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n° 10798Fiche technique18352 caractères18352
Temps de lecture estimé : 11 mn
22/09/06
Résumé:  Le récit pas sérieux fait par un cocu contant très content.
Critères:  ff 2couples nonéro pastiche humour -humour
Auteur : Patrick R. D.  (Qui suis-je, sûrement pas celui qui parle dans ce texte.)            Envoi mini-message
Un cocu content contant une soirée de rêve.

Note de le traducteur : Cette histoire est une traduction d’un texte écrit en langue anglaise, lui-même issu d’une traduction d’un récit en croate, lequel était en fait une traduction d’une nouvelle en russe, faite semble-t-il d’après une confession originalement véridique écrite en français.


Bonjour, je m’appelle Kevin et vais vous raconter un épisode récent de ma vie. Je suis un homme de 28 ans, 1m85, brun, à la peau matte, et je suis un grand sportif au corps musclé et élancé, dû surtout au fait que je sois un très bon coureur de fond. Ma femme, Kelly, est une belle blonde (naturelle mais comme elle s’épile intégralement, on ne peut plus vérifier), mesurant 1m73, pesant 53 kilos, avec des beaux petits seins bien fermes en forme de poire, tendant un peu vers la pomme de 90B. Je précise qu’elle chausse du 39, ce qui lui fait de très jolis pieds (elle a aussi de superbes genoux, ce qui m’excite au plus haut point).

Après plus de deux ans de mariage, notre couple n’était plus le même. Ma femme n’a jamais été attirée par le sexe. Pourtant au début, après un coup de foudre sur l’étang, il y a quelques années, j’avais bien cru qu’elle se décoincerait, mais ça a été laborieux. Au final, c’est moi qui lui ai tout appris. Elle était même un peu frigide au départ de notre relation. Sans moi, je me dis qu’elle ne connaîtrait pas grand chose du plaisir. Mais malgré ses efforts, je sens qu’aujourd’hui, notre relation s’essouffle. Il faut dire que j’ai des besoins très importants, et que je dois faire l’amour plusieurs fois par jour pour me sentir parfaitement détendu. Mais jusque-là, me direz-vous, rien de bien normal, euh non, comment on dit, rien que deux bien normaux, non, rien de bien anormal ? Bon, c’est pas grave, continuons.

Il était donc on ne peut plus naturel que j’aille libérer mon énergie sexuelle auprès de quelques maîtresses (à peine plus d’une dizaine). Ces relations étaient relativement rares car je faisais attention (pas plus d’une maîtresse par jour, c’est une question de respect). Et que les choses soient claires, je le faisais avant tout pour protéger notre couple et ne pas faire souffrir ma femme. C’était en effet mieux de la tromper pour trouver l’équilibre que de la quitter. Il faut dire qu’elle repasse très bien mes chemises (Note de la correctrice : abruti !).

Mais ce n’est pas de mes quelques petites aventures extraconjugales dont je vais vous parler aujourd’hui, mais de cette soirée où la vraie personnalité de ma femme s’est révélée.


Ce jour-là, nous avions été invités par un couple d’amis. Au début j’étais un peu réticent. Il faut dire que l’amie de ma femme en question était aussi ma maîtresse. Elle a un mari un peu coincé lui aussi, plus intéressé à l’idée d’aller travailler son jardin que sa femme qui est pourtant franchement très bonne. Par certains côtés, c’est la femme idéale, elle adore le sexe, cuisine très bien, et en plus elle adore faire le ménage (Note de la correctrice : gros con !).

A l’annonce de cette invitation, j’éprouvais une légère gêne à l’idée que ma femme puisse découvrir notre relation. Je précise bien que je n’éprouvais aucune culpabilité sur le fait de coucher avec d’autres femmes, car ce n’était dû qu’à l’incapacité de ma femme à répondre à mes besoins particulièrement importants. Honnêtement, elle n’avait que ce qu’elle méritait, mais excusez-moi, je me gare.

Ce couple, appelons-les Brian et Priscilla pour conserver leur anonymat (ce ne sont pas leurs vrais noms, d’ailleurs ma femme ne s’appelle pas Kelly et je ne me prénomme pas Kevin non plus), habitait dans une charmante villa dans la banlieue de notre ville (dont je tairais aussi le nom, là aussi pour respecter l’anonymat des habitants de la région Parisienne).

Nous arrivâmes vers 20 heures pour le dîner. J’aurai bien aimé arriver plus tard, vu que j’avais proposé à ma femme de me faire une petite gâterie avant de partir, mais elle avait eu l’affront de refuser.

Pour venir à cette soirée, ma femme m’avait détonné, car elle avait mis une tenue assez classique et très élégante, certes, mais surtout, ce qui était assez rare pour elle, qui est plutôt coincée, elle portait un haut avec un important décolleté, bien mis en avant par un soutien-gorge pigeonnant, dont on devinait les broderies sous le tissu de sa robe noire mettant en valeur sa superbe poitrine si voluptueuse, mais aussi la finesse de sa silhouette et son ventre plat, le tout rehaussé par un pendentif en or en forme de goutte d’eau attirant encore plus le regard vers ses seins si délicats et fermes, lequel pendentif était en accord avec ses boucles d’oreilles, malheureusement cachées par ses longs cheveux blonds légèrement frisés (note du traducteur : vous pouvez à nouveau reprendre votre respiration).

Brian ne se gêna d’ailleurs pas pour regarder le décolleté de ma femme, dès que nous arrivâmes. Sur le coup, je me suis dit que ce serait presque une aubaine s’il se tapait ma femme, ça nous laisserait du temps à Priscilla et moi !

Il fumait une cigarette dans le jardin et comme il savait que nous fûmes aussi fumeurs et que nous fûmes amateurs d’en fumer une avant le repas, nous fûmes ravis d’en fumer une avec lui. Pendant que nous fumions, je sentis un délicat fumet. Je laissais John s’occuper de ma femme (pour lui faire visiter le jardin, bien entendu) et partit vers la cuisine en suivant une fine fumée fort appétissante. Cela sentait le lard fumé, c’était donc cela ce fumet.

Plongée dans la préparation d’une bonne daube, Priscilla ne m’entendit pas arriver. J’en profitais pour la surprendre en lui mettant les mains aux fesses. Elle ne se retourna même pas.



Je souris, ravi du compliment. Elle se tourna vers moi et m’embrassa goulûment.



Je jetai la cigarette et profitai d’avoir les mains libres pour lui caresser les seins pendant qu’elle continuait à cuisiner.

Elle prit une bouteille de vin et servit un verre qu’elle me tendit.



Le vin était en effet très bon, et cela ne m’étonnait pas car elle était très douée pour le choix des vins et des alcools, sachant parfaitement dater un bon marc par exemple.



Je me resservis un peu de vin blanc et lui en proposai.



Je la regardai, étonné.



Quelques minutes plus tard, je résistai difficilement à l’envie de demander à Priscilla de me tailler une bonne pipe, mais ne voulant pas être surpris par Brian et Kelly, je préférai plutôt l’aider à préparer l’apéritif dans le salon. Nos conjoints respectifs étaient toujours dehors, sûrement en train de parler de tonte de gazon, pensai-je.

Ils sont arrivés alors que je m’apprêtais à ouvrir le champagne.



Priscilla étonnée, s’installa à ma droite.



Plus ? De quoi ? Ma femme souhaitait-elle un plus grand jardin, comme celui de Brian, pour y planter plus de rosiers ?



J’en restais coït.



Elle avait continué son discours, l’air décidé, sans céder, au risque de me voir décéder.



Merci Brian, on n’avait pas encore compris.

Donc, en gros, ils nous demandent à Priscilla et moi de continuer comme avant à baiser quand on veut, mais en plus de le faire à 4. Je n’en revenais pas.

Comme tout homme marié normalement constitué, l’idée de partager ma femme et de coucher avec d’autres femmes m’excitait au plus haut point. Je me tournai donc vers Priscilla pour voir sa réaction. J’eus cependant un doute en la voyant.



De quoi il nous parle ? D’amour ou de cul ? Parce que, une bonne partouze, je veux bien, mais si on tombe dans le sentimentalisme à deux balles, je ne vais pas réussir à bander moi.

Priscilla se leva, l’air calme et énervée à la fois. Kelly s’approcha d’elle lentement.



Sur ce, Kelly se colla contre Priscilla troublée, qui ouvrit lascivement les lèvres. Kelly l’embrassa d’un baiser qui les embrasa.

Ca y est, je bandais. Je n’en revenais pas. Ma femme, si coincée, avait un amant, et voulait se taper la femme de mon amant, elle-même ma maîtresse. À ce moment, je fus pris d’un doute et espérai que Brian n’avait aussi pas une idée du même genre…

Je fus rassuré en le voyant regarder nos femmes se caresser et s’embrasser comme des folles. Il avait la bouche ouverte, et un peu de bave commençait à couler.

Je ne sais plus comment cela se passa, mais en quelques instants, Kelly et Priscilla furent nues au milieu du salon, et Brian et moi commencions à nous branler en les regardant. Je fus rassuré en voyant qu’il n’en avait pas une plus grosse que moi. Nos sexes étaient de tailles assez proches, avec une dimension tout à fait dans la moyenne d’environ 25 centimètres de longueur (Note du traducteur : moyenne calculée d’après les statistiques effectuées sur Rêvebébé).

Kelly était désormais agenouillée devant Priscilla et lui léchait la chatte. Celle-ci poussait des petits miaulements plaintifs, signes de son plaisir.

Au bout de plusieurs minutes de ce traitement, ma maîtresse, ou plutôt, désormais, la maîtresse de ma femme, c’est-à-dire pour être plus clair, la femme de l’amant de ma femme, atteignit un orgasme foudroyant. Elle chancela, s’évanouissant presque sous la déferlante incroyable de cette vague de jouissance et s’assit sur mes cuisses pour se remettre de ses émotions.

Kelly était visiblement ravie du résultat, et là en la voyant j’eus la conviction que ce n’était pas la première fois qu’elle broutait un minou, et j’en fus stupéfait. Mais j’en bandais d’autant plus.

Mon épouse se releva et s’approcha de moi et de Priscilla pour venir m’embrasser d’un long baiser au goût du plaisir de son amie.

Elle se recula pour se diriger vers Brian qui patientait en continuant tranquillement à se masturber dans son coin.



Celle-ci, remise de son premier orgasme de la soirée, se tourna vers moi et me regarda l’air de dire : "Si elle insiste".

Et voilà comment ma maîtresse se mit à me sucer pour faire plaisir à ma femme, qui elle-même s’occupait du sexe de son amant sur l’autre canapé. Priscilla y prenait tant de plaisir, qu’elle en avait oublié sa daube.

Après la scène de ma femme léchant Priscilla, je ne pus me retenir bien longtemps et éjaculai longuement dans sa bouche. Elle ne perdit pas une goutte de ma semence, qu’elle s’empressa d’aller partager avec Kelly, l’interrompant dans sa pipe sur l’engin de Brian.

Lui et moi n’en revenions pas de les voir s’embrasser, mon sperme leur coulant de la bouche. Rien qu’à voir ça, le pauvre éjacula sur les seins et le ventre de Kelly. Il allait vite pouvoir se remettre car quelques minutes plus tard nous pilonnions nos maîtresses respectives, en levrette, l’un à côté de l’autre. C’était amusant, car nous nous sommes pris au jeu. C’était à celui qui irait le plus profond et le plus vite. J’avoue qu’il arrivait un tenir un rythme plus élevé que le mien, atteignant bien un impressionnant 120 coups par minute à un moment !

Autant dire que nos femmes prenaient à l’évidence un pied d’enfer à sentir nos pieux virils leur pistonner les entrailles.

Battu sur la vitesse, je me rattrapai sur l’endurance en tenant une bonne minute de plus que lui. Mon expérience de coureur de fond m’avait une nouvelle fois aidé.

Nous nous sommes affalés dans les fauteuils pour nous remettre, et quelle ne fut pas notre surprise de voir nos femmes se faire un soixante-neuf, pour déguster nos spermes coulant de leurs chattes de grosses cochonnes.

Ce matin encore, je croyais encore ma femme totalement coincée. Je la découvrais en fait avide de sexe, bisexuelle et totalement libérée. Je vivais un rêve. Durant la soirée, nous avons changé plusieurs de partenaires, dans différentes positions jusqu’à l’épuisement. Quand Brian et moi soufflions, nos femmes, insatiables, s’occupaient l’une de l’autre, parfois avec des accessoires, comme la bouteille de champagne par exemple. Personnellement, j’avais joui une dizaine de fois (à dix, j’ai arrêté de conter, c’était en jouissant sur les fesses de Kelly après une sodomie bien sympathique). Nos femmes finalement repues étaient littéralement recouvertes de sperme.


Depuis cette soirée, nous nous retrouvons très souvent chez eux ou chez nous pour de véritables orgies, parfois avec de nouveaux amis. J’ai en effet réussi à présenter à ma femme quelques-unes de mes maîtresses (par chance, elles sont toutes bisexuelles). Elle n’a toujours pas compris que j’avais des maîtresses et crois que je connais juste beaucoup de personnes très libérées.

J’ai appris que Brian avait acheté un âne pour son grand jardin. Je le suspecte d’avoir des idées pour cet animal et là je ne suis pas sûr que ma femme soit d’accord, aussi libérée soit-elle. Quoi que, on ne sait jamais…


PS 1 : Toute ressemblance avec des personnages imaginaires ou n’ayant pas existé serait fortuite.

PS 2 : Toute personne qui aurait été excitée sexuellement à la lecture de ce texte est priée d’aller voir un spécialiste.

PS 3 : L’auteur tient à s’excuser auprès des Kevin, Kelly, Brian et Priscilla. Ce n’est en effet pas de leur faute s’ils portent ces prénoms. Tout le monde ne peut en effet avoir le bonheur incommensurable de porter des noms tels que Karl, Niko, Ptolémée, Maya, Melinda, Pattie, Atchoum, Padoum, Hisoka, ou encore Œil Coquin ou même Benoblack, et tant d’autres encore.

PS 4 : Si les notes ne suivent pas, le post-scriptum précédent sera bien entendu supprimé.

PS 5 : Je remercie les correcteurs d’avoir bien voulu laissé de nombreuses fautes dans ce texte, et je comprends que corriger ce texte a dû demander des efforts de self-control importants…

PS 6 : Pour la SPA, je tiens à les rassurer sur le fait qu’une fois arrivé dans le jardin de Brian, l’âne n’a jamais répondu favorablement aux propositions déplacées qui lui ont été faites et s’est contenter de brouter l’herbe.

PS 7 : Pour toute réclamation, contactez le service après-vente de votre ordinateur ou de votre fournisseur Internet.