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Temps de lecture estimé : 13 mn
01/10/06
Résumé:  Trois cousines et un cousin, étudiants, vivent ensemble et le cousin ne s'en plaint pas.
Critères:  fh fffh jeunes cousins magasin anniversai intermast
Auteur : Benoberna            Envoi mini-message

Série : Mes cousines... et moi !

Chapitre 03 / 08
Où mon sort s'améliore...

Samedi, jour de courses. Nous étions tous les quatre au super-hyper, moi poussant le chariot, les filles le remplissant. Nous passâmes devant le rayon lingerie, les filles sachant depuis longtemps que j’aimais beaucoup ça. Nous étions peu nombreux en ce début d’après-midi caniculaire.



Et se dirigeant toutes les trois vers l’angle de la boutique, moi les ayant suivies, elles s’accroupirent ensemble, écartèrent leurs genoux, et me présentèrent en cœur leurs trois minous nus.



Elles se levèrent en effet et nous poursuivîmes nos emplettes.



Le caddie vidé dans le coffre, je m’installai au volant.



Ce que je fis et j’en fus bien récompensé, chacune d’elles prenant son temps, relevant bien sa jupe et écartant au maximum les jambes pour m’offrir individuellement ce qu’elles m’avaient montré collectivement. Je constatais que ce petit manège les avait quelque peu excitées. J’en fis la réflexion à ma passagère avant qui me répondis :



Ce doigt sous mon nez, puis dans ma bouche me prouva que je ne m’étais pas trompé. Je ne vous dis pas l’état de mon bermuda. Arrivés à l’appartement, les courses rangées, je dis aux filles :



En un tournemain, elles se retrouvèrent nues, m’attrapèrent et me jetèrent sur le lit. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, je fus dépouillé de mes vêtements et couché sur le dos. Mes trois cousines, du bout de leurs doigts, parcouraient mon corps, pieds, chevilles, etc… Les cercles concentriques de leurs frôlements ayant pour centre mon pénis dressé, elles finirent par s’en rapprocher. M’écartant les jambes, l’une d’elles glissa un doigt vers mon anus. Je crus recevoir une décharge électrique lorsque celui-ci exerça une légère pression. Une sensation bizarre sur mon torse me fit lever la tête. C’était leurs cheveux qui me frôlaient puis ce furent de petits baisers qui couvrirent mon corps, partout en même temps, sur les mollets, sur les cuisses, sur le ventre. Je crus mourir ce jour-là, surtout lorsque ces bécots s’approchèrent de ce qui était le centre d’intérêt de la soirée. Trois bouches, sur mes bourses, sur ma verge, sur mon ventre, quelle extase. Mais aucune ne me prit dans sa bouche. Soudain une voix :



Je vis alors deux jambes se positionner de chaque côté de ma tête et, tout la haut, ce que j’aimais tant, un sexe ouvert. Pliant les jambes, ma cousine amena son sexe à quelques centimètres de mon nez et de ma bouche.



Ouah ! Quel plaisir ! Du bout de ma langue je réussissais ce qu’elle acceptait de moi, toucher ses poils gorgés d’un liquide que j’aurais voulu plus abondant. En de petits gestes brefs, elle se baissait subitement davantage et mon nez se trouvait soudain plongé quelques secondes entre ses lèvres. Je sentais que ce liquide coulait sur mes joues. Pendant ce temps, l’autre partie de mon corps était en permanence agacé par de petits contacts qui me rendaient fou. Ce traitement dura sûrement plus d’une heure et je suppliais mes tortionnaires de me terminer.



Je ne savais plus qui était qui, qui je préférais. Je les aimais toutes les trois comme un fou. Et enfin, une main entreprit de me soulager. L’explosion fut terrible. J’avais l’impression de me vider et j’eus du mal à reprendre mes esprits.



Une bouteille de champagne clôtura les festivités après une bonne douche.

Je venais d’avoir dix huit ans.



* * * * *


Un soir Evelyne rentra, guillerette, sautillante, en un mot heureuse.



Sans un mot, elle souleva sa jupe et sans se presser, quitta sa culotte, dégageant une jambe puis l’autre. Elle me la mit alors sous le nez :



Elle s’était en effet bien amusée, l’odeur et la consistance de son fond de culotte en attestait.



Mon fond inconscient de jalousie jaillit d’un seul coup :



Et elle se dirigea vers la salle de bain, nous laissant, moi reniflant sa culotte, mes cousines un peu surprises.



Que faire ? Cette culotte sous le nez ne me laissait pas indifférent, mais cette demande me paralysait un peu. Au deuxième appel, je la rejoignis. Le jet de la douche sur la tête, coulant sur son corps, l’embellissait encore.



Après quelques instants d’hésitation, je dirigeai le jet de la douche vers son sexe.



Je pris donc le savon, m’en frictionnai la main et me mis à laver consciencieusement ma petite cousine. Pas un pli, pas un creux ne fut oublié, devant et derrière. J’insistai bien sur sa rosette, faisant tourner mon doigt en exerçant une petite pression, mais revins rapidement à la partie avant.



Je fis alors ce qui m’avait toujours été interdit, j’introduisis mon doigt dans son sexe, allant et venant, m’appliquant à ne rien oublier. Plus haut, je sentis une petite boule un peu plus dure que j’entrepris de frictionner, fermement mais avec douceur.



Evelyne, manifestement n’était pas insensible à mon traitement. Martine et Marie France, inquiètes de ces plaintes, vinrent aux nouvelles.



Avais-je été trop loin ? Au bout de quelques secondes elle reprit ses esprits :



Ce soir-là, je sentis que quelque chose avait changé dans nos rapports. Le regard des trois filles sur moi avait, tout d’un coup, changé.


Le même soir, Martine me demanda :



Non, je ne dormais pas bien. Marie-France et Evelyne dormant dans un des grands lits, Martine était seule dans le sien, qui avait également deux places. Aussi me proposa-t-elle de dormir avec elle à condition que je sois sage. Je promettais toujours tout ce que l’on voulait et me voici donc au lit avec ma cousine. C’était une première, car nous n’avions plus dormi ensemble depuis l’âge de quatre ou cinq ans. Et c’est nu comme un ver que je me glissai dans le lit, rejoignant ma cousine aussi nue que moi. Extinction des feux ; dodo pour tout le monde.

J’eus beaucoup de mal à trouver le sommeil, bougeant beaucoup je dérangeais ma cousine. Tous deux couchés sur le coté, mon ventre entra en contact avec son dos, mais elle ne bougea pas et nous nous retrouvâmes rapidement collés l’un à l’autre. Malgré tous les efforts que je fis pour penser à autre chose, ce qui devait arriver arriva. Une érection vint signaler à Martine que je ne dormais pas et que je n’en avais guère envie. J’avais été très excité par la toilette faite à Evelyne, aussi ma réaction fut-elle rapide. Elle ne s’en offusqua pas et glissa sa main dans son dos pour me saisir.



Je sentais bien que cette affaire allait nous amener à franchir une étape. Alors qu’elles n’avaient jamais accepté, ni l’une, ni l’autre, le moindre contact de ma main ou d’une autre partie du corps avec leur sexe, après Evelyne j’allais pouvoir caresser Martine ! Je la fis mettre sur le dos, talons contre les fesses et genoux écartés et j’entrepris, dans le noir, de visiter ma cousine et de lui présenter tous les hommages qu’elle accepterait. Mes deux mains et mes dix doigts s’activaient en des parties chaudes et rapidement humides, entrant ici, tentant d’entrer là, frottant ceci, écartant cela. Au bout de quelques minutes de ce petit jeu, Martine commença à pousser de profonds soupirs, et de petits gémissements, qui devinrent des plaintes, puis des cris. Nous nous croyions seuls mais nos cousines, dans la chambre voisine, comprirent rapidement ce qu’il se passait.



La lumière venait de s’allumer, éclairant un tableau où un cousin amène sa cousine à l’orgasme avec ses doigts. Nous étions regardés ! Et alors ? Il y a longtemps qu’il n’y avait pas de tabous dans notre cousinade mais là, nous étions en train de faire sauter une barrière. Pendant que je poursuivais mes agaceries que manifestement elle appréciait, Martine se saisit de mon sexe et se mit à le frictionner tant et si bien que nous explosâmes ensemble, elle inondant mes doigts, et moi souillant notre lit. Mais nous en étions restés à des contacts uniquement manuels, sans rien nous dire ou nous interdire, mais implicitement d’accord sur ceci.



Toutes furent d’accord, moi aussi d’ailleurs, même si je me rendais compte que, depuis toutes ces années, j’étais pour elle un jouet collectif. Peu m’importait en fait puisque j’y trouvais largement mon affaire. Et ainsi fut fait. Je changeais tous les soirs de cousine, les deux autres dormant sagement ensemble, dans la chambre à côté. Elles étaient si ressemblantes et pourtant si différentes, réagissant, chacune à sa façon, aux gestes que je reproduisais chaque soir, mais que j’adaptais rapidement à chacune. La seule manière de me soulager qu’elles acceptaient toutes les trois, ne faisait appel qu’à leurs mains, même si j’avais droit quelques fois à de furtifs baisers sur mes bourses, ma verge ou sur le gland ; mais jamais plus loin. L’usage de la bouche restait interdit. Je n’avais jamais obtenu de lécher leur sexe comme elles n’avaient jamais voulu prendre le mien dans leur bouche. Et nous ne nous étions jamais embrassé, bouche à bouche. Je crois que, ni les uns ni les autres, nous ne l’avions souhaité.

Nous n’étions pas amoureux, nous étions simplement complices de jeux érotiques et nos bouches étaient réservées à nos amis respectifs. Et c’était très bien ainsi. J’aurais, bien sûr, aimé les pénétrer avec autre chose que mes doigts, mon sexe se serait volontiers proposé. Cela ne se pouvait pas, sans que je n’aie jamais essuyé un refus, simplement je pense n’avoir jamais seulement demandé, sachant très bien que je devais me soumettre à la volonté de mes cousines et que ce seraient elles qui décideraient du jour où cela me serait accordé, si cela devait l’être. Même si parfois, dormant avec mon ventre contre leur dos, mon sexe a plusieurs fois cherché à se frayer un passage entre leurs cuisses, touchant les lèvres et écartant les poils, tentant manifestement ma partenaire. Mais nous nous retournions et nous endormions.


Nous avions un principe auquel aucun de nous ne dérogea : ne pas ramener de petit(e) ami(e) à la maison. C’était notre cocon secret et nous avions plaisir à ne nous y retrouver qu’entre nous. Nous avions chacun nos flirts, nos copines ou nos copains, avec lesquels s’établirent des liaisons plus ou moins poussées ou plus ou moins longues et régulières. Il arrivait que tel ou telle ne rentre pas, mais les trois autres savaient qu’une histoire était en cours de consommation et nous ne devions pas nous inquiéter. Il était évident que mes cousines, sensuelles comme je les connaissais, ne pouvaient se satisfaire des caresses qu’elles acceptaient que je leur prodigue. Elles avaient besoin de rapports beaucoup plus consommés, de vrais amants, et elles ne s’en privaient pas. J’eus également quelques aventures avec des filles qui m’accordaient fort heureusement ce que mes tendres cousines n’acceptaient pas de moi. Il y a des jours où leurs prestations devenaient de salubrité publique tant j’avais été excité par mes trois colocataires. J’avais absolument besoin de ces rapports qui me permettaient de ne pas violer celles qui jouaient de mes nerfs et de mon corps. À la réflexion, je me demande comment j’ai pu résister à cette tentation. Certainement parce que je savais qu’un jour peut-être… Et puis elles étaient mes tendres cousines qui savaient qu’elles pouvaient disposer de moi à leur guise, certaines que je ne dépasserais jamais les limites qu’elles établiraient.



* * * * *


Nous ne sortions que rarement ensemble, mais ce soir, après un repas un peu arrosé, mes cousines décidèrent de m’emmener dans une boîte qu’elles avaient découverte et où elles faisaient bien souvent des rencontres qui se terminaient dans la voiture ou le lit du garçon. Effectivement, lorsque nous arrivâmes, elles eurent immédiatement un succès fou. Il faut dire qu’elles avaient sorti le grand jeu, mini jupe et tee-shirt moulant sans soutien-gorge évidemment. Avaient-elles seulement une culotte ?

Elles semblaient connaître tout le monde et tout le monde les connaissait, mais personne ne sembla remarquer ma présence et elles m’oublièrent bien vite. Des slows, comme on en passait à l’époque, attirèrent la foule sur la piste et mes trois cousines ne furent pas les dernières à trouver un cavalier. De ma place, à l’abri des regards, j’observais, je surveillais celles dont, malgré moi, j’étais jaloux. Et ma jalousie fut rapidement mise à rude épreuve. La danse tourna rapidement en séance de pelotage, un garçon ayant rapidement glissé sa main sous un tee-shirt, caressant une poitrine, un autre embrassant à pleine bouche et un troisième, glissant une jambe entre les cuisses de l’une d’elles, fit remonter sa jupe : ce qui me rassura, c’est qu’elle avait une culotte que sa main caressait, essayant de glisser sous le tissu vers des trésors que je connaissais bien mais qui, ce soir, allaient être visités par d’autres. La danse terminée, tout le monde s’installa dans un coin et le pelotage se poursuivit avec manifestement le plus grand intérêt des deux partenaires. Je sentis que la nuit allait être longue et décidai de m’esquiver n’ayant pas le cœur à draguer même si l’alcool m’avait un peu grisé. Rentré seul, je me repassai le film où je voyais des mains parcourir le corps de mes cousines. Ces images provoquaient chez moi un peu de rage, mais aussi une belle excitation qui fit que ma petite masturbation ne fut pas désagréable.

Au petit matin, retour des filles toutes guillerettes :



À poil, douche et petit déjeuner avant de retourner à nos chères études.



Me voilà en partie rassuré. Petit déjeuner donc où, comme bien souvent, semblent planer au-dessus de la table, trois paires de seins dont la vue est et sera toujours pour moi un bonheur absolu.




* * * * *


Cette idée me mit de bonne humeur pour la journée. Prêt avant elles, je leur fis la bise et m’en fus étudier.

Et effectivement les choses se passèrent comme prévu. De bonne heure, la nuit précédente ayant été courte, les filles m’envoyèrent me coucher. Les lumières éteintes, l’une d’elle se glissa dans le lit, nue évidemment.



Je fis allonger sur le dos ma visiteuse et rabattis totalement les draps. Et je me mis à couvrir de baisers ce corps, que bien sûr, je connaissais, mais que je ne reconnaissais pas, commençant par les doigts de pieds, remontant sur le front, m’attardant sur un sein, revenant à l’intérieur des cuisses, le parcourant très vite mais avec la plus grande douceur afin d’agacer au maximum cette cousine inconnue. Je sentais bien que la succession de petits baisers déposés de la cheville à l’aine, amenant ma joue à toucher ses poils, ne la laissait pas indifférente, d’autant plus que, écartant ses jambes au maximum, j’entreprenais aussitôt les mêmes baisers sur son autre jambe pour finir par sa toison que j’écrasais de mes lèvres. Je sentis qu’elle n’était pas indifférente lorsque, revenant à sa poitrine, je découvris ses tétons dressés que je m’empressais de saisir entre mes dents, les mordillant, les suçant, les faisant rouler entre mes lèvres.



Je ne les avais pas encore utilisées ; je n’avais certes pas reconnu laquelle de mes cousines partageait mon lit mais, sans celles-ci, j’étais ravi d’avoir déjà passablement excité celle-là. Et quel intérêt avais-je à la reconnaître ? Aucun ! Je profitais simplement du plaisir de caresser un corps que je connaissais bien et je savais que cette affaire se terminerait bien, pour elle, mais aussi pour moi. Il serait bien temps alors de découvrir l’identité de celle qui dormirait avec moi. Je sentais donc que ma cousine avait du plaisir, mais je voulus vérifier combien elle était humide et dus donc enfin utiliser mes mains et plus particulièrement mes doigts. Un vrai bonheur ! Je fis mettre ma cousine à genoux, glissant une main sur son ventre et la deuxième sur ses fesses. La première, glissant légèrement, trouva le clitoris, le majeur de la seconde s’enfonça entre ses lèvres et entreprit des allers-retours pendant que la première continuait à chatouiller son bouton. Elle ne tarda pas à exploser, mon doigt enfoncé dans son intimité.



Je n’avais reconnu ni sa peau, ni son sexe mais je reconnus sa voix :



Mais ça aurait pu tout aussi bien être Evelyne ou Marie-France, le plaisir eut été le même.

Elle alluma et me dit :



Et se saisissant de mon sexe, plantant ses yeux dans les miens, elle entreprit une masturbation lente, douce mais très efficace. Ne quittant pas mes yeux, habitude remontant à nos baignades, sentant que j’allais venir, elle ralentit encore son mouvement pour finalement accélérer au moment où je lâchais tout. Elles me connaissaient bien, mes cousines. Elles savaient exactement comment et quand j’allais éjaculer dans leurs mains. Et j’éjaculai donc dans celles de Marie-France qui avait lu mon plaisir dans mes yeux. Et c’est pour ça que je les aimais, mes cousines. Au matin, elles me dirent que, ayant entendu Marie-France manifester son plaisir, elles pensaient que nous avions bien aimé ce jeu-découverte.