n° 10808 | Fiche technique | 15584 caractères | 15584Temps de lecture estimé : 10 mn | 24/09/06 |
Résumé: Passion, plaisir, complicité. | ||||
Critères: fh ascenseur fellation cunnilingu pénétratio | ||||
Auteur : Sibella Envoi mini-message |
Nous avons dîné dans un restaurant chinois. Je ne saurai même plus te dire ce que nous avons mangé… c’était un moment magique… mon cœur battait à tout rompre…
Pendant le dîner, nous avons parlé de ce que nous ressentions l’un pour l’autre… un désir physique fort et intense que nous n’arrivions pas à nous expliquer… nous avions du mal à ne pas nous jeter l’un sur l’autre et à rester corrects dans ce restaurant… Nous avons mangé très rapidement, car nous n’avions qu’un seul souhait, nous retrouver enfin seuls pour laisser libre cours à notre désir. À peine sortis du restaurant, nous nous sommes embrassés, d’abord par petites touches, les lèvres closes, puis progressivement de plus en plus fort. Nos lèvres se sont ouvertes, nos langues se cherchaient, se trouvaient, se caressaient, s’aspiraient, ce baiser a duré une éternité, nous n’arrivions plus à nous séparer.
Enfin, nous nous sommes dirigés vers la voiture pour nous rendre chez moi. Mon ami m’a galamment ouvert la portière côté passager et en a profité, lorsque je suis passée à sa portée pour me caresser les fesses, il s’est ensuite assis à mes côtés et a pris la direction de mon appartement. Pendant ce court trajet, je n’ai pas pu m’empêcher de mettre ma main sur sa cuisse et de la caresser en remontant même jusqu’à la bosse de son pénis qui était encore en érection sous la force de nos baisers et frottements et certainement aussi à l’idée de ce qui allait se passer bientôt.
Arrivé devant chez moi, il a garé la voiture et nous nous sommes dirigés vers la maison, mon appartement se situait au dernier étage. Je montais les escaliers devant lui et l’idée qu’il puisse fixer mes fesses pendant que je gravissais les marches m’excitait beaucoup. Arrivé près de la porte de mon logement, il m’a retenue par les hanches… je me suis arrêtée, il est venu se mettre à ma hauteur et m’a embrassée fougueusement. Je me suis laissée glisser sur les marches et tout en gardant sa bouche sur la mienne, il s’est allongé sur moi tant bien que mal en s’appuyant sur les marches pour ne pas être trop pesant sur moi. Nous nous sommes longuement embrassés, mes mains caressaient son dos, sa nuque, ses cheveux, mon souffle était court sous la force de ce baiser et aussi sous le désir qu’il réveillait en moi. Mon ami s’est redressé doucement sur les genoux et j’ai voulu en profiter pour lui caresser le torse, mais il m’a dit :
À ce moment-là, tout mon corps s’est tendu sous le plaisir et j’ai étouffé un petit cri. Je lui ai demandé si nous ne serions pas mieux à l’intérieur, il m’a répondu que non, car il trouvait l’endroit très excitant. Il a commencé doucement à me caresser les seins avec ses deux mains au travers de mon tee-shirt et de mon soutien-gorge, ses caresses étaient douces mais appuyées. Il serrait doucement et de plus en plus fortement, puis relâchait la pression, mettait la paume de sa main ouverte sur mes tétons qui pointaient à travers le tissu et faisait des cercles doux et lents, puis refermait la paume de ses mains et recommençait à serrer un peu tout en continuant à faire des cercles.
Il a soulevé mon tee-shirt et a accompagné son geste, de baisers sur mon ventre en montant lentement vers mes seins. Il a continué à m’embrasser au travers du soutien-gorge. J’étais dans un état d’excitation intense et ne souhaitais qu’une chose, sentir ses lèvres sur mes seins nus. J’avais du mal à ne pas soupirer trop fort. Enfin après un temps qui m’a paru une éternité, il a soulevé mon soutien-gorge pour libérer mes seins qui étaient gonflés au maximum sous ses caresses et baisers. Ses lèvres sont revenues sur ma bouche, avec sa langue il cherchait la mienne pour la lécher, la sucer, jouer avec elle, nos salives se mélangeaient, c’était enivrant.
Pendant ce temps ses mains caressaient mes seins enfin libres. Sa bouche a quitté la mienne pour descendre sur mes seins, il a d’abord léché mes tétons, un à un, pendant que ses mains tenaient mes seins par le dessous et les massaient légèrement, puis il a commencé à téter comme un bébé et, de temps en temps, il mordillait doucement les tétons. Mon excitation était de plus en plus forte, mon sexe était mouillé de plaisir et de désir. Il était à genoux entre mes cuisses et je ne pouvais plus m’empêcher de soulever mon bassin, car je voulais frotter mon pubis contre lui.
Une de ses mains, a quitté ma poitrine et est descendue lentement vers mon sexe, j’ai cru que j’allais mourir lorsqu’enfin elle a atteint son but. Il caressait mon sexe, la main grande ouverte au travers de mon slip, il partait de mon pubis jusqu’à mes fesses, je bougeai mes hanches pour que la pression soit plus forte. Sa bouche a quitté mes seins et est descendue vers mon ventre, avec ses dents, il a descendu mon slip aussi loin que possible, puis il l’a enlevé complètement à l’aide de ses mains. Il a un peu changé de position en se mettant une ou deux marches plus bas, pour que son visage soit bien à la hauteur de mon sexe.
Il a commencé à embrasser le pubis, puis les grandes lèvres, sa langue est venue lécher mon clitoris, un courant électrique est passé à travers moi et j’ai dû mettre mes mains sur ma bouche pour retenir un cri. Sa langue passait de mon clitoris à mon vagin, qu’il pénétrait un peu avec sa langue puis retournait sur mon clitoris qui était gonflé de plaisir. Ses va-et-vient entre mon clitoris qu’il léchouillait, aspirait de temps en temps, et mon vagin m’ont portée jusqu’à l’orgasme, un plaisir intense et magnifique, impossible à décrire.
Nous étions toujours dans les escaliers, mon ami venait de me faire jouir intensément. Ses lèvres sont venues se poser sur les miennes pour un baiser doux et tendre. Il s’est levé et m’a aidé à faire de même, il a aussi récupéré ma culotte, nous sommes rentrés dans mon appartement. La porte à peine close, mon ami m’a poussé contre, tout en m’embrassant fougueusement. Son torse était collé contre ma poitrine, ses mains étaient sur mes fesses, qu’il serrait fortement et relâchait, à chaque mouvement je sentais son sexe dur se frotter à moi. Le désir remontait lentement en moi.
Il m’a pris par la main et m’a mené dans la salle de bain, il a commencé à me déshabiller doucement en me caressant avec ses mains et sa bouche, d’abord le tee-shirt, puis le soutien-gorge, puis ma jupe et enfin mes chaussures. J’en ai fait de même avec lui, mes mains se sont glissées sous son tee-shirt et tout en lui caressant le torse je l’ai fait passer par-dessus sa tête, ma bouche a suivi mes mains, je lui faisais des petits bisous sur tout le torse, pendant ce temps mes mains ont ouvert sa ceinture, le bouton de son pantalon et aussi sa braguette. J’ai continué à l’embrasser sur la poitrine, puis ma bouche est descendue lentement sur son ventre, son nombril.
J’ai embrassé son sexe à travers le slip. J’ai fait glisser lentement son pantalon sur ses chevilles, puis son slip. Son sexe c’est révélé à moi, beau, fier. Je n’ai pas pu résister à l’envie de lui donner des petits coups de langue, puis je l’ai fait pénétrer doucement, aussi loin que possible, dans ma bouche. J’ai commencé à faire quelques doux va-et-vient, puis je l’ai retiré de ma bouche, ma langue est allée lécher le gland, puis tout le sexe jusqu’à sa base, puis un testicule après l’autre. Par une aspiration douce, j’ai fait rentrer le premier dans ma bouche, puis je l’ai relâché, j’en ai fait de même avec le second. J’ai repris le sexe entièrement dans ma bouche, mes va-et-vient étaient plus rapides, mes lèvres serraient plus fort et ma langue bougeait en même temps.
J’ai retiré son sexe de ma bouche et je l’ai emprisonné entre mes seins que je serrais l’un contre l’autre. Mon ami a commencé à bouger son bassin à son rythme, chaque fois que son sexe passait à la hauteur de ma bouche j’en profitais pour lui donner des coups de langue. Après un certain temps, il a cessé de bouger et m’a demandé de libérer son sexe, car ce n’était pas comme ça qu’il souhaitait jouir. Il est allé vers la douche, a fait couler l’eau et m’a demandé de le rejoindre.
L’eau était délicieusement tiède. Il s’est placé derrière moi. Il a commencé à me savonner en me caressant le dos, les seins, le ventre, le sexe et les fesses. Il s’est alors collé contre moi, son sexe dur s’est glissé entre mes fesses. Il bougeait ses hanches, le mouvement était facilité par le savon. Il m’a demandé de me pencher un peu en avant, ce que je fis en me tenant à la paroi de la douche.
Son sexe est venu se glisser dans mon vagin, lentement. Il a commencé des va-et-vient lents. J’ai glissé ma main sur mon clito et me suis caressée au rythme de ses coups de hanches qui devenaient de plus en plus forts et de plus en plus rapides. Nous avons presque joui au même moment. Il a déposé son sperme chaud sur mes fesses.
De la salle de bain, nous sommes allés au salon. J’ai cherché une bouteille de vin blanc et deux verres. Nous avons bu quelques gorgées, serrés l’un contre l’autre en savourant encore les instants que nous venions de passer. Mon ami m’a embrassé sur la bouche, tendrement et m’a attirée à lui. Je me suis assise à califourchon sur ses cuisses, mes seins étaient collés à son torse. Le baiser est devenu plus appuyé, plus sauvage, nos langues se cherchaient, s’aspiraient. Ses mains ont glissé de mes cheveux vers mes hanches, puis sur mes fesses, il les massait doucement de ses deux mains, les serrait puis les relâchait en les écartant, c’était très excitant. Je me suis serrée un peu plus contre lui, à chaque mouvement de ses mains sur mes fesses, mes seins se frottaient à son torse, mes tétons avaient durci sous l’excitation.
Le sexe de mon ami grossissait sous le frottement de mon pubis contre lui. Je me suis légèrement écartée pour mettre son sexe droit le long de son ventre, j’ai écarté mes grandes et petites lèvres, puis je me suis à nouveau collée contre lui. Le mouvement de ses mains sur mes fesses, faisait se frotter mon clitoris contre son sexe, je gémissais à chaque caresse. Le désir est devenu plus intense.
Mon ami m’a écartée de lui, j’ai posé mes mains sur ses genoux et il a commencé à lécher et sucer mes seins. Je bougeais mes hanches pour frotter mon clitoris contre son sexe, mes mouvements se sont accélérés, mes gémissements se sont transformés en cris et j’ai atteint l’orgasme. Mon ami m’a serrée fortement contre lui tout en m’embrassant dans le cou, puis il m’a demandé de m’asseoir à côté de lui pour qu’il puisse retrouver son calme. Nous avons bu un verre de vin. Puis il est allé dans la cuisine et en est revenu avec du miel. Il avait un large sourire coquin, c’était adorable, il m’a tendu le pot en me disant :
Je l’ai pris par la main pour l’emmener dans la chambre à coucher. Je lui ai demandé de s’allonger sur le dos et avec mon doigt, j’ai badigeonné son cou de miel, des deux côtés. J’ai sucé le miel qui restait sur mon doigt, comme si c’était son sexe. J’ai commencé à lui lécher le cou d’un côté puis de l’autre, doucement à petits coups de langue, il avait des frissons de plaisir, c’était très sensuel.
Puis en une caresse, je lui ai mis du miel de la base de son cou jusqu’à son nombril en passant entre ses pectoraux… Ma langue a suivi mon doigt doucement, minutieusement, la respiration de mon ami a commencé à s’accélérer lorsque je suis arrivée à son nombril. Je me suis redressée et j’ai mis du miel sur mes tétons, mon ami a alors pris mes seins dans ses mains en les tenant par le dessous, il a approché ses lèvres et a donné de petits coups de langue à l’un puis à l’autre, mes tétons durcissaient à vue d’œil, je ne pouvais pas m’empêcher de gémir, puis il les a mordillés et sucés, ma poitrine était tendue sous le plaisir. Je lui ai demandé d’arrêter et de s’allonger à nouveau sur le dos. J’ai mis du miel sur son bas ventre, de son nombril à la base de son sexe.
Chaque petit coup de langue que je donnais, faisait réagir son sexe, il se dressait un peu et se relâchait sur son ventre, son sexe était beau, tendu, chaud, je l’ai enduit de miel ainsi que les testicules… Je lui ai d’abord donné des petits coups de langue, de la base jusqu’au gland, puis je suis redescendue jusqu’à ses testicules que j’ai léchés précautionneusement l’un après l’autre sans oublier un millimètre de peau, son excitation grandissait, je sentais la pression de ses mains sur ma tête, enfin je suis remontée le long de son sexe.
J’ai léché et sucé son gland quelques instants, mais la pression de ses mains m’a indiqué qu’il souhaitait que je prenne son sexe dans ma bouche, ce que j’ai fait, je l’ai enfoncé aussi profondément dans ma bouche qu’il m’était possible de le faire, j’ai serré mes lèvres autour doucement, une de mes mains caressait ses testicules, avec ma bouche je faisais de lents va-et-vient, ma langue s’arrêtait sur son gland à chaque passage pour le lécher et aussi pour l’aspirer. Il respirait de plus en plus vite et quelques fois il soupirait de plaisir.
J’ai retiré son sexe de ma bouche et je suis remontée en lui faisant des baisers le long de son ventre, son torse, son cou puis sur sa bouche. J’étais à demi allongée sur lui, sa cuisse entre mes jambes, j’appuyais ma hanche contre son sexe dur et en même temps je bougeais mon bassin pour frotter mon pubis contre sa cuisse. Il m’a prise par la main et m’a emmenée dans la cuisine où il m’a adossée à la table, nous nous embrassions avec fougue, nos salives se mélangeaient.
Il m’a demandé de m’allonger sur la table en laissant dépasser mes fesses et a mis une de mes jambes sur son épaule, il frottait son sexe contre mon clitoris et allait ensuite vers mon vagin qu’il pénétrait juste de son gland et ressortait pour aller à nouveau vers mon clitoris. Nos respirations s’accéléraient, à chaque aller-retour, je sentais le sexe de mon ami me pénétrer plus profondément, puis il ressortait pour aller vers mon clitoris.
Ses va-et-vient se sont accélérés, il ne quittait plus mon vagin, il a mis mon autre jambe sur son épaule et m’a pénétrée aussi loin que possible, je le sentais buter contre le fond de mon vagin. Son pouce était sur mon clitoris qu’il caressait par des petits mouvements circulaires. Les mouvements de ses hanches et de son doigt sont devenus plus rapides, nos respirations étaient fortes et haletantes, je criais sous le plaisir, mon ami aussi. Nous avons joui en même temps, nous sommes restés un long moment dans la même position pour récupérer de cette tempête de plaisir qui nous avait submergés…