n° 10866 | Fiche technique | 11392 caractères | 11392Temps de lecture estimé : 7 mn | 09/10/06 |
Résumé: Ma femme n'avait pas besoin de raconter cet épisode de notre vie conjugale à sa frangine... | ||||
Critères: fh extracon alliance fsodo coprolalie | ||||
Auteur : Stipelle |
Ma femme parle beaucoup, surtout en présence de sa sœur.
J’étais dans la cuisine en train de préparer le dîner mais j’entendais tout de cette conversation complètement ouf, et j’étais vert. Comment ma femme pouvait-elle parler de choses aussi intimes que nos séances d’enculage à sa frangine ?
Quelques mois plus tard, je reçois sur mon portable un coup de fil de ma belle-sœur :
Ce n’est guère dans ses habitudes de me faire ainsi risette. Mais, après tout, pourquoi pas, cela me changera de mes repas entre collègues. Nous nous retrouvons vers midi à la pizza Renato. Ma belle sœur est vraiment en beauté ce jour-là. Elle porte une petite jupette et un petit haut légèrement transparent. À l’approche de la quarantaine, Brigitte a trois ans de plus que mon épouse. Quoique de la même mère, elle ne lui ressemble en rien. Autant Virginie est grande, blonde et élancée, autant Brigitte est petite, rouquine et plutôt potelée. Elle a néanmoins, elle aussi, beaucoup de charme. Confortablement installés dans un petit box, nous discutons en attendant nos pizzas.
Elle voit mon air gêné. Elle s’en amuse, un sourire aux lèvres.
Je manque de m’étrangler avec un amuse-gueule.
Me voyant hésiter :
Les deux sœurs s’étaient disputées à propos d’une commode qu’elles voulaient toutes les deux récupérer.
J’acquiesce de la tête.
C’est ainsi qu’il fut décidé que je tromperais ma femme.
Le jeudi suivant, Virginie devait aller le soir à une conférence. Dans l’après-midi, j’ai téléphoné à Brigitte qui était excitée comme une puce à l’idée que c’était déjà le grand soir. Le temps de passer au sex-shop pour acheter un gel lubrifiant ainsi qu’un chapelet de boules anales, je me présente chez ma belle-sœur. Elle ouvre la porte, en peignoir :
Elle me propose de passer de suite aux choses sérieuses. Elle fait tomber son peignoir et se retrouve complètement nue au beau milieu du salon. C’est une belle petite femme avec des rondeurs harmonieuses. Tandis que je me délecte de ses courbes, elle, plus terre-à-terre, s’installe à quatre pattes sur le sofa.
Je m’approche d’elle et caresse un instant ses fesses. Mais, alors que je passe les mains entre ses cuisses :
Positionné derrière elle, j’entreprends un anulinctus doux et humide en m’attardant longuement sur son petit trou brun.
Je prends la fiole de lubrifiant et en étale largement le long de son sillon anal.
Puis, en prenant soin de bien huiler mes doigts, je rentre lentement en elle. Elle a un instant d’hésitation au moment où sa pastille cède, mais sentant bien que ce n’est pas grand-chose, elle se détend à nouveau. Mes doigts vont et viennent dans son fondement, avec douceur pour ne pas la brusquer. Ma langue prend le relais, puis mes doigts à nouveau. Plus elle sera préparée et plus ce sera facile et plus elle aura une chance d’y prendre réellement du plaisir.
Je tapote mon gland bien chaud sur son fessier humide.
J’enduis soigneusement ma queue de gel anal avant de la branler à nouveau, cette fois-ci avec plusieurs doigts pour mieux élargir son anus. Voilà, je crois qu’elle est fin prête. Alors, je pose mon gland sur son anus et pousse juste ce qu’il faut pour qu’elle ressente un peu la pression. Elle contracte son sphincter, je retire mon gland et recommence un peu plus tard. Nouvelle contraction et nouveau retrait. Petit à petit, je crois qu’elle se détend. Je pousse juste un petit peu plus fort, mon gland est aspiré d’un seul coup par son trou brun. Elle pousse un « oh » de surprise.
Elle secoue négativement la tête. Alors je pousse un peu plus fort et m’enfonce encore un peu plus en elle. De nouveau un temps d’arrêt, puis je recommence l’expérience un peu plus tard. Cette fois-ci, ma bite est presque toute entière rentrée dans son cul.
Elle prend son mal en patience.
Je commence à aller et venir lentement entre ses fesses. Elle souffle un peu comme un petit chien fou.
Alors j’arrête un long moment avant de reprendre un peu plus tard. Au fur et à mesure, mes mouvements se font plus amples et plus profonds, plus rapides également.
La tenant par les hanches, j’amplifie peu à peu mes coups de queue et lui défonce l’anus.
J’ignore si c’est un cri de douleur ou de jouissance, alors j’arrête. Mais elle me rassure :
Cette fois-ci, je me déchaîne. Elle crie encore plusieurs fois de plaisir ou de souffrance. Je finis par me vider dans ses intestins.
Nous restons un bon moment affalés sur le divan, emboîtés l’un dans l’autre…
Puis, un petit peu après :
Elle se libère et court comme une cinglée aux toilettes. Elle n’a même pas le temps de refermer la porte que déjà elle se vide dans la cuvette. Elle revient, un peu déconfite. J’éclate de rire, peu charitable :
Elle nous allume une cigarette que nous fumons tranquillement sur le divan.