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Temps de lecture estimé : 7 mn
05/10/06
Résumé:  Ma relation avec mes cousines a évolué et je finirai par connaître tous les plaisirs avec chacune. Aujourd'hui Marie-France nous rend visite.
Critères:  fh jeunes couplus extracon cousins fépilée parking voir pénétratio
Auteur : Benoberna            Envoi mini-message

Série : Mes cousines... et moi !

Chapitre 07 / 08
Marie-France nous rend visite

Un soir, le téléphone sonna. Marie-France nous expliqua que son mari avait un séminaire à cent kilomètres de chez nous, dans un mois, durant le week-end. Elle le laisserait à ses travaux et, si nous voulions bien lui accorder l’hospitalité, elle aurait grand plaisir à passer deux jours avec nous. Cette nouvelle, je la ressentis avec une espèce de frisson dans mon ventre. Je devinais ce que serait ce week-end, puisque les cousines avaient toujours, toutes, utilisé ma modeste personne, de la même façon et sans que rien ne soit réservé à l’une et à l’autre. Je le savais, je le sentais mais Evelyne aussi le sentit :



Mais ça n’était pas une question puisqu’elle avait, aussi bien que moi, la réponse. Elle en était même heureuse et fière. Heureuse que sa cousine connaisse les sensations que je lui procurais, et fière de lui montrer ce dont elle était désormais seule à jouir. Le week-end arriva. Evelyne mit les petits plats dans les grands, voulant à tout prix, et dans tous les domaines, que sa cousine garde un bon souvenir de ce séjour. Onze heures, coup de sonnette. Nous avions fait la grasse matinée et prenions notre petit déjeuner, pas encore habillés, donc nus. Marie-France embrassa Evelyne et, m’embrassant à mon tour, se saisit de mon sexe qui, instantanément, prit la posture préférée des cousines.



Nous échangeâmes quelques banalités mais elle ne me lâchait pas. Et c’est Evelyne qui dit :



Marie-France ne se fit pas prier, et me dit :



Je lui ôtai sa veste et son chemisier dévoilant un soutien-gorge pigeonnant. Je mis mon visage entre ses seins respirant son odeur que je connaissais si bien et qui, sans que je m’en sois aperçu, me manquait. Je dégrafai sa jupe qui tomba à ses pieds. Elle m’apparut alors, telle que je l’avais découverte, sous la table, le soir de son mariage, des bas attachés avec un porte-jarretelles, pas de culotte et le sexe totalement épilé.



Et moi j’en étais ravi. Elle se laissa tomber sur le dos, me disant :



Comme un enfant qui découvre un nouveau jouet et qui n’ose s’en servir, je jetai un regard vers Evelyne qui, souriante et sereine, m’encouragea d’un battement de cils. J’étais heureux, ma complice, ma partenaire, mon amante quotidienne, mon amour me regardait dévorer le sexe de sa cousine. Quelle sensation, quel plaisir, que je n’avais pu suffisamment apprécier, de lécher, de fouiller, de sucer un sexe imberbe. Nul obstacle pour atteindre les points sensibles. Tout est parfaitement dégagé, parfaitement visible. Juste en profiter. Marie-France, sensible comme ses cousines ne tarda pas à onduler, à gémir, atteinte par l’orgasme. J’étais si bien que, tout doucement, pour lui laisser le temps de récupérer, je continuais à donner des coups de langues, écartant ses lèvres au maximum, évitant le clitoris que je finis par saisir entre mes dents. Je crus qu’elle avait reçu une décharge électrique tant sa réaction fut vive. Je continuais à la mordiller, à aspirer son grain. Elle se mit à crier et à gémir. Son corps agité de tremblements ne retrouvait la paix que pour mieux exploser sous mes caresses. Cette partie dura une bonne heure et la laissa pantelante sur le lit, épuisée, vidée, ravie. Dès qu’elle eut repris son souffle, elle murmura :



Un rapide repas, puis une sieste coquine. Evelyne, sans aucun esprit de voyeurisme, et le plus naturellement du monde, s’installa dans un fauteuil qu’elle orienta vers le lit. Elle venait simplement assister à la fête de l’amour entre son amant-cousin et sa cousine. Il n’y avait aucun mal à ça, si ce n’est que le mari de Marie-France pensait que sa femme était fidèle. Elle l’était en fait, puisqu’elle ne l’avait jamais trompé, ni envisagé de le faire, et que, pour elle, même aujourd’hui, même avec son cousin entre les cuisses, elle ne le trompait pas. Mais allez expliquer ça à un mari ! Comment expliquer l’inexplicable ? Comment expliquer que nos corps s’attiraient comme des aimants, qu’ils ne pouvaient longtemps se passer de ce contact, qui avait évolué avec le temps, mais qui était, en fait, le même depuis toujours.

Je ne me lassais pas de ce sexe glabre ; j’y étais si peu habitué avec Evelyne dont, au demeurant, j’adorais la pilosité si fournie. Je le regardais, osant à peine y toucher tant cette vision était magique. De mes deux mains je frôlai les lèvres, les touchant à peine du bout de mes doigts, glissant un peu plus profondément, les écartant à peine et, sans prévenir entrant un doigt que je ressortais aussitôt. Celui-ci, bien humide maintenant, alla rejoindre sa rosette qu’il caressait, pressait puis repartit s’humecter à nouveau avant de revenir agacer cette partie sensible de son corps. Tous les doigts, à tour de rôle visitèrent ma cousine, puis l’index pénétra au plus profond tandis que le pouce écrasait le clitoris et le faisait rouler. La deuxième main ne restant pas inactive puisque l’autre index força très légèrement sa rosette pour ajouter à l’extase qui ne tarda pas à survenir. Pendant qu’elle refaisait surface, je me levai, douloureusement bandé, pour déposer un baiser sur les lèvres d’Evelyne. Flattant mon sexe de la main, elle me dit :



Avait-elle entendu ? Probablement, ou bien avait-elle deviné, plus vraisemblablement. Elle se leva, me poussa sur une chaise et s’assit sur moi, face à moi, sa poitrine contre mon torse et mon sexe entre nos deux ventres qu’elle faisait rouler entre nous. J’avais peur des conséquences mais elle arrêta son manège pour déposer un chaste baiser sur mes lèvres, se souleva, ce qui eut pour conséquence d’amener mon sexe entre ses jambes, parfaitement entre ses lèvres dont je sentais déjà la douceur. Elle se tourna vers Evelyne :



Un sourire lui répondit. Elle se laissa alors tomber, me faisant alors m’enfoncer brusquement, totalement mais merveilleusement en elle. Elle entreprit alors un mouvement montant et descendant qui devait rapidement aboutir à une violente éjaculation retenue depuis ce matin qui lui fit pousser un véritable cri de plaisir. Je venais de faire l’amour à ma cousine sous les yeux consentants et ravis de celle qui partageait ma vie. Celle-ci, dès que Marie-France se fut relevée, entreprit de faire ma toilette, gant de toilette, eau tiède, savon. Sans me laisser me relever, elle s’accroupit entre mes jambes pour une pipe dont elle avait le secret, mais juste pour me redonner la vigueur nécessaire pour continuer à honorer notre cousine, qui était notre hôte, et qui devait repartir comblée.

Ainsi revigoré, je retournai m’allonger sur le dos, genoux pliés, sexe dressé. De retour, toute propre de la salle de bain, Marie-France me voyant ainsi, n’eut aucune hésitation. Elle s’agenouilla et me saisit dans sa bouche, me prodiguant les plus douces caresses. Je glissai ma jambe droite entre ses jambes et, du bout de mon pied, cherchai son sexe. Mon pouce glissant entre ses lèvres ne tarda pas à trouver son petit grain sensible. Mon talon posé sur le lit, le pouce sur son clitoris, ma cousine se mit à aller tout doucement d’avant en arrière, faisant elle-même rouler ce dernier tout en me prodiguant une splendide fellation. Elles n’étaient décidément pas cousines pour rien. Je sentis rapidement que, si elle insistait un peu, je ne répondrais rapidement plus de rien. Mais ma cousine aussi était bien. Et elle le disait, ou tout au moins elle le grognait (on ne parle pas la bouche pleine), manifestant bruyamment le plaisir qu’elle avait à ce que nous nous fassions ce que nous nous faisions.

Ce manège dura quelques minutes au terme desquelles je ne pus me retenir. Me recevant ainsi dans la bouche, ma cousine s’effondra sur mon pied, ne pouvant résister au plaisir qui l’emportait. Je cherchai des yeux Evelyne qui se leva et vint déposer un baiser sur mes lèvres :



Marie-France mit du temps à se relever, me suçant encore et encore, jusqu’à la dernière goutte.



Et le week-end se déroula, comme vous pouvez le penser, alternant des périodes de repos avec des instants de jouissance absolue ; trois extases le samedi, trois le dimanche. Si ça doit se reproduire, je prendrai des vitamines.


Et lundi matin, il fallut bien qu’elle se décide à partir, son mari l’attendait. Je descendis ses bagages au parking en sous-sol où, à cette heure-ci, il n’y avait personne. Elle ouvrit son coffre et se pencha pour ranger ses sacs. Une pulsion, un flash me fit repasser un film déjà ancien mais enregistré dans mon cerveau. Ce film avait pour héroïne Marie-France, dans un square, à Paris, dans la pénombre, dans la même position que ce matin, attendant que mes doigts, et à ce moment-là seulement mes doigts, la fouillent. Pour la première fois de ma vie, ce jour-là, j’avais eu beaucoup de mal à ne pas glisser dans ce sexe offert, autre chose que mes doigts. J’ai eu souvent cette image dans ma tête, devenue un quasi fantasme et aujourd’hui, j’allais pouvoir faire ce dont j’avais eu tellement envie en sachant que nul reproche ne me serait aujourd’hui adressé et que j’allais y être le bienvenu.

Je lui rabattis la jupe sur le dos, saisis la culotte et la descendis aux genoux. Elle ne parut nullement surprise de mon initiative, posa la paume des ses mains dans le coffre, cambra les reins, écarta les jambes et attendit. Pendant ce temps j’avais sorti mon sexe déjà prêt, et sans autres formalités, m’enfonçai au plus loin entre ses lèvres. Ni l’un ni l’autre ne bougea. Je sentais mon sexe, au plus profond de son corps, palpiter au rythme de mon cœur et je savais qu’elle le sentait, qu’elle ne pensait qu’à ça, qu’elle aimait beaucoup ça et quelle n’allait pas tarder à venir.

Sa douce chaleur m’enveloppait et je sentis qu’elle me serrait, relâchait puis serrait à nouveau. Je connaissais bien mes cousines, je les connaissais par cœur, je savais à l’avance ce qui allait advenir. Et il advint ce qui devait advenir, un violent tremblement l’envahit, un orgasme, comme toujours survint et faillit me désarçonner. Quelques allers-retour me suffirent pour expulser, dans le sexe de ma cousine, ce qu’il me restait de semence après ce long week-end. Après quelques secondes, je me retirai, remontai sa culotte, sachant qu’elle ferait tout son possible pour conserver au fond de son corps ce souvenir de moi, qu’elle ne pouvait espérer plus beau. Elle m’embrassa sur les deux joues :



Et elle s’en alla.