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Temps de lecture estimé : 7 mn
01/10/06
Résumé:  Chaque année à mon anniversaire, nous essayons quelque chose de plus intense.
Critères:  fh couple couplus extraoffre sexshop parking hmast facial cunnilingu pénétratio fdanus fsodo
Auteur : Martine
C'est devenu une habitude

C’est devenu une habitude, un rendez-vous coquin que nous attendons tous deux avec impatience chaque année, mais pas pour les mêmes raisons. Depuis maintenant trois ans, à mon anniversaire, mon mari m’offre une expérience coquine qui sort de notre ordinaire. Nous avons d’un commun accord accepté cette formule qui me permet d’éprouver de nouvelles sensations et qui lui permet de vivre certains de ses fantasmes, sans toutefois aller trop vite pour moi.


Je m’appelle Martine, j’ai 35 ans et n’étant pas très grande (1m61) mes 53 kilos me donnent quelques rondeurs tant au niveau des fesses que des hanches, mais fort heureusement aussi une poitrine généreuse avec un bon 95C. Mon mari, Jacques fait 1m80 et plus de 80 kilos. Sexuellement, notre vie de couple est très satisfaisante et nous pratiquons très régulièrement tant les caresses buccales que la sodomie ou les diverses positions du Kamasutra (ce qui n’est pas toujours évident sauf si vous êtes contorsionnistes ou terriblement musclés, mais ça nous fait bien rigoler).


Donc depuis 3 années maintenant, pour satisfaire les envies plus libidineuses de mon Jacques, et parce que je ne suis pas non plus fermée à de nouvelles expériences, nous expérimentons chaque année quelque chose de nouveau.


Il y a trois ans, nous sommes ainsi allés dans un sex-shop avec cabines de projection de films en sous-sol (je précise que je connais déjà l’environnement des sex-shops pour y être allée une fois dans ma jeunesse). Arrivés sur place, mon Jacques a acheté une carte de projection et nous voilà descendant les marches. En bas il y avait six cabines de projection, quatre étaient occupées dont deux avec la porte fermée. Dans les deux autres, en passant, j’ai pu observer deux hommes assis chacun dans leur cabine en train de se branler ouvertement, aux yeux de tous. En me voyant, l’un d’eux a très vite fermé sa porte (c’est amusant ! D’autres hommes ont vu son sexe et ça ne lui faisait rien. Une femme le voit et c’est la panique) quant à l’autre, il a tout bonnement continué tout en me matant assez fortement.


Nous sommes entrés dans la cabine, avons fermé derrière nous et commencé à regarder le film porno. Bon c’était un porno comme un autre, mais le lieu nous excitait particulièrement et assez rapidement mon Jacques m’a troussé la jupe sur les fesses, retiré la culotte et m’a investie de son membre. Il est tout à fait dans la moyenne au fait et cela me convient parfaitement. Après quelques minutes, j’ai joui bruyamment tant cette situation m’excitait et que mon Jacques me faisait du bien. N’ayant pas encore joui de son côté, il a décidé de m’entreprendre par l’autre voie. Mais avant de s’introduire dans mon petit trou, la chaleur de la cabine (minuscule par ailleurs, je vous le dis ce n’est pas fait pour deux) étant intenable, il m’a demandé d’ouvrir la porte pour aérer un peu. Ayant compris son jeu, faire l’amour devant d’autres personnes, j’ai déverrouillé la porte qui s’est ouverte doucement vers l’extérieur. Dans ma position, je ne voyais pas à l’extérieur et quelqu’un situé au dehors devait avoir une vue complète sur ma croupe et mon Jacques en train de me sodomiser. J’adorais le bien qu’il me faisait et afin de l’accompagner dans sa jouissance j’ai commencé à titiller mon clitoris de la main.


Une main m’a alors caressé les seins et vu l’angle d’attaque, j’ai tout de suite compris qu’il ne s’agissait pas de mon Jacques, mais comme il était avec moi, je n’étais pas inquiète et je l’ai laissé faire. La main a ensuite doucement glissé vers mon minou et a très vite remplacé la mienne sur mon clitoris. Au vu de cette situation, Jacquou n’a pas tenu longtemps et a déchargé son sperme dans mes fesses. Il s’est retiré et nous nous sommes rhabillés. En partant, j’ai vu Jacques donner ma culotte à l’un des hommes, certainement celui qui m’avait caressée.


Après cette superbe expérience, nous sommes allés un peu plus loin il y a deux ans. Avant de m’emmener dîner au restaurant, mon Jacques a entièrement supervisé ma tenue de la soirée : minijupe noire à mi-cuisse, corsage débardeur blanc, bas noir, porte-jarretelles noirs, soutien-gorge noir à balconnet et string fendu noir. Le repas au restaurant était délicieux et je fus l’objet de nombreux regards, ma jupe remontant un peu trop dévoilant le haut de mes bas trop souvent. Cela semblait plaire énormément à mon Jacques et je pensais que cette mini exhibition était le jeu de l’année. Mais non, mon Jacquou avait d’autres choses en tête et nous voilà partis vers l’un des hauts lieux de l’exhibition de notre région.


La voiture garée sur un parking en lisière de forêt (il y avait quelques autres voitures), mon Jacques a enclenché la fermeture centralisée des portes et a allumé les feux de détresse. Puis il s’est penché vers moi et doucement a déboutonné mon corsage, libéré mes seins du soutien-gorge et remonté ma jupe sur mes hanches. Quelques minutes après nous être garés, nous avons vu apparaître notre premier « client ». Il a fait le tour de la voiture et s’est arrêté de mon côté, a tapé sur la vitre et essayé d’ouvrir la porte. Voyant que nous n’étions là que pour une exhibition, il a ensuite sorti son sexe et a commencé à se masturber à quelques centimètres de la vitre. Mon Jacquou m’a alors demandé de me caresser et d’en faire profiter au maximum notre voyeur. Pour en rajouter, il a allumé le plafonnier. Me voilà en train d’écarter les jambes et de me caresser la vulve et le clitoris au travers de mon string fendu. Notre voyeur a très vite été rejoint par quelques autres et j’avais à côté de moi des sexes de toutes tailles et de toutes les couleurs en train d’être astiquée par leur propriétaire respectif.


Jacques a progressivement rabattu mon siège et je me suis retrouvée allongée, la tête au niveau des fenêtres arrières, les pieds posés au-dessus de la boîte à gant. J’ai adoré me caresser en regardant ces verges astiquées et j’ai joui plusieurs fois, presque à chaque fois que je voyais un des hommes décharger sur nos vitres et portières.


Au bout d’une demi-heure, les vitres avant et arrière étaient maculées de sperme et il ne restait que trois admirateurs à l’extérieur. Jacquou a doucement ouvert les vitres à mi-hauteur pour les laisser passer le bras et me caresser à leur tour. Je rigolais intérieurement de les voir tendre le bras pour me toucher qui les seins, qui les cuisses, qui la vulve tout en évitant de se frotter à la porte ou à la fenêtre pleine de sperme. L’un des hommes n’en eut cure et s’est carrément collé à la porte pour avoir un accès complet à mon sexe dans lequel il a immédiatement enfoui trois doigts, m’arrachant un cri de surprise et de bien être. Il m’a ensuite « fouillée » jusqu’à me porter à l’extase sous ses doigts.


Un des autres hommes, posté au niveau de la porte arrière m’a ensuite demandé de venir le sucer et j’ai regardé mon Jacques avec une légère inquiétude. « Tu n’as qu’à le branler si tu veux » me répond mon Jacques. Je me suis redressée sur le siège et ai entrepris d’attraper son sexe par-dessus la vitre. Devant cet exercice difficile, Jacquou a décidé de baisser complètement les vitres. Je me suis donc retrouvée devant deux verges en érection passant par la fenêtre arrière alors que mon expert en « fouille » introduisait complètement son torse dans la voiture par la fenêtre avant. Je me suis rallongée et j’ai pris chacune des verges alternativement dans ma main pour les branler, leur propriétaire me caressant les seins. À l’avant de la voiture, mon « fouilleur » m’a écarté les jambes et a enfoui son visage entre mes cuisses, me léchant le sexe comme un chien lape une gamelle d’eau. De son côté, j’ai vu que mon Jacques se branlait frénétiquement, appréciant sans aucun doute la situation. Moi aussi j’appréciais ! Mon «fouilleur», malgré sa brusquerie du départ, était assez doué et me faisait beaucoup de bien, alternant léchouilles et attouchements, titillant mon anus au passage. À l’arrière, je branlais toujours les deux hommes alternativement, passant de l’un à l’autre quand je sentais que le plaisir du premier était proche. Finalement, ils se sont tous les deux vidés sous l’action de ma main et j’ai reçu sur la poitrine de longs jets de sperme que j’ai étalé sur mes seins en regardant mon Jacquou en train de repeindre le tableau de bord de son côté. Mon « fouilleur » m’a finalement fait jouir sous sa langue, m’introduisant au passage un doigt entre les fesses. J’ai adoré cet attouchement et pour le remercier, je l’ai branlé à son tour. Assis sur le siège, j’avais sa verge juste devant le visage. Mon Jacquou m’a encouragée à aller plus loin, mais je me suis retenue, me permettant juste une léchouille sur toute la longueur de la verge, comme si je suçais une longue glace, et une mise en bouche très courte du gland. Ensuite j’ai branlé l’homme rapidement et il a enfin joui, répandant son sperme sur mon visage.


Nous sommes ensuite rentrés à la maison et nous avons fait l’amour une bonne partie de la nuit après avoir pris une bonne douche. J’ai beaucoup rigolé le lendemain en voyant Jacquou passer la voiture au Karcher et nettoyer les sièges en cuir.


L’an dernier … (à suivre)