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n° 10820Fiche technique13644 caractères13644
Temps de lecture estimé : 9 mn
26/09/06
Résumé:  En déplacement professionnel, Arnaud se voit contraint de partager sa chambre d'hôtel avec une inconnue.
Critères:  h fh inconnu hotel fmast hmast hdanus
Auteur : Alpha  (Amants depuis longtemps, nous aimons partager nos récits)      Envoi mini-message
Partage

Je suivais alors un congrès dans une ville de province dans laquelle se déroulait simultanément un festival musical très connu. Il y avait donc beaucoup de monde et j’avais eu de grandes difficultés à trouver une chambre correcte. Mais j’y étais parvenu et tout se déroulait pour le mieux.


Le deuxième soir, j’allais prendre ma clé à la réception lorsque le concierge me signala que le gérant souhaitait me rencontrer de toute urgence. Un peu surpris… et inquiet (la chambre si difficilement obtenue allait-elle m’être retirée ?) je me dirigeais vers un petit salon où m’attendait le gérant en question. Après de nombreuses précautions de langage, il finit par me faire part de son problème : il avait fait du "surbooking" et se trouvait maintenant avec une cliente qui menaçait de faire un scandale si une solution n’était pas trouvée immédiatement. J’étais le seul détenteur d’une chambre à deux lits et il souhaitait que je partage ma chambre avec cette cliente (ravissante me précisa-t-il), la Direction de l’établissement étant naturellement disposée à me consentir tout un tas d’avantages !


L’aventure m’amusait beaucoup et je me dis que ce clin d’œil du destin pouvait, peut-être, se transformer en délicieux souvenir. Je donnai mon accord et le Gérant me proposa de partager le dîner de la dame, aux frais de la maison, naturellement. Je dînais donc avec une jolie blonde, très spirituelle, et prenant la situation avec humour et philosophie. Elle se comportait de façon très naturelle, comme si nous étions de vieux amis, mais j’étais bien incapable de deviner si elle souhaitait donner un tour plus intime à notre toute nouvelle relation. En ce qui me concernait, j’étais partant !


Après cet agréable dîner, elle m’expliqua qu’elle souhaitait se promener et je lui répondis que c’était également mon intention (du moins depuis trente secondes !). Elle m’informa alors, de façon claire et sans ambiguïté, qu’elle envisageait de se promener seule et que le repas agréable ne devait pas être considéré comme "l’introduction à une partie de jambes en l’air" ! La formule était plaisante, mais me faisait retomber sur terre.


Je montais donc me consoler dans "notre" chambre et regardais de façon distraite un lot de documentation que j’avais récupéré dans la journée. Puis je me dis que ma charmante colocataire devait être du genre à passer des heures dans la salle de bains et que je ferais bien de profiter de son absence pour prendre une douche. Tandis que je me déshabillais, je repensais à ma nouvelle connaissance et revis en pensée un corps charmant et bien proportionné. Sa poitrine, en particulier, m’avait attiré, d’autant plus que son corsage s’ouvrait de façon très indiscrète à chacun de ses mouvements. Elle ne portait pas de soutien-gorge et plus d’une fois mon regard s’était attardé un peu plus que la décence et la politesse m’y autorisaient. Ses seins étaient très mignons et, à plusieurs reprises, j’avais eu une vue complète et très agréable dont j’ignorais toujours si elle m’avait été offerte pour me remercier ou si j’avais volé cette excitante vision. Toujours est-il qu’ils m’avaient séduit et que d’y repenser me faisait tout naturellement bander.


Je passai donc dans la douche avec une belle érection, en me disant que ce petit épisode allait me permettre de branler avec un fantasme tout neuf. Je fis couler l’eau tiède sur tout mon corps puis me reculai pour que le jet tombe directement sur ma bite. La sensation fut immédiatement très forte. Je décrochai la pomme de la douche et entrepris de promener le jet tout le long de ma queue. Celle-ci réagit fortement et se dressa presque verticalement tant l’excitation était intense. Je dirigeai le jet sur mon gland en feu et me décalottai doucement pour rendre le plaisir plus intense encore. L’eau se répandait sur toutes les parties de ma bite et j’avais l’impression d’être sucé par une dizaine de bouches à la fois. Pour varier le plaisir, je déplaçai la pomme pour que le jet me masse les couilles, ce qui me procura une sensation plus douce mais peut-être plus bandante encore. Puis je le dirigeai vers mon cul pour me procurer une nouvelle forme de plaisir. Je le laissai longtemps dans cette position puis je pressai mon doigt sur ma rosette pour lui permettre de s’ouvrir lentement. Je ressentis un plaisir plus intime, et passai un long moment à me branler le cul.


Toutes ces manipulations m’excitaient terriblement, mais je prenais garde à ne pas jouir pour faire durer ce merveilleux moment. J’étais tellement bandé que je me pliai pour tenter de me toucher le gland avec la bouche : j’aurais aimé, sinon me faire une pipe, au moins me caresser la queue avec la langue de façon à goûter mon sperme tout en augmentant encore le plaisir que je me donnais. Malheureusement, je n’y parvins pas et je me promis de développer ma souplesse !


Je pris enfin le savon, non pas pour faire ma toilette, mais pour essayer de trouver un nouveau genre d’excitation. Je me savonnai longuement la pine en insistant sur le gland et en faisant glisser le gant de toilette sous la peau qui le cache. J’essayais ensuite de me mettre le gant dans le cul, mais il était trop épais et je n’avais pas envie de gâcher un aussi bon moment. Pour ne pas faire fondre trop vite le savon qui enduisait ma bite et mes couilles, j’avais arrêté de faire couler l’eau. Je retirai le gant de ma main puis j’enduisis celle-ci de savon en frottant longuement pour faire une mousse abondante. Lorsque j’y fus parvenu, je me glissai à nouveau le doigt dans le cul et le fis bouger dans tous les sens : le savon me donna une impression de douceur qui me fit croire quelques instants que je me faisais enculer par un ange.


Je me demandais comment augmenter encore mon excitation lorsque j’entendis la porte de la chambre s’ouvrir : je me branlais avec une telle ardeur que j’avais oublié ma compagne de chambre. Si au moins cette salope avait été moins coincée !


Je ne savais pas comment sortir de la situation où je m’étais placé lorsque la porte de la salle de bains s’ouvrit à son tour et je l’entendis s’excuser d’une voix timide en me disant que la nature avait parfois des exigences … Elle me sembla se diriger vers la cuvette des toilettes et je l’entendis soulever sa jupe, faire glisser son collant et enfin retirer son slip. Ce n’est pas de cette façon que j’allais cesser de bander ! Je ne suis pas un fétichiste et l’urine ne m’a jamais procuré un quelconque plaisir. Mais l’entendre s’abandonner si près de moi et imaginer son corps pratiquement nu à quelques centimètres de ma bite en feu, uniquement séparés par un rideau de tissu, me mit dans un état épouvantable.


Je tenais toujours ma queue très fermement et me branlais doucement en essayant de faire le moins de bruit possible. Puis j’entendis d’autres bruits intimes correspondant à la remise en ordre de sa tenue. Le silence revint et j’attendis qu’elle sorte de la salle de bains pour terminer ce que j’avais si bien commencé et me branler sans retenue. Après un temps qui me parut long, le rideau s’ouvrit et je vis apparaître son corps totalement nu. Les bruits que j’avais entendus pour remettre ses vêtements correspondaient en fait à la fin de son strip-tease ! En une fraction de seconde, je me retournai pour lui cacher l’énorme érection que je m’étais donnée.


Elle me dit qu’elle n’avait pas l’intention de patienter toute la nuit pour se coucher et qu’elle se proposait de se doucher également. Elle se saisit de la pomme et commença à se mouiller tout le corps d’une façon totalement décontractée. Puis voyant que je continuais de lui tourner le dos, elle se saisit du gant et commença à me frotter vigoureusement "pour nous faire gagner du temps", crût-elle bon de préciser. Elle commença par les épaules et le dos, passa aux jambes, puis remonta lentement jusqu’à atteindre mes fesses qu’elle frotta longuement et doucement, en s’égarant de temps en temps sur mon cul et mes couilles. Je ne pouvais plus faire semblant de l’ignorer et la politesse me commandait de lui montrer combien ses massages étaient couronnés de succès !


Imperturbablement, elle me savonna le torse, les cuisses et enfin la bite en reprenant les caresses vicieuses que je m’étais moi-même données quelques minutes plus tôt. Incontestablement, elle savait se servir d’une bite et de tous ses constituants. Puis, toujours sans prononcer un mot, elle me tendit le gant tout en me tournant le dos. Je ne me fis pas prier pour lui rendre service à mon tour, et si je bâclais un peu son dos et ses mollets, son cul fut, au contraire, l’objet de mes soins attentifs. Je fis glisser ma main équipée du gant dans sa raie et me livrai à de nombreuses tentatives de pénétrer, avec mon doigt, un cul qu’elle me semblait tendre dans ce but.


Elle se tourna enfin et je retrouvais avec plaisir deux charmants seins que je n’avais fait qu’apercevoir au cours du dîner. Je découvris alors une magnifique chatte brune qui me prouva qu’elle n’était que partiellement décolorée. Sa chatte était presque totalement épilée : elle devait aimer porter des maillots de bain très échancrés. Je continuais de parcourir son corps avec le gant en essayant, chaque fois que je le pouvais, de la frôler avec ma queue. Après avoir délicatement caressé ses seins dont la pointe était presque aussi dure que ma pine, je glissai doucement vers son con qu’elle m’offrit en pliant et en écartant légèrement les cuisses. Je massais lentement son clitoris et je pense que peu de femmes ont eu la chatte aussi bien et aussi longuement lavée.


Elle me repoussa alors doucement et entreprit de glisser sa main entre ses cuisses. Elle commença un massage de clitoris particulièrement torride et ma queue fit à nouveau un bond en l’air devant l’érotisme du spectacle. Je m’approchai la bite à la main pour la lui enfiler, en supposant qu’elle en avait envie autant que moi. Elle me repoussa gentiment en souriant et me faisant non de la tête. Je ne savais plus où j’en étais, si ce n’est que cette salope jouait sérieusement avec mes nerfs !


Elle se recula contre le mur tout en me regardant et continua de jouer avec son clitoris. Soudain elle arrêta ses mouvements et me dit :"à vous". Je compris qu’elle voulait que je me branle devant elle et ne me le fis pas dire deux fois. Je saisis ma pine à pleine main et commençais à la décalotter lentement, bien à fond. Après quelques secondes, j’accélérai le rythme et mon excitation était telle qu’il me fallut très peu de temps pour jouir. Le sperme jaillit de ma bite en un long jet qui l’atteignit juste au-dessus de la toison (enfin de ce qu’il en restait).

Avec un sourire espiègle, elle descendit alors lentement ses deux mains vers sa chatte pour tremper ses index dans le sperme qui commençait à glisser vers sa fente. Elle lécha son index gauche puis enfila lentement le droit dans son con en me regardant toujours de façon troublante. Elle recommença à se branler le clito avec une main en écartant les lèvres de sa chatte de l’autre. Son con épilé me permettait de profiter de l’intégralité du spectacle et je sentais ma bite se tendre de nouveau. Rapidement elle obtint un orgasme apparemment très fort qui lui donna des spasmes pendant une bonne minute.


Elle se saisit ensuite de la douche et se fit une toilette très utilitaire cette fois. Elle sortit ensuite de la salle de bains et se dirigea vers la chambre. Je fis de même, me demandant s’il y avait une suite de prévue ? Elle était déjà couchée et tournée vers le mur, ce qui me fit parfaitement comprendre que le jeu était terminé. Je me couchai à mon tour et ne tardai pas à m’endormir. Au milieu de la nuit, je fus réveillé par un gémissement et je mis quelques secondes avant de me rappeler que je n’étais pas seul dans la chambre. Je tournai la tête de son côté et vis qu’elle avait recommencé à se branler : le drap était rejeté, elle avait largement écarté les cuisses et se massait le clitoris avec ardeur, contrairement à ce qui s’était passé la veille. Voyant que je la regardais, elle se tourna de mon côté et me dit "à vous".


Décidément, cette nana n’avait pas beaucoup de vocabulaire quand elle se branlait. Le spectacle offert étant particulièrement bandant, je ne mis que quelques secondes à rejeter mes draps et à prendre ma bite dans ma main. Par politesse, je me tournai vers elle et commençai à branler une bite déjà bien mouillée. Le résultat fut aussi brillant que la fois précédente et un jet de sperme alla atterrir sur la moquette. Elle se remit à l’ouvrage à son tour et le gémissement esquissé plus tôt se transforma en un long soupir au moment où ses cuisses étaient agitées d’un long tremblement.


Après une fin de nuit paisible, je m’éveillais le lendemain en forme, mais sans bander, contrairement à ce qui se passe les autres matins ! Ma compagne d’une nuit était partie avec ses affaires. Seule une tache sombre près de mon lit gardait la trace de ce qui s’était passé.