n° 10822 | Fiche technique | 16188 caractères | 16188Temps de lecture estimé : 10 mn | 27/09/06 |
Résumé: Cette histoire, qui comportera huit épisodes, relate les émois érotiques de trois cousines et de leur cousin. | ||||
Critères: h fffh jeunes cousins vacances bain douche voir noculotte fmast hmast intermast jeu init | ||||
Auteur : Benoberna Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Mes cousines... et moi ! Chapitre 01 / 08 | Épisode suivant |
Introduction (de l’histoire)
Mais histoire sans introduction (pour l’instant)
Mes cousines et moi, c’est une longue histoire.
Depuis notre petite enfance, mes cousines et moi, avons passé toutes nos vacances ensemble. Martine, Evelyne et Marie-France sont les filles des frères de mon père et des sœurs de ma mère ; quatre frères avaient, et ce n’est pas banal, épousé quatre sœurs. Je suis le seul garçon de la famille. Nos parents sont originaires d’un petit village où nos grands-parents paternels exploitaient une belle ferme. Nous passions donc toutes nos vacances, parents, oncles, tantes et bien sûr cousines, dans ce coin paisible. Un grande et vieille bâtisse permettait de loger tout le monde dans un confort rudimentaire mais suffisant. Au début, il n’y avait pas de salle de bains et on nous lavait, dans la cour, dans un grand baquet en bois dans lequel on nous avait installés tous les quatre, ravis de nous éclabousser. Et c’est dans ce baquet plein d’eau qu’est née cette envie d’être ensemble, cette envie d’être bien ensemble.
Nous étions, et ça n’est pas banal non plus, mes cousines et moi, nés la même année, ce qui avait contribué à souder notre famille. Nos baptêmes avaient eu lieu le même jour et les diverses fêtes des uns et des autres rassemblaient toute la tribu.
Les années passaient et nous nous retrouvions toujours avec autant de bonheur. Les premiers poils depuis longtemps apparus, les poitrines formées ; nos corps avaient changé. L’enfance et ses insouciances s’étaient envolée. Nous étions devenus de grands ados.
Et vint un moment où le baquet fut décidément trop petit. Nous l’avons utilisé très tard, au grand désespoir de nos parents qui râlaient :
Eau ou pas dans le baquet, ce que nous recherchions dans celui-ci, c’était le prétexte de nous y retrouver tous les quatre, toujours aussi nus, recherchant le contact des uns et des autres. Nous avions compris depuis longtemps que ce que nous y faisions n’avait rien à voir avec la toilette. Nous y recherchions simplement la promiscuité de nos corps.
* * * * *
Les étés toujours chauds, la petite rivière où il faisait bon se baigner rythmaient nos vacances. Nous y allions seuls, nos parents n’aimant pas la baignade. Personne d’autre que nous ne fréquentait cet endroit puisque la portion de rivière où nous nous baignions traversait la propriété de grand-père. Donc, nous vivions nus, des après-midi entières, sur la plage et surtout dans l’eau où nos corps se serraient, se frottaient, luttaient dans une belle pagaille. Nous aimions cette ambiance. Et, lorsque nous étions fatigués nous nous allongions sur l’herbe, dormant ou sommeillant.
Et c’est là, à cette époque, que je connus la première extase qui ne fut provoquée par ma propre main.
En effet, sortant de l’eau après une bataille avec les trois filles, je me trouvais affublé d’une belle érection que, bien sûr elle remarquèrent, feignant de ne rien voir. Tout disparut rapidement. Allongés tous les quatre, je ne tardais pas à somnoler, couché sur le dos. J’entendais les filles murmurer, rire, beaucoup bouger mais j’étais si bien. Au bout de quelques instants je sentis un contact sur mon pied, sur un bras, sur ma poitrine. Les filles avec des brins d’herbe chatouillaient mon corps. Je décidai de ne pas bouger et de les laisser faire. Plusieurs brins en même temps donnent envie de se trémousser mais je résistais de mon mieux devinant, sans trop savoir comment, que cette affaire aller avoir une heureuse conclusion. Les brins d’herbe convergeaient vers la partie de mon corps différente de celui de mes cousines. Ces agaceries eurent pour effet de réveiller cette partie endormie, ce qui les fit beaucoup rire.
Voyant que je ne bougeais pas, elles s’enhardirent à lâcher les herbes et à utiliser leurs mains. Je crus mourir de plaisir. L’une faisait rouler mes testicules, l’autre attrapa ma verge et la caressa, le troisième caressant mon ventre. Je sentis qu’il allait se produire quelque chose d’exceptionnel. Leur jeu se poursuivit quelques minutes. L’une d’elle empauma mon sexe et le serra, faisant glisser sa main, allant et venant avec douceur mais fermeté. Au bout d’un moment qui me parut une éternité un orage se produisit dans ma tête, dans mon cœur, dans mon ventre et surtout dans ce que mes cousines manipulaient innocemment mais divinement. Un orage qui se traduisit par une expulsion que je ne savais pas alors qualifier d’éjaculation.
Les filles poussèrent des cris mêlés à des rires mais continuèrent leurs caresses. J’ouvris les yeux et découvris ce que je n’oublierai jamais, trois filles nues penchées sur mon corps, ravies de ce qu’elles m’avaient fait. Je mis plusieurs minutes à me remettre. Elles semblaient apprécier ce liquide qui leur collait aux mains, qu’elles léchaient d’un air ravi. Personne ne fit de commentaire et tout le monde plongea dans la rivière.
Cette aventure venait de sceller entre nous une définitive amitié érotique que nous rechercherions toujours, dès que nous nous rencontrerions. D’où cela venait-il ? Mystère ! Nous étions bien ensemble.
Nous prenions du plaisir à nous déshabiller ensemble, à nous laver ensemble, à nous frôler, à nous regarder et nous ne savions pas pourquoi. Grand-père entreprit des travaux de confort et fit installer une salle de bains pourvue d’une grande cabine de douche. Nous adorions déjouer la vigilance de nos parents pour nous doucher tous les quatre ensemble. Peu de place pour les mains et grande difficulté à se laver soi-même. Nous avions rapidement trouvé la solution, chacun lavait un ou une autre. Nous ressortions très propres car la toilette avait été correctement faite. Toutes les parties de nos corps étaient frottées consciencieusement. Et j’en ressortais toujours le sexe tendu que je passais rapidement sous l’eau froide afin de le ramener à la raison. Les parents pouvant nous surprendre, les cousines n’allaient pas jusqu’au bout de leurs caresses savonneuses.
* * * * *
Tous les étés nous voyaient revenir au bord de notre petite rivière où nos jeux aquatiques devenaient plus fréquents. Dans l’eau, debout, avec trois filles autour de moi qui prenaient du plaisir à me toucher pour m’amener à une extrême bandaison, c’était le paradis. Et là, tantôt l’une, tantôt l’autre, se plaçait face à moi, plantant son regard dans le mien, me saisissait le sexe et le caressait pour m’amener à l’explosion ne quittant pas mon regard, surveillant la montée du plaisir qui se dispersait dans l’eau. Et ceci sous le regard attentif des deux autres qui auraient voulu être à la place de celle qui me masturbait. J’aurais voulu que l’été n’eût pas de fin. Allongés sur la plage mes mains s’égaraient sur le corps de mes cousines, palpant leur poitrine, glissant entre leurs cuisses qu’elles gardaient serrées, j’étais un peu frustré. J’aurais aimé explorer ces parties qu’elles m’interdisaient de toucher. Mais elles me permettaient de regarder, écartant volontiers les jambes si je leur promettais de ne pas toucher. J’étais bien obligé d’obéir, car elles étaient très solidaires.
Lors de ces visites visuelles, si elles succédaient à nos jeux décrits plus haut, je remarquais une humidité inhabituelle qui semblait s’écouler de leur fente. J’en fis la remarque à Marie-France qui me demanda de m’approcher si je promettais de ne pas toucher, ce que je fis bien évidemment. Je me mis à genoux, approchant mon visage de son entrejambe, m’approchant à quelques centimètres. Une odeur, acre et poivrée, me parvint et je compris qu’elle provenait de cette humidité. Je compris aussi que je chercherais toujours à la retrouver. Elle glissa alors un doigt dans cette fente que je ne me lassais pas de regarder et me demanda ensuite d’ouvrir la bouche où elle l’introduisit. J’avais subitement très chaud aux oreilles, mais le jeu était fini et nous devions rentrer.
La première éjaculation provoquée par les trois chipies ne m’empêchait pas de pratiquer frénétiquement la masturbation. La séance que je venais de subir m’avait bien préparé à la prochaine.
* * * * *
Nous passions des heures, les filles et moi, à parler de tout et de rien. Tellement que mes parents étaient inquiets de voir que je n’avais pas de copains ni de petites copines. Ils avaient peur que la fréquentation de mes cousines, du fait que je semblais y prendre du plaisir, me prédispose à me féminiser. S’ils avaient su ! Nous parlions de tout et mes cousines même si elles avaient le même âge que moi, étaient incontestablement plus éveillées. Elles se (et me) racontaient leurs histoires de petits copains dans leurs villes respectives. Je sus rapidement que ce qu’elles me faisaient, elles le faisaient également, chacune de son côté, à d’autres garçons. J’en fus fort dépité. Lors de ces conversations, je posais beaucoup de questions et elles voulaient bien y répondre. Elles m’expliquaient comment était constitué leur sexe, l’une d’entre elles s’allongeant, jambes écartées, me montrant ce que je ne soupçonnais même pas, les lèvres, le trou dans lequel son doigt glissait si facilement et ce petit bouton tellement sensible. Je leur dis, puisque nous n’avions guère de tabous, que j’adorais voir leurs sexes ou simplement apercevoir leurs petites culottes.
Je leur dis aussi que souvent le soir, dans ma chambre, repensant à ce qu’elles m’avaient montré tout au long de la journée, je me soulageais tout seul.
Cette conversation m’avait amené à une position qui me préparait à ce qui allait suivre.
Et c’est là que j’eus droit à un spectacle qui, aujourd’hui encore, me fait rêver. Mes trois cousines se caressant pour moi, devant moi, sur le lit où elles étaient allongées. Ce spectacle m’avait tellement émoustillé que je n’avais pas attendu qu’elles me regardent pour entreprendre ce qu’elles m’avaient demandé. Je m’approchai du lit, me mis debout entre leurs corps et répandis mon sperme sur elles. Elles se le disputaient, se badigeonnant avec. Quelle soirée ! Douche collective, bataille avec des verres d’eau, séchage et chaste bisou à mes trois reines.
* * * * *
Grand-père avait quelques arbres fruitiers et les adultes nous chargèrent d’en récolter pour la consommation de la famille. Ce que nous fîmes avec plaisir. Nous allâmes d’arbre en arbre et les filles, décidant de tout, me demandèrent de tenir l’escabeau tandis qu’elles grimpaient, tels de petits singes dans les branches avec de petits paniers. D’en bas, toujours cramponné à mon escabeau, je me tordais le cou pour voir sous les jupes des cousines qui, me connaissant, faisaient tout pour me faciliter la vue. Les culottes petit bateau avaient depuis longtemps fait place à de belles petites culottes autrement plus érotiques pour le grand dadais que j’étais. Descendant d’un des arbres, elles coururent en riant derrière un buisson et revenant en riant, elles me dirent :
Quelle surprise et quelles coquines ! elles s’étaient cachées derrière le buisson pour enlever leurs culottes et pour m’en faire la surprise. Et ce fut un festival. C’était à celle qui ferait le plus grand écart, prendrait les poses les plus téméraires. Je me régalais, bien sûr lorsqu’elles me demandèrent de me reculer mais de ne pas les quitter des yeux. Et là, mes trois cousines, parfaitement à l’aise, se mirent à uriner, debout, jambes écartées, ne me quittant pas des yeux. Ce fut fantastique. Je revins tenir l’escabeau pour qu’elles redescendent, ce qu’elles firent et, les unes après les autres s’arrangèrent pour que ma tête se retrouve sous leurs jupes, se tournant pour que mon visage effleure leur sexe. Je me prêtais volontiers à ce jeu laissant mes mains s’aventurer et me faisant rabrouer.
Elles récupérèrent leurs petites culottes derrière le buisson et me les tendirent :
Elles ne croyaient pas si bien dire. Reniflant ces trois culottes, je me suis payé le soir même une masturbation mémorable.
Nous fûmes récompensés de notre cueillette par une bonne tarte aux pommes.
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Aujourd’hui, c’est la fête au village. Nous avons décidé d’y aller tous les quatre, aussi nous voilà en train de nous préparer. Nus bien sûr, tous dans la salle de bains, nous nous chamaillons mais rapidement je cède la place aux filles pour aller m’habiller. Les voilà qui arrivent, ouvrent les armoires et choisissent chacune une petite robe à bretelle, décolletée et surtout courte. J’adore, lorsqu’on est entre nous, les voir habillées ainsi car, si peu qu’elles se baissent, qu’elles sautent ou qu’elles bougent, je peux voir leurs petites culottes faites de dentelles souvent presque transparentes. Et là, surprise ! Les voilà qui enfilent leurs robes sans aucun sous-vêtement, ni culotte, ni soutien-gorge !
J’aimais ça, en effet, mais entre nous.
Que faire ? Elles avaient décidé ensemble et rien ne les ferait changer d’avis. En plus les parents étaient absents tout le week-end. Je me résolus donc à les suivre. Elles couraient, sautaient devant moi, faisant voler leurs robes qui dévoilaient leurs trésors dont je pensais avoir l’exclusivité. Mais nous étions sur le chemin où il n’y avait personne et je pensais bien qu’elles agissaient ainsi pour m’agacer et, qu’une fois arrivées à la fête, elles se calmeraient. Il n’en fut rien. Elles grimpèrent sur tous les toboggans, descendant sur les fesses, utilisant les balançoires debout, leurs robes volant de toute part, me demandant de les pousser. Je le faisais avec plaisir, profitant de la vue dont je ne me lasserais jamais, mais surveillant si des voyeurs ne se manifestaient pas. Amusées par ma vigilance elles me dirent :
Mais mes craintes s’avérèrent inutiles ; je ne vis personne regarder sous les robes de mes cousines. Pourtant, quel spectacle, leurs pubis noirs sur une peau blanche se voyaient même lorsque leurs robes étaient en position normale, par simple transparence. Et leurs tétons dressés par l’excitation du jeu, pointaient sous le tissu léger. Le jeu les lassa très vite et de retour à la maison nous courûmes calmer nos excitations respectives à la rivière où je savais que me serait réservé un traitement auquel je m’habituais.