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Temps de lecture estimé : 10 mn
03/10/06
Résumé:  Mes trois cousines et moi, nous retrouvons pour le mariage de Marie-France et nos relations prennent une nouvelle dimension.
Critères:  fffh jeunes cousins campagne fête noculotte conte
Auteur : Benoberna            Envoi mini-message

Série : Mes cousines... et moi !

Chapitre 05 / 08
Le mariage de Marie-France

Puis advint ce qui devait advenir, le groupe se dispersa, chacun suivant sa vie, son travail, mais nous restions en contact, nous retrouvant pour au moins une semaine tous les étés dans la maison familiale. Les grands parents avaient hélas disparu, et nos parents n’y venaient plus guère. Mais nous, les cousins, avions de tels bons souvenirs dans ces lieux, que nous faisions tout pour y aller, chacun ayant gardé sa clé.


Nous retrouvions la baignade et ses fantaisies, qui faisaient toujours de moi le jouet de ces dames. Nous allions cueillir des prunes, avec un escabeau de plus en plus bancal, qu’il convenait qu’un cousin costaud tienne de plus en plus fermement. Mes cousines, et nous avions alors plus de vingt ans, telles des gamines, grimpaient, sans culotte bien sûr, et refaisaient pipi du haut du prunier, me demandant toujours de bien les regarder. Etait-ce bien utile de me le demander ? Ces trois sexes, que mes doigts connaissaient par cœur, s’ouvraient pour m’offrir trois jolies cascades, que je ne me lassais pas de regarder.


Mais aujourd’hui, les poils retenaient les dernières gouttes qu’il me fallait essuyer avec mes doigts, lorsqu’elles redescendaient. Je le faisais volontiers, poussant même le zèle jusqu’à aller débusquer les dernières gouttes entre leurs lèvres gonflées. Voilà ce que nous aimions. Et le baquet, que nous avions retrouvé dans la soupente, qui fuyait pas mal, mais dans lequel le rituel était de se retrouver ensuite, de s’asperger de seaux d’eau et d’en ressortir avec un cousin dressé, comme avant. La différence avec autrefois, est qu’aujourd’hui mes cousines se disputent pour savoir laquelle va débarrasser le cousin de cette déformation. C’était souvent les trois mains qui s’agitaient autour de l’objet convoité, et l’explosion les ravissait toutes les trois.


Puis un jour, surprise, à laquelle en fait nous nous attendions un peu, un faire-part nous annonça le mariage de Marie France. Martine avait un copain qui la rejoindrait sur place et, Evelyne, seule comme moi, me proposa d’être son cavalier. Le mariage avait lieu à une demi-heure de notre repaire estival. Nous décidâmes donc, Martine, Evelyne et moi, de nous y retrouver pour nous préparer. Douche, toilette, certes tous ensemble, mais très sages. Nous allions marier celle qui, déjà, nous manquait, mais nous nous réjouissions de son bonheur. Je m’habillais dans la chambre, lorsque j’entendis Martine m’appeler :



Je retournai dans la salle de bains, et là, je n’en crûs pas mes yeux. Martine, devant moi, avait enfilé une paire de bas couleur chair, et un body qui faisait office de porte-jarretelles, et quel body, en microfibre transparent, avec de fines dentelles qui cachaient bien mal les poils de son sexe, et c’est là que je devais intervenir. Son body se fermait à l’entrejambe, à l’aide de petites pressions.



Elle était debout, et moi accroupi ; j’approchais mes mains de son entrejambe.



Elle posa donc ses fesses sur le rebord de la chaise.



Sans se faire prier elle les écarta, me dévoilant alors totalement sa pilosité. Je commençai à boutonner son body, effleurant sa toison, ce que bien sûr elle remarqua, mais sans rien dire. Je la regardai et lui dit le plus innocemment possible :



Elle posa alors son talon sur la chaise, ce qui m’offrit, en gros plan, une vue totale sur son sexe. Je glissais mon majeur sous son body, et à l’aide de mon pouce, refermais les boutons pression, mon doigt directement en contact avec son sexe. Je connaissais bien et ce contact et ce sexe, mais cela me fit comme un électrochoc, c’était doux et chaud à la fois. Elle sentit mon trouble, et par pure provocation sans doute, elle avança subrepticement son bassin, accentuant ainsi le toucher de mon majeur sur son sexe. Tout en continuant à boutonner son body, j’exerçais de petits mouvements avec mon doigt. Le dernier bouton fermé, je le retirais à grand regret et je le portais alors vers mes narines. Il était mouillé, et sentait bon ce mélange d’odeur si particulier de l’intimité de mes cousines, que je connaissais si bien. Martine me demanda :



Mais elle connaissait la réponse.



Elle se contenta de me sourire mais je lus dans ses pensées que, comme moi, comme nous, elle regrettait déjà ce qui semblait appelé à devenir un souvenir que nous seuls, les quatre cousins, partagerions. Evelyne apparut disant :



Nous étions prêts, nous allions donc aller marier Marie-France. Galant, mais avec l’arrière pensée que vous devinez, j’ouvris la porte arrière à Martine qui, s’asseyant, me demanda de vérifier que les pressions de son body n’avaient pas lâché. À l’œil tout paraissait normal, mais j’avançai ma main pour vérifier que rien n’avait lâché, glissant un doigt comme je l’avais fait plus tôt. Tout était parfait.



Puis j’ouvris la porte de ma cavalière, qui n’avait aucun souci avec son body, ni avec sa culotte, car je constatais, puisqu’elle me le montrait, relevant au plus haut sa jupe, que j’avais une vue totale sur son sexe, déjà légèrement ouvert. Puis je m’installais au volant, demandant à Evelyne, si elle voulait que je regarde la route, de recouvrir ce qu’elle exposait ainsi. Un doigt insinué en elle, et prestement présenté à mon nez puis à ma bouche :



Et elle retrouva une présentation plus décente.


Quelle belle journée, et quelle émotion. Marie-France était mariée depuis quelques heures et nous faisions la fête, buvant, mangeant et dansant. Marie France vint me chercher pour un slow :



Elle glissa sa main dans ma poche :



Me voici donc sous la table, m’approchant de la mariée qui, assise sur l’extrême bord de sa chaise, me présente des jambes ouvertes au maximum, et un sexe totalement épilé. Quelle surprise ! moi qui la connaissais très poilue, à tel point qu’il fallait écarter les poils pour voir sa fente. Quelle surprise, mais quelle agréable surprise ! Et quelle vue ! Des bas, des jarretelles, et un bel abricot fendu, déjà juteux ! J’entendais la mariée interdisant à tous de me regarder, et pour cause ; elle attendait mes doigts. Je tendis la main mais me ravisai au dernier moment. Et j’approchai mon visage, langue tendue, léchant enfin ce sexe aimé, de bas en haut, une fois, deux fois, trois fois, tempêtant de n’avoir pas la langue plus longue pour entrer plus profondément en elle. Je savourais d’autant plus cet instant que c’était la première, et que je pensais aussi être la dernière fois que cette occasion m’était offerte. Heureusement que j’avais sa culotte pour m’essuyer, car elle coulait telle une fontaine. Je ne l’avais jamais connue ainsi ; sûrement le plaisir de l’interdit, à côté de son mari qui ne se doutait de rien. Mais j’étais là pour récupérer la jarretière. Et je ressortis de sous la table, doublement triomphant, la jarretière à la main et un goût exquis à la bouche. À la prochaine danse, je courus chercher la mariée :



Elle me regarda avec de grands yeux surpris, mais cette attitude n’était-elle pas feinte ?


C’est ma langue, cousine, qui a écarté tes lèvres, qui a bu ton jus, et qui a beaucoup regretté de n’être pas plus longue pour te fouiller, comme ce que j’ai vu l’aurait mérité.



Elle me fit alors une grosse bise sur la joue, plongea sa main dans ma poche, et se dirigea vers les toilettes pour éponger tout ce que je n’avais pu lécher, et recouvrir le fruit qui me serait vraisemblablement désormais défendu.


Où donc était passée ma cavalière ?



Je lui racontai alors, et avec tous les détails, ce qui s’était effectivement passé sous la table puisque, depuis toujours, nous ne nous cachions rien.


Martine, de son côté, m’approcha dès que son copain la lâcha deux minutes, et vint également aux nouvelles. Elle avait parfaitement compris, elle aussi, qu’il s’était passé quelque chose sous la table, en plus de la recherche de la jarretière.



Joignant le geste à la parole, elle se baissa pour rattacher sa chaussure, tournant le dos à la fête et n’ayant que moi en face, elle ouvrit largement ses jambes, feignant de perdre l’équilibre. Ouah ! quelle vue ! Ce body dégrafé, ces poils humides, ce sexe ouvert ; c’était certes le mariage de Marie France, mais aussi ma fête à moi.



Elle avait expliqué à la mariée qu’elle avait un petit problème de sous-vêtement à résoudre, et celle-ci lui avait indiqué sa chambre nuptiale, au premier étage de l’hôtel où nous nous trouvions.



Quelques minutes seulement s’écoulèrent avant l’arrivée de la sinistrée du body. Elle se laissa tomber sur le dos, sur le grand lit, releva très haut sa jupe, écarta ses jambes et me dit :



J’avais compris. Elle attendait que je lui prodigue les soins que je lui avais raconté avoir pratiqué sur la mariée. Je m’agenouillai donc au pied du lit, écartai de la main les poils, et plantai ma langue dans son sexe. Je crus qu’elle avait une violente douleur, tant sa réaction fut vive.



Mais nous avions peu de temps. Je m’appliquai donc à sucer les poils humides, à lécher aussi profondément que possible, et je finis par arriver à ce qu’elle attendait et redoutait à la fois, son clitoris. Je le fis rouler du bout de ma langue, tant et si bien qu’elle atteignit, à une vitesse surprenante, un prodigieux orgasme qui la secoua des pieds à la tête pendant de longues secondes. Un dernier coup de langue pour tout nettoyer, et me voici fermant le body. Lorsqu’elle se releva, elle m’embrassa sur les deux joues :



De retour à la table, je revins m’asseoir près de Evelyne :



Et je lui narrai, avec tous les détails, comme elle l’exigeait, mon entreprise, et le plaisir de Martine. Elle saisit alors ma main, la glissa sous sa jupe puisque, à table, personne ne pouvait nous voir, et la posa, puisqu’elle n’avait pas de culotte, dans sa toison.



Ce que je fis, avec plaisir bien sûr, lui parlant à l’oreille comme si de rien n’était, et la sentant se crisper, les deux coudes sur la table, les mains tenant sa tête. Son corps se mit à frémir, à vibrer, mais elle déploya une telle force de concentration pour se contrôler, que moi seul sus qu’elle avait joui sous mes doigts.


Depuis que mes doigts, et depuis peu ma langue, avaient accès aux sexes de mes cousines, j’étais surpris par la rapidité de leur jouissance. Une nuit où j’en parlais, il y a quelques années, avec l’une d’entre elles, je l’entendis me répondre que, nous quatre, produisions une énergie électrique qui s’avérait être complémentaire, et nous faisait accéder rapidement à l’extase. C’était fort possible, car mon plaisir à moi, avec elles, venait également très rapidement. Cela remontait à notre enfance où, dans le baquet déjà, nous ressentions cette force qui nous donnait envie de nous toucher.



Une seule personne avait perçu notre manège, la mariée. Elles étaient tellement semblables qu’un simple regard de Marie-France lui avait indiqué ce que ressentait Evelyne, ainsi qu’elle me le dit lors d’une dernière danse. Elle avait également compris que les problèmes de Martine n’avaient pu être résolus que par moi. Je lui donnais tous les détails ; elle devait savoir, c’était notre règle. Elle se colla à moi, tant et si bien que je ne pus retenir une bandaison, qu’elle entreprit de résorber. Il faisait maintenant nuit noire, et nous dansions dans une pénombre permettant quelques fantaisies. Elle se saisit de la pochette de mon costume :



Elle glissa sa main entre nous, ouvrit ma braguette, insinua sa main, se saisit de ma verge, enveloppant le bout de ma pochette, et entreprit un mouvement qui se conclut rapidement par un frisson qu’elle ressentit, tant nous étions collés.



Elle glissa le tissu souillé dans ma poche, referma ma braguette, déposa un baiser sur ma joue et tourna les talons.


La noce était finie.