Les cartes sont distribuées et commencent à changer de main une à une. Chacun tente de déceler un rictus chez le receveur. En fait, c’est chez celui qui se débarrasse du roi qu’il est plus facile de voir une réaction. Pourtant, Estelle ne peut retenir un « Merde » lorsque Baptiste lui refile la fameuse carte. Elle tente de le changer de place dans son jeu, mais en vain. C’est elle qui perd la première partie.

Baptiste prend un post-it collé devant elle, il indique « culotte »

• — Ça commence fort, remarque Thomas, mais comment fait-on : ce n’est pas un vêtement visible ?

Après palabre, nous convenons que le perdant lance le dé pour désigner le décideur qui choisit un vêtement ou un gage. Tous les post-it disparaissent. Baptiste désigné par le sort décide de lui retirer son pantalon. Elle doit venir se présenter à lui et lui demander gentiment. C’est ce que fait Estelle. Baptiste prend tout son temps pour faire descendre le vêtement le long de ses très jolies jambes, superbement galbées. Estelle se retrouve en string, ses cuisses sont longues et bien faites, ses fesses rondes et rebondies. Baptiste ne peut se retenir d’y faire aller et venir ses mains jusqu’à ce que Thomas le rappelle à l’ordre.

La partie suivante est perdue par Baptiste. Je suis désignée pour la sanction qui sera cool, je lui fais retirer son blazer. Hélas, c’est moi qui perds la partie suivante. Je lance le dé : 1. C’est Baptiste qui décide de me donner un gage. Il réfléchit un moment puis décide que je dois cacher le dé sur moi et que Thomas devra le retrouver les yeux bandés. On bande les yeux de Thomas avec un foulard et je coince le dé dans la ceinture de ma jupe.

Les yeux bandés, Thomas s’approche guidé par son frère, s’agenouille devant moi. Il commence par me tâter les chevilles, inspecte le tour du pied puis remonte le long de mes bas en faisant passer ses mains tout autour du mollet. Il remonte doucement avec ce même mouvement circulaire et arrive à la limite du bas. Il inspecte l’élastique au cas où j’y aurais mis le dé, puis il continue de remonter sur la peau nue. Ses mains s’attardent sur mes cuisses, je frissonne, puis elles remontent jusqu’à ma petite culotte. Un temps d’arrêt, une hésitation, une main se glisse dans l’échancrure de la jambe, il palpe ma toison, glisse entre mes cuisses. Son autre main vient en symétrie faire le même chemin. Il sent que je suis humide et en profite un peu. Ses mains fouillent délicatement mon intimité puis passent entre mes fesses. Je suis toute excitée mais je tente de garder mon calme. Les mains sortent de la culotte et continuent leur montée. Le dé sort alors de la ceinture et tombe à terre. Le dé est retrouvé, le gage est terminé.

Lorsqu’il retire son bandeau, nos regards se croisent qui en disent long sur notre complicité dans l’exécution de ce gage. C’est à moi de distribuer les cartes et je remarque que le roi de pique est un peu marqué et qu’il est possible de le reconnaître. On décide donc de réintégrer les rois et de retirer une carte au hasard que personne ne verra. Jusqu’à la fin, personne ne saura s’il a ou non la carte qui ne trouvera pas à se marier.

C’est une fois de plus moi qui perds en restant avec un 10 de carreau. Après vérification, la carte prélevée était bien un 10. Estelle choisit le caraco et c’est Baptiste qui va s’en charger. Il avance vers moi et me fait mettre debout. Ses mains s’engagent délicatement sous le tissu et le font remonter très doucement. Il passe derrière moi et me place face à son frère et Estelle afin qu’ils profitent du spectacle. Mes seins apparaissent, il les caresse tout en restant derrière moi puis il revient face à moi et ses lèvres viennent emprisonner un mamelon pendant que ses mains continuent de tirer le tissu vers le haut. Sa langue s’attarde sur le téton qui se dresse instantanément. Le tissu passe au-dessus de ma tête, me voilà seins nus.

Baptiste s’attarde encore et, à regret, je lui fais remarquer qu’il a seulement gagné le caraco et rien d’autre. Il redevient sage et retourne à sa place. Thomas fait remarquer à juste titre qu’il n’y a plus rien à boire. Baptiste approuve et opte pour une bière, Thomas préfère un whisky, Estelle hésite. Sans doute pour me donner du courage, je décide de faire comme Thomas, un whisky. Estelle décide de faire pareil et se charge du service. Lorsqu’elle est debout, dos tourné, même moi je ne peux détacher mes yeux de ses fesses. Ma copine est vraiment bien foutue.

Thomas perd la partie suivante et Estelle se charge de lui retirer sans ménagement son pantalon. On ne peut s’empêcher de se moquer de lui, car en slip avec le blazer, il a un look particulier et disons le pas très sexy. C’est ensuite Baptiste qui reste avec un as entre les mains. Estelle décide de lui donner un gage. Il faut croire que l’alcool lui donne de l’imagination car Baptiste va devoir récupérer un cheveu ou un poil, de chaque joueur et en faire une tresse. Il commence par Thomas et lui arrache un cheveu assez brutalement semble-t-il à entendre le hurlement de Thomas. Nouvel éclat de rire. Mais c’est notre tour, je lui propose donc une pince à épiler. Il s’approche de moi pince en main et me dit qu’il va prélever un poil de mon minou. Il relève ma jupe et baisse ma culotte de quelques centimètres. Sa main cherche un poil suffisamment long mais comme je suis assez soignée de ce côté là, il ne trouve que des poils courts. Il finit par en prélever un qui va rejoindre les cheveux de Thomas. Il demande alors à Estelle si ses poils sont aussi courts. Un peu moins dit-elle. Plus indiscret il lui fait écarter les cuisses et lui fait un petit massage du clitoris avant de prélever un poil de son fessier. Il a choisi la difficulté, car des cheveux auraient été plus faciles, il se montrera incapable de réaliser la tresse avec des poils aussi fins et courts. Gage non réalisé, on décide de lui en donner un autre.

Estelle suggère qu’on lui retire son pantalon et son caleçon, chacune notre vêtement. Un petit tirage au sort et elle retire le pantalon avec un peu plus de sensualité qu’avec Thomas. Manifestement, le gage précédent l’a émoustillée. Je viens ensuite débarrasser Baptiste de son caleçon sous lequel je sais déjà ce que je vais trouver. En effet, lorsque son sexe apparaît, Estelle ne peut s’empêcher de lancer un oh admiratif devant ce membre prêt à l’emploi. Après l’avoir débarrassé du tissu, je me penche pour lui faire une petite lèche qu’il aurait bien voulu voir prolongée, mais je me contente de lui dire "peut-être tout à l’heure" et je retourne m’asseoir.

L’ambiance a changé et les rires ne sont plus les mêmes, manifestement nous avons tous la même envie. Mais le jeu continue et Estelle perd la partie suivante. Baptiste va demander à Estelle de me retirer ma petite culotte avec les pieds. Elle réfléchit un moment puis me demande de m’allonger par terre. Elle relève ma jupe très haut puis s’assied en face de moi. Après plusieurs tentatives, ses orteils parviennent à se frayer un passage de chaque côté. Je soulève le bassin pour l’aider à ramener le tissu avec ses pieds sous les applaudissements de nos partenaires.

L’ambiance devient vraiment torride, est-il utile de continuer de jouer ? Personne n’ose proposer de passer à autre chose, mais tout le monde en a envie. Thomas va, à son tour, perdre son slip et rester en chemise et blazer. Estelle lui retire son caleçon et se montre plus compréhensive que moi en le prenant complètement en bouche et en faisant quelques va-et-vient. Il a trop chaud et en profite pour retirer son blazer.

De nouveau, je suis la perdante, Estelle va choisir de me faire retirer ma jupe par Thomas avec les dents, puis ensuite de lui retirer sa chemise, également avec la bouche. Çà fait deux gages en fait, mais nul ne pense à se plaindre, même pas moi. Ma jupe tient par un bouton qu’il serait impossible de retirer sans abîmer le tissu, je décide donc de le défaire seule avant de me présenter devant mon bourreau. Il reste à descendre la fermeture à glissière très fine. Je dois l’aider et relever le guide qu’il prend entre ses dents avant de descendre jusqu’à l’ouverture complète. La robe tombe, je suis nue, il ne me reste que mes bas. Je dois maintenant exécuter l’autre partie du gage. Impossible de saisir le bouton de sa chemise de face. Je dois déloger Estelle, venir à ses côtés et me pencher sur lui. Les deux boutons du haut, ne me posent pas trop de problème, mais dès que j’arrive au 3ème bouton, son sexe touche mes seins ou mes seins touchent son sexe, je ne sais plus. Dans une autre position, il est sur ma joue. Si je tourne la tête de quelques centimètres, il est à hauteur de mes lèvres. Les mains de Thomas caressent mon dos nu, ça me trouble et je n’arrive pas défaire ce fichu bouton.

Je risque un autre gage si je ne parviens pas à mes fins. Je décide de l’arracher avec les dents, mais Estelle me dit que ce n’est pas du jeu. Il en reste un au niveau de son sexe. Je reviens face à lui, son sexe est sous ma gorge, il me caresse les seins pendant que mes dents tentent de le libérer du dernier bouton. Enfin, il cède, il me faut ensuite tirer le tissu pour l’en débarrasser totalement. Quelle idée me prend, je ne sais pas, toujours est-il que je mène une attaque frontale et je m’installe sur ses genoux, face à lui pour saisir le tissu avec mes dents. Je dois commettre l’imprudence de me soulever afin d’atteindre son épaule avec mes dents, imprudence fatale qu’il exploite immédiatement en s’introduisant en moi sous le regard médusé de Baptiste.

La pénétration ne dure que quelques secondes car il faut que je termine mon gage. Je parviens enfin à faire tomber le tissu. Il est nu lui aussi. Seule Estelle est encore en tenue presque correcte avec son chemisier son soutien-gorge et son string. Baptiste propose que nous fassions la dernière partie qui, bien que perdue par Thomas, se termine par le déshabillage intégral d’Estelle par les deux garçons réunis. Ses seins sont un peu plus lourds que les miens mais ils sont fermes. Thomas résume en disant qu’ils ont avec eux les deux plus belles femmes du monde. Exagération bien sûr, mais un compliment est toujours agréable. Estelle est nue entre les deux garçons qui l’embrassent partout. Instinctivement elle a saisi leur sexe. Je suis seule mais amusée de voir ma copine œuvrer. À la demande de Baptiste, elle se penche pour le prendre en bouche, Thomas s’introduit immédiatement en elle et commence un lent va-et-vient. Estelle émet des cris à chaque poussée de Thomas et s’applique à sucer Baptiste qui me fait signe de venir les rejoindre. Il me dit qu’il a toujours eu comme fantasme d’être sucé par deux femmes à la fois. Je m’exécute et son sexe passe d’une bouche à l’autre pour son plus grand plaisir.

Après quelques va-et-vient avec Estelle, Thomas décide alors de changer de partenaire, il passe derrière moi et s’introduit en moi. J’en ai très envie et mes fesses viennent à la rencontre de son sexe. Je suis trempée, je jouis. Me voyant prise par son frère, Baptiste se libère délicatement des deux bouches suceuses et saisit Estelle qu’il allonge sur la table de la salle à manger. Les jambes sur les épaules de son amant, Estelle subit les coups de boutoirs avec des cris de plus en plus forts au point que je dois lui demander de baisser le ton pour ne pas être entendus par nos voisins. Thomas, quant à lui, me besogne toujours doucement. Je le sens se retirer de moi et je sens couler un liquide chaud sur mon dos. Il est déçu mais je le rassure, après autant d’excitations c’est un peu normal. Baptiste, lui, tient le coup et rend ma copine complètement folle. Elle hurle de plaisir et finit même par crier grâce. Baptiste se retire et vient immédiatement vers moi. Je comprends qu’il veut que je lui redonne un peu d’ardeur avec ma bouche, il ne faut que quelques secondes pour que son sexe reprenne toute sa superbe. Il me fait mettre les mains sur la table, juste à côté d’Estelle et s’introduit en moi délicatement par mon petit trou. Je ne peux retenir un petit cri de douleur. La vue de cette sodomie redonne de l’ardeur à Thomas qui, sexe en main, s’approche d’Estelle et la pénètre. Nous sommes réunis tous les quatre sur la table de la salle à manger à peine débarrassée. Je sens moi aussi mon plaisir monter et une grande chaleur, presque une brûlure dans le bas-ventre. J’ai un vrai orgasme. Baptiste se retire de moi et approche son sexe de la tête d’Estelle, son sperme jaillit sur son visage, elle en a plein les yeux, les cheveux. Elle passe son doigt pour récupérer la semence et porte son doigt à la bouche ce qui a pour effet d’exciter encore un peu plus Thomas qui, du coup, retrouve toute sa vigueur. Estelle connaît une nouvelle jouissance.

Baptiste, demande à Thomas de s’asseoir sur le canapé où il me conduit et me place afin que je m’empale sur son frère. Il se place ensuite derrière moi et s’introduit une nouvelle fois dans mon petit orifice. Je connais pour la première fois, la double pénétration. Ce n’est pas, aujourd’hui, mon meilleur souvenir car ma position n’est pas très confortable et Baptiste, sans doute assez mal à l’aise également, est un peu brutal et me fait mal.

Les garçons tentent de se régler pour jouir ensemble dans ma bouche. Ils y parviennent à quelques secondes prés. J’ai du sperme plein la langue, plein la gorge. Baptiste me demande de tout avaler mais ça fait beaucoup et je dois vraiment me contrôler pour ne pas avoir de nausée au moment de déglutir. Repus, nous restons ainsi tous les quatre, nus, un verre à la main pendant environ une heure, puis nous prenons la décision d’aller nous coucher. La nuit est agitée, Estelle et moi finirons même par nous prendre au jeu pour combler les rares moments de faiblesse de nos partenaires. Nous nous endormons au petit matin et lorsque je me réveille, il est 10 heures. Thomas décide d’aller faire quelques courses afin que nous prenions un bon petit déjeuner réconfortant car nous espérons bien profiter de cette longue journée qui se présente à nous quatre.