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n° 10843Fiche technique40005 caractères40005
Temps de lecture estimé : 23 mn
03/10/06
Résumé:  Après avoir fait vivre un enfer à ma femme, j'avais beaucoup à me faire pardonner.
Critères:  fh couple couplus extracon extraoffre cocus uniforme poilu(e)s amour voir exhib fellation cunnilingu fgode pénétratio fsodo
Auteur : Jean-Marie
Au plaisir de Sonia

Avec Sonia, nous formions un couple normal jusqu’au jour où j’ai eu ce stupide accident. Je roulais trop vite sur une petite route de campagne et j’ai fait cinq ou six tonneaux pour me retrouver au beau milieu d’un champ. On m’a conduit à l’hôpital, on m’a sauvé la vie mais, pour le reste…


Ça aurait pu être pire car j’ai été sur le point de rester paralysé ! Après pas mal de rééducation, j’arrive tant bien que mal à remarcher, en boitant un peu et sur de courtes distances, car je me fatigue très vite. Mais, le plus dramatique pour moi, depuis ce jour maudit, c’est que je ne bande plus, je n’ai plus la moindre petite érection. C’est un drame pour moi, un calvaire et, vis-à-vis des autres, une véritable honte ! Je n’ai pas spécialement envie de continuer à vivre, n’étant même plus un homme. Je me vois comme un castrat.


Les médecins sont circonspects. Ils se veulent rassurants, ils préfèrent dire que rien n’est définitif, que ça pourrait revenir un jour. Mais, sept ans plus tard, il n’y a pas la moindre petite évolution de ce côté-là. Ils disaient aussi, à une certaine époque, que je finirais un jour par courir comme un lapin ! En fait de courir, je me contente de claudiquer. Ils disent un peu tout et n’importe quoi. Je pense qu’ils ont surtout fait tout leur possible pour essayer de calmer mes angoisses, car, les deux années qui suivirent l’accident, je fis dépression sur dépression. J’étais très souvent au bord du suicide et je faisais vivre un enfer à ma femme.


Sonia est gendarmette, ou plutôt gendarme comme elle le dit, car elle déteste ce terme de gendarmette qu’elle considère comme dévalorisant. C’est une femme de tête, une sportive, une volontaire qui sait toujours ce qu’elle veut et qui fait en sorte d’atteindre ses objectifs. Elle n’est pas spécialement féminine, c’est même un vrai garçon manqué.


Nous nous sommes rencontrés à un bal du 14 juillet. C’est elle qui m’a dragué, elle m’a proposé de danser avec elle. Elle était en service, cela ne se fait pas de flirter avec un civil ! Nous nous sommes frottés dans le noir sur un slow très appuyé, avant de nous éclipser comme des voleurs entre les baraquements de la fête foraine pour faire l’amour dans l’urgence.


Je n’avais jamais rêvé de me faire une petite fliquette, et encore moins de passer ma vie avec une femme en uniforme, mais cette rencontre a été pour moi explosive, une vraie révélation, un véritable feu d’artifice : je venais, en quelques heures, de trouver enfin chaussure à mon pied. Six mois plus tard, nous étions mariés.


Sonia aime les hommes virils et les rapports un peu brusques. À l’époque, j’étais vraiment viril, résistant et plutôt bien monté. Et, comme ma belle m’inspirait, je bandais en général au quart de tour. J’adorais par exemple la prendre à la hussarde, dans sa tenue réglementaire, quand elle rentrait le soir du boulot. Nous baisions souvent dans l’urgence, parfois à même la table de la cuisine ; nous cassions beaucoup de vaisselle. Nous faisions beaucoup l’amour, presque tous les jours, et même après de dix ans de mariage cela n’avait pas beaucoup changé. Malgré un physique assez ingrat, Sonia a toujours été ce qu’on appelle un bon coup. Question beauté, j’aurais sans doute pu trouver cent fois mieux, car elle n’a vraiment rien d’extraordinaire mais, question bagatelle, c’était vraiment le top du top !


Je lui ai toujours été fidèle et je pense qu’elle aussi, de son côté, ne m’a jamais vraiment trompé. Elle m’apprit, beaucoup plus tard, qu’il fut une époque où un de ses collègues la poursuivait de ses assiduités. Elle avait fini par y succomber et ils s’étaient bécotés plusieurs fois dans les vestiaires, mais ça s’était arrêté là et le gendarme dragueur avait été muté ailleurs. Je lui avais pardonné cette incartade. Après tout, il m’était bien arrivé à moi aussi de pincer les fesses d’une fille facile dans un bistrot !


Le plus grand désespoir de mon épouse, c’est probablement celui de n’avoir jamais eu d’enfant. Une malformation congénitale l’empêchait d’en avoir. Certes, nous aurions pu en adopter, nous avions même entamé des démarches en ce sens. Pourquoi est-ce que ça ne s’est pas fait ? Nous n’étions peut-être pas assez tenaces, mais d’un autre côté nous étions déjà très heureux tous les deux.


Au moment de l’accident, nous faisions encore l’amour quatre ou cinq fois par semaine, une fréquence très largement au-dessus de la moyenne. Pour ma belle, c’était un besoin vital de se faire du bien et, pour moi, un réel plaisir de satisfaire une femme aussi insatiable. Nous avions évidemment tout essayé, tout ce qu’il est possible de faire à deux, au sein d’un couple. Sonia ne détestait pas la sodomie, bien au contraire : c’est souvent elle qui la proposait, et ces séances d’enculage nous procuraient un bonheur intense, elles sublimaient nos rapports amoureux. Quant au plaisir de se faire attacher, ligoter, menotter ou défoncer par une matraque, il était totalement réciproque. Son métier était souvent source d’inspiration pour nos étreintes amoureuses, le mien presque tout autant (j’étais chauffeur routier). Inutile de préciser que nos ébats n’étaient pas cantonnés à la chambre : ils parcouraient la campagne et s’insinuaient dans les lieux publics.


*

* *


J’ai vraiment honte de moi quand je repense à tout ce que je lui ai fait subir pendant ces deux longues années. Suite à mon accident, nous ne faisions plus du tout l’amour, mais, de plus, je ne prenais même plus la peine de m’occuper d’elle, je la laissais totalement à l’abandon. J’avais arrêté de travailler et je passais mes journées à la maison à broyer du noir. Lorsqu’elle rentrait du travail, je lui faisais la vie en m’apitoyant sans arrêt sur mon triste sort. J’étais un bon à rien, un pauvre type, un inutile… En témoignaient les bouteilles vides que je laissais traîner un peu partout et que j’avais de plus l’indécence de lui laisser ramasser.


Nos disputes étaient de plus en plus fréquentes et aussi de plus en plus violentes. Tous les prétextes étaient bons pour cette violence conjugale. Lorsqu’elle partait le matin, je la traitais de tous les noms, de vicieuse, de salope, de putain. Par qui allait-elle encore se faire baiser ? Elle avait le cul en feu et ses collègues devaient bien rigoler en pensant à ce con de mari impuissant !



Elle partait généralement en claquant la porte.


Je n’avais plus de goût à rien, je ne voulais plus jamais rien faire. Ses jours de congé étaient encore plus moroses que le restant de la semaine. Nous restions assis dans cet espace restreint, comme deux étrangers, devant la télé, sans nous parler, en attendant la prochaine dispute.


Plusieurs fois, je l’ai trouvée en train de sangloter, toute seule dans la chambre. Je n’ai rien dit, j’étais l’unique cause de son malheur. De toute façon, qu’est-ce qu’elle pourrait bien faire d’un mari sans couille, d’un mari qui ne bandait plus, qui ne pourrait plus jamais bander ? Souvent, j’allais dormir dans le salon. Je préférais faire lit à part.


Au bout de deux ans, elle était sur le point de demander le divorce. Les week-ends où elle n’était pas de permanence, elle préférait les passer chez ses parents. De plus en plus souvent, elle s’absentait de la bicoque.


C’est sa mère qui m’a alerté. Elle m’a téléphoné un beau matin pour me dire que Sonia n’en pouvait plus, que c’était trop pour elle, qu’elle n’arrêtait pas de pleurer et que, s’il me restait ne serait-ce qu’un peu de sentiment envers elle, il était plus que temps de le manifester. Le soir même, je suis allé rejoindre ma femme dans la chambre. Dans la vie, il ne me restait plus que Sonia, et si je la perdais il ne me restait plus rien. Quelques jours auparavant, j’aurais dit : « Qu’importe ! Qu’elle aille donc se faire foutre ! » et je me serais saoulé, mais là… c’était ma dernière chance… Pour que sa mère appelle, il fallait quand même que ce soit très grave !



Elle avait déjà les larmes aux yeux.



Elle finit par consentir à se blottir contre moi, le corps secoué par des sanglots sans fin. Elle me dit tout bas :



Je l’ai serrée longuement en lui caressant la joue. Cela faisait des mois que cela ne nous était pas arrivé, des mois sans le moindre instant de tendresse. Il n’y avait plus de câlins, plus d’attention, il n’y avait plus que moi et mon dégoût pour moi-même. Je m’apercevais soudain à quel point j’avais été un monstre, un être froid et égoïste.


Les larmes roulaient sur ses joues, ses sanglots n’en finissaient plus. Je me suis glissé dans les draps, tout contre elle, et je l’ai serrée très fort dans mes bras. Je l’ai tenue comme ça toute la nuit et elle a fini par s’endormir… Moi, je pleurais comme un gamin en la regardant dormir, conscient de tout le mal que j’avais pu lui faire, conscient que je l’aimais plus que tout et que j’avais bien failli la perdre.


Au petit matin, elle s’est réveillée dans mes bras et je l’ai embrassée sur les joues, sur la bouche, avec empressement, un peu comme au premier jour.

Curieusement, malgré l’heure tardive, ce jour-là elle n’a pas insisté pour se lever, elle qui était pourtant d’ordinaire toujours très ponctuelle à son travail. Je l’embrassais partout, sur la bouche, sur les seins, sur tout le corps, en descendant lentement vers son puits d’amour. Un concert de baisers mélangés de caresses : voilà ce à quoi elle avait droit ce matin-là. Ne pouvant mieux faire, je lui ai dévoré l’abricot comme jamais je ne l’avais fait jusqu’alors, en y mettant toute mon attention, en essayant d’être vigilant à la moindre de ses sensations.


Une première vague de jouissance l’a emportée, mais je continuais encore à lui manger la chatte tandis qu’elle se tordait en tous sens sur le lit. Je la dévorais désormais à pleine bouche, m’acharnant comme un fou sur son fruit bien juteux. Une seconde vague la terrassa, suivie immédiatement d’une troisième qui la laissa complètement molle :



Elle ne m’avait encore jamais dit ça !


Elle reprit lentement ses esprits jusqu’à ce qu’elle soit enfin capable d’attraper le combiné pour téléphoner à l’adjudant :



En douze ans de mariage, je ne l’avais jamais vue s’absenter une seule fois. Sonia n’était pas du genre à se faire porter pâle sous des prétextes futiles. Même grippée, la goutte au nez, elle allait au turbin, quitte à filer sa crève à l’ensemble du commissariat. Il fallait donc que l’événement soit de taille ! Et il l’était effectivement, car il scellait notre réconciliation.


Les semaines qui suivirent notre nouvelle union, je lui fis l’amour tous les jours et parfois plusieurs fois par jour. Mon sexe désespérément mort, je le remplaçais astucieusement par mes doigts, par ma bouche et par des tonnes d’objets sexuels qui sommeillaient jusque-là dans l’armoire. Sonia reprenait à vue d’œil du poil de la bête. Elle redevenait rapidement la femme heureuse et épanouie qu’elle n’aurait jamais dû cesser d’être. Je rivalisais d’ingéniosité pour lui concocter des scénarios inventifs et innovants avec toujours comme objectif celui de la faire jouir comme une folle.


Néanmoins, quelque chose manquait à mon bonheur. Sonia a toujours été beaucoup plus vaginale que clitoridienne, elle a toujours apprécié les chevauchées sauvages et, malgré toute ma dextérité dans l’utilisation des godemichés et autres vibromasseurs, il me semblait qu’elle aurait pu jouir beaucoup plus encore. La force d’un coup de reins, une profonde saillie dans son vagin, c’était ça qui lui manquait, une profusion de grands coups de bite. Elle disait pourtant que ça allait comme ça, qu’elle était très heureuse et qu’il ne lui manquait vraiment rien. Mais je savais, pour l’avoir vécu, à quel point elle se trompait, elle qui avait été si friande de mes puissants coups de reins, du temps où j’en étais encore capable.


*

* *


L’idée d’offrir ma femme à un autre homme mit du temps à germer dans ma tête. Il faut dire que j’ai toujours été incroyablement jaloux. Le simple fait de voir mon épouse danser avec un autre me mettait souvent dans tous mes états… Alors, l’idée que quelqu’un puisse profiter de ses sens et partager du plaisir avec elle m’était tout simplement insupportable.


Tout d’abord, il était exclu que ce soit quelqu’un que nous connaissions, et il était hors de question qu’ils se revoient par la suite. Peut-être alors un inconnu rencontré sur le net ? Rapports protégés obligatoires, cela s’entend ! Et puis, je tenais à assister aux ébats, mais sans participer, pour bien contrôler la situation. Je m’imaginais même en train de les filmer afin que l’on puisse en rediscuter tous les deux par la suite. Toutes ces considérations orientèrent bien évidemment mes recherches. Je mis une petite annonce sur Internet, du genre : « Couple quadra, recherche homme très viril pour relation d’un soir avec madame. Madame est très exigeante sur les performances sexuelles de son partenaire, monsieur se contente de regarder et souhaite pouvoir filmer. Rapports protégés exigés. Hommes velus, barbus ou moustachus appréciés, une petite préférence pour les hommes d’âge mûr et d’expérience. Nous ne pouvons pas recevoir mais nous pouvons par contre nous déplacer. »


J’eus rapidement plusieurs réponses, avant même de commencer à en parler à Sonia. Certains correspondants me réclamaient déjà des photos, parce que je n’en avais pas publié avec l’annonce.


Un soir que je venais de lui faire l’amour tendrement, je dis à ma compagne :



Je lui tends quelques feuillets imprimés récemment.



Et de lui expliquer ce que je fais sur internet depuis quelque temps et l’idée qui me trotte dans la tête. Elle est stupéfaite. Elle parcourt les messages, sans trop y croire.



Vingt-quatre heures plus tard, de retour du boulot, je la vois revenir vers moi :



Et nous voici tous les deux sur la banquette du salon, à nous exciter autour du téléphone. Je compose le numéro du portable. Une fois, deux fois, trois fois, un homme à la voix très grave nous répond :



Le temps de me connecter sur ma boîte mail et son message arrive déjà. C’est un grand brun, assez costaud, un peu chauve mais avec de belles bacchantes. J’en choisis une de mon épouse qui la met, je trouve, plutôt à son avantage, ainsi qu’une de moi, et les lui retourne de suite.



Ma femme est un peu déconfite, car parfaitement consciente de sa déception. Il s’attendait à mieux, il a été déçu par la photo. Elle m’arrache le combiné des mains :



Devant son agressivité, son correspondant ne trouve rien à répondre. Du coup elle raccroche, furax :



Je reprends sa fiche.



La voici qui rentre dans le jeu. Je reconnais bien là son caractère de fonceuse.



Elle les désigne sur l’écran. Sur l’une d’entre elles, ma belle a les yeux complètement révulsés et un gros godemiché profondément fiché dans sa chatte. Sur une autre, elle tend ses fesses à la caméra. Le temps que les courriels arrivent… Le Clément en question est un bonhomme plutôt rondouillard, bedonnant, avec un torse incroyablement velu. Sur la photo, il bande. Son sexe est d’une taille honorable, sans être pour autant extraordinaire. Tandis que ma femme détaille notre nouvel ami, je l’entends à l’autre bout du fil qui complimente mon épouse. Elle n’en peut plus de ses louanges, elle se trémousse sur la banquette comme une jeunette.



Et Sonia de raccrocher. Je sens qu’elle est toute fébrile et tout excitée. Son excitation fait vraiment plaisir à voir, même si elle m’inquiète un peu. Ce qui me rassure, par contre, c’est que je ne la vois pas finir sa vie avec un type comme Clément. Il a l’air un peu primate et lourdingue. Sur la photo, il ressemble à un gros singe avec ses grands bras qui pendouillent tristement le long de son corps.


La fin de semaine approchant, ma femme devient vraiment nerveuse. Je ne peux bientôt plus la tenir. La perspective de cette rencontre la fait quand même un peu flipper. Elle me demande si c’est bien raisonnable d’aller comme ça chez cet inconnu. J’essaie de la rassurer en lui rappelant que c’est quand même elle qui m’a dit que, au son de sa voix, il paraissait vraiment très gentil.



C’est moi qui téléphone à Clément samedi, en fin de soirée, pour confirmer :



Ensuite, je vais rejoindre mon épouse dans le lit conjugal.



Pour lui prouver tout mon amour, je descends entre ses cuisses et entreprends de la lécher. Sous la caresse, elle se cambre, écarte les jambes et m’offre sa corolle. Je broute son délicieux minou, elle adore ça. La jouissance qui en résulte diminue la pression et lui permet de s’endormir rapidement dans mes bras.


Le lendemain, durant tout le voyage, elle est particulièrement volubile. Clément par-ci, Clément par-là, comment cela va-t-il se passer ? Est-ce qu’il sera à la hauteur ? Est-ce qu’il va la trouver à son goût ? Est-ce que j’ai bien pensé à prendre la petite caméra numérique ? Et la boîte de capotes, où est-elle ?


À l’approche du village de notre hôte, elle me demande de m’arrêter dans un petit sous-bois. Elle fait pipi puis, trouvant sa culotte un peu sale, elle décide carrément de l’enlever. Elle se parfume partout, sur la chatte, sous les bras, derrière les oreilles et dans le cou, puis elle réajuste son body et arrange ses cheveux dans le rétroviseur. Nous repartons et les derniers kilomètres se passent dans un silence très religieux. Parvenus chez Clément, nous nous garons près de la maison d’en face et, avant de descendre de voiture, nous partageons un long baiser très complice. Cette fois-ci, ça y est, nous y sommes, nous descendons de voiture et sonnons à la porte du petit pavillon.


Notre hôte est jovial et plein de bonhomie. Il nous accueille avec un large sourire. Il s’efface pour nous laisser passer, après avoir complimenté ma femme sur sa tenue. Je lui tends une bouteille de pétillant qu’il saisit sans autre commentaire.



Nous sommes tous les trois un peu gênés, devant nos verres de vin. Je crois qu’aucun d’entre nous n’a vraiment l’habitude de ce genre de situation. Ma femme vide son verre et il lui en ressert immédiatement un autre. Il ne lui en faut pas beaucoup pour être un peu pompette, mais je crois qu’il lui faut quand même tout ça pour lui donner un peu de courage.


C’est alors qu’elle se lève et va carrément s’asseoir sur les genoux de Clément qui n’en croit pas ses yeux. Moi non plus d’ailleurs !



Du coup, notre hôte s’enhardit et je vois sa grosse paluche glisser le long de la cuisse de mon épouse et s’insinuer sous sa jupe.



Tout en le laissant tripoter sa chatoune, elle entreprend de dégrafer les boutons de la chemise épaisse du gros bonhomme. Je vois sa main qui glisse entre les poils longs et bouclés. Je sais qu’elle adore cette sensation que lui procurent les poitrines très velues, la mienne l’est d’ailleurs tout autant. De son côté, Clément a carrément troussé la jupe et je vois ses gros doigts qui farfouillent la chatte de mon épouse et essaient de la percer. Elle se penche alors vers lui et l’embrasse tout d’un coup à pleine bouche en glissant sa main fiévreusement le long de son ventre.


Je suis fasciné par la facilité qu’a ma femme à détendre l’atmosphère. Bientôt, elle se relève, s’agenouille devant notre hôte et entreprend de dégrafer son pantalon. C’est avec dextérité qu’elle sort un sexe déjà dur et dressé. Elle se tourne vers moi : je n’en perds pas une miette. D’un petit signe de la tête, je l’invite à continuer.



Elle lui demande de se relever, descend son pantalon et son slip à ses pieds, puis entreprend de lécher les grosses bourses bien gonflées. Tandis que sa langue pointue parcourt les grosses couilles de son amant, elle tourne les yeux vers moi, comme si elle attendait que je lui donne le feu vert pour emboucher la bite de notre ami. Son regard vitreux est plein de concupiscence.



Sans arrêter une seconde de me regarder, la voici qui embouche effectivement cette trique, elle l’avale bien à fond et la prend tout entière dans sa bouche, au risque de s’en étouffer.


Elle pompe désormais notre homme, comme si c’était de moi qu’il s’agissait, avec un appétit féroce et un regard plein de sous-entendus. Clément, de son côté, est aux anges. Il la regarde fièrement en train de lui pomper le dard et lui retient un peu la tête comme s’il lui forçait les lèvres. Elle est tellement excitée qu’elle mouille de la bouche, je vois sa bave qui coule le long du sexe de son amant. Quelle suceuse, cette Sonia ! Je suis tellement subjugué que j’en ai oublié la caméra. Je la sors de mon sac et commence à filmer ma belle pompeuse d’épouse. Mais celle-ci a d’autres idées en tête. Elle se relève et demande à Clément de s’écarter. Puis, un pied par terre et l’autre sur le fauteuil, penchée en avant vers le dossier, elle lui présente sa croupe. Il est temps, selon elle, de passer aux choses sérieuses.



Clément, qui vient d’enfiler maladroitement un préservatif, se tourne vers moi comme s’il réclamait mon assentiment pour pénétrer ma belle.



Il trousse la jupe avec ses grosses paluches et porte sa queue à l’entrée du sexe de mon épouse. Sentant le dard à l’entrée de sa grotte, celle-ci pousse ses fesses en arrière et s’embroche avidement sur le vit. Nous nous regardons les yeux dans les yeux, elle et moi. Elle semble me dire : « Regarde comme c’est bon, regarde comme j’aime ça, me faire trouer, j’en avais vraiment besoin de cette grosse trique en moi. » Puis elle se tourne vers son amant :



Il n’en faut pas plus à notre homme pour qu’il se déchaîne entre les cuisses de ma femme. Il la défonce en ahanant et en lui tenant la croupe. Il a tout d’un grand singe primaire. Mais Sonia aime ça, elle aime se faire saillir avec force et elle y prend manifestement beaucoup de plaisir.


N’étant pas très à l’aise, ils décident de poursuivre sur le tapis, Sonia à genoux, penchée sur la table basse. Notre homme entre à nouveau en elle. J’essaie de filmer sa queue qui va-et-vient entre les cuisses de ma moitié, mais ce n’est pas toujours évident et je suis mal à l’aise. Sonia me réclame, je vais vers elle, elle m’embrasse à pleine bouche :



À ses yeux révulsés, je comprends que la jouissance n’est pour elle plus très loin. Elle gémit :



Clément accélère la cadence. Elle n’en peut plus, elle jouit. Notre homme la bourre sans relâche, toujours avec plus de force, il se déchaîne contre ses fesses, et elle re-jouit, elle re-re-jouit, elle n’est plus que jouissance, elle bave sur la table jusqu’à ce qu’il s’effondre sur elle. Elle essaie de se dégager mais ce gros plein de soupe est vraiment trop lourd.



Nos deux amants se relèvent. Ma femme vient s’asseoir sur mes genoux et m’embrasse à pleine bouche comme pour me remercier du bon moment que je viens de lui faire vivre. Je la sens très chatte et amoureuse.



Celui-ci est en train d’enlever maladroitement le préservatif tout gluant. Son sexe brille, luisant de sperme.



Quand notre homme revient, il s’est réajusté. Il me confie :



Nous buvons nos verres, affalés sur le canapé, comme deux vieux potes.


Sonia revient de sous la douche. Elle est entièrement nue sous une petite serviette qui lui couvre à peine la poitrine. Je n’en crois pas mes yeux, elle qui est d’ordinaire si pudique devant les étrangers. Elle tourne autour de nous et dénoue sa serviette. Elle est complètement nue dans le petit salon.



Elle les prend dans ses doigts et les titille devant lui qui n’en perd pas une miette. Mon épouse est très fière de sa petite poitrine en forme de dôme. C’est la partie la plus belle de son anatomie, elle le sait et elle en joue. Elle s’assoit sur le canapé entre nous. Je lui saisis un téton et l’étire longuement. Elle se mord les lèvres, je sais qu’elle adore ça. J’invite Clément à faire de même de l’autre côté. Puis nous nous penchons pour les lui téter. Elle ne déteste pas qu’on les lui mordille et même qu’on lui fasse un peu mal. Elle a vraiment l’air très excitée. Au comble de l’excitation, elle cherche la bouche de Clément et lui roule à nouveau une pelle baveuse. Je ne suis pas jaloux, mais quand même ! D’autant plus que ce sagouin en profite pour glisser encore ses doigts entre ses cuisses. Mais elle revient vers moi, me prend par le cou et se fait chatte :



Stupéfait par tant d’empressement, je ne peux que répondre :



Celui-ci fouille toujours vicieusement l’entrecuisse poilu de mon épouse. Il me regarde, interrogatif, comme s’il s’attendait à un refus de ma part.



Ma femme éclate de rire.



Je la vois se pencher vers la braguette de notre homme et emboucher sans rechigner le membre encore visqueux de sa dernière jouissance.



Sonia est à nouveau entre les cuisses de sa victime et je la vois distinctement avaler son gros vit. Bon dieu, ce qu’elle aime ça, ça fait plaisir à voir. Le savoir-faire de mon épouse fait que notre homme est tendu à l’extrême. Elle lui enfile prestement un préservatif puis, le saisissant doucement par la queue, elle l’entraîne vers la chambre à coucher. Elle s’allonge sur le lit et lui demande de se déshabiller entièrement avant de la saillir.



Je le vois s’approcher, avec sa grosse bedaine, entre les cuisses ouvertes de mon épouse. Il saisit son membre bien raide et le guide avec dextérité vers la grotte secrète de ma moitié. Puis il l’embroche d’un puissant coup de reins et entreprend de la labourer sans plus attendre. Sonia se martyrise les seins en regardant cet impressionnant amant en train de la saillir. Elle le regarde droit dans les yeux et l’encourage à aller plus fort. De mon côté, caméra à la main, je ne perds pas une miette de ce spectacle époustouflant… Cela dure un long moment. Il l’embroche comme une bête en ahanant comme un vieux bouc. Elle, de son côté, gémit à chaque coup de boutoir. Elle en veut vraiment, la bougresse ! Il accélère encore la cadence. Les yeux vitreux de ma femme m’annoncent qu’elle va bientôt partir, ce qu’elle ne tarde d’ailleurs pas à faire. Elle jouit à répétition tandis que lui continue à la défoncer par de puissants coups de bite. Je suis subjugué par tant de ferveur et regrette presque quand il termine sa besogne et qu’il s’effondre sur elle en beuglant comme un cerf.


Lorsqu’elle sent qu’il commence à débander, elle le repousse et arrache le préservatif qu’elle vide grassement sur sa poitrine avant d’étaler le sperme sur ses tétons. Elle se masse les seins avec : spectacle hallucinant, je n’en crois pas mes yeux. Je savais ma femme cochonne mais pas à ce point-là. Sont-ce les longs mois de privation qui l’ont rendue ainsi ?


Il est temps de partir. Nous nous en allons à contre-coeur. Sur le chemin du retour, nous nous arrêtons à nouveau dans le même petit sous-bois. Elle vient alors à califourchon sur moi pour m’embrasser avec passion.



Après ce premier round, nous avons maintes et maintes fois recommencé. Il y eut de bonnes expériences, de moins réussies aussi, mais jamais de véritables galères. Ma femme est heureuse ainsi et je suis heureux de la rendre heureuse.


Quant au père Clément, c’est l’un des rares que nous revoyons de temps en temps.


Quand nos entrevues se passent bien et qu’il me semble que notre hôte ne représente pas de danger particulier pour notre couple, il m’arrive d’encourager mon épouse à demander un autre rendez-vous, de façon à approfondir la relation.


Le père Clément, c’est devenu un habitué, c’est aussi un des rares qui sait que Sonia est gendarmette. Et pour cause, elle le surprit un jour en se pointant à son domicile en tenue de travail et c’est ainsi qu’elle lui fit l’amour (ce qui est, soit dit en passant, rigoureusement interdit par le règlement). Ce vieux veinard a même eu droit un jour à sa voie royale : une sodomie en bonne et due forme. Ce n’est pas le mauvais bougre, il n’a peut-être pas inventé la poudre, mais il baise bien Sonia et c’est un de ceux avec lequel elle prend le plus son pied !