Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 10779Fiche technique11692 caractères11692
Temps de lecture estimé : 8 mn
18/09/06
Résumé:  Un week-end intimiste entre deux couples
Critères:  fh 2couples jeunes couleurs couple freresoeur vacances douche entreseins fellation cunnilingu pénétratio fdanus
Auteur : Max
Week-end coquin en bord de mer

Mon amie Djamila et moi sommes ensemble depuis un an. C’est une jolie brune de 1 m 60 avec des cheveux noirs qui lui arrivent au niveau des épaules ; elle possède aussi un joli visage sur lequel est toujours présent un très joli sourire. Sa poitrine affiche un honorable 90 B et elle peut se vanter de rentrer dans des tailles 36.

Pour ma part, je suis un jeune homme de 25 ans (Djam et moi avons juste deux mois d’écart) de 1 m 80 et 70 kilos.

N’ayant pas de vacances en commun, on s’est arrangés pour partir en week-end sur la Rochelle avec sa sœur Farida et son copain Benoît.

Après cinq heures de route, nous arrivons tous les quatre dans un petit hôtel que nous avions trouvé par internet. Le gérant nous indique nos chambres, deux chambres doubles mitoyennes. Nous montons chacun nos affaires dans les chambres et décidons de nous retrouver dans le restaurant de l’hôtel deux heures plus tard. Les chambres sont confortables mais simples. Une petite salle d’eau avec un lavabo et une douche, un lit double avec deux tables de nuit ainsi qu’une petite TV.

On rangeait nos affaires dans les placards quand je ne pus m’empêcher de prendre Djam dans mes bras ; il faut dire que son petit débardeur offrait une vue superbe sur son décolleté :



Je la retournai doucement et collai mes lèvres sur les siennes ; notre baiser était doux et tendre mais les choses dégénérèrent assez vite, je posai une main sur sa poitrine et l’autre sur ses fesses que son jean moulait parfaitement. Elle défit ma chemise et ouvrit ma braguette quand, dans un moment de lucidité, je décollai mes lèvres des siennes :



En un rien de temps, nous étions tous les deux nus et toujours collés l’un à l’autre ; Djam fit couler l’eau pendant que je me collais contre son dos :



Elle me fit passer la bouteille ; une noix de gel dans chaque main, je commençai à faire glisser mes doigts sur sa peau hâlée ; le visage, le cou puis les épaules, ses seins eurent un traitement de faveur, je les malaxai à pleine main en finissant ma caresse sur ses tétons que je serrai fort entre mes doigts. Le résultat ne se fit pas attendre longtemps, Djam gémit en posant sa tête sur mon épaule. Je laissai ma main gauche sur son sein et fis glisser ma droite sur son ventre pour arriver à son temple intime, mes doigts se glissèrent entre les lèvres gonflées et rasées de près pour arriver à l’entrée de son vagin.

Les deux premières phalanges de mon index entrèrent en elle, Djam se cambra en laissant échapper un petit cri de plaisir. Je la branlai quelques instants avant de me retirer pour continuer sa toilette. Je m’agenouillai derrière elle pour lui laver les jambes et mon visage se retrouva au niveau de ses fesses. Mes lèvres se posèrent sur ses globes fermes pour les couvrir de petits baisers. Djam était maintenant couverte de savon, elle se retourna et me dit :



Elle déposa une noix de gel douche au creux de ses mains et commença par me laver le visage, les bras, le torse. Elle me lava entièrement, sauf mon pénis qui était au garde-à-vous et qui commençait à me faire mal. Elle me fixa dans les yeux avec son regard coquin et commença à me branler très lentement. Ma verge glissait sans souci dans sa main enduite de savon, elle accéléra le mouvement, et cette fois-ci c’est moi qui n’ai pas pu m’empêcher de gémir. Mais, contre toute attente, Djam cessa sa caresse et se releva :



Djam se retourna et posa ses mains sur le mur en cambrant ses jolies fesses ; la tentation était trop forte, je posai ma main sur sa hanche et de l’autre je présentai mon gland à l’entrée de son vagin. Je la pénétrai d’un seul coup, m’enfonçant jusqu’à la garde, et je restai ainsi quelques secondes avant de commencer mes aller-retour, puis, saisissant Djam par les hanches, j’accélérai mes mouvements :



Djam avait glissé sa main droite entre ses cuisses et alternait ses caresses entre son clitoris et mes bourses qui tapaient contre ses fesses.

Je me penchai sur son dos pour caresser ses seins qui ballottaient sous mes coups de reins.



J’obéis et me reculai de quelques pas, Djam s’agenouilla et prit ma verge entre ses mains pour la poser entre ses seins. Elle les resserra autour de ma hampe, je recommençai mes aller-retour, savourant la sensation délicieuse de mon gland glissant sur sa peau savonneuse pour être accueilli par de petits coups de langue. Je ne fus pas long à jouir et Djam se retrouva avec le cou et la poitrine couverte de sperme. Je me laissai glisser le long du mur pour reprendre mes esprits ; je restais très surpris que Djam ait décidé de me faire jouir de la sorte car, même si elle est assez libérée sur le plan sexuel, elle déteste deux choses, la sodomie (même si depuis quelque temps elle m’autorise à lui mettre un doigt dans l’anus pendant qu’on fait l’amour) et le contact du sperme sur sa peau.

On repassa sous la douche et je sortis le premier de la salle de bains. Dix minutes plus tard, Djam n’était toujours pas sortie de la salle d’eau.



Je retrouvai Benoît qui, comme moi, avait opté pour une tenue classique : chemise et pantalon. Mais Farida était particulièrement en beauté, elle était habillée avec un chemisier blanc dont les trois premiers boutons offraient une vue superbe sur son décolleté tandis que ses longues jambes étaient cachées par une jupe noire. Djam apparut dans une robe blanche mettant ses formes en valeur. Nous avons passé commande et le dîner s’est bien passé, nous avons ensuite décidé d’aller nous balader en ville. Vers minuit, on était tous fatigués et nous avons rejoint nos chambres respectives.

Djam commença à se déshabiller et j’eus l’agréable surprise de voir que ma petite amie ne portait pas de culotte.



Djam finit de se déshabiller, enfila sa nuisette et vint se blottir entre mes bras.


Vers trois heures du matin, je fus réveillé par de petits gémissements. Djam dormait sur le côté et je m’étais blotti contre son dos. Les gémissements venaient de la chambre d’à côté où Farida et Benoît s’envoyaient en l’air. Mon sexe était au garde-à-vous, Djam ne bougeait pas, elle devait dormir profondément. À côté, les gémissements s’étaient transformés en cris et on pouvait entendre le bruit caractéristique des fesses qui claquent contre un bassin, ma belle-sœur se faisait prendre en levrette. Une main se posa sur mon pénis :



En effet, ma main droite était déjà en train de caresser ses grandes lèvres, et elles étaient humides. Je commençai à la caresser de haut en bas, je tapotai son clitoris pendant que sa main droite me branlait lentement.



Je me redressai sur le côté, glissai mon bras gauche sous sa tête et de la main droite je plaçai mon pénis à l’entrée de son vagin, une poussée franche me fit rentrer dans son fourreau chaud et humide de son désir tandis que ma main droite caressait ses seins… Je la pris en cuillère alors que les cris de Farida continuaient à nous exciter tous les deux.


Il faut dire que les deux sœurs sont assez différentes sur pas mal de points : Djam est réservée, voire naïve par moments, quant à Farida elle a un caractère bien trempé. Et, depuis cette soirée, je sais que, même au lit, elles sont différentes : Djam ne crie jamais, elle gémit, soupire et je sais qu’elle jouit quand je sens ses muscles vaginaux se contracter, alors que Farida est apparemment assez expressive.


Je pénétrais Djam dans une position pas très confortable, alors je décidai de changer un peu, je me collai contre elle et la fis rouler sur le ventre, elle adorait cette position. Je me redressai sur mes bras et recommençai à bouger, Djam attrapa les barreaux du lit des deux mains et enfouit sa tête dans l’oreiller, gémissant de plus en plus fort. Après quelques minutes dans cette position, je me retirai d’un seul coup et m’allongeai sur le dos, provoquant la surprise et la frustration de Djam :



Djam posa une jambe de chaque côté de mon bassin et commença à faire glisser mon gland entre ses grandes lèvres. La sensation était délicieuse, mais j’étais trop excité pour pouvoir endurer plus longtemps ce traitement, je saisis Djam par les hanches et m’enfonçai en elle en une seule fois. Un cri rauque sortit de sa bouche. Elle posa ses mains sur mon torse et commença un lent va-et-vient sur ma hampe. Elle accélérait de plus en plus, je malaxais ses seins durcis par le plaisir. Djam s’accrocha à la tête du lit, chacun de ses mouvements faisait grincer le sommier.

Je fis glisser ma main gauche le long de ses flancs pour atteindre ses fesses, je glissai un doigt entre ses deux globes de chair et commençai un massage circulaire sur la rosette mouillée par ses sécrétions. Je décidai d’aller plus loin en enfonçant une phalange dans cet orifice encore vierge. Comme Djam ne me repoussait pas, j’enfonçai mon doigt un peu plus. Drôle de sensation que de sentir sa verge à travers la mince paroi qui sépare l’anus du vagin…

Le claquement de son bassin sur mes cuisses émettait un bruit obscène et terriblement excitant ; je branlai de plus en plus vite l’anus de ma copine pendant que mon pouce et mon index droit lui trituraient le téton. Djam se cambra et laissa échapper un feulement, son vagin se contracta et je jouis à mon tour en me déversant dans son intimité ; Djam se laissa tomber sur moi en couvrant mon visage et mon cou de petits bisous tendres.


On s’endormit dans les bras l’un de l’autre jusqu’au petit matin. Le petit déjeuner fut plein de sous-entendus coquins entre nos deux couples. Le retour fut assez dur mais nous avons décidé de nous revoir très rapidement pour mettre en commun les différentes photos que nous avions prises.