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n° 10876Fiche technique25005 caractères25005
Temps de lecture estimé : 12 mn
11/10/06
corrigé 30/05/21
Résumé:  Quelques nouvelles phrases plus ou moins récentes qui m'ont fait rire...
Critères:  nonéro humour -perles
Auteur : Gufti Shank            Envoi mini-message

Collection : "Best of" des phrases douteuses
"Best of" des phrases douteuses #7




Voici encore une nouvelle sélection de phrases plus ou moins récentes, qui m’ont fait sourire. Que les auteurs qui se reconnaîtraient ne se révoltent pas, et ne m’écrivent pas, indignés ! Je sais que c’est très facile de se moquer; d’autant plus que les phrases suivantes sont sorties de leurs contextes originaux.




Mais passons plutôt à ce qui nous intéresse, ma belle-sœur…


Oui, tout le reste, on s’en fout !




Ses tétons sont très durs. J’y tire dessus.


Bang !





_ Mais qu’est-ce qu’ils sont cons, ces voisins !" les entendis-je ensuite répondre à travers la fine cloison.




Je l’entends vaguement descendre les escaliers sans me dire au revoir, il faut dire qu’on ne dit pas au revoir à un meuble.


Mais non, Jef, t’es pas tout seul… Mais si, on t’aime… Et puis sors de cette poubelle, pour commencer…




Bref il ne m’était jamais venu à l’esprit de tromper ma femme, l’avenir montrera que j’avais tout faux…


Au purgatoire, Saint-Pierre :

_ Comment ? Vous n’avez pas trompé votre femme ?

_ Ben, non.

_ Bon, ben, vous pouvez aller au paradis…

_ Super.

_ Mais vous verrez, c’est chiant, on se marre plus en bas, chez Satan.

_ Ah ?

_ Oui.

_ Ben, merde alors, si j’avais su, j’aurais trompé ma femme…




Le début de soirée se passe bien et se finit bien. Tout le monde décide alors de rentrer chez soi.


Qu’est-ce que ça aurait été si ça s’était mal passé…




Les hommes entre eux pour parler foot (et oui, classique) et les femmes pour parler de je ne sais quoi.


De toutes façons, on s’en fout de ce dont elles parlent. C’est déjà pas si mal qu’on les laisse discuter entre elles.




Et là ma femme déboule. Mon sexe retombe instantanément.


Je bande toute la journée, et dès que je vois ma femme, ça s’arrête. C’est marrant, hein ?




Ma queue est énorme. Je ne l’ai jamais vue comme ça. […] Ma queue grossit encore.


Je n’y vois plus rien ! Ma queue m’aveugle !




Mon érection recommence mais je me résonne.


Gooooong ! Un grand coup de masse métallique dès que je bande…




Dans cette position, ses seins pendent comme de mamelles. Elle met son gros cul en arrière. Je peux nettement discerner sa chatte rasée. L’humidité semble inévitable.


Ah, oui, on dirait même qu’il va pleuvoir…




Mag hurle de plaisir : Que tu es gros !


C’est la bière, mon amour ! Essaie, tu verras, c’est génial !




Je ne veux pas qu’elle jouisse comme ça, alors je stoppe mes caresses malgré ses protestations.


Salope ! Je vais quand même pas lui donner du plaisir ! Non mais… Qui c’est le patron ?




Jonathan, un jeune garçon d’à peine 18 ans, vêtu d’un simple slip de bain bleu marine, […] et qui cherchait son chemin frappa à leur porte.


_ Bonjour, je viens pour me faire sucer.

_ Mais bien sûr, entre, sois le bienvenu.





« Le chemin de la sagesse passe par l’abandon des contraintes matérielles. » [Vieux proverbe mandchou.]




Et les quatre femmes emmenèrent leur jeune amant jusqu’au gigantesque bain de mousse, la piscine étant remplie avec plus de 300 mètres de mousse, toute douce, impossible à rincer, et très collante à la peau, sauf la tête qui reste tout le temps à l’air libre.


Tiens, prends une de ces petites pilules bleues, toi aussi…




250000 milliards d’années plus tard, Jonathan au sexe de plus de 60 centimètres de long et ses quatre épouses folles de lui accompagnées de plus de 10 millions de copines poursuivent cet amour polygame qu’elles entretiennent avec leur nouveau jeune chéri qui hurle sans cesse de plus en plus fort, tellement il jouit sous toutes ces mégatonnes de mousse de bain, et c’est loin d’être terminé puisqu’à chaque seconde désormais, ce sont 10000 milliards de mannequins qui le sautent dans la mousse sans interruption, à tout jamais !


Tu aimes ces champignons multicolores ?




Ma femme et moi c’était l’histoire d’amour parfaite. Une rencontre à dix-huit ans avec une brune ravageuse et angélique, un mariage à vingt ans


Cette notion de la perfection me paraît discutable.





D’accord, dit-elle en baissant sa culotte.




Je lui tends un coussin et la fais s’agenouiller à terre devant moi. Je me penche vers elle, l’embrasse tendrement et lui demande qu’elle me suce comme une petite chienne.


Wouf, wouf ! Puis elle mordit férocement dans l’os à moelle qu’on lui tendait…




Je lui agrippe bien la tête et guide ma queue au fond de sa bouche, l’obligeant à m’ouvrir encore plus grand sa petite bouche.


Mais qu’est-ce que c’est que ces viscères sanguinolentes au bout de ma queue ?




Je lui attrape les fesses avec mes mains.


"Je lui attrape les fesses" aurait suffi. Il n’y a besoin de préciser que si on lui attrape avec autre chose. Exemple : Je lui attrape les fesses avec mes pieds.




Je la pénètre sauvagement jusqu’à la faire jouir. J’adore l’entendre jouir et, à mon tour, je jouis.


Voilà. Fin du récit. Vous avez bien aimé ? Un autre ?




La jeune femme finit par prendre son plaisir dans un râle. […] La jeune femme râlait de plus en plus fort, et après quelques va-et-vient elle finit par jouir. […] Tant de caresses firent à nouveau jouir la jeune femme. […] Une fois encore, la jeune femme ne put retenir une explosion de jouissance. […] et dans un dernier sursaut ils jouirent ensemble dans une communion parfaite.


Ah, vers la fin, elle ne râle plus…





Le 69 ! Voila une position qui me donne énormément d’excitation.


Ah bon ? Non, nous tous, on trouve ça très chiant…




Je regardais par le judas pour me rendre compte de qui avait pu sonner si tardivement : Personne. J’ouvris la porte et un homme se présenta aussitôt devant moi.


Change le judas, il est foutu.




A cet instant précis, sans vraiment savoir pourquoi, je suis allé chercher mon appareil photo.


Une pulsion passagère… Exemple : Soudain, sans comprendre, je suis allé abattre un arbre.




Il travailla son petit orifice avec son gros pouce.


Une variante par Word : Il besogna son maigre goulet avec son orteil obèse.




Septique, la jeune femme prend les chaussures.


Comme une fosse du même nom… Ce doit être l’odeur des grolles qui la rend si septique…




Elle me caresse simultanément les cuisses, le sexe, les fesses, le torse, les testicules.


Avec ses douze mains.





Prrrooouuut !




Et je colle ma bouche à la tienne mais pas pour longtemps, le manque d’air nous oblige à se dégager un peu.


Savez-vous que la plupart d’entre nous peuvent également respirer par le nez ?




Tu déboutonnes ma chemise bouton par bouton.


Moi, avec mes douze mains, j’aurais pu la déboutonner d’un seul coup.




Eh oui ! Nous ne sommes que des humains !


Eh oui… (Mais nous pouvons quand même respirer par le nez…)




Richard a chaud, eh oui.


Eh oui…




Richard se demande si cette femme est gracieuse et maniérée de manière naturelle.


Richard est modérément modéré dans ses propos.




Son cerveau galope.


Tagada, tagada…




Célia se redresse, s’assoit, attrape ses pieds et ses chevilles puis remonte langoureusement sur ses mollets, ses genoux, le haut de ses cuisses.


Elle passe ensuite ses deux cuisses par-dessus la tête, croise ses mains derrière son dos, et se dirige vers la cuisine en sautillant sur la tête. Pendant ce temps, je m’installe avec des bières devant le foot.




Non, dormir c’est mourir !


!




Il se retourne sur le dos, elle le chevauche ondule du bassin, monte et descend le long du vit, ça y est, comme c’est bon, ils jouissent en même temps.


Que d’émotions !




Ils sont tous les deux envoûtés par ce moment d’extase et jouissent en même temps, avant de s’arrêter.


Il vaut mieux qu’ils jouissent avant de s’arrêter que l’inverse… Imaginons : Ils en ont marre de faire l’amour au bout d’une heure de défonce par son sexe énorme, il lui propose de la sodomiser, elle refuse, il le fait quand même. Il l’encule pendant près de quarante-cinq minutes. Mais il finit par en avoir un peu marre et finalement décide d’aller boire une bière devant le foot, abandonnant sa femme toujours attachée. Il va s’asseoir devant la télé. Et soudain, il jouit.




J’attrapais ses seins avec mes mains.


Exercice : Attrape ses seins sans tes mains.




Lorsqu’elle m’a senti assez dur à son goût, elle a fait plusieurs fois le tour de mon gland décalotté avec une langue des plus coquines, je dois l’avouer. […] Dès que ma bite fut assez dure à son goût, […] elle passa pendant quelques secondes sa langue tout autour de mon gland.


Pour finir, quand je fus assez dur pour elle, elle enroula sa langue autour de mon gland, faisant plusieurs tours.




Je passai ma langue le long de la braguette de son short en jean.


Et soudain, un hurlement ! Je me coinçai la langue dans la fermeture-éclair ! Nous allâmes péniblement, lui riant et moi à quatre pattes, jusqu’à la boutique voisine du maréchal-ferrant…





Exemples de corrections par Word :


J’aime la bite devient : Je vénère le billot.

Ta petite femelle devient : Ta modeste ménagère.

Fais du bien à ma belle chatte devient : Soulage ma jolie mimine.

Ramone-moi bien la chatte devient : Dégraisse-moi bien la mimine.

Une grosse salope devient : Une grosse bouseuse.

La moule de ta salope devient : L’anodonte de ton chameau.

Salaud, elle est bonne ta pine devient : Porcelet, il est bon ton billot.

Ta femelle en chaleur devient : Ta ménagère cordiale.

Hein ? devient : Plaît-il ?

Partout devient : Urbi et orbi.


On peut donc récrire le passage de la façon suivante :



  • — Oui je vénère le billot, ma bestiole, ramasse bien ta modeste ménagère, vas-y, rembourre-moi bien, fais du bien à ma céleste mimine…
  • — Les ricochets d’appendice, c’est ça que tu sacralises, plaît-il ? — Oui, baisote, je vénère le billot, urbi et orbi, circules-y, dégraisse-moi bien la mimine, elle est pour toi, pour ton billot, elle déifie cela !
  • — Je te l’entasse comme à une grosse bouseuse, tu en appètes, plaît-il, de replètes graines spumescentes qui bondissent ?
  • — Oui, j’en veux, oui, sautille bien l’anodonte de ton chameau, ah, oui, capitonne ta ménagère cordiale, porcelet, il est bon ton billot !





De même :

Aaah, oui, oui, deux billots qui me farcissent en même temps, deux pédoncules boursouflés, un dans chaque crevasse, oui, vas-y, plante-moi bien, j’en appète, bien pansus, bien libidineux, fucus, pour m’engrosser comme une crasseuse bedonnante, aaah, tu me fais déguster, porcelet, oui, la mulette et le culot, aah, le culot, il te fait rappliquer, mon culot bouffi, engrosse-moi, vas-y, asperge, asperge mon culot, kartveli-moi le quartier, aaah, oui, ton style sur mon culot d’engrosseuse, aaah, oui, c’est trop bon !




Son sang ne fit qu’un tour et son sexe se redressa tout d’un coup.


…le frappant soudain au front. Il s’évanouit tristement.




Il sentit de nouveau son membre durcir dans son short et il s’allongea sur le ventre pour cacher son érection à sa femme.


Ben oui, quand même, si jamais sa femme s’aperçoit qu’il bande…On dirait qu’une femme c’est fait pour ne plus bander… Finalement, faudrait peut-être en proposer une aux curés…




Pablo fut réveillé le lendemain matin par la sonnerie de son téléphone portable. À l’autre bout du fil, sa belle-mère.


Oh, merde ! Voilà une journée qui s’annonce bien… Pour ne pas avoir ce genre d’emmerdes, c’est simple : supprimez le portable ou la belle-mère !




Il la sentit frissonner tandis qu’il faisait glisser les fines bretelles de sa robe, qui tomba sur le sol dans un bruit sourd.


Dans un bruit sourd ? Une robe en fer forgé, peut-être ? Ou une armure de combat ?




Ma belle-mère me fait revenir sur terre en nous appelant pour manger.


Sur mon portable :

_ Viens manger, fainéant crasseux !

_ Oui, belle maman adorée, j’arrive…

_ Fainéant !

Je raccroche, puis à ma femme :

_ Tu veux vraiment pas qu’on la mette à la maison de retraite ?




Je crois qu’il est temps de préciser ici la raison de mes relations privilégiées avec Marina et du consentement sans ambiguïté de ma femme.


Non, non, c’est tout à fait normal. Moi-même, je baise à droite à gauche avec toutes sortes de gens, et ma femme en rit gaiement.





Allez, un bon gros litron de rouge ! Pour se remettre en forme !




Je pouvais enfin laisser ma langue aller sur ses orteils vernis, éviter les lanières de cuirs pour passer sur sa peau si douce et ma queue qui s’activait doucement.


Ben oui, j’arrive à me lécher la queue. Non, je suis pas tellement souple, mais comme elle mesure 57 centimètres…




Je voyais qu’elle approchait de l’instant le plus impressionnant chez elle, l’orgasme.


Des photographes du monde entier viennent la voir jouir. Elle passe même dans Géo.




Bien qu’il la domine de vingt bons centimètres, elle lui faisait peur


Moi je les domine de 57 cm, et c’est elles qu’ont peur ! (Mais elles insistent quand même pour que je les sodomise…)




Voulant éviter de se faire remarquer, Olivier se secoua.


Il se mit une grande claque puis s’ébroua. Tout le monde le regarda, consterné. « Raté ! », pensa-t-il…




Je m’empare de tes fesses avec mes deux mains.


Tu m’enlaces avec tes bras, on s’embrasse avec nos bouches, je te doigte la chatte avec un doigt, tu t’agenouilles sur tes genoux, tu me suces avec ta bouche, je te tiens la tête avec les mains, j’éjacule mon sperme avec ma bite, tu avales avec ta bouche, je me laisse aller avec, euh… là je coince !




Tu me pousses trop loin ! Je te dis d’arrêter, tu refuses sans un mot.


Je crie de douleur et d’impuissance. Tu poursuis en sifflotant gaiement. Je te frappe de toutes mes forces en hurlant. Tu réponds que tu m’aimes. Je m’évanouis de terreur et de souffrance. Tu continues de me sodomiser tout en me pénétrant avec une énorme courgette. Je saigne de partout. Tu ris, jovial.




Elle me prend la tête pour m’attirer vers elle.


Précisons : Elle me prend la tête avec ses mains…




Il avait l’impression d’être un bouc en rut qui culbutait sa femelle.


Bonjour l’odeur !




En effet, je suis dotée d’un système pileux surabondant. […] Par chance, je n’ai pas de moustache.


Mais j’ai une longue barbe bleue…




J’entends la porte la porte d’entrée se refermer et je retrouve seule dans la cuisine.


Moi apprendre parler pas longtemps, vous être gentils moi.




On sonne. C’est elle. J’ouvre, l’attrape par le bras, la tire à l’intérieur. Je referme, la plaque sur la porte.


Et là, surprise ! Ce n’était pas elle, mais le facteur, qui me regardait, apeuré. Je m’excusai auprès du brave homme en lui proposant de le sodomiser. Il me répondit qu’il avait simplement un recommandé pour moi. Je le signai en sifflotant, puis de nouveau, attrapai l’homme par le bras, et le projetai vers la porte. Hélas, j’avais oublié de la rouvrir. Depuis, ce sympathique facteur a démissionné.




Mais une chose est sûre c’était bien une femme.


Malgré sa longue barbe bleue.




Depuis quelques mois notre vie sexuelle a complètement changé. En effet, Océane a rencontré Véronique, l’institutrice de notre fille.


Et, bien naturellement, les deux jeunes femmes ont expérimenté ensemble l’homosexualité, le triolisme, les partouzes, les gangbangs, le SM, et la zoophilie.





Bouc-land !




Je l’ai embrassé dans le cou, caresse qui l’a toujours fait craquer. À cet instant, j’ai sentis qu’elle se laissait aller.


_ Tu aimes ces caresses dans le cou, mon amour.

_ Oh oui, j’adore ça. Continue.

On entend un très léger : Prrrrouuutttt !

_ Tiens, qu’est-ce que ça sent ?





La nouvelle mode ? Le string sous la combinaison de ski…Et puis on se frotte sur le tire-fesses en suçant les poignées des bâtons.




Il y avait comme un froid entre nous, heureusement Véronique avait acheté quelques bouteilles d’alcool.


Pour briser la glace ? Rien de tel qu’un bon litre de rouge…




Tout seul coup, un petit cri lui échappe. Elle vient de jouir.


Tout seul coup, les boucs parlent…




Je mis la table et prépara le repas, que je leur servit.


Mais je cuisine mieux que je n’écris, ne vous inquiétez pas.




On en vient à parler de sexe au moment où une femme magnifique vient à passer devant la terrasse du café, mais sans nous attarder sur le sujet.


Les boucs boivent des cafés ?




Pour une fois je gagna.


C’était sans doute pas un concours de conjugaison…




Gulliver me bourre maintenant le cul comme un ours.


Docteur Gulliver et Mister Bouc !




Personnellement, je ne regrette pas du tout de mettre laissait faire.


Maître, laisse et fer ? Hmmm…