n° 10819 | Fiche technique | 12428 caractères | 12428Temps de lecture estimé : 7 mn | 26/09/06 |
Résumé: Lors de la promenade aérienne un peu débridée, Madame Besson est prise d'une irrépressible envie d'uriner, le pilote est contraint de se poser sur le petit aérodrome d'Albertville. | ||||
Critères: cunnilingu uro | ||||
Auteur : Alexandre (Homme de 54 ans qui travaille dans l'aéronautique) |
Épisode précédent | Série : Mme Besson Chapitre 04 / 04 | FIN de la série |
…Elle continue cependant sa miction, imperturbable…
Je descends doucement, franchis son anus et dirige doucement ma main vers ce liquide chaud qui me tente. Je suis soudain éclaboussé par son urine qui finit de s’écouler en petits jets désordonnés. Je mets ma main en coupe et récolte les dernières gouttes. Je la porte à mes narines, ç’est fort mais pas désagréable, poursuivant le geste, et, avant d’avoir tout perdu, je bois la pisse de cette chère Mme Besson avec délectation. Elle n’en revient pas.
Elle se redresse, met un peu d’ordre dans sa mise, se retourne vers moi, me saisit les oreilles de ses deux mains et me roule une véritable pelle de collégienne en chaleur.
À mon avis, elle veut goûter elle aussi ! Elle enroule voluptueusement sa langue autour de la mienne, me fait une véritable lango-radiographie de la mâchoire, avec une virtuosité sans pareille. Comme si elle voulait vérifier qu’il ne me manque pas une canine ou qu’un début de carie ne se développe pas, sus à la carie !!!
Elle la connaît bien, pourtant ma bouche, que diable ! Depuis peu elle connaît d’ailleurs un peu plus que ma cavité buccale ! Madame Besson ne peut complètement refouler ses instincts professionnels, même dans les moments les plus torrides. Reprenant son souffle avec peine, elle abandonne mes lèvres, ses yeux pétillants sont un vrai bonheur, elle a quinze ans, soudain…
Elle m’abandonne à mon étonnement, se retourne et, devant la tranquillité du lieu, déclare :
Doux euphémisme ! Madame Besson pratique l’art du doux euphémisme…
Elle fait un tour d’horizon à la recherche d’un coin ombragé et tranquille.
Ayant trouvé ce qui lui convient elle se saisit de ma main et m’entraîne sous les arbres.
Nous nous installons l’un en face de l’autre, dans un coin recouvert de mousse mais à l’abri des regards par des herbes hautes. Elle s’installe très correctement, les genoux joints et me regarde, amusée. Me voilà soudain redevenu tout timide.
Elle avise la jambe de mon short légèrement entrebâillé, mais pour l’heure encore très chastement. Madame Besson ôte sa jolie sandale, glisse son pied entre mes cuisses, franchit l’entrebâillement tentateur, d’un orteil habile franchi l’élastique du slip.
Et de remuer les orteils de plus belle à l’intérieur de mon slip…
Elle se met à genoux, s’approche de mon entrejambe et glisse la main où ses doigts de pied faisaient des ravages, il y a quelques secondes encore. Mon sexe n’est encore qu’à demi érigé. De ses doigts longs et fins, Lili, s’en empare et le garde au creux de sa main comme un petit oiseau nouvellement sorti de l’œuf, encore rose, palpitant et fragile, tombé du nid à cause du vent, vêtu de son seul duvet !
Avec le traitement que me fait subir la magnifique Liliane Besson, ses paroles affolantes d’excitation, inutile de dire que le petit oiseau s’est transformé en gros rapace… euh restons raisonnables, en un gros coucou à la recherche d’un petit nid douillet et soyeux.
Nous ne sommes plus dans le domaine du fantasme !
La transformation de l’animal a été grandement facilitée par la vue plongeante que j’ai, depuis quelques minutes, sur les seins libres de toute entrave de Madame Besson. Une poitrine pleine, lourde, qui n’inspire que la caresse. C’est bien simple, par le décolleté de Lili, je peux même voir ses sandales !
Sa position pour l’heure est un vrai appel au coït mais j’essaie, malgré tout de rester zen. C’est d’autant plus difficile que ses doigts serrent encore plus fortement la hampe de ma bite, comme pour tenter d’en extraire le jus sans plus attendre.
Un moment, j’ai l’impression qu’elle va me planter sur place avec ma demi-berne… Elle reprend :
Sur ce, elle remballe mon sexe tout penaud dans son emballage, me tourne le dos, tout en restant à genou, pose sa tête sur ses bras croisés au sol, sa grosse poitrine écrasée au contact de la mousse.
Quel tableau ! Sa petite jupette couvre le haut de ses belles cuisses charnues de femme épanouie. Le trésor qui n’attend que mes caresses est encore caché.
D’une main tremblante, je saisis les pans de la petite jupe que je soulève et repose sur les reins de sa propriétaire.
J’ai, bien sûr, déjà eu l’occasion de l’admirer, cette splendide chatte, de très près d’ailleurs, mais ici, en pleine nature, en pleine lumière, loin de l’éblouissement du scialytique de son cabinet, le tableau qui m’est généreusement offert n’en est que plus admirable.
Dans le creux de ses bras, je vois deux yeux pétillants d’impatience qui scrutent le moindre de mes gestes. Volontairement, pour faire encore monter d’un cran la tension sexuelle de la dame, je fais durer l’attente. Mes mouvements sont lents et mesurés.
J’admire.
Une toute petite brise estivale vient folâtrer dans les poils de son sexe. Je la vois frémir sous la douce caresse. Elle n’a cependant, pas bougé d’un pouce, attentive à ce qui va suivre.
Mes mains pressent l’intérieur de ses genoux pour lui intimer l’ordre de les écarter et me permettre un accès plus aisé à son intimité. Elle s’exécute sans rechigner et je peux voir bien plus aisément maintenant la raie de ses fesses, son petit trou mignon, un peu rose foncé, plissé comme celui d’une adolescente. Madame Besson doit être vierge de ce côté. Mais va savoir, avec une femme de cette expérience ! Ses grandes lèvres ont beaucoup de peine à cacher les petites plus carminées, du fait de son excitation. Elles sont magnifiquement ourlées et ressemblent à de petites crêtes. Madame Besson est magnifique, ainsi exposée, impudique et consentante, offerte à mon regard, offerte à mon plaisir.
Je l’ai déjà dit, son sexe est pileux, mais cela ne me rebute pas, au contraire. Je peux à présent en admirer tous les détails, par exemple ce joli grain de beauté qui m’avait échappé jusqu’alors.
J’approche ma main et flatte sa croupe comme on flatte une jument mais avec plus de tendresse, n’ayant pas une vocation de maquignon. Madame Besson ne bouge toujours pas, consentante et attentive à mes gestes. Ma main caresse ses fesses et s’aventure entre elles. Mes doigts se figent au milieu de sa raie, puis lentement la parcourent dans sa longueur, jusqu’au sillon sombre de la chatte où l’un d’eux s’insinue avec délicatesse, comme l’on écarte les pétales d’une fleur bleue délicate. Ce doigt inquisiteur est rapidement couvert d’un liquide poisseux et chaud qui suinte de son vagin et humecte d’abondance ses petites lèvres. Cette caresse plus précise arrache un long soupir à Madame Besson, un frémissement de l’échine, mais rien de nature à affoler la gent ornithologique du coin !
Je porte le résultat de ma collecte à mes narines. La mouille de Liliane Besson a une odeur puissante mais agréable, une évidente invitation à la copulation, son sexe est prêt à recevoir le mien. Ma bite se trouve actuellement dans le même pourcentage d’humidité que sa chatte, je pense que nous allons rapidement trouver un accord.
À suivre