon enregistreur et mes jumelles d’approche.


Cette vie un peu bohème m’avait fait prendre un brin de retard dans mes études, j’avais déjà fêté mes dix-huit ans à l’entame de la terminale, cette année-là restera marquée pour toujours dans ma mémoire. Ce fut l’année de mon bac, ouais bon je l’ai eu à dix-neuf ans, et ce fut l’année de mes grandes découvertes en matières sexuelles.


Le bac en poche, je ne savais pas trop quoi faire pour l’été, je n’avais pas trop envie de rentrer en famille. Thomas, mon ami des premiers jours au collège, me proposa de passer l’été avec lui. Ma mère qui entre-temps avait déménagé en Bretagne, en passant par le Jura et la Savoie, ne trouva rien à redire et m’envoya un petit pécule pour voyager un peu et participer aux frais du ménage de ma famille d’accueil. Cette participation m’ayant été catégoriquement refusée, mon pécule s’était arrondi.


Les parents de Tom formaient un drôle de couple, dans la quarantaine l’un et l’autre. Lui, professeur de gymnastique, avait de la prestance et était plutôt bel homme. Elle était petite, courte sur pattes, ni belle, ni jolie, elle avait une poitrine plantureuse qui m’avait fait fantasmer plus d’une fois rien qu’à y penser, mais elle était douce et intelligente, elle enseignait la philo dans le même lycée que son mari où d’ailleurs elle était notoirement cocue, celui-ci la trompant avec toute la gent féminine. Il s’était fait une rigueur de ne jamais s’attaquer aux lycéennes, quand bien même elles seraient majeures. Selon la rumeur, qui semblait bien informée, il avait une préférence pour les femmes mariées ou en couple, cela n’offrait, selon lui, que des avantages.


Paul, le père de Tom, était passionné de vélo et sillonnait la campagne tous les week-ends, j’avais découvert que ce n’était qu’une façade pour retrouver ses maîtresses dans les bois. Cet hiver-là, durant mes promenades, j’avais trouvé par hasard son jardin secret, une cabane au bord d’un étang. Durant la mauvaise saison j’avais observé ses allées et venues, ainsi que celles de ses conquêtes.

La cabane n’était pas grande, elle se composait d’une pièce avec une grande cheminée en pierre, une table, quelques chaises et surtout un lit ; c’était l’extérieur qui était le plus agréable, la terrasse couverte avait la même taille que la pièce. Bien souvent il attendait assis dehors jusqu’à l’arrivée de la conquête du moment. Durant tout l’hiver, je ne pus rien voir, ni entendre, de bien intéressant. La rumeur publique voulait qu’il change de maîtresse toutes les semaines. Ce que j’observais était très différent, Martine prof de géographie, était l’unique visiteuse. Grande, mince, brune, la trentaine, divorcée avec des jumelles, physiquement pas mal du tout – bandante. Evidemment, j’avais fantasmé sur elle, comme je le faisais avec toutes les autres profs ou filles du bahut.


Le mois de mai était très chaud, malgré l’approche du bac ou à cause de celui-ci, j’avais encore plus besoin de me défouler dans les bois, mes promenades m’emmenaient toujours en priorité vers la cabane de Paul. Mon matériel d’écoute et d’observation prenait alors une toute autre affectation.


Ce matin-là, j’étais bien en avance et j’avais pris le temps de m’installer pour voir sans être vu, il arriva au bout d’une demi-heure, entra dans la cabane et en ressortit avec deux sièges de jardin, il rentra à nouveau et en ressortit complètement à poil, il était musclé, des abdos en tablette de chocolat et une longue queue avec laquelle il jouait négligemment en observant les alentours. Il s’assit et se mit à feuilleter une revue porno, sa queue se redressa lentement, elle me semblait à peine moins longue que la mienne et un peu plus fine.


« Putain je vois bander le père de Tom, sûr que ça va chauffer aujourd’hui », pensai-je. Ce n’était pas la première fois que je voyais bander un mec, mais c’était la première fois que je voyais bander un adulte, père de mon meilleur pote.


Avant lui, je l’ai entendue arriver, elle était en tenue de tennis, petite robe blanche, au ras des fesses, socquettes de la même couleur et chaussures ad hoc.



Elle s’assit à califourchon sur ses jambes et se pencha en avant pour l’embrasser, il passa une main sous le peu de jupe et constata comme moi qu’elle ne portait pas de culotte.



« Putain vas-y baise cette salope, elle ne demande que ça… »


Mais ils prenaient leur temps, moi j’avais baissé mon short et je m’astiquais à toute vitesse. Il lui massait doucement les fesses, je voyais sa raie sombre en contraste avec la blancheur de son cul. La mode des femmes épilées n’était pas encore passée par là.



D’un geste rapide elle enleva sa robe, elle était maintenant entièrement nue sur ses genoux.



Le ton était taquin, ils s’embrassaient entre chaque mot, se caressaient, se chatouillaient, se pelotaient.



Ils se levèrent, elle en profita pour lui caresser la bite et s’assit, passa les genoux sur les accoudoirs et poussa les fesses en avant pour faciliter le travail de son amant. Il vint entre ses jambes lui présenter ses hommages. Je ne pouvais plus qu’imaginer ce qu’il faisait, je me concentrai alors sur son visage à elle. Les yeux clos, elle savourait l’instant, elle passait ses doigts dans ses cheveux comme pour lui maintenir la tête à l’endroit de son plaisir.

Mon sexe était dur comme du bois, je le caressai comme un fou.


Elle se mordit les lèvres, respira plus vite en fronçant le nez, ouvrit la bouche tout en serrant les dents, son souffle s’accéléra, elle lui maintint fermement la tête, brusquement elle se courba en avant, ouvrit grand la bouche, parla, cria, hurla, rejeta la tête en arrière, le corps arqué vers l’avant, ses muscles étaient tendus comme des cordes, elle essaya de le repousser, mais lui tint bon. Elle poussa sur ses jambes pour soulever son bassin, la tête à nouveau en avant elle l’encouragea, agita frénétiquement son ventre pour augmenter le plaisir, se tendit à nouveau en arrière comme un arc dans un long cri muet de jouissance, retomba enfin comme une poupée de chiffon, haletant comme si elle avait couru le cent mètres de sa vie. J’avais joui devant ce spectacle admirable, me demandant comment le siège avait résisté à un tel traitement. Il n’en avait pas fini avec elle et l’aida à se relever.



Il la caressa partout, la lécha, l’embrassa ; puis elle se retourna, me faisant face, se pencha un peu en avant, écarta les jambes et s’appuya à deux mains à un montant de la terrasse, lui vint par derrière, la pénétra d’un seul mouvement, les mains sur les fesses, il commença directement sur un tempo rapide, puis au bout d’un temps alterna avec des périodes plus lentes. Je regardais à loisir son beau corps, des seins bien hauts, couronnés d’aréoles sombres, ils semblaient animés d’une vie propre, allant de gauche et de droite, je pouvais voir ses tétons tendus vers le plaisir, son ventre plat et sa touffe pubienne sauvage. C’est eux qui allaient me tuer, je bandais de nouveau et cherchais à me donner du plaisir devant ce spectacle. Les gémissements se transformèrent bien vite en hurlements, je n’eus pas besoin de mon micro directionnel pour les entendre. Ils se tendirent simultanément comme des cordes, il la poussait vers l’avant, elle reculait le plus possible.



Ce fut comme un électrochoc, elle arrêta net de bouger, se dégagea de son emprise, le laissant là la bite à l’air et se retourna d’un air vindicatif.



« Putain, ça c’est du scoop ! »


La scène était un peu surréaliste, elle avait encore les fesses rougies par le traitement qu’il lui avait infligé, il avait la tête basse et la queue pendante. Elle ramassa sa robe de tennis, l’enfila et partit d’un air de défi. Elle se retourna pour asséner le coup fatal.



Il voulut répondre mais elle, courant, était déjà loin. J’étais choqué de la façon dont elle avait parlé d’Evelyne, même si ce n’était pas tout à fait faux.


Il resta là prostré, puis rangea les sièges en se traitant de tous les noms. Une demi-heure plus tard, il avait quitté les lieux. J’attendis dix minutes avant de m’éloigner.



* * * * *



Parfois le samedi, Evelyne nous emmenait, Tom et moi, en randonnée dans la région, nous partions avec un copieux pique-nique, c’était l’occasion de grandes discussions en général peu sérieuses. Nous gardions la philo pour la semaine. Non vraiment elle n’était pas belle, mais étant puceau et la sachant délaissée, je me serais bien occupé d’elle si Tom n’avait pas été là.


Fin juin la chance me sourit : nous attendions les résultats du bac avant de partir à deux randonner en Corse ; Tom avait été invité par sa grand-mère à passer le week-end à Paris. Paul annonça qu’il partait trois jours à vélo, Evelyne, pas dupe, en fut un peu affectée car elle savait que son mari entretenait une relation régulière depuis quelques mois. Pour autant elle ne dit rien, accepta en souriant et dans la foulée me proposa une randonnée.



Nous étions partis le vendredi soir dans sa Renault 4 qui avait déjà bien vécu, avions trouvés une ferme et y avions passé la nuit. La fermière nous avait préparé un copieux petit-déjeuner et un non moins copieux pique-nique, elle nous avait donné quelques indications pour une belle promenade d’une journée, nous avait fait de grands signes souriant à « cette mère et son fils ».


Il faisait chaud malgré l’ombre, nous étions au bord de l’eau dans un endroit où la rivière faisait un coude, nous n’avions pas rencontré âme qui vive depuis plus de quatre heures.



Et sans plus de façons, elle posa son sac, enleva ses chaussures et commença à se déshabiller. Je fis de même avec un petit temps de retard. Une fois nue, elle entra dans l’eau jusqu’aux genoux et se pencha en avant pour s’asperger, de dos à deux mètres de moi. Je vis ses fesses musclées, sa raie, j’imaginai le trou de son cul, sa chatte, ses poils, son clito… Lorsqu’elle se retourna, elle me vit les yeux hors des orbites, la bouche ouverte, les bras ballants et la queue raide et turgescente.



Je restai là pétrifié, elle s’approcha, me saisit par la queue et commença à me branler doucement.



Je la vis, enfin surtout dans son regard, je vis le désir sexuel, avant d’avoir pu faire quoi que ce soit je sentis une colonne de feu partir de mon anus vers le gland, mes couilles se comprimer, même si j’avais eu envie je n’aurais pu retenir le stress éjaculatoire, trois long jets de foutre s’écrasèrent sur ses seins. Elle se pencha en avant et me prit directement en bouche, sa langue tournant autour de mon gland en une sarabande infernale, d’une main elle me branla à toute vitesse, elle aspira, pompa mon gland, de l’autre main elle joua avec mes couilles, glissa un doigt curieux vers mon œil de bronze, j’écartai les jambes pour lui faciliter le passage.

Maintenant elle goûtait mon gland du bout de la langue, branlant moins vite ma tige, elle la léchait sur toute la longueur puis la reprenait en bouche le plus loin possible, son doigt avait forcé mon anus, allait et venait, je m’appuyais à ses épaules pour ne pas tomber, cela devenait de plus en plus fort. Le ciel, les nuages tout tournait, dansait dans tous les sens, mon cul, ma queue brûlait et à nouveau cette colonne de feu, les couilles douloureuses, les jets de foutre, elle pompait goulûment, aspirait, je haletais, j’avais envie de hurler de plaisir, de douleur, lui demander d’arrêter, non, de continuer encore et encore, je dois encore jouir, je peux encore jouir, je veux encore jouir dans sa bouche, par sa bouche…


Et puis tout s’obscurcit autour de moi. Lorsque j’ouvris les yeux, j’étais couché sur la berge, son visage près du mien, le regard mi-inquiet, mi-heureux.



Il y avait comme un ton de fierté dans sa voix. J’attirai son visage et l’embrassai directement, nos langues s’enlacèrent doucement, je goûtai mon sperme dans sa bouche, de la main droite j’explorai ses seins, jouant avec les tétons, elle me la prit doucement et la dirigea vers son intimité, son pubis était dru, fourni, elle me guida, me fit toucher, caresser son clito, ensuite ses lèvres grasses, gonflées, trempées de désir, dirigea mon doigt dans son sexe, l’en fit ressortir pour le guider vers son anus.

Je tournai lentement autour puis m’y enfonçai, chacun de mes mouvements sur son clito, autour de ses lèvres, dans sa chatte, dans son cul était accompagné de petits cris étouffés dans ma bouche, de contractions de son beau corps. Elle me prit par les épaules et me poussa doucement mais fermement vers son puits d’amour, plus un mot n’était nécessaire, je léchai ses seins, trouvant les traces de ma première éjaculation, elle continuait de pousser vers le bas, j’avais maintenant le nez dans sa toison, humant son odeur de femme, la langue sur son clito, deux doigts dans sa chatte et deux dans son cul, je relevai un peu la tête pour goûter les doigts, mais elle me poussa ferment la tête tout en relevant son bassin.



Je me mis à la lécher, jouant avec son clito, plongeant la langue dans son vagin, mordillant les lèvres, je lui branlai le cul à toute vitesse, je passais et repassais sur ses lèvres, son clito, elle tremblait, gémissait, grognait, prononçait des mots incompréhensibles, puis se tendit et hurla son plaisir. Je recommençai encore et encore, perdant la notion du temps, je l’entendis pleurer, m’appeler, me demandant de continuer, d’arrêter, de la lécher encore.

Je bandais à bloc de nouveau, je fis un mouvement vers l’avant, elle comprit, me prit par la queue et me guida dans son sexe. En une fois j’étais au fond, elle bougea, me forçant à aller et venir de plus en plus vite, de plus en plus fort, elle me serrait avec une force incroyable, puis essayait de me repousser, mais je la tenais, je la possédais, encore et encore…


Je sentis un plaisir incroyable monter dans mon ventre, se ruer dans le sien, nous avons explosé en même temps, longuement puis, doucement la tempête s’est calmée. Je restai en elle, elle me parlait, me berçait, me dorlotait, me disait qu’elle n’avait jamais autant joui, je lui disais qu’elle était belle, que je n’aurais jamais voulu une autre femme pour ma première fois. Puis lentement, presque à regret ma queue est sortie de son sexe.

Nous nous sommes baigné nus, je courais dans l’eau, faisant des bonds comme un chien fou, criant, riant, l’aspergeant ; à un moment je suis tombé dans une attitude grotesque, elle fut prise d’un fou rire impossible à arrêter, à tel point qu’un jet saccadé sortit de sa chatte.


En hoquetant de rire elle me dit :



Je me sentais tout puissant, le maître du monde : une femme m’avait sucé, je l’avais léchée, on avait baisé comme des fous. Je bandais, en quelques pas je fus sur elle, elle se mit à quatre pattes et me présenta son cul énorme, je la pris en une fois, mon ventre claquait sur ses fesses. C’était bestial, je la dominais, je voyais ma queue entrer et sortir de sa chatte, elle m’encourageait, me demandait d’aller plus vite, plus fort, plus loin, je me penchais, attrapais ses seins à pleines mains, triturais les tétons, lui arrachant des cris de jouissances, elle tremblait, sa chatte se contractait sur ma tige, je ne pus résister longtemps à un tel traitement et me répandis dans son ventre.


Vers six heures nous nous sommes remis en route et sommes arrivés tard à la ferme, après une discussion avec la fermière nous sommes rentrés dans la grange prétextant être fatigués. À peine à l’intérieur je la pris dans les bras, pris sa bouche et passai la main sous sa jupe, pas le moindre morceau de tissu, sous mes doigts sa chatte.



Elle commença à monter les barreaux de l’échelle, je l’arrêtai au deuxième, ses fesses étaient à hauteur de ma queue, je baissai mon pantalon et la pris debout. Très vite je me mis à rire et lui en expliquai la raison.



Elle eut à nouveau un fou rire comme à la rivière, j’eus brusquement une sensation de chaleur sur ma queue. Je la pris lascivement dans les bras.



Elle se dégagea et finit de monter l’échelle, le temps de remonter mon pantalon, de la suivre, elle était déjà nue sur la couverture. Je me débarrassai de mes vêtements et fus immédiatement en elle, son sexe était trempé d’excitation. Très vite elle me repoussa un peu, releva légèrement les fesses et guida mon gland vers sa corolle.



Je m’enfonçai dans son anus très lentement de peur de lui faire mal, mais elle me souriait, je pris un rythme soutenu, m’enfonçant le plus possible, sa chatte coulait sur ma queue, elle me disait de mots crus, me racontait l’effet que cela lui faisait, c’était trop pour moi et je me vidai dans ses intestins. Puis je m’effondrai en croix sur elle et m’endormis.


Au petit matin je lui racontai ce que je savais de Paul, ce que j’avais vu et entendu. Elle me souriait doucement, me dit qu’il avait toujours été comme ça, qu’ils s’étaient mariés parce qu’elle était enceinte.



Nous sommes repartis le lendemain tranquillement, je fumais une cigarette dans la cour de la ferme pendant qu’elle discutait à l’intérieur, elle souriait en sortant.



Tom et Paul ne rentrant que le lundi nous avons encore passé la nuit ensemble, cela m’a fait tout drôle de la baiser dans son lit.


Le lendemain, les résultats étaient affichés, Tom et moi étions reçus avec mention bien. Nous avons bouclé nos sacs deux jours plus tard, avant de partir Evelyne est venue dans ma chambre.



Elle se mit à rire comme une folle.