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Temps de lecture estimé : 9 mn
08/10/06
Résumé:  Je suis seule à la maison avec un ouvrier engagé par mon mari.
Critères:  fh extracon telnet lingerie fellation cunnilingu pénétratio
Auteur : Marie-Odile
Coup de folie

À l’époque, mon mari faisait appel à un ouvrier qu’il payait au black pour faire de menus travaux d’intérieur. De mon côté, je n’avais plus de travail et je passais mes journées à la maison.


L’homme en question était petit, rondouillard et plutôt chauve, il avait largement dépassé la cinquantaine : pas du tout mon style mais il était gentil, poli et courtois. De temps en temps, je lui proposais de faire une pause et nous prenions un café ensemble ou alors je lui offrais une bière. Nous discutions un peu, mais en tout bien tout honneur. Ensuite, je remontais à l’étage et je vaquais à mes activités.


J’étais souvent sur Internet à traquer la bonne affaire ou à discuter chiffons sur des forums de femmes. Parfois aussi je me faisais draguer. Je dois reconnaître que je n’ai jamais été vraiment claire sur ce point, car j’ai des boîtes aux lettres secrètes que j’utilise pour correspondre avec des inconnus, souvent pour partager des fantasmes. Ceci dit, je ne fais pas de mal, je ne suis jamais passée à l’acte et n’en ai pas vraiment l’intention. Il s’agit juste d’un jeu de séduction. J’estime que chacun a bien le droit d’avoir son petit jardin secret. Et, sur ce plan-là, je ne dois pas être la seule à discuter à droite, à gauche…


« Rousse, plantureuse, assez forte, avec des seins beaucoup trop gros, 110D », mes correspondants voulaient tout savoir de moi, s’il m’arrivait de tromper mon mari, si j’avais des fantasmes particuliers, si je pratiquais la sodomie. Était-il envisageable de nous rencontrer, pour prendre un pot et pour faire connaissance ? C’était souvent ça la « grosse » question. Je leur laissais quelques espoirs tout en faisant mon possible pour ne jamais me mettre dans des situations trop délicates.


Je dois aussi avouer qu’il m’arrivait de temps en temps de me masturber, à la lecture d’une de leurs lettres ou lors d’une discussion en salon privé. Ces hommes qui parlaient sexe, qui me considéraient un peu comme une cochonne, ces hommes-là m’excitaient et c’est vrai que ces temps-ci je passais de plus en plus de temps dans les forums.


C’est lors d’un de mes passages dans une Chat Room, qu’un homme évoqua l’existence de votre site, Revebebe. Auparavant, je n’en avais jamais entendu parler. Il faut dire que je ne m’intéressais pas spécialement aux histoires érotiques. Mais la lecture de quelques-uns de vos récits me fis changer d’avis sur le sujet et, par la suite, je revins de temps en temps pour lire quelques textes, certains contribuèrent même à enrichir mes fantasmes en m’ouvrant de nouveaux horizons.


Cet après-midi là, précisément, j’étais tombée sur un texte érotique dans lequel une femme trompait son mari avec un ouvrier du bâtiment. Rapidement, je m’identifiai à cette blonde à forte poitrine qui devait, tout comme moi, avoir la cinquantaine et qui était tiraillée entre l’amour de son homme et ses envies salaces. Plus j’avançais dans le récit et plus j’étais excitée. L’homme qui la faisait fantasmer était en bleu de travail, tout comme André, notre ouvrier, il n’était pas spécialement beau, André ne l’était pas plus, et n’avait pas particulièrement cherché à la draguer. La ressemblance était donc flagrante ! C’était elle, cette allumeuse, qui avait fait tout son possible pour le brancher, d’abord en se présentant à lui en petite tenue, ensuite en prenant des poses suggestives. Notre homme, dans un premier temps amusé, avait fini par tomber sous le charme de cette femme plantureuse et coquine. S’en suivirent des scènes d’amour torrides où la belle se donna entièrement à cet artisan…


Plus j’avançais dans le récit et plus je me masturbais et le pire est que ce n’était pas en pensant à cette femme que je me touchais, mais beaucoup plus en pensant à André. J’étais excitée comme une folle, complètement hors de moi. J’ai pris un gode vibrant dans l’armoire, je l’ai enfoncé dans ma chatte et me suis caressée un bon moment sur le lit mais sans, pour autant, parvenir à faire diminuer la tension. Impossible de sortir cette histoire de mon esprit.


C’est alors que je me décidai à commettre cette folie… Je me mis en tenue très sexy : Bas, porte-jarretelles, culotte et soutien-gorge en dentelle et par dessus uniquement une nuisette transparente, l’attirail complet de la parfaite petite salope que mon mari m’avait offert pour notre anniversaire de mariage et que je mettais certains soirs pour l’exciter. Ensuite je suis passée dans la salle de bain pour vérifier l’effet escompté, pour me remaquiller, me parfumer abondamment et arranger mes cheveux. Voilà, j’étais fin prête pour le grand saut et excitée comme une puce.


L’idée de me faire baiser à l’insu de mon mari par cet homme chauve en bleu de travail me mettait hors de moi. Cela faisait bientôt cinq ans que je ne l’avais pas trompé et il me semblait que ma vie sexuelle était devenue vraiment trop répétitive et qu’elle manquait de piment.


Je repensais justement à cette dernière fois, à cette aventure que j’avais eue durant quelques semaines avec un ami d’enfance de mon homme. Ils étaient venus dîner un soir, à la maison, avec sa femme. Il avait tenu à m’aider à débarrasser la table et emmener les plats dans la cuisine. C’est là que ça s’était produit, il s’était jeté sur moi et s’était mis à me peloter, en arguant le fait que depuis qu’il m’avait vue, il était sous le charme. Curieusement, au lieu de le remettre fermement à sa place, je lui avais donné ma bouche et il avait continué à me caresser sur tout le corps en m’embrassant derrière la porte, tandis que nos époux respectifs discutaient tranquillement dans la pièce d’à côté.


Par la suite, je l’avais revu et nous étions allés plusieurs fois à l’hôtel. J’avais fini par mettre le holà lorsque j’avais compris qu’il me considérait comme une fille facile, le genre fille aux gros nichons qui aime se faire peloter par tout le monde.


Et voilà que j’allais de nouveau commettre l’irréparable. Mais j’en avais vraiment trop envie. Et puis c’était l’occasion ou jamais, dans quelques jours il ne serait plus là. L’idée de me faire baiser par ce bon père de famille, de le dévoyer et de l’entraîner entre mes cuisses me mettait hors de moi.


Je descendis l’escalier dans cette tenue affriolante, un peu fébrile et inquiète, m’interrogeant sur la façon dont il allait accueillir la chose. Un petit arrêt à la cuisine pour prendre une bière, puis je me dirigeai lentement vers la chambre du fond où notre homme était en train de construire un placard. Quand il m’a vue entrer dans la pièce, il a été scotché sur place. La nuisette, mes gros seins, le porte-jarretelles en transparence, c’était beaucoup trop pour lui. Je lui ai tendu sa mousse qu’il a saisie avec fébrilité. Il ne pouvait détacher son regard de moi, les yeux rivés sur ma poitrine. En plus, je m’étais maquillée à outrance et j’avais vraiment tout de la parfaite allumeuse.



Il était face à moi, adossé contre l’escabeau. Il sirotait sa mousse mais ne perdait pas une miette de mon anatomie. Allait-il se décider, s’approcher de moi, commencer ses caresses ? En jetant un œil à sa braguette, je me suis aperçue qu’il bandait, une grosse bosse déformait son pantalon. N’en pouvant plus d’attendre, c’est moi qui me suis levée. Je me suis approchée de lui et ai posé ma main sur sa braguette. Pour lui, cela a été le déclencheur. Il m’a pris le visage et m’a embrassée avec ferveur en mettant sa langue partout dans ma bouche. J’étais hors de moi, avec une terrible envie de me donner à lui. Il m’embrassait la poitrine, puis il sortit mes seins pour les pétrir avec ses mains calleuses, en me léchant les bouts. Rien que cette façon un peu rude de me caresser, j’en avais déjà la chatte toute trempée. Il maltraita un long moment mes seins en me traitant de petite allumeuse. Pendant ce temps, j’entrepris de dégrafer son pantalon, puis je saisis l’objet de mon désir, un membre épais et bien dur qui me mit tout de suite l’eau à la bouche.



Il ne fallait pas m’en dire plus, je n’attendais que ça, je n’avais qu’une envie, celle de le prendre en bouche. Je commençai par lécher ce long membre épais, passant ma langue tout du long, puis je l’engloutis, sans cesser de regarder mon amant dans les yeux.



Je redoublai d’intensité, en gémissant un peu, pour bien lui faire comprendre que j’étais particulièrement sensible à ses propos salaces.



Tout ceci m’excitait, en particulier les « grosse vicieuse ». Ce qui est certain, c’est que j’étais chaude bouillante à l’intérieur de moi. Une petite salope, une dévergondée, une grosse cochonne, je voulais bien être tout ça à la fois car, hormis le côté péjoratif de la chose, cela signifiait simplement que j’étais une femme épanouie, qui allait jusqu’au bout de ses fantasmes. Souvent, quand nous allions au restaurant avec mon mari, je m’habillais un peu sexy (sous sa demande expresse), en essayant de mettre mes rondeurs en évidence et j’étais toujours troublée quand les regards concupiscents des hommes se posaient sur moi. Mais cette impression de plaire et d’exciter les hommes n’était nullement désagréable.


André me tenait la tête et je lui pompais le dard ou plutôt il me baisait la bouche. J’étais heureuse de lui offrir tout ce plaisir. Il prit mes gros seins dans ses mains et se frotta la bite avec.



Après l’avoir baisé avec mes seins durant un long moment, je l’engloutis à nouveau. Il n’en pouvait plus, je sentais monter sa sève. Il se sortit pour que je le finisse en le branlant. Il explosa sur mon visage en gémissant comme une bête. J’ouvris alors grand la bouche et recueillis un peu de sperme sur les lèvres. Puis j’entrepris de nettoyer sa queue avec ma langue en me caressant la chatte avec mon autre main.


J’étais encore très loin d’être rassasiée, j’avais toujours la même envie de bien me faire baiser. Je décidai de retirer ma nuisette, mon soutien-gorge et ma culotte afin d’être plus à l’aise et de ne pas risquer d’abîmer cette belle lingerie. Puis j’attirai André sur le lit pour qu’il broute ma minette. Il me lécha ainsi un bon moment puis, à mon tour, je décidai de m’occuper de sa bite pour lui redonner toute sa vigueur.



Sans même prendre la peine de se déshabiller, il vint sur moi et m’enfila. J’étais aux anges, il était rude et puissant. Il investit mon ventre et commença à me limer ainsi sur le lit. Par la suite, il se déshabilla et me prit par derrière en me claquant les fesses, j’adorais ça. La grosse cochonne que j’étais ne tarda pas à jouir. Il me baisa encore un long moment en alternant les positions, il était beaucoup plus résistant que mon homme et ne mollissait pas. Il finit en se branlant sur mes seins qu’il aspergea de plusieurs jets de sperme épais.


Ensuite je suis remontée dans ma chambre pour changer de tenue et prendre une petite douche. Mon mari allait bientôt rentrer du travail. André, lui, préféra remettre son bleu de travail et bricoler un peu. Nous prîmes le soin de bien aérer la chambre qui sentait fort le sexe.


Le soir même, dans le lit conjugal (heureusement, ce soir-là, mon homme était fatigué) :



Sur ce, il me prit dans ses bras et je m’endormis en imaginant mes après-midi coquins avec mon nouvel amant.