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n° 10773Fiche technique206259 caractères206259
Temps de lecture estimé : 106 mn
15/09/06
corrigé 30/05/21
Résumé:  Histoires dont vous êtes le héros.
Critères:  fh hh fhh ffh hbi couple extracon inconnu médical vacances piscine hsoumis voir exhib trans hmast intermast entreseins fellation cunnilingu anulingus fist pénétratio fsodo hsodo humour -héros
Auteur : Christine      
Petit jeu pour vous les hommes

L’idée du jeu qui suit m’est venue de la fameuse série littéraire « Le livre dont vous êtes le héros » dont je raffolais pendant ma jeunesse. Je dois aussi reconnaître que Gufti Shank m’a devancée avec son histoire érotique « À vous de jouer », déjà parue sur ce site (n°5415). Rendons ainsi à César ce qui lui revient.


J’ai simplement voulu créer un petit jeu amusant mettant en scène un personnage dont vous choisissez la destinée à travers des choix et des situations multiples. J’ai initialement rédigé le début de cette histoire avec un personnage féminin, mais incarner un homme ouvrait bien plus de possibilités dans les situations (et je suppose que la majorité des lecteurs du site sont des hommes, donc c’est plus drôle !). Alors j’ai recommencé.


Tout cela bien sûr n’est qu’un jeu, le personnage, les situations, les dialogues et les lieux sont tout aussi improbables : le but est de s’amuser. Passez donc votre chemin si vous cherchez une histoire érotique raffinée et un texte châtié, j’ai fait dans le direct-live !

C’est un gentil petit jeu pour la rentrée, à stoker sur son PC entre deux réunions ou un week-end de pluie, une variante entre deux Sudoku !


Quelques conseils :



Allez ! En piste ! À vous de jouer !


Pour le décompte après une heure de jeu, notez bien ce qui vous arrive et le barême !


Râteau = - 1

Hôpital ou raclée = - 2

Mauvaise conduite envers une femme ou un homme = - 3


Bises sur la joue = + 1

Bonne action = + 2

Rapports torrides et plans cul d’enfer = + 3






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Préambule


Vous incarnez un jeune homme de 25 ans, de bonne éducation et plutôt mignon, célibataire depuis peu. Vous rejoignez les plages de Charente-Maritime pour les vacances d’été. Vous avez jeté votre dévolu sur le « Camping des Sables » et devez être rejoint en milieu de semaine par un groupe de fidèles amis. Cela vous laisse donc trois jours pour flâner dans le camping, faire des rencontres et, pourquoi pas, déjà repérer quelques sympathiques conquêtes pour les vacances, grand coquin !


Vous garez votre 307 coupé cabriolet et réalisez votre entrée, le sourire aux lèvres, dans ce petit camping intimiste. Le soleil est au zénith, votre short de plage et votre chemise bariolée bien en évidence. Il est temps d’entrer en scène. C’est à vous de jouer !


* Rendez-vous au 1 .



1

Un petit chemin vous mène vers l’intérieur. Il a l’air très sympathique, ce camping, avec ses grands arbres porteurs d’ombre, ses petits emplacements fleuris malgré la chaleur et ses petits baraquements en bois de couleur. Quasiment tous les emplacements ont l’air occupés et il est temps d’aller chercher vos clés pour confirmer votre réservation et déplier votre tente.

Vous vous dirigez vers la baraque d’accueil.


* Rendez-vous au 5 .



2



Et vous agrémentez cette gentille phrase par un bon coup de poing sur le nez ! Il est au sol et gémit et vous avez envie de lui faire passer ses envies. Alors qu’il commence à crier, vous lui mettez un bon coup de pied dans les côtes… Méchant garçon que vous êtes !

C’est alors que la porte d’une des douches s’ouvre à proximité de vous. Apparaît alors un colosse musculeux de deux mètres, juste « habillé » d’une minuscule serviette rose.



C’est alors qu’un des poings monstrueux du grand bébé rose vous fauche à la tempe et vous expédie vous encastrer dans une porte de douche.



C’est l’improbable et innocente phrase que vous entendez en dernier avant de perdre connaissance.

Il y a vraiment une morale dans tout cela et pour vous, c’est encore la case Hôpital, vous le méritez bien, vilain chouchou !



3

Après plusieurs tentatives, vous parvenez enfin à ajuster le tir sous les conseils avisés de votre professeur. Vous êtes parvenu à oublier son agaçante poitrine pour vous concentrer uniquement sur votre gestuelle.



Vous regagnez alors avec entrain le petit groupe de jeunes femmes et ne tardez à démontrer à ces dames l’étendue de vos progrès sous les commentaires élogieux et enthousiastes de vos partenaires.



Cette jolie amazone est peut-être moins farouche qu’elle n’y paraît au premier abord. Vous décochez chacun votre tour vos flèches et faites connaissance. Malgré vos rapides progrès vous ne faites pas le poids contre elle, et elle vous colle une sympathique raclée dans la bonne humeur.


* Il est temps de passer aux choses sérieuses et vous préparez une de vos phrases types d’attaque d’objectifs féminins qui ont fait leur preuve. Rendez-vous en 84 .

* Vous poursuivez sans esclandre votre cours. Rendez-vous en 94 .



4

Les secondes s’enchaînent alors que vous faites votre possible pour garder une position adéquate dans les airs afin d’optimiser votre pénétration dans l’eau. C’est un véritable saut de l’ange que vous essayez là ! Alors que tout se passait pour le mieux, vous sentez votre corps partir légèrement en arrière au deux tiers de la descente. Dans un effort désespéré de vos muscles, vous tentez de vous redresser pour éviter le clash. Malheureusement, vous percutez l’eau sur le dos et vous prenez un méga plat dans un grand splash retentissant… puis c’est le trou noir !

Vous vous réveillez avec une drôle de sensation dans la bouche et ouvrez les yeux. C’est le grand blond qui termine un bouche-à-bouche et vous tapote sur le ventre. Les filles sont là et vous lancent des regards mi-inquiets, mi-amusés.

La plus jolie a disparu et vous sentez de grandes brûlures dans le dos.



C’est quand même pas votre jour !



5

Vous entrez dans le vaste hall d’accueil du camping. Il est bombardé d’affiches et de prospectus en tout genre. Ils vantent les mérites des restaurants, balades, marchés et loueurs de vélos locaux. Tout cela fleure bon les vacances. Un petit coup d’œil vers le comptoir vous révèle la présence d’un beau jeune homme blond en habit de surfeur et son sourire ultra-bright qui attend le chaland, le torse bombé. Il est accompagné pour le conseil aux estivants d’une jeune femme brune. Elle a un air angélique malgré son sourire commercial, des traits fins et harmonieux, genre jeune étudiante qui travaille pour payer ses vacances mais un petit quelque chose de sérieux en plus. Vous l’imaginez bien studieuse pour suivre ses cours et gérer ses économies. L’argent de votre papa vous a mis à l’abri de ce genre de préoccupations. On lui donnerait le bon Dieu sans confession. Seuls ses jolis yeux bleus et l’imposante déformation de son tee-shirt au niveau de la poitrine attirent votre regard lubrique, alors que vous auriez facilement zappé sur un profil moins sage.

Vous vous approchez du comptoir d’informations.


* Pour aborder le jeune homme au look de surfer, rendez-vous au 8 .

* Pour aborder la jeune fille brune et sage rendez-vous au 15 .



6

Vous vous approchez de la porte de la tente et avant de vous annoncer, vous êtes accueilli chaleureusement par votre nouvel ami.



Vous apercevez la bouteille de Bourbon et vous vous dites une nouvelle fois que ce jeune homme aux jolies fesses a vraiment très bon goût.



Vous ne croyez pas si bien dire…


* Rendez-vous au 73 .



7

Vous opérez à nouveau un rapprochement et n’êtes plus qu’à une demi-douzaine de mètres de la bimbo, profitant du dernier arbre à proximité. La belle créature (pour ceux qui aiment les blondes siliconée à l’air sosotte) a pris place sur le transat en position assise et d’un geste élégant, elle tire l’attache de son haut de maillot. L’effet de la pesanteur est immédiat et le morceau de tissu libère deux gros mamelons blancs à la chaleur du soleil de ce bel après-midi. Vos yeux s’écarquillent devant la taille impressionnante de sa poitrine et Médor se réveille à nouveau dans votre short, même si la médecine de riches se cache sans doute derrière tout cela.

Encore un pas pour bien apercevoir et vous notez avec satisfaction qu’en dehors de ces rondeurs appréciables, son ventre est parfaitement plat et ses fesses tout ce qu’il y a de plus enviables. C’est à ce moment-là que votre pied marche sur cette maudite branche cassée dans un CLAC net, et que la tête de la bimbo pivote vers votre position.

Pas moyen de se cacher, vous êtes démasqué !


* Pour fuir en courant avant que cela tourne mal et revenir à l’accueil, retour au 5 .

* Pour choisir un emplacement moins risqué, retour au 19 .

* Pour affronter le courroux de la blonde aux seins nourriciers, rendez-vous au 38 .



8

Vous approchez du comptoir et le sourire du bellâtre s’élargit de quelques centimètres.



Voilà qui est rapide et efficace !

Mais peut-être que ce jeune homme pourrait être très utile pour le séjour :



Vous lui glissez un petit billet de cent euros en douce… Il jette un petit regard entendu vers sa collègue et vous répond poliment qu’il faut le découvrir par vous-même en vous promenant et en lisant les prospectus. Dans le même temps, il glisse, d’un geste rapide et discret, une petite carte vers vous que vous vous empressez de faire disparaître dans la poche de votre short. Ce jeune homme a vraiment l’air très bien !


* Rendez-vous au 19 .



9

Vous êtes tout émoustillé et vous vous dites qu’une telle invitation teintée de malice ne peut venir que d’une femme de bon goût.

Vous testez alors discrètement votre allonge sous la table et vous rendez compte que votre jambe peut atteindre sans grande difficulté les longues jambes délicieuses de cette reine de beauté. Vous laissez tomber votre sandalette et dénudez ainsi un de vos pieds. Vous tendez avec une précaution infinie votre jambe sur la droite, vers la belle, à l’opposé de celle de son compagnon. Enfin, votre pied frôle la peau douce et charnelle et vos yeux capturent une infime variation dans le visage souriant de la jolie jeune femme…


* Rendez-vous en 91 .



10



Toujours méfiante, elle a quand même dénié se tourner et s’asseoir. Il vous faut toute votre concentration pour la regarder dans les yeux.



Cette fois-ci, un léger doute dans ses yeux la trahit.



* - Pourquoi pas, nous continuerons à bavarder un peu. Rendez-vous en 48 .

* - Non merci, vous avez eu votre lot d’émotions, répondez-vous en lui laissant votre portable. Retour en 19 .



11

Les deux belles naïades ont disparu dans les eaux bleutées et vous vous dépêchez à votre tour de vous revêtir de tout ce qui est nécessaire pour les rejoindre. Cette image vous rappelle un jeune naufragé attiré par deux belles sirènes… Le contact de l’eau fraîche vous sort de vos rêveries et vous essayez de vous repérer dans les eaux de l’Atlantique. Ce sont des fonds magnifiques avec des petits rochers, des coquillages et des coraux de toutes les couleurs. Vous apercevez bientôt les deux belles qui ondulent leurs corps gracieux côtes à côte. Une belle érection sous-marine déforme votre maillot de bain. Vous nagez avec plus d’entrain, car les deux belles maîtrisent cet exercice à la perfection, et vous tentez de vous rapprocher d’elles.

Comme un fait exprès, elles ont changé de direction et accélèrent dans la direction opposée à la votre. Vous engagez la poursuite, ivre d’excitation, et vous vous dites qu’il pourrait se passer bien des choses plaisantes si vous pouviez jouer avec les deux belles blondes dans les fonds sous-marins. Cela vous rappelle un film porno de Canal Plus, où deux jeunes gens faisaient sauvagement l’amour sous l’eau et vous vous voyez très bien dans le rôle de l’amant, réalisant des prouesses dans ce milieu peu prévu à la base pour ce genre d’exploit.


* Pour rejoindre les deux belles et vous éloigner du bateau, rendez-vous au 60 .

* Pour faire demi-tour et rejoindre piteusement la monitrice, rendez-vous au 106 .



12

Vous vous êtes gentiment allongé auprès d’elle, elle rit et gesticule dans tous les sens en pouffant.

Vos yeux se portent sur la jupe trop courte et captent les rebords de sa petite culotte noire. Vous n’en pouvez plus et d’un geste gauche vous glissez votre main dans l’embrasure de la jupe. Vos doigts touchent le doux tissu de la culotte et passent dessous. Enfin le contact avec sa fine toison et le léger renflement de son sexe !


* Rendez-vous en 35 .



13

Le numéro de la chance, paraît-il ?

Vous vous repérez rapidement au milieu des allées et ne tardez pas à repérer le numéro 13 ; une petite tente y est installée ainsi qu’un salon de jardin et quelques affaires. Votre sourire s’élargit en détaillant le fil à linge tendu entre deux arbres. Petites culottes et autres sous-vêtements côtoient maillots deux pièces et vêtements d’été. Sacré bon dieu, c’est sans doute une bonne pioche : de la donzelle et pas de traces d’hommes à première vue !

C’est là que la toile de tente s’ouvre et laisse place à une grande blonde. Elle a l’air hollandaise ou allemande. D’abord par la taille mais aussi par les traits du visage, légèrement sévère. Cette petite touche négative est vite tempérée par des jambes superbes, des fesses à tomber par terre, et surtout de jolies grosses pêches qui déforment son maillot noué au-dessus du nombril. À la réflexion, ce sont plutôt des melons ! Médor se réveille instantanément dans votre short. D’autant qu’elle est bientôt suivie par celle qui pourrait être sa jeune sœur.

Physiquement plus fine et encore plus mignonne. Elle arbore des traits fins et une poitrine agressive mais plus menue. Mais elle a un charme batave qui vous fait saliver d’avance.


* Devant tant de beauté et de grâce, vous vous bloquez, vous êtes trop timide pour attaquer tout de go et décidez de renoncer, paralysé à l’idée de les aborder et de vous faire rembarrer. Retour au 19 .

* Vous décidez d’y aller doucement, de la jouer en douceur et de commencer par une approche sympathique. Rendez-vous en 30 .

* On ne vit qu’une fois et il est temps pour vous de prendre les choses en main. Avec ce genre de filles canons, il ne faut pas hésiter et tout de suite les brancher pour boire un verre. Rendez-vous en 40 .



14

Voilà qui promet d’être amusant !

Vous approchez de la grande salle de spectacle du camping et acquittez votre droit d’entrée. Vous devez d’abord passer par la salle des costumes et vous voyez avec une certaine appréhension qu’il ne reste pas grand chose et que tous les costumes sont quasiment pris. Vous jetez ainsi votre dévolu sur un costume de Thierry la Fronde, avec un ridicule collant moulant, et mettez également le masque de rigueur, commun à tous les déguisements. Vous entrez en scène au milieu des Maya l’abeille, d’Artagnan, Goldorak et autres Zorro, en vous disant finalement que vous avez échappé au pire quand vous apercevez un grand gaillard vêtu en Cyrano de Bergerac.


Il est l’heure de danser et la campagne des slows démarre juste. Sans partenaire, vos yeux balayent la scène à la recherche d’une femme seule : deux personnages s’approchent de vous, il s’agit de Maya l’abeille et d’une Tortue Ninja, mon Dieu…


* Il est encore temps de fuir ce futur désastre. Retour en 59 .

* Pour danser avec Maya l’abeille, rendez-vous en 81 .

* Pour tenter votre chance avec la Tortue Ninja, rendez-vous en 72 .



15

Vous approchez et arborez votre plus joli sourire.

Vous vous présentez et montrez votre réservation. La fille est très professionnelle. Elle vous remet vos clés du portail d’entrée et un petit dépliant sur les services du camping.



Elle vous remet votre fascicule avec un sourire et vous frôlez à peine ses mains. Que sa peau est douce ! Ça y est ! Vous êtes encore en train de vous faire un film.

Le téléphone sonne à l’accueil et vous la voyez se pencher pour prendre l’écouteur. Vous ne pouvez vous empêcher de jeter un petit coup d’œil à son tee-shirt et à ses deux gros seins qui se déplacent quand elle se baisse. Vous joueriez bien un peu avec, histoire de vérifier si elle est si sage !


* Rendez-vous en 59 .



16

Dernière petite touche à votre tenue et agencement de la table, tout est prêt !

20 heures tapantes : vos deux invités font leur entrée.

Et là vous en avez le souffle coupé : la plus jeune s’est glissée dans une longue robe très moulante qui détaille parfaitement sa silhouette et ses formes harmonieuses. Un fin collier de perles vient sublimer son cou gracieux. Le tout saupoudré d’un sourire un peu distant mais enchanteur. Son dos nu sculptural vous donne le vertige.

La plus grande rivalise de beauté : elle a gardé l’idée d’un maillot noué au niveau du nombril mais elle a troqué - à raison vous dites-vous - le short contre une jupe très serrée et très courte qui révèle à merveille des jambes sportives, des fesses fermes et une chute de rein enchanteresse.


* Il est toujours temps de penser que vous ne serez pas à la hauteur ou alors peut-être êtes-vous rappelé par la morale chrétienne ? Retour en 19 .

* Vous continuez et êtes digne des meilleurs étalons ? Rendez-vous en 86 .



17

Toutes les filles vous acclament avec des cris et des grands gestes qui ont ameuté une petite troupe d’estivants. La plus jolie vous a adressé un petit regard plein de sous-entendus à votre départ. Vous posez le premier pied sur l’escalier qui mène aux plongeoirs et le montez en petites foulées régulières. Elles ne vous font absolument pas perdre votre souffle… Vous êtes un athlète à votre façon, vous aussi.

Le premier plongeoir passé, vous continuez votre ascension et jetez un petit coup d’œil à hauteur du deuxième, là où les jeunes gens avaient rebroussé chemin et d’où le grand blond s’était élancé. Fichtre ! Que c’est haut ! Le doute vous gagne un moment.


* Pour renoncer, rendez-vous en 62 .

* Pour continuer, rendez-vous en 71 .



18

C’est au moment où vous entamez les grandes manœuvres avec le devant de sa robe que sa copine fait irruption dans la tente et que votre promise témoigne, d’un coup, d’une certaine résistance.



Sa copine a l’air outrée et lui parle vertement dans sa langue maternelle.



C’est comme si la toile de tente et les piquets vous tombaient sur la tête !


* Vous réagissez avec violence en la repoussant et en vous écriant : « Moi, les gouines, je les encule ! » Rendez-vous en 22 .

* Vous répondez avec diplomatie mais avec un ton sec et cassant : « Bon, je crois que l’on va en rester là, ok… ». Retour en 19 .

* Vous dépassez ce genre de réponse d’homme néandertalien et leur glissez dans un sourire : « Ok les filles, je suis un homme de cœur et je comprends. Je respecte vos différences. » Rendez-vous en 78 .



19

Vous sortez de la baraque d’accueil et vous approchez d’un grand arbre pour bénéficier de l’ombre providentielle.

Vous glissez votre main dans votre short et attrapez la petite carte. Y figurent un numéro de téléphone portable, sans doute celui du jeune homme en question, et une série de trois numéros : 13, 26, 33…

Cette suite de numéros vous laisse songeur. Pourquoi vous a t-il donné cela ?

Puis la lumière se fait et vous vous dites que le soleil doit vraiment taper fort pour que vous n’ayez pas compris dans l’instant de quoi il s’agissait. Ce sont tout simplement des numéros d’emplacements qui méritent sans doute plus d’attention que d’autres ! Vous souriez.

Décidément ce jeune homme de l’accueil pourrait s’avérer un fidèle allié pour ce début de semaine. Vous laissez filer au vent la petite carte après avoir mémorisé automatiquement les numéros. Et la protection de l’environnement, alors ? J’espère au moins que le papier en question est biodégradable !


* Vous tentez votre chance sur le 13 . Rendez-vous au 13 .

* Idem pour les numéros 26 et 33 , que vous retrouverez aux numéros correspondants… À bientôt !



20

Bien sûr, l’idéal aurait été de se glisser sous le tissu du sous-vêtement pour goûter au délice de son petit abricot avec votre pied. Bandant mais très peu discret et surtout impossible, vu la tension sur le tissu du shorty. Vous décidez alors de passer par-dessus et d’apprivoiser à travers l’étoffe l’entrejambe secret de votre promise. Votre jambe est tendue au maximum de ce qui est possible sans tomber et votre doigt de pied découvre enfin le léger renflement de son sexe. Ses jambes semblent s’être d’un coup resserrées et l’expression de son visage semble trahir une certaine résistance. Vous relâchez un instant la pression en redescendant un peu le long de sa cuisse puis remontez en plaçant tout le haut de votre pied entre ses jambes. C’est au moment où le plat de votre pointe de pied entre au contact d’une zone légèrement plus douce, qu’un mouvement de ses jambes se produit. Elle a serré brutalement les jambes et opéré un mouvement rapide de dégagement. C’est en voulant vous libérer de l’étreinte que le pied de votre chaise glisse, vous entraînant avec elle. Vous basculez en arrière et entraînez avec vous une partie de la nappe. Dans le mouvement, votre tête heurte violemment la table avant de toucher le sol. Un instant étourdi par le choc, vous êtes accueilli par les restes d’une assiette de crudités en guise de décoration postiche. Quel tableau !

Vos hôtes, malgré la surprise, ne peuvent s’empêcher de rire à votre malheur.


Vous voilà cinq minutes plus tard sous la tente, en train de vous faire passer du mercurochrome par Florence. Elle profite de l’éloignement temporaire de Benoît pour vous glisser à l’oreille :



Et vlan ! Vous venez encore de vous manger un flan, vous l’avez bien cherché, on n’attrape pas un joli bar sauvage avec une canne de bambou et une mie de pain…

Mais les échecs forment aussi l’expérience…



21

Si vous arrivez à ce numéro, c’est que vous êtes un être négligeable, étroit d’esprit et totalement dépourvu de curiosité… Retour case départ, non mais !



22

Non, un poing armé d’une bague qui s’abat sur votre pauvre œil. La douleur est si vive que vous criez !

En un instant, la musique s’est tue, votre œil s’est fermé et vos deux convives se sont levées avec des visages graves et tendus.

La plus grande vous hurle des choses impossibles à comprendre et sa copine vous montre un majeur bien dressé, en accompagnant du bras son amie vers le chemin. Le boucan a ameuté un groupe de campeurs qui vous pointent du doigt et vous regardent en rigolant. La douleur et l’alcool font que vous les voyez à peine.


Vos mauvaises manières vous ont grillé pour le reste du séjour. Dès demain, vous ferez discrètement vos bagages. C’est vraiment pas votre jour… Dommage !



23



Là, vous y allez quand même fort ! Qu’en savez-vous ? C’est peut-être une femme fidèle et vertueuse ?

Et au moment même où elle esquisse un geste agressif vers vous, elle se fend d’un petit sifflement.

Vous caressez l’espoir de toucher le pactole en l’ayant brusquée un peu. Finalement, ce genre de fille ne marche que comme cela, vous allez en faire votre affaire et vous la taper sur le transat. Mais quelque chose arrive dans votre champ de vision, comme en réponse à son sifflement.



Le poussin en question est un puissant berger allemand qui, la langue pendante et la queue rentrée, fonce sur vous. Après avoir essayé vainement de lui échapper, vous sentez avec horreur et douleur une mâchoire d’acier se fermer sur vos bijoux de famille…



Vous vous réveillez le lendemain dans une chambre d’hôpital aseptisée.

Le premier mouvement que vous tentez est arrêté par une vive douleur entre vos jambes.



Là, c’est un médecin qui s’adresse à vous de la porte de votre chambre.

Vous peinez à réaliser ce qui vous arrive et vous surprenez au même moment un petit groupe d’infirmières qui tournent la tête brièvement en passant à votre hauteur. Elles partent ensemble dans un grand fou-rire.



Voilà qui compromet bien vos vacances pour cette année…



24

Vous vous approchez avec votre plus beau sourire et votre démarche à la Aldo Maccione.



* Il est toujours temps de réfléchir. Retour en 45 .

* - Mais je suis votre serviteur, belle demoiselle ! Rendez-vous en 17 .


Serez-vous à la hauteur ?



25

La curiosité est trop forte et vous vous dirigez tout de go vers les douches de l’allée centrale. Il est presque l’heure… Vous voyez alors en chemin une femme distinguée, la quarantaine, bien mise en valeur dans une fine robe blanche. Un peu vieille mais bien conservée, à retenir… Mais les douches arrivent…


* Rendez-vous en 96



26

Vous déambulez nonchalamment le long des allées, vous demandant vers quelle aventure va vous amener ce numéro 26. D’ailleurs Mitterrand, l’Ayatollah Khomeini et votre serviteur pour cette aventure sont nés un 26… Heureux présage ?

Cela ne dépend que de vos choix, cher Brice, alors courage et clairvoyance…


* Rendez-vous en 75 .



27

Vous marchez donc quelques centaines de mètres en suivant les chemins tortueux du camping pour rejoindre le stand de tir à l’arc. C’est un vaste terrain entouré de barrières en bois dont on devine assez aisément le rôle, tant les impacts autour des cibles soulignent le caractère amateur des campeurs.

Vous vous approchez d’un petit groupe de jeunes femmes et, à votre grande surprise, il n’y a aucun homme sur le stand…

Ce qui n’est pas pour vous déplaire.



Le cadre est planté : vous arrivez au milieu des lionnes…



Vous gardez pour vous la première réponse grivoise qui vous vient à l’esprit, car c’est la jolie monitrice qui a posé la question. Elle a le visage plus sévère que sur la photo mais, en revanche, elle témoigne d’un physique à toute épreuve. Certes, il faut aimer les corps musculeux, mais elle est vraiment bien foutue, avec ses longues jambes, des épaules fines et musclées et ses jolis petits seins qui pointent sous son maillot. Elle sourit de façon distante.



Une jolie petite brune se rapproche de vous. Elle est plutôt mignonne, dans le style gamine effrontée, et a un petit air de garçon manqué.



Vous décochez votre première flèche, qui part un bon mètre à droite mais surtout trois mètres trop haut.



Elle se place derrière vous et prend votre bras pour le remonter. Vous avez instinctivement fait un pas en arrière et votre corps est tout contre ses seins. Vous sentez ses deux mamelons pointus vous effleurer, comme une délicate caresse érotique.


* Pour poursuivre bien sagement votre cours, rendez-vous en 3 .

* Pour vous tirer de ce cours chiant, retour en 15 .

* Pour brancher votre initiatrice, rendez-vous en 34 .



28

Vous arrivez à hauteur de la plus âgée des deux. Elle est vraiment magnifique avec sa grande taille, ses hanches fortes mais harmonieuses, ses jambes sportives et ses seins puissants qui déforment son maillot noué. On dirait vraiment une playmate de magazine pour hommes qui aiment en avoir plein les mains. Pas si différent de vous, quoi…


* Rendez-vous en 63 .



29

La tente est un de ces modèles bas de gamme, vendus dans les supermarchés pour campeur amateur. Le plan est en chinois et en allemand sur trois feuilles A3 et en plus il n’a quasiment aucun outil ! Le naze.

Un sourire charmeur (ou plutôt un remerciement ?) accueille votre accord pour proposer vos services.

Il vous faut pas moins de deux longues heures pour monter la tente en question et pour venir à bout de son arrimage au sol dur et sec du camping. Vous avez chaud et le beau gosse vous propose de venir boire une petite bière fraîche à l’intérieur.


* Assez de temps perdu ! Retour au 5 ou au 19 .

* Après tout, il a l’air sympa et une bière vous fera le plus grand bien ! Rendez-vous au 85 .



30

Votre instinct vous commande de vous approcher de la plus jeune et vous vous armez de votre plus beau sourire, après avoir défait le premier bouton de votre chemise.

Vous êtes entré dans son champ de vision mais elle ne semble pas avoir modifié toute l’attention qu’elle porte à un sac de provisions qu’elle range dans une glacière.



Elle relève la tête et sourit prudemment.



Son français est rudimentaire mais un petit coup d’œil à son ventre plat, ses seins fermes et ses jambes fuselées relance des chaleurs dans votre pantalon.



La deuxième fille s’est approchée. Elle est bien plus grande et plus âgée aussi. Belle fille, si on les aime un peu plantureuses et charpentées. Elle interroge son amie dans une langue incompréhensible pour vous et vous jette un regard insondable.



Vous tentez alors une approche très discrète et polie.



Et vous osez pointer un clin d’œil vers la plus jeune, qui sourit de façon bizarre.

La plus grande s’adresse à elle avec un ton légèrement plus incisif. Elles papotent une minute puis elles éclatent de rire toutes les deux et reprennent leur activité normale.


* Rendez-vous en 50 .



31

La belle a vraiment des obus généreux ! Vous glissez avec malice votre tête entre ses deux gros mamelons et humez le doux parfum qu’elle y a déposé ce matin, hum… ! Alors elle continue à danser et vous enferme entre ses formes généreuses. Elle ondule en vous serrant encore plus fort et en fredonnant le rythme de la chanson. La douceur de ses seins est merveilleuse et l’expérience enivrante, mais vous commencez à manquer d’air !

Nouveau déhanchement, cette fois-ci elle attrape ses seins pour les plaquer encore plus contre votre visage. Votre asthme héréditaire vous trahit, vous cherchez à reprendre votre respiration et ne pouvez pas parler. Dans un dernier élan, vous cherchez à vous dégager pour respirer. Après quelques secondes de va-et-vient entre les mamelons plantureux de la créature, elle constate avec surprise et effarement que vous glissez doucement vers le sol de la caravane… évanoui !

Ce n’est que deux heures plus tard que vous reprenez connaissance sur le lit de repos de l’infirmerie du camping. Vous reconnaissez le mari catcheur qui vous sourit à votre réveil.



La salope…



32

Le reste de la journée est un peu plus laborieux (quoique). Plutôt que de perdre votre temps dans les magasins, vous commandez avec votre portable un apéro dînatoire chez un traiteur et commandez la boisson pour être livré au pied de votre tente.

Royal !

La tente de ces dames est dressée, les cousins disposés et vous refermez le tout pour préparer la table avec votre livraison. Pizza froide, bouchées salées, alcool, le grand jeu… Vous passez sous la douche collective, la chemise blanche, le pantalon de toile impeccable et une petite touche de parfum hors de prix. Votre piège à femmes est prêt et vous vous contemplez dans la petite glace portative de votre vanity. Une seule conclusion s’impose à vous : vous êtes vraiment le meilleur et le plus beau des mâles du camping ! C’est votre territoire.


* Rendez-vous en 16 .



33

Vous arrivez bientôt aux abords de l’emplacement et là, une surprise vous attend. Un jeune homme à l’allure plutôt juvénile est accroupi. Il semble très accaparé pour le montage d’une tente d’appoint en complément du grand modèle déjà installé par l’équipe du camping. Quelques secondes d’attention vous font vite remarquer qu’il n’est pas du tout doué pour le bricolage. Il manque de se casser un doigt avec le marteau puis se pique une cuisse avec un mousqueton. Cela va être sacrément compliqué pour monter son bazar. Il vous aperçoit du coin de l’œil et se tourne vers vous :



Vous devez bien reconnaître qu’il est très beau gosse, genre Leonardo Di Caprio. Pas très fort mais une jolie belle gueule, un corps fin mais très bien proportionné. Le genre de mec qui lève des nanas sans avoir à montrer ses gros bras, juste avec un mot fin et un divin sourire. Sa phrase est une véritable invitation… à l’aide !


* Pour aider le beau gosse à monter sa tente, rendez-vous au 65 .

* Non mais ça va pas, non ? Ce camping est rempli de belles nanas à draguer ! Pourquoi aller perdre du temps à aider un mec qui sera un concurrent à la première soirée du camping ? Rendez-vous vite au 19 pour de nouvelles aventures.



34



Un petit compliment, rien de tel pour entamer une drague. Certes, ça n’est pas très original, mais c’est avec les vieilles recettes qu’on fait les meilleurs plats. Sur cette profonde pensée intellectuelle, vous rechaussez votre arc et tentez un deuxième tir. Encore trop haut mais bien mieux centré.



Cette fois elle rougit un peu et vous rend un magnifique sourire de toutes ses dents. La petite a mordu, vous dites-vous intérieurement.



Elle se place devant vous et vous dit :



Vous vous collez à elle et sentez avec délice la chaleur de sa peau. Vous posez doucement votre main sur ses hanches alors qu’elle bande… son arc devant vous. Elle ondule légèrement du bassin en se frottant contre votre short, il ne tarde pas à prendre du volume. Elle lève l’arc à hauteur.



Et alors qu’elle s’apprête à lancer sa flèche, vos deux mains glissent de ses hanches pour attraper ses seins pointés.


* Rendez-vous en 44 .



35

Elle se relève rapidement avec votre main entre les cuisses. En l’espace d’un instant, l’expression sur son visage a changé alors que vous la regardez, hagard d’alcool et de désir. Une main arrive vers vous, une caresse ?


* Rendez-vous en 22 .



36

Vous repérez dans la foule la porte de la salle à costumes et vous glissez entre les danseurs pour la rejoindre. Une belle érection a maintenant pris forme, difficile à cacher avec votre collant et vous vous glissez dans la pièce. Elle est dans le noir et la lumière s’allume sur…


* Rendez-vous en 52 .



37

Ce pourrait être un croisement original : disons 30% de Pamela Anderson, 30% de Loana et le reste en Paris Hilton. Même si cette évocation vous fait sourire, vos yeux ont bien du mal à lâcher cette jolie paire de fesses, et quand la grande blonde exécute un demi-tour, votre bouche marque un O de surprise devant le format du pare-chocs : ce doit être au moins du 95 C, et le petit maillot de bain, sans doute volontairement choisi une taille en dessous, a bien du mal à soutenir tout cela convenablement.


* Mater une femme, si plantureuse soit-elle, est franchement contraire à vos convictions religieuses et morales, vous décidez de retourner en 19 .

* Il n’y a pas de mal à se faire du bien et plutôt deux fois qu’une ! Rendez-vous en 7 .



38



Vous avancez, l’air un peu penaud et la regardez intensément. Elle fait mine de croiser ses bras comme pour cacher sa poitrine.



* Pour lui présenter vos plus plates excuses, rendez-vous au 64 .

* Pour lui répondre « Quand on se fout à poil et qu’on se fait faire des nibards de cette taille, il faut être prête à tout et arrêter de jouer les saintes Nitouche ! », rendez-vous au 23 .

* Pour lui expliquer votre réelle admiration devant sa plastique et votre réaction d’homme ordinaire, rendez-vous en 41 .



39

Tout le monde a pris place autour de la table de camping et commence à déguster la salade niçoise préparée par Benoît. Vous prenez part à la conversation intéressante et animée sur le métier de Florence, tout en dégustant la salade et les différents angles de vue sur les coutures de sa robe que vous offre sa gestuelle animée. Elle réussit l’improbable alliance du sex-appeal et d’un corps fin et délicieusement proportionné, tout en suggérant des formes sculptées et fièrement dressées. Vous essayez un bref instant de l’imaginer nue et votre sexe vous rappelle à l’ordre dans sa prison de tissu. Qu’il doit être bon de partager la vie et le lit de cette fille ! Elle n’est pas seulement belle : elle a en plus l’air sympa et douce à vivre… Le rêve !


C’est alors que vos deux invités sourient à un de vos traits d’humour favoris que vous sentez un pied glisser le long de votre jambe, dans une caresse très suggestive. Les deux visages égaux de vos deux hôtes ne se trahissent nullement. Comment réagir à cette offrande ?


* Vous décidez de laisser tomber nonchalamment votre fourchette pour tenter de glisser quelques coups d’œil sous la table et trahir l’auteur de cette charnelle invitation. Rendez-vous en 57 .

* Vous décidez de tenter votre chance en rendant la caresse à Florence. Rendez-vous en 9 .

* Vous décidez de tenter d’attirer Benoît à l’intérieur pour lui tirer les vers du nez, après son geste de tout à l’heure. Rendez-vous en 61 .

* Vous décidez de proposer cinq mille euros (argent de votre papa) à Benoît pour qu’il aille faire un tour et que tous les deux soient ok pour que vous puissiez rester jouer à votre guise sous la robe de Florence pendant son absence. Rendez-vous en 47 .



40

Votre expérience des femmes plaide pour vous et vous savez que les plus belles n’aiment pas les garçons timides qui ne savent pas ce qu’ils veulent. Il faut en imposer tout de suite, pour être digne du sexe fort. Vous ouvrez alors votre chemise et laissez apparaître en partie votre belle chaîne en or offerte par tante Denise et vos pectoraux saillants, travaillés tout l’hiver dans un club de remise en forme hyper chic payé par votre indispensable papa.

Brice, la terreur des filles, va entrer en scène, et ces deux filles seront bientôt, une sous chaque bras, attendant docilement que votre fier étalon les honore.


* Rendez-vous en 28 .



41



Vous avez vraiment mis le paquet mais cela semble marcher… Ses traits, un instant agressifs, se détendent quelque peu et laissent place à un demi-sourire, prudent.



Vous mentez avec aplomb mais de façon très immorale, vilain garçon !



Et là, elle vous plante la bouteille de lait de bronzage dans les mains, s’allonge sur le ventre de tout son long sur le transat et ne vous dit plus un mot.


* Vous sentez le coup fourré et décidez de prendre congé. Rendez-vous en 19 .

* Vous prenez cela comme une invitation pour vos mains. Rendez-vous en 70 .



42

Elle vous suit sous la tente, les yeux pétillants de malice et de curiosité.



Et vous l’invitez à s’allonger à vos côtés.



Elle appelle sa copine à la rescousse. Sans y prendre garde vous fermez sa bouche avec le plus doux de vos baisers.


* Rendez-vous en 18 .



43

Vous prenez un soin extrême à réussir les photos avec l’appareil et votre dernier coup de zoom vous a fait plonger dans le canyon vertigineux de ses puissants obus.

Elle danse toujours frénétiquement et vient de faire doucement glisser le bas de son maillot. Ouah ! Ses fines cuisses sportives encadrent un petit minou juste coiffé d’une petite touffe de poils blonds. Que cette fontaine doit être délicieuse ! Elle s’approche de vous et s’assoit sur vos genoux. Elle simule un va-et-vient avec son ventre et son sexe vient se poser sur la grosse bosse qui déforme votre short. Elle ondule du bassin comme pour une pénétration. Elle se redresse et place votre tête ébahie à hauteur de son sexe.



Puisque c’est un ordre…

Vos premiers coups de langue flattent avec une technique sûre le clitoris de la belle et vous goûtez avec délice à son précieux nectar. Elle a un goût acre mais délicieux pour qui sait apprécier ce type de nectar… et vous êtes de ces hommes-là, qui savent faire jouir les femmes et apprécier à leur juste valeur leur trésor. Elle ondule du bassin sur votre bouche et vous entrez maintenant complètement votre langue dans son antre de plaisir. Cette délicate attention est accueillie et encouragée par un puissant soupir de désir.



C’est alors que vous joignez un doigt à la manœuvre et caressez doucement son périnée. Quel délice pour la belle, qui tangue de plaisir. Rares sont les hommes qui connaissent aussi bien les caresses orales à prodiguer aux femmes. Dans un dernier élan et un délicieux soupir, elle vous lâche en pleine bouche son premier orgasme. Vous accueillez de bonne grâce sa deuxième liqueur de femme, de loin la meilleure pour vous !

Après ce premier désir satisfait, elle vous ouvre gentiment les cuisses, offerte. Et vous vous dites qu’un coït barbare ne serait pas approprié. Un bon fist fera l’affaire. Le sexe parfaitement lubrifié et la belle consentante facilite votre intrusion et bientôt ce sont les deux tiers de votre main qui disparaissent dans cette chatte délicieuse et vorace. Quelques va-et-vient la rudoient quelque peu et vous font fondre, ensemble, de bonheur. Vous avez juste le temps de sortir votre sexe pour lui offrir à votre tour votre plaisir dans sa bouche, impatiente et gourmande à la fois.

Humm, les femmes de sportif délaissées, c’est le pied… Quelle belle journée !


* Retour au 19 ou au 5 pour de nouvelles aventures !



44

Elle est surprise par votre audace mais lâche au même instant sa flèche dans un faux mouvement. C’est alors que vos deux mains arrivent en territoire paradisiaque au contact du tissu de son maillot que le projectile prend de l’altitude. Surprise, elle a redressé les bras, déviant ainsi le projectile vers le haut. Celui-ci, ainsi modifié, prend de la hauteur et s’en va passer au-dessus de la balustrade.

Un grand cri se fait entendre et tous les participants du cours se figent de surprise. Un instant plus tard, le petit groupe accourt vers la barrière de bois. Vous l’enjambez d’un geste leste, accompagné de la monitrice noire, accourue à vos côtés. Ainsi juché sur la barrière, vous découvrez… une octogénaire accroupie bizarrement vers l’avant, au milieu de ses rangées de salades. Elle crie et une flèche dépasse ostensiblement de son postérieur ! Votre regard effaré croise celui, accusateur, de la belle monitrice.

Ce n’est pas votre jour !



45

Petite halte dans le vestiaire pour homme et hop ! vous voilà armé de votre slip de bain favori : pas un de ces shorts de bain pour rigolos : vous ne jurez que par un petit slip de bain noir qui laisse imaginer vos gros atouts et vos abdos saillants.

Vous vous rapprochez du grand bassin et apercevez un groupe de jeunes filles. Un rapide tour d’horizon vous révèle un bilan plutôt mitigé : les deux premières ont l’air trop jeunes, les deux autres ne sont pas vraiment belles, votre regard est seulement attiré par une belle grande liane noire, très bien balancée bien qu’un peu plate, et une brune au corps hyper bronzé, très mignonne. À bien y regarder, ce sont même deux jolis canons, la trentaine. La première est très mince mais bien faite. La deuxième est de taille plus moyenne mais elle a des jambes de rêves, un joli petit popotin et surtout des seins bien gonflés et très agressifs sous son deux pièces serré.

Le groupe de filles ne cesse de glousser en regardant vers les plongeoirs. Vous apercevez plusieurs personnes : deux jeunes garçons pas vraiment à leur aise sur le plongeoir du bas et un grand blond hyper musclé sur celui du milieu. L’athlète en question s’élance, exécute un plongeon parfait et sort de l’eau, applaudi par le groupe de filles hystériques. Il s’approche du groupe et la grande liane noire lui dépose un baiser sur la joue.

Les filles narguent maintenant les deux jeunes gens :



Les deux garçons font demi-tour sous les huées des jeunes filles.

C’est alors que la copine de la jolie noire, celle qui vous branchait le plus, se met à crier à tue-tête :



Et sur ce, elle fait mine de soulever son haut de maillot, en montrant un bref instant sa jolie poitrine.


* Voilà, qui est intéressant ! Un petit saut dans le vide vous fera du bien, elle est vraiment trop mignonne ! Rendez-vous en 24 .

* Très peu pour vous, il faut laisser faire les athlètes pour ça ! Retour en 53 .

* Laissons d’abord sauter le grand sportif blond, c’est plus prudent… 106 .



46

Elle vous accueille avec un grand sourire.



Sur ce, elle s’agenouille devant vous et ses mains attaquent votre short qu’elle descend doucement. Sans vous perdre des yeux, elle flatte doucement avec sa main votre boxer déjà gonflé d’excitation. Sa bouche a déjà trouvé le tissu et elle commence doucement à vous sucer à travers le boxer, quel délice ! Quelle sensation de chaleur… L’humidité à travers le tissu est délicieuse et ses lèvres voraces aspirent votre gland avec gaillardise.

Après quelques secondes de ce délicieux traitement, le boxer est sur vos chevilles. Une main douce vient malaxer vos bourses gonflées, sa bouche revient et remplace sa main, sa langue caresse vos bourses broussailleuses qui bientôt disparaissent en partie dans sa bouche soyeuse. La pointe de sa langue vient bercer le flanc de vos couilles gorgées de semence. On ne vous a jamais fait cela avant et vous trouvez cela délicieux. Ces secondes où vos bourses sont ainsi bercées relèvent du paradis…


C’est une suceuse expérimentée, pour une lesbienne, et vous découvrez sans mal que c’est sa façon à elle d’aimer les hommes…

Ses deux mains enserrent maintenant votre fier étalon dressé, le reste de votre sexe a disparu dans sa bouche et est aspiré avec envie et gourmandise. Sa langue s’agite dans sa bouche et flatte le gland déjà au bord de l’explosion. Le délice suprême est à venir quand, forçant son palais, elle vous prend en gorge profonde et que vous sentez les deux tiers de votre sexe tendu disparaître dans cet humide écrin. Elle résiste à la déglutition et vous garde trente bonnes secondes ainsi choyé. Enfin, elle ressort à bout de souffle et empêtrée dans sa bave. Elle ne vous quitte toujours pas des yeux. Elle enchaîne en alternant des petits coups rapides de langue et des succions plus profondes de votre champignon. Elle tapote ensuite votre queue sur sa langue et ses joues, comme pour jouer avec votre désir.


Eberlué, vous prenez votre pied comme jamais, c’est la première fois qu’une vraie femme vous fait une fellation comme cela et vous lui caressez les cheveux et le menton, c’est bon… c’est bon !

Alors qu’elle continue à travailler avec régularité et application, c’est vous qui donnez des signes de faiblesse. Le traitement divin est trop charnel et érotique pour vous. Un petit signe pour lui indiquer que vous arrivez. Là, elle fait un truc incroyable. Elle accélère son jeu de mains et de bouche et vous enfourne au fond de sa bouche. Enfin, vous lâchez votre plaisir, d’abord par un premier jet massif qui inonde sa bouche et souille ses lèvres entrouvertes, puis quelques jets moins généreux qui souillent son menton et son cou. Qu’elle est belle !


Elle déboutonne son corsage, humecte ses mains de votre semence généreuse en nettoyant ses lèvres et son menton puis se caresse les seins avec malice et perversion dans les yeux. Les deux jolis tétons, fiers et gracieux sont bientôt sublimés par une fine pellicule brillante de plaisir. Elle clôt cette séance de remerciements très spéciale par un baiser profond au goût de votre semence.

Vous ne direz jamais de mal des lesbiennes… C’est un séjour qui ne commence pas si mal !


* Retour en 5 pour le choix de votre guide à l’accueil, ou en 19 pour continuer à explorer les numéros du grand blond, gros veinard !



47

Cette idée a germé dans votre petite tête de fils à papa à la seconde même où la belle sirène est descendue de sa grosse moto. Vous ne pouvez vous détacher de ses lignes parfaites, de son visage de beauté italienne torride et de ses formes si merveilleusement en harmonie avec le reste de son divin corps. Vous avez cette fille dans la peau et vous l’aurez tout court !



Florence sourit et ses yeux brillent. Elle est presque gênée. Benoît, lui, éclate de rire.



Nouveaux sourires, complicité.



Benoît se lève, visiblement très agacé par ce qu’il a entendu.



Bizarrement, Benoît ne bouge plus…


* Pour revenir sur votre proposition et explorer une autre voie moins directe, revenez au 39 .

* Pour persister dans cette voie et négocier avec Florence, rendez-vous au 49 .



48

Sur ces bonnes paroles, elle se redresse d’un geste élégant et rejoint la caravane.

Sitôt entrée, elle enfile un petit paréo à même sa peau nue et prend place à la petite table de séjour après avoir servi deux thés glacés.

Vous apprenez alors qu’elle est la compagne française d’un catcheur plein aux as qui est amoureux de la France et des Françaises. Il est très jaloux et elle est sans doute très infidèle. Du moins c’est l’opinion que vous vous en faites.



La question est peut-être un peu directe mais après tout, c’est elle qui m’a proposé d’entrer.



Et là, vous parvenez à conserver votre calme et à taire une remarque pleine de préjugés sur ce métier, comme on doit lui en servir à chaque fois.



Sur cette réplique, elle fouille dans le tiroir d’un petit buffet et en sort un appareil numérique.

Elle attrape alors un CD et le glisse dans la chaîne hi-fi haut de gamme de la caravane. Vous reconnaissez dès les premières notes…


* Rendez-vous en 77 .



49

Vous êtes sûr de vous et vous placez en face d’elle.



Elle se frotte légèrement à vous et frôle votre bouche avec la sienne. Vous tentez de l’enlacer et de l’embrasser et elle semble se laisser faire quand… elle vous met un monumental coup de genou dans les couilles !

La douleur est tellement vive que vous émettez un horrible cri puis des plaintes qui parviennent presque à apitoyer Benoît.



Vous l’entendez à peine dans la mesure où, les deux mains entre les jambes, vous continuez à vous rouler par terre de douleur ! Les deux jeunes tourtereaux prennent congé de votre misérable carcasse éplorée et vous éjectent sur le chemin. Récupérant peu à peu vos esprits et la douleur diminuant, vous entendez au bout de quelques minutes des plaintes de plaisir venant de la tente de vos deux hôtes du soir. Florence a visiblement oublié votre goujaterie et trouvé tout le réconfort nécessaire…



50

Vous pensiez donc que deux belles créatures étrangères pouvaient craquer avec seulement votre accent français, vos dents blanches et vos quelques phrases timides, polies et stéréotypées ? Il faut apprendre plus sur les femmes, mon vieux ! Enfin, connaissez-vous au moins la différence entre un lego et un clitoris ?


* Oui ? Revenez-donc en 19 .

* Non ? Alors rendez-vous vite au 80 .



51

Vous glissez directement votre main sous le slip de bain et attaquez de vos doigts le doux petit abricot de la belle. Quelle intimité soyeuse, renforcée par la lubrification du lait de bronzage… Vous caressez l’espoir de toucher le pactole en l’ayant brusquée un peu. Finalement, ce genre de fille ne marche que comme cela, vous allez en faire votre affaire et vous la taper sur le transat. Mais quelque chose arrive dans votre champ de vision, comme une réponse au sifflement qu’il vient d’émettre.



Le poussin en question est un puissant berger allemand qui, la langue pendante et la queue rentrée, fonce sur vous. Après avoir essayé de vainement lui échapper, vous sentez une mâchoire d’acier se fermer sur vos bijoux de famille…


Vous vous réveillez le lendemain dans une chambre d’hôpital aseptisée. Le premier mouvement que vous tentez est arrêté par une vive douleur entre les jambes.



C’est un médecin qui s’adresse à vous de la porte de la chambre. Vous surprenez au même moment un petit groupe d’infirmières qui tournent la tête brièvement en passant à votre hauteur et partent dans un grand fou-rire.



Voilà qui compromet bien vos vacances pour cette année…



52

… une grosse tête boutonneuse et légèrement boudinée qui vous sourit bêtement.



Vous marquez un instant de surprise.

Elle n’est vraiment pas belle, avec ses pustules, ses grosses joues laiteuses et son double menton. Elle fait glisser avec peu de souplesse le corps du déguisement et vous découvrez une silhouette qui s’accommodait ma foi fort bien du costume de tortue. Elle arbore un string hyper serré qui laisse dépasser ses fesses généreuses et vous avez en prime une vue imprenable sur ces grosses tétines tombantes.



Et elle vous tend une boîte de vingt-quatre préservatifs.


* Vous en avez assez vu et, au bord de l’écœurement, décidez de rejoindre la soirée. Retour au 14 .

* Vous avez trop envie de vous servir de votre gros calibre. Après tout, de dos et en levrette, vous pourrez au moins vous soulager, et ses gros nichons devraient faire l’affaire pour vous cramponner au morceau… En avant ! Fermez les yeux et rendez-vous au 69  !



53

Pas grand monde au niveau des jeux nautiques. Vous remarquez cependant que le camping est très bien équipé de ce côté-là : grand bassin avec ses plongeoirs, tourniquets, toboggans, baignoire à bulles, hammam… Tout y est pour s’amuser ou se reposer.


* Vous vous rapprochez du grand bassin. Rendez-vous au 45 .

* Vous préférez les bains bouillonnants. Rendez-vous au 105 .



54

… Vous découvrez les traits gracieux d’une jolie brune. Elle a des yeux magnifiques et de longs cheveux bruns qu’elle déploie en défaisant son chignon. Bien que ses traits soient un rien chevalin, elle est plutôt jolie et vous gratifie de son plus beau sourire. Vous rejoignez une table et commandez des boissons. Margaritas pour tout le monde !

La soirée en sa compagnie s’avère délicieuse tant elle a de la conversation et de l’énergie.



Elle vous sourit.



Vous souriez aussi…



Vous décidez alors de la rejoindre après être passé chacun dans vos vestiaires respectifs pour rendre les costumes. Quelques minutes et vous la retrouvez. Elle a passé un jean et vous vous rendez compte qu’elle a un cul et des jambes magnifiques. Son petit haut de maillot trahit une poitrine plantureuse et ferme comme vous les aimez. C’est vraiment une bonne pioche. Vous rejoignez main dans la main votre tente avec une érection qui déforme à nouveau votre entrejambe.


* Rendez-vous en 97 .



55

Vous absorbez une grande gorgée de whisky avant de vous attaquer au summum de la soirée : atteindre son petit anneau pour le lécher et la faire définitivement succomber à vos charmes. Vous êtes sûr qu’elle ne résistera pas à cette caresse. Ses gloussements redoublent et au moment opportun les pans de la robe s’ouvrent sur le haut de ses fesses fermes et parfaitement dessinées. Vos mains prennent ses hanches pour l’attirer plus franchement à vous.

Au moment précis où vous atteigniez enfin le bonheur avec votre langue…


* Rendez-vous en 88 .



56

Il est l’heure de dormir et vous vous glissez sous les draps dans votre tente. Une longue nuit plus tard, vous vous réveillez avec une terrible migraine, bien méritée. Un bon bol de café et quelques tartines et vous serez bientôt d’aplomb !

C’est alors que vous remarquez la deuxième inscription sur votre bras. Après un violent effort de mémoire, vous vous rappelez les deux filles d’hier soir, vos idées, leurs différences, vous souriez de cette ironie de l’histoire… Vos yeux déchiffrent l’inscription et là, surprise… Douche de l’allée centrale, 11h – Helena.

Votre sang ne fait qu’un tour, que peut bien cacher ce mystérieux message ?


* Vous vous faites un film, puis, réfléchissez… Elle est prise par une autre femme et il y a des tonnes de jolies filles dans les autres tentes et d’autres numéros à découvrir, donc rendez-vous vite au 19 .

* La curiosité est trop forte et vous ne pouvez oublier les yeux d’Helena, au risque de vous prendre encore une autre claque sur votre ego de mâle. Rendez-vous en 25 .



57

Le coup de la fourchette qui tombe, c’est un peu puéril, vous ne trouvez pas ?



58

Elle a vraiment un charme fou et avec tout ce whisky dans le cornet, vous bavez comme un malade. Dans un dernier élan de réflexion, vous hésitez sur la démarche à adopter…


* Si vous voulez, direct, lui mettre la main au panier, rendez-vous au 12 .

* Si vous souhaitez continuer à boire et bavarder avec elle, rendez-vous au 67 .



59

Vous avez rejoint votre tente, déballé vos affaires et installé tout ce qui est nécessaire pour camper ici. Le reste de l’après-midi est utilisé pour les indispensables tâches pratiques et enfin, juste avant le dîner, vous vous allongez un peu dans le relax. Par quoi allez-vous bien pouvoir commencer pour vous distraire un peu ?

Vous vous rappelez alors le dépliant et récupérez le document pour le consulter.


* Pour rejoindre la base nautique, rendez-vous au 53 .

* Pour rejoindre la fête masquée de la soirée inaugurale de la semaine, rendez-vous au 14 .

* Plutôt un peu de sport ? Rendez-vous au 87 .



60

Vous parvenez enfin en vue des deux mannequins blonds. Les deux belles ont pivoté vers vous et vous font des petits signes que vous parvenez mal à interpréter : est-ce une provocation ou un signe pour vous faire comprendre que vous n’êtes pas le bienvenu ? Puis elles filent à nouveau vers les profondeurs… Vous restez un instant à vous demander ce que vous devez faire, puis n’y tenant plus, vous décidez de vous rapprocher, et parvenez au détour d’un rocher à apercevoir les deux jeunes filles mais…


* Rendez-vous en 74 .



61

Le dîner tire déjà à sa fin, après une délicieuse soirée. Ce couple est vraiment charmant mais vous ne parvenez pas à oublier le baiser de Benoît et ce pied inquisiteur sous la table, tout à l’heure. Vous désirez en avoir le cœur net.



Il a visiblement saisi le message et attrapant les assiettes, il se dirige tout de go vers les éviers collectifs.

Vous le rejoignez et posez à votre tour ce qu’il reste de la vaisselle au bord des lavabos.



Il sourit.



Et là, il se plante devant vous et commence à nouveau à vous embrasser à pleine bouche.


* Vous vous dégagez vivement et l’insultez vertement en le traitant de « Sale pédéraste ». Rendez-vous en 2 .

* Vous vous dégagez doucement avec tact et lui expliquez que vous n’êtes pas attiré par les garçons mais que c’est un gars bien. Rendez-vous en 68 .

* Vous le laissez faire en accompagnant le baiser d’une petite main mutine sur ses fesses. Rendez-vous en 66 .



62

Vous êtes soudain pris d’un affreux vertige et n’êtes plus du tout aussi sûr de vous. Vous faites soudain marche arrière et commencez à descendre les marches dans l’autre sens. À la seconde où vous posez les pieds par terre vous êtes accueilli par un concert de huées et de quolibets. La plus jolie des nanas vous regarde en montrant son pouce vers le bas puis fait mine un instant de se caresser les seins. Sa copine noire vous conspue et dit des choses très vilaines sur votre virilité. Les estivants vous montrent du doigt en se moquant de vous et en rigolant. La palme arrive quand vous croisez le grand blond qui se dirige vers le plongeoir.



Vu la carrure, vous vous abstenez bien sûr de répondre et repartez la queue entre les jambes vous cacher dans votre tente. Le speaker de la piscine balance au micro le numéro de votre emplacement, vous êtes grillé grave pour tout plan drague et feriez mieux d’aller tenter de négocier votre caution…



63

Vous la fixez droit dans les yeux car vous connaissez le pouvoir magnétique des beaux yeux bleus que vous a légués votre mère. Elle capte votre regard. Le poisson est ferré, vous dites-vous.



Elle semble mettre un petit moment à comprendre.



C’est sa collègue qui semble lui faire la traduction, mais elle sourit.



Vous êtes très satisfait de vous : mais où allez-vous chercher ces grands élans lyriques ?



Elles se regardent avec un petit sourire, un bref échange dans leur langue natale.



Banco, elle se renseigne, c’est bon signe ! Cette grande Batave ou plutôt Scandinave va droit au but, vous allez bien vous marrer !



* Rendez-vous vite au 32 .



64



Elle éclate d’un rire franc.



Vous êtes pathétique avec votre visage baissé et votre petite moue d’enfant. La blonde s’allonge alors sur le ventre pour bronzer et ne fait plus du tout attention à vous.

Vous décidez de retourner sous votre tente pour aller vous caresser en pensant à elle…



65

Votre maman aurait sans doute dit le plus grand bien de ce choix ! Votre bonté vous perdra… ou peut-être pas ?


* Pour le savoir, continuons au 29 .



66



Il vous prend par la main et vous entraîne, énigmatique, vers sa tente…


* Rendez-vous en 99 .



67

Elle a vraiment l’air de vous apprécier et vous sourit tendrement en vous servant un autre grand verre de whisky où il n’y a plus de place pour le coca. Elle descend le sien cul-sec et vous fait signe de boire en rigolant. Sa copine vous encourage. La grande a chaud et vous demande si elle peut enlever son maillot car la température est trop forte avec tout cet alcool. En buvant le grand whisky, vous apercevez un élégant soutien-gorge qui retient à grand peine de gros seins tout ronds. La plus jeune vous glisse, en vous resservant, qu’elle fera de même si vous buvez aussi celui-là. Vous vous targuez de pouvoir bientôt mater ses deux seins agressifs…

Dix minutes et deux verres plus tard, la grande semble vouloir s’attaquer à sa jupe et vous détaillez avec une envie folle le petit rectangle de tissu qui glisse le long de ses cuisses pour découvrir un ravissant string noir. Elle est vraiment trop bonne ! Encore un dernier whisky et elle sera nue pour vous accompagner dans la tente. Elle rit de plus belle et vous donne la bouteille.



Une grande rasade de whisky dans le cornet et vous tentez de vous relever pour assister au spectacle de cet ultime effeuillage.

Soudain, la belle Scandinave se transforme en renard devant vos yeux, le renard vous sourit, puis il se transforme en ombre, l’ombre devient à son tour un trou et vous sombrez dedans ! Le sol vous accueille, ivre mort.


Voilà ce qui attend les petits malins qui branchent de vraies femmes et qui ne tiennent pas l’alcool ! Ça vous apprendra !


* Retour au 1 , après une très longue journée de sommeil !



68

Vous ne savez pas ce que vous avez raté !


* Retour au 5 , vous manquez décidément d’imagination !



69

Vous jouez vraiment dans la distinction !

Le collant descendu sur les chevilles, vous avez placé votre partenaire sur le ventre et les fesses en l’air contre une table. Défroqué, vous investissez fièrement de votre gros jonc plastifié le sexe ouvert et détrempé qui se révèle fort accueillant. Comme un amant pressé vous pilonnez l’ouvrage fortifié à grands coups de rein, sous les gémissements de plaisir de votre tortue-partenaire. C’est beau à voir !

Un léger raclement des doigts sur la porte distrait un moment votre attention, avant que celle-ci ne s’ouvre et laisse apparaître les traits gracieux d’une fée. Elle n’a autre que le visage, orné un bref instant d’un joli sourire, de la belle jeune fille de l’accueil. Apercevant votre position et votre partenaire, ses traits enchanteurs se figent et elle bafouille…



Vous êtes à la fois rouge de honte et vert de rage, car vous venez de louper le plan le plus sympa du camping avec la fille de l’accueil, vestige imprenable où des dizaines de beaux campeurs se sont cassé les dents. Et dire qu’elle avait ressenti en vous, enfin, celui qui pourrait l’amener au septième ciel ! Mais vous avez une partenaire à honorer…



70

C’est peut-être votre chance, et dieu ! que ce dos est appétissant !

Vous résistez à l’envie de mordre dedans. Armé de la bouteille de lait bronzant, vous en humectez vos mains et placez doucement les paumes sur les omoplates de la jolie blonde. Sa peau est incroyablement douce et chaude. Vous descendez prudemment le long de son dos puis de ses reins avec de grands mouvements arrondis.



Le ton n’est pas encore à la complicité mais vous prenez cela pour un encouragement. Vous insistez sur la nuque, ce qui vous vaut un petit soupir de satisfaction, puis vous entamez l’inspection du côté du bassin et des épaules. La tension monte – surtout en ce qui vous concerne – et cette vision permanente de ses deux fesses bien rondes et bien musclées vous enivre. Vous mourrez d’envie de glisser vos mains sous l’élastique de son petit slip pour masser et humecter ses fesses, sa raie…


* Vous décidez que trop c’est trop et tentez votre chance en glissant malicieusement votre main directement entre ses deux jolies fesses. Rendez-vous en 51 .

* Vous continuez à l’enduire de crème, en flattant ses rondeurs de vos doux verbiages. Rendez-vous en 10 .

* Vous continuez bien sagement à l’enduire de crème, attendant un signe de sa part. Rendez-vous en 83 .



71

Malgré l’appréhension, vous réalisez soudain que vous vous êtes trop engagé pour reculer, sous peine d’une honte incalculable, aux effets nocifs pour votre séjour. Vous fermez un instant les yeux pour vous donner courage et essayez d’imaginer la jolie poupée en train de se désaper devant vous. Voilà qui est penser positivement ! Et vous terminez prestement de gravir les dernières marches vers le grand plongeoir. Votre arrivée au milieu de la zone d’élancement est accueillie par un tonnerre d’applaudissements et d’encouragements. Vous êtes le roi du bal. Mais bon sang ! que les jolies pépées ont l’air petites de cette hauteur ! Vous vous approchez encore du bord et manquez de pisser dans votre joli et sexy slip de bain. Ça relève plus du saut à l’élastique que du plongeoir - ou alors c’est un modèle olympique.

N’y tenant plus et le ventre serré, vous vous élancez dans le vide…


* Rendez-vous en 4 .



72

Et en route pour une danse malhabile.

C’est peu dire que votre duo flirte avec le ridicule ! Vous tentez désespérément de faire le tour du costume de Tortue avec vos bras et de vous déplacer sans trop de gaucherie. C’est une voix très douce qui vous rassure un peu.



Ouh là là ! Vous ne savez trop qu’en penser. Elle a pas l’air d’être très futée, mais au moins elle a une voix incroyablement douce et suave. Ce genre de voix qui déclenche des picotements dans le dos.



Et sur ce, sa main palmée passe le long de vos cuisses sans défense en les caressant langoureusement.



Vous vous apercevez alors qu’elle continue à vous caresser les cuisses et les fesses. Une fée passe sur la piste et vous fait un petit signe de la main… Mais la Tortue est en forme et la chanson se termine.



Et sur cette phrase elle part direction la salle en question. Vous croisez à nouveau la fée et lui faites à votre tour un signe.


* Pour éviter un nouveau plan loose, retour en 14 ou en 59 .

* Ces caresses ont déformé votre collant et il est temps d’aller donner à cette tortue ce qu’elle souhaite tant. Vous êtes un homme, un vrai ! Rendez-vous en 36 .



73

Vous trinquez de bon cœur et rigolez un moment en évoquant le fameux plan de la tente chinoise.



Votre conversation est coupée par un puissant bruit de moteur. Votre oreille experte identifie une moto de grosse cylindrée amenée à son minimum de vitesse sur les petits chemins du camping.



Vous apercevez alors une silhouette fine qui descend de moto. « Fluet, le motard ! » vous dites-vous intérieurement. C’est un corps longiligne moulé dans une combinaison intégrale malgré la chaleur. Marque de sécurité d’un vrai motard pro. Quand les deux mains attrapent le casque pour l’enlever, vous tombez des nues ! Une longue chevelure très brune se détache de sa prison intégrale et prend place, élégamment, le long d’un cou fin et gracieux. L’ensemble est bientôt sublimé par un divin sourire… féminin !



Elle entrouvre sa combinaison sur un tee-shirt partiellement mouillé de transpiration mais aussi sur une magnifique poitrine aux pointes arrogantes. Vos tempes cognent.



Bien sûr !



Vous, vous iriez bien sous la douche pour lui passer le savon ! Elle part chercher ses affaires sous la tente après avoir déposé un petit baiser sur la bouche de son homme et vous avoir gratifié d’un nouveau sourire, innocent et amical mais ravageur.


* Rendez-vous en 90 .



74

… Il vous semble bien que l’une des deux jeunes filles a glissé sa main dans le bas de maillot de l’autre !

Vous croyez un instant vous être trompé, quand un mouvement sur le côté de la première vous révèle les jambes bien écartées de sa partenaire. Cela ne fait plus aucun doute, la belle est en train de caresser le minou blond à travers le vêtement. Comme pour ôter le doute, la première jolie blonde fait glisser son bas de maillot et libère son intimité aux doigts de sa complice. Comme ses caresses sont douces, le corps de la jeune fille caressée se cambre, doucement, à mesure que la main insiste dans sa découverte de ce délice. Les bulles rejetées par la jolie sirène se font plus nombreuses et bientôt la plus hardie des deux décroche son arrivée d’air et plonge sa bouche entre les cuisses bien écartées. Elle enchaîne un ballet gracieux entre ce sexe si accueillant et son masque à oxygène et alterne petits coups de langue, succion et doigtage capricieux et enflammé.


Vous-même n’y tenez plus et vous dégainez votre artillerie à l’eau libre pour vous caresser devant ce sublime spectacle. Les deux belles sont des virtuoses de l’amour lesbien, et bientôt la deuxième fait à son tour glisser son bas de maillot. S’ensuit un étrange manège où les deux corps se chevauchent en frottant doucement leur intimité. Elles ont joint leurs mains, et frottent leur sexe au gré des eaux. Vous n’en revenez pas d’être le spectateur privilégié de ces douces caresses, loin des coïts brutaux des hommes et des clichés sur les lesbiennes. Vous mourez d’envie de vous joindre à elles, mais vous ne voulez pas gâcher cette douce intimité de femmes. Leurs ébats se ponctuent en apothéose quand chacune vient collecter de sa bouche le plaisir perlant sur le sexe de sa partenaire.


Vous voyez vous-même avec surprise votre longue ogive cracher quelques jets de votre semence qui dérivent dans les fonds marins.

Quelques minutes interminables pour rallier le bateau et vous vous délestez avec entrain de votre matériel. Les deux belles sont à vos côtés et elles rangent leurs affaires. La plus tigresse des deux passe à vos côtés et vous demande dans un anglais parfait :



Et les deux belles filent, bras-dessus bras-dessous en riant, la joie de vivre chevillée au corps. Que c’est beau l’amour épanoui…

Vous n’avez pas tout perdu, gros veinard !



75

Vous arrivez bientôt devant une luxueuse caravane qui prend, tant que faire se peut, deux emplacements à elle seule. Un modèle haut de gamme, large, spacieuse et semblant équipée de tout ce qui se fait de mieux en décoration, antenne, vitres… le paradis des amateurs de caravanes, détonnant un peu dans ce camping d’allure plutôt populaire.

Un homme en sort soudain, l’air mauvais et bourrin. Vous lui donnez la quarantaine, l’air d’un boxeur ou d’un catcheur qui aurait beaucoup pris de coups dans la figure et sur la tête. Il se dirige d’un pas vif vers la sortie du camping. Le genre de type qui vous fait changer de trottoir si vous le croisez seul la nuit… À peine est-il sorti que votre attention se reporte à nouveau sur la porte de la caravane. Une bimbo, véritable caricature de la belle blonde d’accompagnement fait son apparition. Elle semble tout droit sortie d’un film spécialisé, avec ses cheveux blonds, ses lèvres gonflées, son maquillage généreux (trop à votre goût) et ses formes opulentes (soit par un don insolant de la nature soit par les interventions successives de plusieurs chirurgiens plastiques).

Elle est vêtue d’un peignoir et vous décidez d’instinct de vous faufiler derrière l’arbre à proximité de la caravane. Elle se dirige en sifflotant vers un transat discret à proximité de vous. Quelques secondes de contemplation et voilà que le peignoir tombe à ses pieds laissant libre champ à vos yeux…


* Rendez-vous en 37 .



76

Non content d’être étroit d’esprit et peu curieux, vous y ajoutez du misérabilisme et de l’hypocrisie ! Vous vous êtes regardé ? C’est pas joli, joli ! Recommencez donc, pour voir si vous êtes capable de vous rattraper !



77

… la bande originale du film « 9 semaines et demi » par Joe Cocker.

Et votre sang ne fait qu’un tour.

Aurez-vous droit à un petit show privé de la belle sous les flashs de son appareil photo ? C’est peut-être enfin votre jour de chance !

Elle se place face à vous et commence à doucement bouger des hanches en faisant glisser ses mains le long de son corps. Son regard se fait de braise et elle ondule avec grâce et distinction au rythme de la musique. Déjà vos doigts s’agitent sur l’appareil et vous la mitraillez de toutes parts. Elle enchaîne en dénouant le paréo autour de sa taille et elle caresse ses seins et son ventre de façon suggestive. Elle joue avec les extrémités de son slip de bain en faisant mine de l’ôter et vous envoie des baisers furtifs. Elle se rapproche et danse de façon endiablée en laissant libre court à son opulente poitrine qui s’agite comme une flûte devant les yeux captivés d’un cobra.


* N’y tenant plus, vous l’attirez à vous doucement et glissez votre tête entre ses seins hypnotiques. Rendez-vous en 31 .

* Votre libido est au summum et vous sortez l’artillerie de votre short pour vous caresser en la regardant effectuer son strip-tease en 89 .

* Vous restez fidèle au poste en la mitraillant, tout en rythmant sa danse avec vos mains. Rendez-vous en 43 .



78

Vous raccompagnez les deux belles jusque devant leur tente et leur déposez deux bises chacune. Vous vous êtes fait de bonnes amies pour le reste du séjour et deux sacrées buveuses pour les soirées.

La plus grande vous demande votre bras et vous écrit un petit mot doux sur le bras. La plus jeune veut l’imiter et vous traduit : « À mon beau petit Français ». Vous rougissez, grand sentimental que vous êtes ! Elle inscrit à son tour quelques mots et les deux belles partent bras-dessus bras-dessous avec un clin d’œil, ne vous laissant nul doute sur le reste de leur soirée…

Quel gâchis ! Mais bon, vous respectez l’homosexualité même féminine…


* Vous repartez vous coucher en attendant d’autres aventures. Rendez-vous au 19 , car il y a bien d’autres personnes à rencontrer dans ce camping !

* Vous jetez un regard désinvolte sur votre bras et… Rendez-vous en 56 .



79

Votre main a glissé sous son slip de coton et le fait descendre le long de sa cuisse. Elle a des jambes magnifiques et ce petit sexe commence à gonfler. Soucieux de ne pas la stresser, vous le faites disparaître aussitôt dans votre bouche dans une divine caresse buccale. Elle gémit doucement et caresse vos cheveux.

Votre langue remonte le long de son ventre et regagne ses seins que vous sucez et léchez avec gourmandise et énergie. Elle continue à vous caresser, insistant sur le torse et votre nuque. Cela vire à un vrai massage érotique, alors que votre langue s’agite sur chaque parcelle de son corps. Cela ressemble à un corps soigné de jolie femme, avec ses hanches fines, ses jolis seins ronds et ses cuisses et fesses bien fermes. Seule son intimité, typiquement masculine, trahit son hermaphrodisme. Vous n’en avez cure et désirez simplement passer un bon moment en sa compagnie. Cela semble lui convenir à merveille et elle, à son tour, part à l’assaut de votre virilité fièrement déployée.


Ses lèvres charnues enserrent votre gland et c’est la moitié de votre virilité qui disparaît dans sa bouche dans un grand bruit de succion. C’est une suceuse expérimentée, comme en témoignent ses coups de langue sûrs, le jeu de ses mains sur votre sexe, ses passages exquis sur vos bourses tendues et ses lampées généreuses. Vous avez rapidement des chaleurs car elle vous suce divinement, et vous l’invitez à prendre une pause en attaquant à votre tour sa véritable intimité. Votre langue délaisse ses bourses et son sexe pour lécher avec envie son petit anneau. Le léger renflement trahit une pratique régulière de la sodomie et vous réalisez avec une excitation certaine qu’elle va vous offrir ce délice si longtemps recherché chez vos partenaires. Vous le préparez avec envie en suçant sa collerette et en léchant les abords de son trou avec délectation.


Elle se relève, vous embrasse et se positionne, soumise, en levrette devant vous. Elle a dégagé un passage royal vers sa jolie chute de rein. Vous enserrez la pointe de votre sexe de votre main pour la durcir et humectez patiemment son anneau de votre salive. Un doigt inquisiteur flatte l’aspect accueillant de son sphincter et vous poussez pour entrer en elle. La sensation est délicieuse quand votre gros gland disparaît dans ses chairs et qu’elle l’accompagne d’un petit gémissement d’encouragement. Votre queue continue ses investigations et bientôt vous êtes entier en elle et tentez de vous mouvoir. Elle gémit plus fort quand vous entamez un petit va-et-vient et que vos mains prennent appui sur ses seins que vous malaxez fiévreusement. Quel pied !

Quelques minutes de plaisir inouï s’écoulent et vous pilonnez maintenant de façon systématique son entrejambe. Elle a planté ses doigts dans vos cuisses bandées. Vous caressez ses seins puis les pincez légèrement quand votre jouissance se répand dans ses entrailles.

Vous finissez tous deux allongés et lovés l’un contre l’autre, c’est une longue nuit de caresses et de sensualité qui s’offre à vous…



80

Non ? Alors continuez à jouer aux legos !



81

Dans les bras de Maya l’abeille…

Vos yeux connaisseurs ont vite fait de remarquer que le costume, bien que rond, est amplement déformé au niveau du buste, ce qui trahit une poitrine ferme et des proportions généreuses.

Vous dansez langoureusement avec cette abeille que vous emmèneriez bien butiner dans votre ruche. Encore un ou deux slows et vous lui proposez d’aller boire un verre, ce qu’elle accepte volontiers.

C’est alors que l’animateur annonce « Tombez les masques ! » et…


* Rendez-vous en 54



82

Elle est charmante, et la voir ainsi danser en se déhanchant vous ravit. Chaque mouvement du bassin vous fait imaginer ses hanches fines et ses fesses parfaites. Vous avez envie de vous vautrer sur elle pour lui arracher sa robe et la pourfendre de votre pieu ravageur. Elle attrape la bouteille, se sert une grande gorgée puis vous la tend pour que vous l’imitiez. Pour donner le change, vous avalez à votre tour une bonne gorgée de whisky pur, non sans des remontrances appuyées de votre estomac et de vos tempes.

Dieu qu’elle est belle !


* Pour lui suggérer de vous suivre tout de suite dans la tente, rendez-vous en 42 .

* Pour continuer à rire, boire et discuter avec elle, rendez-vous en 92 .



83

Les minutes passent sans que vous vous en rendiez vraiment compte. Ce n’est plus une séance de bronzage mais un véritable massage de tout son corps – plutôt de toutes les partie de son corps qu’elle a bien voulu vous laisser toucher. Vous avez quand même eu une petite récompense quand elle est passée sur le dos et que vous avez traité ses cuisses, son ventre et ses épaules en effleurant de vos doigts fébriles les gros mamelons gorgés de soleil. Elle soupire, sourit, mais ne semble pas vous laisser une seule ouverture ou sous-entendu, et c’est pour votre libido une vraie torture. Vous vous connaissez : jamais vous n’oserez tendre vos doigts et les poser sur ses beaux seins qui ne demandent que des grandes mains et un peu de rudesse. Vous rêveriez de les caresser, de pincer les pointes sous ses couinements amusés, puis de les exciter du bout de votre langue.

C’est ce qu’auraient tenté tous les vrais hommes de la terre, ceux avec de gros outillages entre les jambes. Trop c’est trop : vous prenez la ferme décision de tendre cette main vers le paradis mammaire et déplacez vos doigts.

La voix vous coupe dans votre élan…



Vous croisez alors le regard du boxeur aperçu à votre arrivée, et une étrange boule se forme dans votre ventre. Il prend un air mauvais et vous rend un regard glacial. Il s’avance vers vous.



Vous êtes perdu… C’est alors qu’elle vient à votre secours avec une voix incroyablement calme.



Le mari de détend et sort son portefeuille.



Vous ramassez les billets pour ne pas attirer sa méfiance.

Petit veinard ! Vous avez gagné de quoi vous acheter une belle pizza « 4 fromages » et quelques bacs de glaces. Idéal pour les chaudes vacances, non ?


* Retour en 19 .



84



Vous lui avez murmuré cette phrase délicate et vous avez baissé la voix pour ne pas être entendu des autres filles. C’est au contraire à voix haute qu’elle vous répond avec un divin sourire.



Les autres filles ont entendu et vous regardent avec un regard compatissant. Il vous faut quelques secondes pour ramasser vos dents et quitter les lieux. C’est un râteau de première classe qui rappelle un peu les immenses outils en bois, utilisés dans les campagnes corréziennes au XIXème siècle, pour faner les blés…



85

Vous entrez dans la grande tente, en tout point similaire à la vôtre et vous voyez votre hôte se pencher vers le frigo. Vous êtes un mec, mais vous devez quand même bien reconnaître qu’il a un joli petit cul ! Une vieille idée traîne dans votre tête. Vous avez toujours rêvé de sodomiser un mec, mais n’avez jamais osé « sauter le pas » (humour). Cette pensée est vite noyée par quelque chose de plus simple et plus immédiat quand vous voyez arriver une bonne Hoegaarden bien fraîche, avec sa rondelle de citron. Hummm… C’est vraiment un mec qui a du goût.

Vous discutez deux bonnes heures à bâton rompu sur vos vies et ce mec vous plaît vraiment bien. Rien de sexuel là-dedans (encore humour) mais bien une franche sympathie. Ainsi accueillez-vous bien la phrase qui suit :



Sur ce, vous acceptez. Peut-être une occasion amenée par le destin pour réaliser votre vieux fantasme homo ? Peut-être…


* Rendez-vous au 95 .



86

La soirée bat son plein et vous avez déjà écumé une bouteille de whisky. C’est très animé, mais dieu que vos deux hôtesses peuvent manger et surtout boire ! Vous commencez à avoir la tête qui tourne alors que les deux miss ne cessent de parler, rire, danser en se dandinant sur la musique qui anime cette joyeuse ripaille.

Elles tiennent une forme du diable et vous vous dites qu’il est maintenant temps d’être beaucoup plus entreprenant pour brancher les deux poulettes.


* Vous jetez votre dévolu sur la plus grande et ses jolis nichons. Rendez-vous au 58 .

* Vous préférez sa copine et sa robe au dos nu. Rendez-vous au 82 .



87

Vous voilà donc plein de bonnes résolutions pour garder vos abdos de playboy bien fermes et pour entretenir tous vos petits muscles. Vous approchez d’un grand tableau présentant les activités sportives et pouvez lire :


* Tir à l’arc, avec la photo d’une ravissante jeune femme black, tout sourire qui est présentée comme la monitrice. Rendez-vous en 27 .

* Parcours commando, avec Yorgi, qui a tout l’air d’un ancien commando parachutiste sur la photo. Rendez-vous en 98 .

* Initiation à la plongée, avec Mylène, qui a l’air d’un joli petit bout de femme dynamique. Rendez-vous au 102 .

* Jeu de concentration et d’adresse. Voilà bien une mystérieuse formule. C’est avec Jeanne la Gitane. Rendez-vous en 131 .


À vous de choisir !



88

…un infâme relent de whisky remonte de vos entrailles et vous dégobillez abondamment sur le fessier partiellement offert de la belle Scandinave. Elle se met à tressauter bizarrement en hurlant de rage vers la sortie de la tente, tout en tentant d’agrafer le dos de sa robe, en vain… Le seul résultat obtenu est que du vomi commence à ruisseler le long de ses cuisses après avoir débordé de son dos et de son entrejambe. Elle vous lance un regard de haine en sortant de la tente et son visage traduit une humiliation sans pareille, d’autant que ses cris ont ameuté une demi-douzaine de campeurs qui regardent la belle se démener de façon ridicule. Elle devient écarlate de honte.

Vous êtes giflé sans ménagement par son amie accourue à son secours et qui l’emmène rapidement vers leur tente. C’est au moment où vous esquissez enfin un geste, que vous dégobillez de nouveau, mais cette fois sur vous. C’est vraiment pas votre soir et un challenge de taille à venir pour se lever une petite nana sur le reste du séjour !



89

L’artillerie dressée, vous vous agitez frénétiquement sur le rythme de la musique en regardant la belle danser et vous sourire. Elle baisse les yeux et vous aperçoit, surprise, en train de vous caresser. Alors, elle s’arrête, interloquée. C’est à ce moment-là que votre fier étalon fait défaut et crachote deux petits jets de semence graisseuse sur le canapé de la belle.



Quelques secondes plus tard, vous êtes devant la caravane, à vous dire que vous venez de planter un plan cul d’enfer… Il faut parfois savoir attendre, avec les femmes !



90

Quelques minutes passent et vous ne pouvez vous empêcher de déballer une foultitude de clichés sur les femmes et les motards à votre hôte, qui, habitué, y répond avec patience et bonne humeur. Lui, vous explique-t-il, s’y est habitué et elle est passionnée par son travail.



Vous ne comprenez rien à son allusion et votre cerveau est vite accaparé par une apparition divine. Votre bouche marque un O d’émerveillement. La combinaison de la motarde a laissé place à une fine robe noire complètement nue dans le dos, si ce n’est les ficelles pour le corsage. La silhouette filiforme est sublimée par le noir du tissu et l’élégance de ses formes. Elle a attaché ses cheveux en chignon, ce qui rend encore plus beau son cou et ses fines épaules. La robe est assez courte et s’arrête à mi-cuisse. Elles sont fines et douces à la fois. Ses fesses sublimes sont caressées par le tissu noir qui trahit le galbe parfait et leur fermeté. Cette vision du bonheur ne va pas sans un nouveau sourire qui parachève cet instant de grâce.



Nouveau baiser pour son homme, nouveau sourire pour vous. La classe à l’état brut, cette fille, et une beauté insolente.



Vous avez l’air d’un petit garçon qui découvre que sa maîtresse d’école est un canon de beauté, le premier jour de classe !



Il tourne le dos pour attraper la bouteille et Florence vous glisse un petit clin d’œil capricieux. Cette fille dégage une fraîcheur et une insouciance bienfaitrice et vous lui savez gré de sa bonne humeur. Votre sexe, lui, s’est mis au garde-à-vous et vous lance comme jamais dans votre short.



Et il disparaît dans la tente. Vous restez seul avec elle un instant, presque gêné.



Vous entrez dans la tente à la recherche de votre hôte avant que vous ne vous liquéfiiez devant elle. Benoît vous accueille la chaîne à la main. Il vous la dépose dans les bras et vous lance :



Et sur ces mots, il vous dépose un baiser sans équivoque sur la bouche en disparaissant dehors, les CD à ma main.


Vous restez un instant paralysé par ce qu’il vient de faire. Puis décidez de rejoindre ce drôle de couple pour le dîner.


* Rendez-vous en 39 .



91

Le contact avec sa peau est merveilleux et vous appuyez suffisamment pour faire comprendre à la belle que ce contact n’est en aucun cas fortuit. Vous insistez même un petit peu sur l’intérieur, au bas de sa cuisse droite, pour sonder sa réaction. Vous êtes alors prêt à crier de joie quand un mouvement infime de ses jambes éloigne de quelques centimètres ses genoux, qu’elle avait jusqu’à présent laissés fermés. Vous glissez malicieusement votre pied et entamez une prudente remontée le long de sa cuisse droite. Enfin, vous entrez en contact avec le fin tissu de la robe et glissez en douceur un pied dessous, soulevant doucement le tissu. Que cette peau est douce ! Là, vous caressez le galbe de ses cuisses fermes mais terriblement sensuelles.

Elle n’a toujours pas bronché, continuant à se mêler comme si de rien n’était à la conversation qui a viré sur la vie dans le camping, alors que votre jambe se tend et que votre pied est maintenant à quelques centimètres du nirvana.

Vous reprenez discrètement appui sur vos deux mains pour regagner de l’allonge, profitant opportunément du déplacement de Benoît pour attraper les brochettes de viande. C’est alors que vous goûtez avec délice à un morceau de viande épicée que le doigt de votre pied entre en contact avec un fin tissu soyeux. Ce n’est pas vraiment de la soie mais le sous-vêtement est incroyablement doux, comme une petite nuisette d’été. Le tissu souple suggère plutôt un shorty. Pas très échancré devant habituellement mais terriblement serré et très sexy sur les jolies femmes. Vous en raffolez. Cette fille va vous faire mourir d’envie… Vous tentez votre chance en poussant la découverte jusqu’à caresser sa fine toison d’amour à travers le tissu.


* Rendez-vous en 20 .



92

Cette fois-ci vous avez vraiment l’air de vous la brancher sévère !

Vous entamez un petit jeu de séduction en lui embrassant le bras gauche puis le bras droit. C’est à son tour de vous déposer une petite bise sur la joue. Vous bandez comme un fou et entre deux petites attentions, chacun reprend une petite lampée de whisky. Elle a une sacrée descente pour son gabarit. Vous ne rechignez pas sur la bouteille, tant pis pour la migraine et la cuite : vous êtes trop proche du but, avec ce super canon. Peut-être même que si cela commence à être chaud, sa copine se joindra à vous pour un plan à trois très sympa. Nouvelle petite chatouille aux côtes. Vous effleurez sa robe et remarquez que la pointe de ses seins a durci sous sa robe serrée. Elle commence à frétiller comme une jouvencelle. Nouvelle lampée, nouvelle caresse, plus osée cette fois, au niveau de sa cuisse. Elle vous regarde avec un air faussement réprobateur et vous tend la bouteille après s’être servie. Peut-être a-t-elle besoin de boire avant de s’amuser sous la tente ? Sympa, elle en sera moins farouche.

Vous commencez à l’embrasser dans le dos, et descendez avec votre langue le long de ses reins. Elle glousse et vous insistez sur le bas du dos. Avec les dents, vous faites descendre la petite fermeture Éclair au bas de ses hanches et apercevez, émerveillé, la courbure parfaite de ses reins et le haut de la fente de son fessier divin.


* Rendez-vous au 55 .



93

… entre en contact avec une petite paire de testicules !

Voilà donc la raison de ses craintes et de son appel à la tolérance.

Elle vous fixe avec ses yeux pleins de larmes et caresse votre joue.


* Vous explosez de rage et la jetez dehors en la traitant de monstre hybride et de créature démoniaque. Rendez-vous en 21 .

* Vous restez poli et tentez de cacher votre gêne, puis la raccompagnez vers la sortie avec quelques mots réconfortants et un faux numéro de portable. Rendez-vous en 76 .

* Vous ne dites mot et commencez à caresser ce petit sexe avec tendresse. Rendez-vous en 79 .



94

Vous terminez enfin votre cours !



Et elle vous dépose une petite bise gentille sur la joue, sous les applaudissements des autres filles qui viennent à leur tour vous embrasser !

Vous êtes le champion du stand et des bonnes manières avec les dames, félicitations !



95

Vous prenez le temps de flâner dans les allées et vous croisez à nouveau la jeune fille sage de l’accueil. Elle a vraiment un petit cul d’enfer ! Vous repassez par la douche en repensant à cette jeunette. Oh ! ce petit corps sage (humour encore) si attirant !


* Oublions le jeune homme et retour à l’accueil afin, qui sait, de se la brancher pour une nuit torride. Retour au 5 .

* Vous avez pris des engagements et allez honorer ce dîner avec votre nouvel ami. Rendez-vous au 6 .



96

Vous arrivez et Helena est déjà là. À peine vous voit-elle qu’elle disparaît dans les douches après vous avoir fait un signe. Intrigué, vous la suivez, bien incapable de deviner ce qui va suivre. Vous l’appelez discrètement et elle tape sur une des portes fermées des douches des filles. Vous posez votre main sur la porte et vous vous apprêtez à entrer dans les douches, le cœur palpitant : et si c’était enfin votre chance ?


* Rendez-vous en 46 .



97

Elle a pris place sur votre matelas et vous vous affairez pour préparer un nouveau cocktail. Cela vous monte un peu à la tête mais pas trop de risque : vous voulez profiter à plein de la soirée qui s’annonce. Vous la rejoignez et vous asseyez à côté d’elle. Elle tend une main vers vous et vous dépose un petit baiser sur la bouche :



Sur cette phrase énigmatique, elle a placé une main sur votre cuisse et s’offre à nouveau en un baiser plus sensuel cette fois-ci.



Et sur cette réplique digne d’un roman de gare, vous la délestez de son haut de maillot. Le vêtement laisse place un petit bustier fin et présage d’une belle et généreuse poitrine. Du 95D pour vous, mais vous avez une très légère déception en découvrant qu’il s’agit sans doute d’implants mammaires.



Et vous faites glisser le petit bustier pour libérer et embrasser à pleine bouche ses deux gros seins blancs. Vous accélérez la cadence en faisant glisser son jean et vous faites disparaître votre short et votre chemise. Torse nu, vous bandez vos muscles, ce qui la fait rire.

Alors que vous approchez vos mains de son slip, elle semble tendue et fait presque un geste de recul. Votre main progresse et…


* Non, finalement vous la mettez dehors, redoutant un plan loose avec une fille qui dit non au dernier moment. Retour en 59 ou en 5 .

* Il est temps de faire fondre ses dernières résistances et de lui montrer vos talents d’amant émérite. Rendez-vous en 93 .



98

Vous vous approchez de ce qui ressemble en tout point à un parcours de commando en herbe. Une pancarte indique clairement plusieurs titres à sensation :


Engagez-vous sous les ordres de Yorgi ! Retournez aux sources de votre service national ! Partagez l’expérience d’un ex-commando ! Mesdames, mesurez-vous aux hommes !


Vous vous apprêtez bien sûr à rebrousser chemin - ce genre de conneries fatigantes est indigne de votre joli corps - quand vous croisez soudain une belle brune aux yeux bleus d’acier. Elle a revêtu un bas de treillis et un tee-shirt. Avec un style très masculin, elle a quand même du chien et il se dégage d’elle un certain magnétisme…



Vous entrez donc sur le terrain réservé au parcours et vous approchez d’une petite hutte.



Et vous voilà flanqué de votre jolie brune, commençant à courir…


* Rendez-vous au 109 .



99

Vous suivez le beau Benoît vers sa tente et cachez mal l’excitation nouvelle à l’idée de découvrir, dans la tendresse, le sexe entre hommes. Il arrive à hauteur de la tente et s’approche de Florence. Vous l’aviez presque oubliée, dans le feu de l’action, mais un seul regard vers elle, et sa beauté naturelle et énigmatique vous frappe à nouveau. Il s’adresse à elle sur un ton très complice :



Elle le regarde, un instant troublée et lui sourit de façon très tendre :



Vous ne comprenez pas tout, mais bientôt Benoît vous éclaire.



Vous êtes médusé !



Elle vous appelle alors tous les deux sous la tente et en entrant vous avez un choc.

La belle a revêtu un ensemble coordonné de sous-vêtements noirs, avec un petit bustier qui souligne sa merveilleuse poitrine, mais surtout un petit string hyper serré qui vous donne une première vision enchanteresse de ses fesses. Vous n’avez jamais vu un postérieur de ce calibre avec des fesses aussi fermes et les lignes aussi harmonieuse. Sa chute de rein déclencherait une émeute dans un couvent de Bénédictins. Elle vient tranquillement s’allonger sur une suite de coussins qui décorent son matelas de camping. Ses yeux sont étrangement brillants et laissent perler son excitation. Vous prenez place auprès d’elle et Benoît se glisse à côté de vous, de sorte que vos deux hôtes vous entourent. S’ensuit un délicieux jeux de caresses. Les mains de Benoît caressent votre poitrine et votre ventre, les vôtres sont littéralement aimantées par les cuisses fines et fermes de Florence. Elle vous sourit et vous accueille avec un doux baiser, puis elle glisse malicieusement sa langue dans votre bouche pour témoigner de sa gourmandise.


Curieusement, vous semblez avoir du mal à bander, car cette présence vous stresse. Elle est tellement belle et inaccessible que vous êtes tout tendu. Et c’est assez inexplicablement que votre fier étalon se dresse au contact de la bouche de… Benoît ! Ça n’a finalement rien de bien différent, de se faire sucer par un homme, même si la peau un peu plus râpeuse des joues vous rappelle la masculinité de votre partenaire. Vos mains ont enfin gagné le petit déshabillé et vous ne résistez pas à dénuder les seins de Florence pour les caresser et les embrasser fougueusement. Ses caresses sur votre torse vous invitent à redoubler d’initiative alors que Benoît suce implacablement votre sexe, qui a gagné maintenant une taille fort respectable. Florence n’a nullement envie de vous torturer. Elle a ôté son haut de coordonné et écarte malicieusement les cuisses vers vous en s’offrant à toutes vos envies.

Après avoir un peu caressé son ventre, vous sucez d’abord patiemment son nombril, avant d’attaquer son sexe à travers le petit string. Le contact avec le tissu est électrique pour votre langue, et la belle muse a basculé la tête en arrière pour mieux apprécier la caresse. Vous glissez malicieusement un doigt, qui entre dans une délicieuse sensation de chaleur. Elle est très mouillée et vous décidez d’honorer ce sexe accueillant d’une plus délicate attention. C’est maintenant de votre bouche entière que vous émoustillez la belle, qui se contorsionne de plaisir sous vos caresses buccales.


Benoît a lâché votre sexe et commence, à votre grande surprise mais avec une certaine excitation, à vous bouffer le cul. Sa langue flatte avec délice votre collerette et semble déjà ravir votre anatomie, peu habituée à ce type d’attention. Alors qu’il ose un doigt et que vous vous tendez quelque peu, votre attention est occupée par Florence, qui a pris votre sexe à pleine main et le caresse vigoureusement. Après un rapide mais divin passage dans sa bouche, elle vous glisse à l’oreille son désir d’être prise. Vous arborez une fière érection et vos veines sont tendues à l’extrême, offrant à la belle créature un sexe impressionnant.


C’est après quelques douces caresses et baisers que votre sexe plonge avec délice et sans résistance dans le petit abricot de la belle, que Benoît ose un second doigt dans votre anus et que vous percevez la sensation fraîche du gel qui l’accompagne. S’ensuit un manège étrange : au plaisir de vos coups de reins dans Florence, succède votre gémissement de crispation sous les doigts de Benoît. Florence a plaqué votre tête entre ses seins et gémit plus bruyamment. Vous êtes entraîné sur elle et continuez à la pistonner plus sévèrement. Elle semble apprécier et ses doigts bien plantés dans votre chair témoignent de son plaisir. Le sexe de Benoît est maintenant contre votre petit anneau. C’est au moment où Florence plante ses ongles dans votre épaule pour son premier orgasme que Benoît force en douceur votre vierge anneau et s’enfonce avec plaisir entre vos reins. Vous gémissez aussi bien sous la douleur des ongles que celle de votre déchirement mais vos plaintes sont absorbées par Florence qui témoigne de façon généreuse son plaisir de femme.


Le premier va-et-vient entre vos reins s’effectue alors que la belle Italienne a retrouvé ses esprits et entreprend de vous sucer avec application. Sa technique est parfaite et vous ne pouvez vous empêcher de la prendre par les cheveux pour vous enfourner au fond de sa gorge. Mmmm…

Après un petit dégourdissement bien compréhensible, la belle vous reprend et répond avec technique et bonheur à votre sollicitation de gorge profonde. Quel plaisir ! Vous êtes maintenant à la fois pilonné en profondeur par Benoît et sucé avec une gourmandise incroyable par Florence. Vous n’y tenez plus et la belle goûte en prime à une bonne giclée au fond de la gorge. La majeure partie de votre généreuse éjaculation est pour son menton et ses seins, qu’elle caresse avec délectation. Elle vous embrasse à pleine bouche pour partager ce plaisir, au moment même où Benoît inonde enfin vos entrailles, ce qui vous procure une drôle de sensation.

Tout le monde reprend des forces. Vous êtes cajolé entre le corps chaud et trempé de Florence, avec ses caresses, et les attentions de Benoît qui suce avec bonheur vos testicules.

Mais la nuit est encore longue et on inverse bientôt les rôles…



100

Les deux beautés blondes ont repris leur conversation et vous ne savez plus comment attirer leur attention sans passer pour un gros lourd. Vous décidez cependant d’engager à nouveau la discussion avec la plus jeune des deux, en lui demandant des conseils sur la façon de préparer votre bouteille de plongée. Elle réalise l’opération avec quelques gestes rapides et mécaniques et vous la remerciez de votre plus beau sourire, auquel elle daigne répondre. Vous lui dites alors que vous la trouvez charmante et que ce sera un plaisir de faire de la plongée avec elle. Deux jolies jeunes femmes pour vous tout seul, cela vous fait perdre quelque peu vos esprits. Elle sourit, ce qui n’est pas du tout le cas de la deuxième beauté blonde, qui vous lance un regard glacial et tend une main protectrice vers sa camarade. L’autre lui explique dans sa langue quelque chose qui semble la rassurer moyennement sur vos intentions. Les deux jeunes femmes entament alors un débat sur le ton de la confidence, en vous regardant. Elles semblent se détendre alors, surtout celle qui faisait la gueule, elle rit même maintenant en vous regardant. Vous lui souriez à votre tour.

Dans un geste gracieux, elles ont revêtu leurs palmes, leurs bouteilles et leur casques et vous ne ratez pas une miette de leur mise à l’eau, en détaillant chaque mouvement de leurs corps parfaits.


* Rendez-vous en 11 .



101

C’est trop dur pour vous !

Vous rejoignez la petite cabane de Yorgi et arrivez vers la porte où figure un mot : Absent pour le moment. Pour le matériel, s’adresser à la caravane 22.

C’est bien votre veine ! En plus, vous allez perdre du temps à ramener votre tenue de camouflage à cette espèce de commando d’opérette !

Vous jetez un coup d’œil aux caravanes sur le côté et trouvez rapidement le chemin de la numéro 22. Vous frappez et la voix gutturale vous répond :



Enfin l’occasion de vous débarrasser de cette tenue ! Vous entrez dans la caravane et fermez machinalement la porte, comme demandé.

Vous faites quelques pas dans la pièce centrale quand celle de la salle de bains s’ouvre tout d’un coup.



Vous apercevez, horrifié, le grand commando balèze, accoutré dans une espèce de tutu rose à dentelle avec des froufrous partout. Il a mis une perruque blonde et du rouge à lèvre, et il vous sourit bêtement. Il a un drôle de regard lubrique et tient un grand fouet dans sa main.



Et il vous tend le fouet en s’accroupissant, le cul nu.

Vous vous rendez compte avec consternation que le commando aime les jeux de fouet et de dentelle et qu’il aime être soumis. Votre seule chance de conserver votre vertu est de vous plier à ses jeux pervers et de le fouetter.



Les minutes qui suivent ne sont pas dignes d’un site comme Revebebe, et vous accomplissez votre tâche sous les miaulements de jouissance de votre improbable hôte.

Quelques longues minutes plus tard, il vous laisse enfin sortir et vous vous engouffrez hors de sa caravane. La jolie brune vous y attend avec un air mutin.



La tête vous tourne…



102

Vous arrivez tranquillement vers la zone de plongée et avisez immédiatement la petite taille bronzée et bien proportionnée de Mylène.



* Pour choisir le groupe A, rendez-vous en 112 .

* Pour choisir le groupe B, rendez-vous en 104 .

* Pour choisir le groupe C, rendez-vous en 108 .

* Pour choisir le groupe D, rendez-vous en 113 .



103

Vous commencez à préparer le matériel avec vos compagnons, et la jeune fille ne manque pas une occasion de prendre des postures suggestives. Elle alterne un arc de ses reins avec une caresse de ses mains sur ses fesses et ses seins et vous arrose de petits baisers furtifs et de clins d’œil aguicheurs. Vous avez une grosse érection et tentez de lui répondre, tout en craignant d’être vu par son père. La monitrice fait enfin signe de plonger, alors que votre érection déforme outrageusement votre maillot. La jeune fille s’en aperçoit et simule une bosse dans sa joue avec sa langue… ce qui n’est pas fait pour vous soulager !

Dans l’eau, tout est à la fois plus simple et plus compliqué. Vous suivez à distance le couple de Japonais, et la jeune fille profite d’un rocher entre son père et elle pour glisser sa main dans son bas de maillot en se plaçant face à vous. Vous n’y tenez plus, avec ces provocations ! Son père doit être bien loin d’imaginer que sa fille connaît depuis longtemps les tours de passe-passe pour faire craquer les hommes.

Quelques minutes plus tard, vous sortez enfin de l’eau et discutez à bâtons rompus avec la jeune fille, avec qui vous échangez tout un tas d’informations : votre métier, vos revenus, vos passions, vos habitudes… elle n’a de cesse de vous questionner, tout en vous souriant.



Vous la voyez s’éloigner un moment et discuter assez longuement avec son père. Puis elle revient avec un grand sourire :



Voilà un contretemps bien ennuyeux pour vos plans cul… alors qu’en plus vous êtes plein aux as.



Elle joint le geste à la parole et revient vers vous. Vous l’entraînez vite vers la terrasse du camping, le plus loin possible de l’accueil où se trouvera son père. Vous commencez gentiment à la baratiner à mort et elle ne cesse de vous sourire et de vous caresser le bras.



Et elle vous entraîne vers la plage. Vous l’enlacez et commencez à l’embrasser tendrement. Elle caresse votre maillot de bain et une belle érection voit le jour. Hum mm… les charmes de l’Asie ! Vous commencez alors à la caresser sur les jambes, pelotez ses petits seins et entamez une succion en règle de son nombril. Elle ferme les yeux. Doucement vous faites glisser votre short et elle découvre avec malice votre virilité.



La voilà qui s’exécute en lapant doucement votre gland. Sa bouche est exquise et vous êtes très surpris par sa technique pour une jeune femme vierge. Elle suce vos testicules avec gourmandise, fait glisser sa langue tout le long de votre virilité puis la fait disparaître entièrement jusqu’au fond de son palais. Vous la caressez doucement et la prenez par les cheveux pour accentuer votre excitation. Que c’est bon de se faire ainsi sucer en vacances ! Vous vous dites, plus tard, que vous êtes un sacré veinard, quand vous souillez dans un long râle la jolie bouche.

Vous la quittez, machiavélique, sur un petit sourire. Vous avez pris votre pied, avec cette petite garce !


C’est un appel de votre banquier sur votre portable, le lendemain matin, qui vous fera changer d’avis. Le couple de Japonais a mis les voiles dans la demi-heure qui a suivi votre mémorable pipe. La pipe la plus chère de l’histoire du monde : quinze mille euros ; le couple n’est pas japonais mais appartient à la mafia chinoise. Ils sont spécialisés dans l’arnaque à la carte bleue pour détrousser de riches occidentaux.

La belle Asiatique vous a bien eu ! Voilà ce que c’est, que de réfléchir avec son phallus ! Une leçon douloureuse à retenir, surtout si papa ne renfloue pas une fois de plus votre compte en banque !



104

Votre groupe est composé de deux professeurs d’histoire-géographie en retraite. Ils sont ravis de votre présence et brûlent d’envie de vous faire partager leur passion pour le Moyen Âge ou les civilisations post-colombiennes, en préparant les bouteilles de plongée…



105

Vous entrez dans ce qui pourrait ressembler à une sorte de baignoire, en plus grand, avec une délicieuse sensation de caresse procurée par l’eau. Vous vous allongez doucement et fermez un instant les yeux. Le silence, la solitude, le calme : l’idéal pour amorcer une douce rêverie érotique…

Cet instant de quiétude est vite troublé par un bruit d’eau et des bruits de pleurs ! Vous voyez débouler devant vous une jeune fille, plutôt petit format mais avec de magnifiques formes qui font gonfler son petit maillot de bain rouge. Le type même de la nana pas très grande mais très bien foutue et toute en formes généreuses. Votre œil expert et exercé s’attarderait volontiers sur ses rondeurs, si elle ne fondait pas en larmes bruyamment et ne s’effondrait à moitié à vos côtés.



Dans un concert de sanglots et de reniflements, vous parvenez à déchiffrer :



Nouveau concert de pleurs et de sanglots.



Et elle s’effondre à nouveau. Cela vous aurait mis la larme à l’œil si vous n’aviez pas déjà pratiqué maintes fois ce genre de rupture, une fois les draps consommés dans la chambre de jeunes et belles innocentes.



Vous la regardez, si vulnérable et larmoyante, alternant entre son visage plein de tristesse, ses joues pleines de larmes et ses gros seins qui déforment son maillot, alors que le renflement de son intimité émerge timidement de son entrecuisse barré par un sage slip de bain. Elle est vraiment très bien foutue et qui que ce soit, celui qui vient de la larguer a bien dû s’amuser avant de faire cela !

Vous réfléchissez sur la démarche à suivre.


* Ces jérémiades vous gonflent et vous dérangent dans votre recherche de quiétude, vous avez envie de la jeter dehors. Qu’elle aille chialer ailleurs ! Rendez-vous en 120 .

* Il faut être malin… Pourquoi ne pas faire mine de la consoler, la prendre dans vos bras pour vous la faire ni vu ni connu, à votre tour, au milieu des bains bouillonnants ? Rendez-vous en 119 .

* En parfait gentleman, vous décidez de sécher ses larmes et de la ramener chez elle. Rendez-vous au 114 .



106

Vous êtes un gros trouillard !



107

Avec un effort inouï, vous parvenez à rattraper votre compagne de jeu et elle vous regarde brièvement mais avec une grande surprise.



Elle sourit.



Et elle vous écrase la main avec la sienne. Vous tapez dans sa main et elle donne un grand coup d’accélérateur vers le mur vertical…


* Vous vous lancez à sa poursuite, histoire de lui montrer que vous en avez une sacrée paire. Rendez-vous en 111 .

* Vous n’êtes pas si fou, pour vous embarquez dans un truc pareil et vous rejoignez vite Yorgi pour lui rendre vos affaires et filer de là ! Rendez-vous au 101 .



108

Votre groupe comporte une jeune grand-mère très bien conservée de 72 ans qui adore la plongée depuis sa plus petite enfance. Elle vous promet aussitôt de vous narrer ses meilleures recettes de soupe au potiron et de vous décrire par le menu combien ses petits-enfants la rendent fière…



109

Vous commencez avec elle en petites foulées et passez en premier sous une suite de fils barbelés, couché au sol. La belle brune va bien plus vite que vous, mais vous pouvez au passage admirer son joli petit cul dessiné dans son treillis, hummm ! Quel spectacle agréable !

Pas le temps de souffler et voilà déjà des barres suspendues à deux mètres du sol. Elle les agrippe sans gêne et là, vous matez ses seins qui ballottent sous son maillot… mais devez aussi vous taper les barres à suivre de vos petits bras. Vous commencez à fatiguer quand arrive une longue suite de rondins à enjamber et vous avez de plus en plus de mal à respirer et à suivre le rythme.


* Vous renoncez à cette folie et rejoignez Yorgi. Rendez-vous au 101 .

* Vous vous accrochez pour rejoindre la jolie brune sportive. Rendez-vous au 107 .



110

Il n’y a rien par-là, vous êtes perdu !



111

Vous foncez, presque hors d’haleine, vers un premier mur vertical que vous franchissez tous les deux avec aisance et récupérez un peu au niveau d’un petit parcours d’esquive. Mais un deuxième mur arrive. Elle semble avoir une légère hésitation au sommet et vous placez judicieusement vos deux mains sous ses fesses pour l’aider à franchir l’obstacle, tout en en profitant à fond pour lui peloter son joli postérieur.



Vous avez l’avantage sur les murs verticaux et prenez un peu d’avance… quand arrive la girafe. Son petit gabarit lui redonne l’avantage et vous accélérez derrière elle, vous avez du mal à la suivre tellement elle est leste sur les différentes faces de l’obstacle. Plusieurs obstacles et autres spécialités s’enchaînent jusqu’à la dernière ligne droite. Vous êtes au coude à coude et ça chambre dur !



Une petite course, et il reste juste la grande fosse à traverser.

Elle s’élance dans le trou et commence à essayer d’en sortir.

Vous sautez carrément dedans pour la devancer et gagnez le droit de jouir de ses charmes… mais vous vous réceptionnez mal et on entend un grand CLAC ! quand votre cheville casse méchamment.

Quelle poisse ! Vous touchiez au but !


Retour à l’hôpital, c’est toujours pas votre jour !

Même le joli sourire et la compassion de la jolie brune aux bras de son mari dans votre chambre d’hôpital ne vous consolent pas de vos vacances gâchées !



112

Vous découvrez alors un drôle de couple : un quinquagénaire japonais affublé d’une jeune fille. Elle doit avoir dans les 18-20 ans. Un rapide coup d’œil vous ravit : elle a ce corps blanc que seules les Asiatiques présentent, des petites jambes un peu arquées, un ventre plat, un visage de porcelaine et de tout petits seins qui déforment légèrement son sage maillot. Elle vous lance des regards provocateurs sous le visage impassible de son père.


* Rendez-vous au 103 .



113

Ouahh ! Vous avez tiré le gros lot !

Deux jolies Suédoises vous accueillent avec un demi-sourire.

Elles ne semblent cependant absolument pas s’occuper de vous….

Vous tentez d’engager la conversation en anglais et une des deux daigne échanger quelques banalités avec vous avant de vous tourner le dos.

Voilà qui promet un plan très dur pour satisfaire vos envies de sexe mais elles sont super bonnes. Un rêve d’homme ! De longues jambes, ses seins gonflés et parfaits, grands échassiers avec de jolies petites fesses et de beaux yeux bleus. Ça flaire le mannequin en vacances et vous ne vous avouez pas si facilement vaincu. Après tout, les gros gibiers sont les plus difficiles à attraper.


* Rendez-vous en 100 .



114

Vous parlez une bonne vingtaine de minutes d’une voix douce et avec des propos pleins de maturité et de sagesse à la jeune éconduite. Vous parvenez à la faire lever et lui proposez de la raccompagner jusqu’à sa tente. Elle vous indique alors qu’elle loge chez l’habitant et qu’elle est une des animatrices du camping. Elle vous indique vers où aller.


* Rendez-vous en 125 .



115

Vous êtes finalement le premier au rendez-vous sur la terrasse du bar du camping et les deux belles vous font poireauter une bonne quinzaine de minutes avant que la jeune fille de l’accueil face son apparition avec un joli sourire.



Rires aux éclats. Elle prend place à vos côtés.



Vous riez tous deux de bon cœur.



Cette fille vous apparaît sous un nouveau jour : espiègle, drôle, épanouie, à des années-lumière de ses airs de jeune fille sage de l’accueil !



Elle semble ne pas avoir froid aux yeux.



Eclats de rires à nouveau.



Oui, vous dites-vous, juste avant de regarder ses…



Vous partez donc tous deux chez vous et vous vous dites que finalement, la vie n’est pas si injuste, vous aurez gagné au pire une soirée sympa avec une nana sympa…


* Rendez-vous en 137 .



116

La conversation s’engage alors et vous êtes malgré vous invité à déballer tout le film de votre vie avec les femmes, vos réussites, vos échecs, vos sentiments et vous narrez ce désastre devant le visage impassible et les questions habilement formulées par la belle doctoresse. Il se passe bien une bonne heure avant que la femme reprenne la parole et vous annonce qu’elle a le remède miracle.



Et elle sort une boîte de sachets blancs, en dilue rapidement un dans un grand verre d’eau et vous le tend, avec un grand sourire carnassier et commercial.



* Votre instinct a émis un puissant feu rouge d’alarme. Vous vous dites qu’il y a un truc louche et qu’il est temps de prendre congé de cette apprentie doctoresse avant que les choses ne tournent mal. Retour en 19 , 15 ou 5 , pour des aventures moins compliquées et de jeunes et jolies filles…

* Vous tendez la main, portez le verre à votre bouche et le videz d’un trait. Rendez-vous en 133 .

* Vous faites mine de le boire mais lui jetez son verre de potion magique à la figure ! Rendez-vous au 128 .



117

Ce n’est pas cette petite menace puérile qui va vous faire reculer comme cela !

Vous glissez malicieusement votre bras autour du cou de la jeune femme et lui déposez un baiser baveux dans le cou.

Elle se met alors à hurler comme une folle :



Alors que vous vous apprêtez, apeuré par ses cris, à la calmer un peu – vous vouliez juste vous amuser un peu, pour la décoincer – un petit attroupement s’est déjà formé à l’accueil et une grosse bonne femme effrayée vocifère déjà :



Quelques secondes plus tard, une espèce de cube velu tout droit sorti du Néandertal fait son apparition. Il a l’air de mauvais poil et se dirige droit sur vous. Déjà, vous avez pris vos distances avec la fille – à laquelle vous n’avez jamais extorqué qu’un petit baiser dans le cou – mais le bonhomme fonce tout droit et vous charge d’un coup d’épaule qui vous fait faire un bond de deux mètres en arrière et vous projette contre la porte de la chambre d’Emilie qui se fracasse. La jeune fille hurle en vous voyant entrer.

C’est vraiment pas votre jour, vous dites-vous quand la baraque velue arrive à votre hauteur et vous éteint les lumières…



118

Votre cavalière d’un soir fait route vers la piscine presque en courant. Vous avez du mal à la rattraper mais vous tentez de la suivre. Décidément, elle est bien plus dégourdie que vos premières impressions ne vous l’avez laissé penser. À peine a-t-elle mis les pieds dans l’enclos de la piscine qu’elle commence devant vos yeux éberlués à se désaper. Le pantalon glisse le long de ses jambes, le chemisier est écarté sans management et il lui faut moins de dix secondes pour faire glisser sa petite culotte blanche et son puissant soutien-gorge.

Sans s’en formaliser et sans même vous jeter un regard, elle plonge dans les eaux fraîches de la piscine et commence à nager vers l’autre rive…


* Vous courez chercher votre short de bain sous votre tente pour la rejoindre. Rendez-vous en 123 .

* Vous vous désapez entièrement à votre tour et glissez dans les eaux fraîches. Rendez-vous en 127 .

* Vous êtes allergique au chlore et très pudique, donc vous rebroussez chemin jusqu’à votre tente. Rendez-vous en 132 .

* Vous plongez tout habillé dans la piscine. Rendez-vous en 121 .



119

Vous vous rapprochez d’elle et lui glissez quelques mots de réconfort



La jeune fille éplorée se blottit dans vos bras forts.



Elle redouble de sanglots et se blottit à nouveau. Vous caressez doucement ses cheveux, ses joues et y déposez doucement un petit baiser. Elle est d’abord incrédule, puis surprise.



Vous renouvelez votre baiser de miel.



Elle est perdue, déboussolée, si vulnérable… Vous en profitez alors, machiavélique, pour tirer dans son dos sur l’attache de son haut de maillot. Il se détend et expose à moitié deux jolis seins fermes et ronds. Elle reste blottie, transie de chagrin, alors que vos mains commencent à se promener sur ses cuisses et son ventre.



Vous vous apprêtez à porter l’estocade sur son bas de maillot, quand un bras puissant accroche le vôtre…



Vous reconnaissez le grand blond du plongeoir ! Et il vous écrase un coup de poing monstrueux sur la figure…

Vous perdez un instant connaissance et apercevez les deux jeunes gens qui sortent de votre champ de vision.



Vous êtes vraiment un pauvre type…



120

Elle ne cesse de gémir et vous ne pouvez plus supporter tout ce bruit !

Vous l’attrapez par les cheveux et murmurez à ses oreilles :



Et sur ces bonnes paroles, vous la sortez du bain en accompagnant ce geste d’une grande baffe dans sa gueule. Votre main part et se rapproche de ses joues rougies de larmes quand d’un mouvement vif et ferme, elle bloque votre membre par une clé de bras.



Vous rigolez un bon coup :



C’est la phrase de trop !

Un coup de pied en croissant décolle à l’instant où elle a relâché la pression sur votre bras. Il vient vous cueillir sur le sommet de la tempe gauche et vous vacillez sous le choc. Quelques secondes plus tard, ce sont cinq doigts fermement serrés qui frappent votre plexus. Un bon coup de genou dans les couilles finit de vous mettre par terre. Plutôt que de perdre encore de la salive à vous parler pour vous inculquer les bonnes manières, elle termine son œuvre en vous frappant au sol d’une bonne fourchette dans les yeux qui vous met définitivement hors de course.


Vous manquez décidément de bonnes manières avec les jolies dames. À l’avenir ne vous fiez pas aux apparences et évitez les jeunes femmes ayant suivi des cours de self-défense…



121

Le grand splash la fait retourner… Elle vous aperçoit tout habillé et éclate de rire.



Elle se rapproche de vous et passe ses mains autour de votre tête :



Et vous éclatez tous deux de rire.

Vous ne vous arrêtez de rire que lorsque sa bouche vient fermer la vôtre par un joli baiser. Vous l’embrassez à pleine bouche et votre langue trouve la sienne. Elle a un petit goût de fruit défendu. Elle vous enlace et plaque ses gros seins contre votre poitrine.

Vous rejoignez tous deux le bord et elle vous fait asseoir alors qu’elle reste dans l’eau. Votre short et votre chemise trempés glissent et bientôt sa jolie chevelure plonge entre vos cuisses pour trouver votre sexe. Vous êtes ainsi assis, le dos droit comme un i à savourer cette divine caresse buccale qu’elle exécute de sa bouche avec gourmandise. Le plaisir est si intense que vous manquez décharger toute votre semence, avant de vous retenir. Elle aménage une petite pause pour venir vous déposer un nouveau baiser, plein de tendresse celui-là.



Avant même que vous ayez répondu, elle a enfourné votre belle virilité entre ses deux seins généreux et commence à vous caresser en les frottant l’un à l’autre.

Cette délicate attention passée, c’est vous qui glissez dans l’eau et vous inversez les rôles. Votre langue glisse avec plaisir entre ses deux cuisses fines et elle entre en contact avec son léger duvet. N’y tenant plus, vous plongez dans sa grotte d’amour et lui arrachez bientôt de petits gémissements de plaisir. Vous remontez ensuite, tout contre elle, pour embrasser sa bouche, son ventre, ses seins et vous l’attirez bientôt sur vous. Votre sexe trouve aisément son chemin dans son ventre tiède et désireux de candeur. Elle entame un doux va-et-vient, éperonné par votre fier étalon. Le mouvement régulier de ses reins fait se balancer ses seins dans un mouvement aussi excitant qu’hypnotique. Vos plaisirs explosent dans une parfaite chorégraphie, vos ébats sont courts mais d’une incroyable force érotique. C’est l’un de vos meilleurs coups de vacances… et c’est tout sauf une jeune fille coincée et sage ! Qu’elle est bonne sur le rebord de cette piscine !

La chance sourit aux audacieux… Quand vous pensez que tout cela a commencé en prêtant votre épaule attentive à sa copine ! Il y a parfois des bonnes actions qui sont dignement récompensées…



122

Ce n’est pas grave, il est toujours temps de s’excuser…



Elle prend presque un regard apitoyé devant votre discours.



* Vous acceptez la carte et n’avez aucune envie de voir une psy, mais cela vous sort de ce mauvais pétrin ! Retour en 15 , 5 ou 19 .

* Il est temps de prendre vos pulsions en main et de consulter une spécialiste. Rendez-vous en 139 .



123

Vous courez, hébété, mais transi d’excitation vers votre tente et vous vous précipitez sur votre valise. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, vous posez vos affaires et enfiler votre short de bain. Vous chopez deux serviettes et courez vers la piscine.


Le spectacle qui vous y attend vous coupe les jambes.


La belle Emmanuelle est entre les bras d’un bel Italien ténébreux, nu comme elle. Ils s’embrassent goulûment et les mains de l’Italien caressent avec instance la poitrine de la jeune femme puis osent une incursion entre ses cuisses. Elle lui dépose un petit baiser et lui glisse un mot à l’oreille.

Ils se rapprochent tous deux de vous et le bel Italien vous regarde avec amusement.



Et il vous débarrasse de vos deux serviettes pour couvrir le corps d’Emmanuelle de la première et s’enrouler dans la seconde. La belle vous lance une petite moue compatissante, genre « Dommage, mais il était là avant, tu n’aurais pas dû partir comme cela ! » et les deux nouveaux tourtereaux partent, enlacés, jusqu’à la tente made in Italy.

Le jeune élève que vous êtes prend la leçon au premier rang. Comme dit le dicton : qui va à la chasse perd sa place…



124

Elle vous lance un de ces regards énigmatiques qui intimide les hommes.



Vos yeux sont un moment perdus dans ce petit carré de tissu qui cache en partie la naissance de ses seins et vous répondez machinalement « oui ». Elle fait disparaître le billet dans son corsage et agite ses mains sur les gobelets. Vos yeux se fixent enfin dessus et vous désignez, sûr de vous, celui du centre, quand le manège s’arrête.


* Rendez-vous en 136 .



125

Vous parvenez, tenant votre compagne d’infortune au creux de votre bras protecteur, à proximité des baraquements jouxtant l’accueil du camping. La belle éplorée frappe à la porte de sa chambre et c’est une voix féminine qui lui répond. Cette voix vous dit quelque chose et vous reconnaissez, après un instant de recherche, la voix de la belle jeune fille de l’accueil.



Et elle se glisse à l’intérieur. Vous patientez quelques minutes pour voir si tout va bien. L’attente est interminable et vous tournez les talons pour rejoindre votre tente quand la porte s’ouvre derrière vous.



Vous vous tournez et apercevez la belle jeune fille qui vous a conseillé à votre arrivée, sur les animations.



* Sans façon, il y a un plein camping de jolies filles à draguer, assez joué les Samaritains pour aujourd’hui ! Retour en 19 , 15 ou même 5 , pour de nouvelles aventures et de nouveaux choix.

* Pourquoi pas ? Ces deux jeunes filles sont charmantes. Rendez-vous en 115 .

* Perdons pas de temps, le tutoiement est un bon signe, vous branchez direct la fille de l’accueil pour la décoincer un peu. Rendez-vous en 130 .



126

… Le gobelet bascule… vide !

Vous venez de perdre deux cents euros ! Pas de veine, vous vous dites que les gobelets allaient dix fois plus vite que la première fois, mais chassez cette idée farfelue de votre tête…



Elle conclut cette proposition par un clin d’œil dévastateur qui vous donne la chair de poule. Sur ces paroles, votre sexe gonfle instantanément. Vous sortez les billets. Avant de lancer les gobelets, ses mains écartent généreusement les pans de son corsage pour ranger l’argent. Vos yeux avides contemplent avec délice ses seins de rêve. Les gobelets s’agitent bientôt à une vitesse frénétique. Vous cherchez à suivre le dé des yeux, mais il glisse à une vitesse surprenante. Vous n’avez aucune idée d’où le dé peut être. La belle laisse glisser vers vous un regard délicieux…



Vous tiquez et lui désignez complètement au hasard…


* Le gobelet de gauche. Rendez-vous au 134 .

* Le gobelet de droite. Rendez-vous au 138 .



127

Le contact avec l’eau est glacial et vous êtes transi de froid à la seconde où vous parvenez vers elle. Elle éclate de rire en vous regardant :



Elle a rejoint le bord de la piscine et s’assoit en vous lançant un drôle de regard. Elle est divine, la peau excitée par le froid a fait se tendre la pointe de ses seins. Ses joues rouges sont sublimées par un merveilleux sourire et vous vous asseyez à côté d’elle. Elle se penche vers vous et vous embrasse.



Vous êtes toujours gelé et elle colle sa peau chaude à la vôtre pour caresser votre torse. Elle s’est penchée et rapproche son visage de votre sexe, quand…


* Rendez-vous en 135 .



128

Le liquide dégouline et lui fait une gueule atroce !

Ses traits déjà quelque peu marqués par les années se figent dans une horrible grimace et elle commence à vous hurler dessus.

Vous n’attendez pas plus de temps pour prendre vos jambes à votre cou et glissez en passant un petit baiser virtuel à la belle assistante, interloquée.

Mais pour qui vous prend-elle ? Un pigeon ? C’est mal connaître Brice de Bremont !



129

Rien à ce numéro, c’est une erreur !



130

Tout compte fait, elle est vraiment craquante pour qui aime les filles au look de petite fille modèle avec un zeste de bonne éducation catholique et des fringues sages. Le petit bustier qu’elle arbore sur une sage jupe doit être pour elle un vrai effort de mise en valeur.



Vous lui déposez alors un baiser sur les lèvres.



Et elle vous colle une paire de baffes bien claquantes.

Vous vous attendiez à un peu de résistance mais pas à ce point-là ! Vos mains déjà la serrent à nouveau sur vous et plaquent son petit ventre plat contre la croissance de votre jonc fièrement levé.



* Pour la lâcher et l’insulter, rendez-vous en 140 .

* Pour continuer sans l’écouter et découvrir qu’est-ce qui peut bien se cacher sous cette jupe très sage, rendez-vous en 117 .

* Pour vous excusez, rendez-vous en 122 .



131

Vous approchez de ce qui semble être une simple baraque de forains. Elle ne semble d’ailleurs pas vraiment faire partie des animations du camping.

Un jeune homme à l’allure quelque peu douteuse semble jouer aux dés avec une belle et ténébreuse Gitane. Elle a ces cheveux noirs et ce teint de peau doré qui rend ces femmes si belles. Son corps est dessiné dans une belle robe légère qui suggère plus qu’elle ne montre un corps aux lignes magnifiques. Seul un petit décolleté, ouvert juste ce qu’il faut, semble trahir cette inaccessible beauté.

La belle égérie joue avec vitesse et agilité avec ses gobelets à dés et s’arrête d’un geste brusque. L’homme débraillé, après hésitation, lui désigne celui du centre. Les doigts fins de la divine et mystérieuse brune bascule le gobelet et révèle un petit dé de jeu.

La jolie brune à l’air très dépitée et l’homme éclate de joie.



La belle tend ses bras fins et gonfle son buste pour décrocher une grosse peluche de son stand. Le vilain bonhomme prend la peluche et tourne les talons pour déguerpir en s’esclaffant.

Vous vous approchez et êtes immédiatement hypnotisé par son regard de braise.



Puisqu’il semble possible de gagner à ce jeu et qu’il y a vraiment un corps de rêve à contempler, pourquoi pas ? Pour vous, le fric n’est pas un problème…


* Rendez-vous en 124 .



132

Sans commentaire !



133



Après quelques échanges de politesse, vous vous sentez d’un seul coup dans une forme et une vigueur surprenante, alors que quelques minutes auparavant vous étiez encore une larve paumée. Mais le plus surprenant se produit au niveau de votre virilité. Une érection monstrueuse vient déformer votre pantalon. Pas seulement une excitation comme vous en ressentez devant les jolies femmes, non, c’est un véritable barreau de chaise au gland rougi de désir qui jaillit de votre pantalon. L’érection est tellement douloureuse que vous détachez instinctivement la boucle de votre ceinture pour dégager votre virilité de sa prison de tissu.



Elle a fait glisser sa veste de tailleur et déboutonne lentement son chemiser en se caressant les seins.

Cette simple vue vous déclenche une excitation incontrôlable et vous mourez d’envie de vous soulager.



Vous tentez de vous contrôler à tout prix : vous, le grand Brice, seigneur de ces dames, séducteur et amant devant l’éternel, vous refusez de devenir un vulgaire jouet sexuel !

Mais la belle arbore maintenant un magnifique soutien-gorge noir en dentelle et caresse doucement ses seins devant vous en vous souriant. Elle a pris vos mains et les plaque sur ses tétons déjà durcis par le désir. Malgré toute votre force mentale, vous ne parvenez pas à résister à la tentation et saisissez à pleines mains cette belle poitrine, ainsi offerte, décidant de remettre à plus tard vos revendications de mâle dominant.

Elle fait disparaître votre chemise et libère votre torse qu’elle griffe violemment. Vous criez !



Vous entendez à peine, tant l’envie de la prendre sauvagement vous tenaille. Sa jupe de tailleur descend avec une infinie lenteur, ce qui est pour vous une véritable torture… Elle est plutôt bien faite, malgré quelques chairs un peu molles. Mais quel spectacle ! Ses cuisses sont gainées de jolis bas noirs, soutenus par des porte-jarretelles. Son sexe est recouvert d’un petit slip de soie noire déjà souillé par le désir…

Bientôt, elle saisit votre tête et bloque votre bouche entre ses cuisses, après avoir légèrement écarté le petit slip pour libérer son sexe.



Ivre de désir et d’excitation, vous vous exécutez et votre langue vient prendre possession de son vagin, musqué et perlé de désir. Puis votre langue s’aventure sur son clitoris, que vous aspirez et sucez avec passion et délectation. Vous vous attardez sur son périnée, pour son plus grand plaisir et elle accentue sa pression sur votre tête quand votre langue gagne son petit anneau.

Assez de préliminaires ! Votre jonc sur-gonflé, disparaît bientôt dans sa bouche et le contact avec ses lèvres serrées est un véritable bonheur tant il apaise un instant votre désir. La belle doctoresse déploie alors toute sa science du sexe raffiné en alternant les passages avec sa bouche, sa langue et ses seins, qui tantôt caressent, tantôt aspirent ou même tapent contre votre virilité incontrôlable.

Après de longues minutes interminables de tortures, elle consent enfin à vous chevaucher en travers du canapé et votre énorme protubérance fond avec un délice extrême dans la grotte longuement préparée. Elle se déchaîne dans un va-et-vient frénétique que vous accompagnez en la prenant fermement par les hanches pour accentuer la pénétration. Vous enchaînez ensuite par une levrette effrénée puis en missionnaire. Couvert de sueur et le souffle court, vous la suppliez. Elle semble insatiable et votre première éjaculation vous arrache un cri de douleur, tant la brûlure est forte quand vous arrosez généreusement ses seins fripés.


Ce n’est que le premier round d’une très longue après-midi où vous devenez le jouet sexuel d’une doctoresse quadragénaire, prisonnier de ses fantasmes jusqu’à l’épuisement…



134

C’est perdu !

Vous venez de vous faire avoir de six cents euros par le vieux coup du faux client, joué par le peu ragoûtant mari de la belle Gitane. Ils vous ont bien eu ! Vous êtes décidément un grand naïf en matière d’argent et de femmes !


* Retentez votre chance en 5 , 19 ou 15 … À bientôt !



135

… elle éclate d’un fou rire !

Vous la regardez, interloqué, mais elle repart de plus belle en s’éloignant de vous et en se tenant les côtes de rires !

Vous ne comprenez pas…



Votre regard se pose alors sur votre virilité. L’humidité et le froid lui ont donné une drôle de couleur bleutée. Votre sexe est complètement recroquevillé en un minuscule petit boudin flétri.

Elle s’éloigne vite de la piscine, toujours prise d’un fou rire absolu, afin d’éviter de vous humilier plus longtemps.


Moralité : avec les filles dégourdies, il faut toujours sortir bien couvert ! À méditer…



136

C’est gagné !



Que pourrait-on refuser à de si jolis yeux, même si le corsage gonflé par les billets devrait vous inciter à la prudence…

Elle dégage quelque peu son sein gauche et vous le dévoile en partie, quand elle en tire deux billet de dix euros pour tenir son pari.

Cette vision vous fait sortir, plus vite que de raison, un billet de cent euros de votre portefeuille, bien trop garni…

Le jeu recommence… Les gobelets s’agitent au fur et à mesure que votre fièvre sexuelle monte devant une compagnie aussi troublante…

Vous désignez à nouveau celui du centre et…


* Rendez-vous en 126  !



137

Vous vous activez bientôt pour préparer un petit dîner à Emmanuelle. Elle vient même vous donner un petit coup de main pour éplucher et couper les tomates. Quelques efforts et vous êtes bientôt en tête-à-tête autour de la petite table de camping…

Elle a vraiment de jolis yeux et vous vous perdez un instant dedans…



Elle rit de bon cœur en vous regardant.

Vous entamez alors une longue conversation et dégustez votre sympathique salade composée. Vous apprenez tout de sa vie, ses études, sa famille, ses passions et plus cette nana vous parle et plus vous vous sentez attiré par elle. Ce n’est plus seulement une attirance sexuelle : vous êtes en train de choper le béguin pour elle et cela vous effraye.



Vous avez autant envie d’aller vous baigner que d’aller vous pendre…


* Rendez-vous en 118 .



138

… Le gobelet se soulève et vous avez gagné !

Vous n’en croyez pas vos yeux et la belle ténébreuse reste impassible…



Elle glisse la main dans son corsage et vous vous dites qu’elle va commencer par effeuiller ses seins en guise d’introduction à un strip de délire pour votre libido d’adolescent attardé… Sa main ressort et tend vers vous une petite tasse de porcelaine chinoise.



C’est le faux client du départ qui vous tape dans le dos en vous lançant cette phrase. Il rejoint sa femme et l’enlace.



Devant votre mine déconfite de vexée, ils éclatent de rire !

Vous vous êtes encore fait avoir…



139

Vous avez finalement pris les devants et de bonnes résolutions.

Le numéro en main, vous avez pris un rendez-vous pour le surlendemain en ville.

Le jour venu, vous débarquez au volant de votre beau cabriolet sur le parking de ce qui s’avère être une petite clinique et vous trouvez rapidement la plaque du docteur Catherine Tricard - drôle de nom, vous dites-vous, par rapport aux problèmes que vous venez évoquer. Vous êtes invité à attendre dans la salle d’attente par une ravissante rousse, sculptée dans une blouse blanche serrée et qui, sur un joli sourire, vous indique une pièce sur la gauche.


« Mon dieu ! » vous dites-vous. « Ils le font exprès ! »


Quarante minutes plus tard, la jolie rousse débarque dans la salle d’attente et se plante devant vous :



Vous la suivriez bien vers un placard à balais pour lui montrer votre gros minet, vous dites-vous. Vos yeux louchent sur les formes parfaites de ses fesses qui dansent sous sa blouse. Vous arrivez devant une porte. L’hôtesse d’accueil frappe et s’éloigne en vous souriant. La porte s’ouvre sur une femme à laquelle vous donnez une bonne quarantaine d’années. Elle est élégamment habillée avec un tailleur-jupe noir et une coiffure soignée. Elle vous sourit, se présente et vous invite à la suivre. Vous prenez tous les deux place sur le canapé de son vaste bureau.



C’est peu dire que vous êtes mal à l’aise…


* Rendez-vous en 116 .



140

Et merde ! Encore une de ces filles qui ne savent pas ce qu’elles veulent et qui se donnent des grands airs !



Et vous lui tournez le dos. Votre ego de mâle est préservé et vous partez, la tête haute. Vous en avez marre de manger des râteaux, et en dégager une avec pertes et fracas, ça fait du bien de temps en temps ! Non mais !




*****




C’est l’heure des comptes !

Vous pouvez appliquer le barème suivant, après une heure de jeu :



Barème :


Râteau = - 1

Hôpital ou raclée = - 2

Mauvaise conduite envers une femme ou un homme = - 3


Bises sur la joue = + 1

Bonne action = + 2

Rapports torrides et plans cul d’enfer = + 3




Lecture :




Score en dessous de – 5 :


Vous êtes un être maladroit, souvent complexé ou frustré, votre goujaterie n’a d’égale que votre manque de savoir-vivre. Les femmes pour vous sont plus un fantasme masturbatoire qu’une réalité. Il vous faudra encore beaucoup de temps pour comprendre les vrais choses de la vie.




Score de – 5 à + 5 :


Homme bientôt mature et adulte, vous conservez parfois les traces d’une certaine maladresse et restez vulnérable devant l’intelligence et la malice de femmes. Un joli corps ou un sourire ravageur vous font encore perdre de votre lucidité, même si vous êtes sur la bonne voie pour découvrir le bonheur, après un peu plus d’expérience.




Score > +5 :


Homme d’expérience et raffiné, vous savez jouer à la fois de votre charme et de vos bonnes manières. Vous ne vous limitez pas à ce que vous voyez mais cherchez un bonheur plus profond avec une conquête d’un jour ou l’être aimé. Une certaine idée du bonheur, selon que vous cherchiez la stabilité ou le plaisir d’un jour avec la gent féminine.




Score > +10 :


Vous êtes au choix ou un gros menteur ou l’homme parfait, que je n’ai jamais rencontré !


Dans ce cas, vite voilà mon mail : christine-revebebe@hotmail.com