n° 10879 | Fiche technique | 17872 caractères | 17872Temps de lecture estimé : 11 mn | 12/10/06 |
Résumé: Il semblerait qu'il soit bien difficile de travailler tranquillement dans une salle à la fac, de nos jours... | ||||
Critères: fh jeunes grosseins école fdomine exhib intermast | ||||
Auteur : Bastoun |
Julien leva les yeux quand la porte de la salle s’ouvrit. Il avait l’habitude d’y être seul à cette heure : les heures sup’ n’avaient pas la cote à la fac, et l’on ne s’y attardait guère une fois les cours de la journée terminés. Quant aux heures creuses qui parsemaient l’emploi du temps, les étudiants préféraient les passer à l’extérieur de l’enceinte.
Au contraire, Julien aimait bien rester, que ce soit pendant ou en fin de journée. Oh, il ne s’éternisait pas, juste le temps de travailler un peu. Il trouvait ça plus simple de faire cela ici plutôt qu’à la maison : du calme, pas de cris, pas de télévision ni d’ordinateur ni aucune autre tentation. Et puis surtout, il aimait bien traverser les couloirs vides de l’université en sortant en début de soirée, l’atmosphère était complètement différente du brouhaha qui y régnait habituellement pendant la journée.
Les surveillants avaient pris l’habitude de le voir arriver après les cours, après s’en être quelque peu étonnés au début. Mais Julien était un garçon calme et studieux, il n’avait jamais posé aucun problème, et ils ne lui avaient posé aucune question.
Une jeune fille entrait en râlant dans la salle où se trouvait Julien, à entendre le bruit des talons qui claquaient sur le sol à chaque pas. Julien leva les yeux au ciel : il avait pris ses habitudes, et appréciait sa studieuse tranquillité.
Julien la reconnut immédiatement. Comment aurait-il pu en être autrement ? Certes, Stéphanie était dans sa promo, mais ce n’était sûrement pas à cause de cela : elle était régulièrement absente, les études n’étaient pas son fort, et elle le leur rendait bien : elle avait sûrement déjà redoublé une voire deux fois. Ce n’est donc pas grâce à sa présence assidue au premier rang, à ses côtés, que Julien reconnut Stéphanie. Ce n’est sans doute pas grâce à sa beauté non plus : Stéphanie était une jeune fille d’origine maghrébine avec un visage plutôt banal, qu’elle surchargeait généralement de maquillage. On ne peut pas dire qu’elle était ronde, mais elle avait sans doute quelques kilos en trop. Non, ce qui captivait chez Stéphanie, c’était tout simplement… ses seins !
Stéphanie était jeune, mais elle était bien plus dotée que la plupart des femmes d’âge mûr ne le seraient jamais, en tout cas naturellement. Mais surtout Stéphanie était particulièrement fière de sa poitrine, et comme si elle trouvait qu’elle n’attirait pas suffisamment les regards, elle prenait toujours soin de la mettre particulièrement en valeur : depuis ce t-shirt noir ultra moulant avec deux traces de mains imprimées sur le buste, juste au-dessus d’un « Don’t touch » des plus pertinents, jusqu’à des tenues plus ou moins transparentes qui laissaient deviner l’essentiel de ses deux fabuleuses excroissances mammaires, en passant, comme aujourd’hui, par un décolleté en V ravageur qui laissait clairement apparaître le superbe sillon qui creusait sa volumineuse poitrine.
Elle s’assit au centre de la salle. La table de Julien faisait face à une fenêtre, il s’était donc complètement retourné afin de suivre des yeux la nouvelle venue, ou plutôt son décolleté. Il retourna précipitamment à son livre d’algèbre lorsque Stéphanie leva les yeux sur lui.
Elle sentit ses efforts et ne put réprimer un sourire. Elle aimait cela, se sentir l’objet de toutes les attentions. C’est la seule chose qui pouvait la décider à se lever pour aller à la fac : écouter le silence qui se faisait dans l’amphi lorsqu’elle y faisait son apparition (en retard, toujours, que tout le monde puisse profiter de son arrivée), et s’imaginer combien de queues allaient pouvoir se dresser juste du fait de sa seule arrivée. Elle aimait à penser également que tous ces garçons qui fixaient sa poitrine si avidement se masturbaient en pensant à elle, le soir, une fois chez eux.
Mais plus encore que d’hypnotiser des garçons de son âge, elle adorait voir un professeur tomber dans le piège de ses seins, et avoir subitement du mal à articuler ses phrases et des difficultés à marcher droit. Bref, elle adorait ce pouvoir que sa poitrine lui donnait sur les hommes. Et qu’un garçon, fût-il le major de sa promo, fasse l’effort de ne pas la regarder où il devrait, et surtout y réussisse, cela la contrariait à vrai dire.
Elle se leva, et s’approcha de lui.
Elle retourna à sa place et Julien put reprendre sa respiration qui s’était bloquée sans qu’il s’en rende compte alors que Stéphanie se penchait au-dessus de lui. Mais son calvaire n’était pas fini, puisque celle-ci vint s’installer à la table d’à côté. Il fit mine de rester absorbé dans son exercice d’algèbre.
Julien rougit, s’arrêta d’écrire pour lui répondre, mais toujours sans lever le nez de son cahier. Il s’était masturbé la veille en pensant à cette énorme poitrine qui hantait probablement les rêves les plus chauds tous les mâles de l’université, et qui se trouvait à quelques centimètres de lui. D’ailleurs, il connaissait bien le frémissement qu’il commençait à ressentir dans son pantalon et luttait pour garder son calme.
Elle guettait ses réactions. Julien était l’archétype du premier de la classe : cheveux bruns, yeux marron derrière une grosse paire de lunettes, et toujours plongé dans le travail. Pourtant, elle était sûre qu’il était comme les autres, que ses seins le faisaient bander et qu’il se soulageait tous les soirs en pensant à elle. Il était juste trop couard pour oser contempler l’objet de ses désirs qu’elle lui offrait comme sur un plateau. Il avait brièvement croisé son regard lors de la précédente conversation, et déjà il replongeait dans ses bouquins. Stéphanie soupira.
Le stylo-plume de Julien s’arrêta net. Il se demanda s’il avait bien entendu. Mais il n’osait pas tourner la tête et fit comme s’il n’avait rien entendu.
Stéphanie vit le trouble, et insista :
Julien avait l’impression de réfléchir au ralenti. Tout allait trop vite, son cœur battait la chamade et il commençait à avoir le souffle court. Sans compter l’autre effet que les paroles crues de Stéphanie commençaient à provoquer dans son pantalon. Il restait interdit.
Elle éclata de rire :
Il eut l’impression de faire un effort surhumain juste pour lever la tête, se tourner vers elle et bafouiller quelques mots :
Mais Stéphanie lui arracha ses lunettes avant qu’il ne termine sa phrase.
La situation l’amusait follement. Et Julien faisait enfin attention à elle.
Julien avait bien été obligé de se tourner vers elle, et à présent il se penchait même sur elle pour essayer de récupérer ses lunettes de vues. Elle n’eut quasiment aucun effort à faire, juste saisir sa tête et la plaquer contre sa poitrine, plongeant le visage de Julien dans les méandres de sa chair. Ce dernier essaya bien de se redresser, mais il fut surpris de la force de Stéphanie, qui le maintenait fermement. Il lutta encore, mais un frisson le parcourut lorsqu’il ressentit le mouvement de balancier imperceptible qu’elle commença à imprimer à son buste : non seulement il avait son visage enserré dans cette opulente poitrine, mais en plus il était délicatement ballotté, frottant contre la chair, son nez fourré entre les deux énormes seins. Il ne pouvait pas les voir, mais ce mouvement démoniaque lui permettait de ressentir toute leur lourdeur et leur tendre fermeté : en fait, il avait l’impression que Stéphanie était littéralement en train de lui masturber le visage… Cela eut son effet, et il cessa bien vite de se débattre alors que sa verge gonflait et achevait de se dresser fièrement à travers son pantalon : d’ailleurs, à l’exception de ce dernier organe, Julien n’était plus qu’une petite chose molle et sans volonté.
Appréciant la docilité nouvelle de son camarade de promo, Stéphanie commença par relâcher son étreinte, pour constater dans un sourire que le visage de Julien restait collé contre sa poitrine. Amusée, elle se décida à lui relever le visage de ses fatals appâts afin de contempler les effets de sa perversité sur ce garçon qui avait osé ne pas manifester de manière trop flagrante son intérêt pour elle. Un filet de salive s’étira depuis son sein gauche jusqu’à la bouche de Julien. Le visage cramoisi et ruisselant de sueur, il avait les yeux dans le vide et bavait sans s’en rendre compte. Son sexe n’avait jamais été aussi dur, il avait l’impression que toutes ses sensations, tout son être se concentrait dans sa verge, qui était presque douloureuse tellement il était excité.
Elle saisit le gland à pleine main à travers le tissu et commença à jouer avec, à le remuer dans un sens, puis dans l’autre. Julien était complètement dominé et il se laissait faire, les yeux fixés sur les deux énormes seins devant lui, qui tressautaient au fur et à mesure des mouvements que Stéphanie imprimait à son sexe.
Julien ne put répondre que par un gémissement.
Julien acquiesça d’un faible signe de la tête. Il louchait complètement sur le décolleté offert devant lui et bavait de manière involontaire. Stéphanie trouvait qu’il avait l’air parfaitement grotesque.
Julien soupira :
Il s’interrompit un instant, les yeux mi-clos, submergé par l’excitation.
Stéphanie lui enserra fortement la verge dans son poing.
Julien revint à lui immédiatement :
Stéphanie eut un sourire carnassier :
Elle agrippa le membre turgescent, toujours à travers le pantalon, et se leva. Julien ne put que suivre le mouvement. Elle le fit se tourner face à la table sur laquelle ses livres étaient ouverts et lâcha sa queue, le temps de passer derrière lui. Elle se colla alors à lui, ses deux énormes seins pressés dans son dos. Elle lui ressaisit la verge en passant sa main droite sous son entrejambe et recommença à le masturber. Avec son corps, elle donnait de violentes ondulations, et Julien sentait à chaque à-coup les deux seins lourds s’écraser contre son dos. Il sentait ses jambes vaciller et s’agrippa à la table devant lui. Elle le dominait totalement et c’est elle qui le prenait, sur cette table, dans cette salle où n’importe qui pouvait entrer d’un moment à l’autre.
Julien ne répondit rien, il haletait comme un petit chiot essoufflé. Stéphanie ferma les yeux, essayant de se concentrer sur les sons émis par son camarade. Elle jubilait de voir dans quel état elle l’avait réduit. Elle le menait littéralement par le bout de sexe et elle pouvait faire de lui ce qu’elle voulait à présent. Elle jeta un œil vers la pendule au-dessus de la porte : quasiment 18 heures ! Décidément, le temps passait vite quand on s’amusait. Une idée diaboliquement perverse lui traversa l’esprit : tout arrêter là et s’en aller en laissant le pauvre garçon à deux doigts de la jouissance absolue. Elle se demandait s’il pourrait attendre d’être chez lui pour se masturber, ou bien s’il le ferait ici même. Non, c’était trop sadique, il l’avait bien amusée après tout, et puis elle pourrait avoir besoin de lui pour faire un devoir, un jour ou l’autre. Tout en surveillant l’horloge, elle accéléra donc le mouvement de va-et-vient qu’elle imprimait à son sexe à travers son pantalon et sentit les halètements de Julien suivre le même rythme. Lui ne voyait ni n’entendait plus rien. Seules les caresses de Stéphanie et les coups que donnait sa poitrine contre son dos le faisaient vivre à présent. Il sentit le frémissement annonciateur de l’éjaculation libératrice. Stéphanie le ressentit aussi, quelques secondes avant 18 heures, et fit encore trois ou quatre mouvements de va-et-vient très rapides avant de serrer le sexe de son camarade de toutes ses forces. Celui-ci, bloqué dans son orgasme, laissa échapper involontairement un gémissement : il sentait le sang tambouriner contre ses tempes, il avait l’impression que son cœur avait cessé de battre, sa verge était sur le point d’exploser.
18 heures ! Stéphanie lâcha son étreinte sur le membre congestionné, et retira sa main. Julien ne put retenir un cri de jouissance, alors que sa semence se répandait par de puissants jets dans son pantalon. Stéphanie recula pour mieux profiter du spectacle : le garçon le plus intelligent et le plus sérieux de la promo, en train de s’affaisser par terre, tout en continuant à se vider dans ses sous-vêtements. Une fois à terre, elle lui écarta l’entrejambe du bout du pied, juste pour admirer l’étendue des dégâts qu’elle avait causés : une large tache humide apparaissait sur le pantalon de Julien.
Elle mit le pied sur cette tache et entreprit de la frotter quelques instants du bout de sa chaussure, comme si elle avait voulu l’enlever, et arracha ainsi quelques ultimes gémissements au pauvre Julien. Elle retourna ensuite à sa table, prit ses affaires et se dirigea vers la porte, un grand sourire aux lèvres. En franchissant le seuil, elle se retourna et fit un clin d’œil entendu à Julien, qui reprenait ses esprits à grand peine. Ce n’est sûrement pas demain la veille qu’elle se mettrait à travailler ses cours. Ne venait-elle pas de prouver que de gros seins valaient bien mieux qu’une grosse tête ?