n° 10881 | Fiche technique | 17800 caractères | 17800Temps de lecture estimé : 11 mn | 12/10/06 |
Résumé: Un petit magasin qui ne paye pas de mine, une caissière mère-célibataire et une patronne rébarbative. | ||||
Critères: fh fplusag fagée jeunes collègues gros(ses) grosseins sales magasin pénétratio | ||||
Auteur : Gémoniro |
Lorsque j’étais étudiant, il m’est arrivé de faire des petits boulots pour me faire de l’argent de poche. Celui-ci, un peu plus long que les autres, je l’avais trouvé un peu par hasard, en traînant dans un bar du centre-ville. C’est le patron du bistrot qui m’a dit que je n’avais qu’à essayer à l’épicerie du coin, que la mère Terraillon devait avoir besoin de quelqu’un, ces temps-ci. J’ai donc tenté ma chance. C’était un petit magasin qui ne payait pas de mine, un peu désuet et un peu sale, disons qu’il ne donnait pas trop envie d’acheter quelque chose, mais il avait quand même sa clientèle, pour la plupart des gens du quartier. La mère Terraillon était une grosse bonne femme pas très grande, un peu revêche et peu aimable qui grognait plutôt qu’elle ne parlait. Elle m’expliqua que son mari était malade, qu’elle était seule avec son employée et qu’elle avait besoin de quelqu’un pour l’aider le matin.
Le gringalet, si tu savais ce qu’il te dit ! Mais j’avais besoin de travailler et j’acceptai son offre. Le seul ennui, c’est qu’il fallait se lever tôt. Je fis bientôt la connaissance de Françoise, la jeune femme qui travaillait avec elle. Assez sympa et plutôt cool, elle me dit que Marielle, notre patronne, n’était pas une femme commode et qu’elle se faisait souvent houspiller quand quelque chose allait de travers.
Françoise était mère célibataire. Elle élevait seule ses deux mômes et habitait un peu plus loin un appartement plutôt vétuste au cinquième sans ascenseur. Sans être spécialement belle, elle n’était pas non plus repoussante. C’est elle qui m’a dragué, presque dès les premiers jours. Sa vie n’était pas toujours facile et je crois qu’elle avait simplement besoin d’un peu de compagnie et d’affection. C’était en tout début de matinée, j’étais en train de remplir les rayons, il n’y avait pas encore un seul client. Elle s’est approchée de moi.
Le soir même, je me pointe chez elle. Elle m’accueille en vague nuisette.
Tout est calculé, aucun doute sur ses intentions, elle a très envie de se faire baiser. D’ailleurs, elle se jette de suite à mon cou et réclame un baiser. Nous nous retrouvons bientôt sur la banquette à nous bécoter. Je la sens chaude et très impatiente. Elle presse avec envie mon sexe déjà tout dur, puis elle se redresse et défait mon pantalon avant de m’emboucher. L’art de la fellation n’a aucun secret pour elle. À mon tour de m’occuper d’elle, sa liqueur est sucrée, douce entrejambe poilue dont la chaleur est intense. Je mets un préservatif avant de la pénétrer. Elle m’agrippe par les fesses puis elle m’attire au plus profond, en fermant les yeux pour mieux profiter de cet instant. Nous varions les positions, devant, derrière, sur le côté, elle vient aussi sur moi. Elle veut vraiment profiter de cette soirée et bien se faire défoncer. Elle jouit plusieurs fois, avant de m’épuiser.
Nous allons prendre une petite douche avant de passer à table. Après le repas, elle m’entraîne dans son lit et nous recommençons.
Nous fumons tranquillement une cigarette.
Je rentre chez moi un peu dépité, je n’ai pas tellement l’habitude de ce genre de plan. Cela ne m’empêche pas de recommencer avec elle, plusieurs fois les semaines qui suivent, souvent un petit coup entre deux portes quand le magasin est fermé et que les enfants sont à l’école. Nous allons jusque chez elle et nous baisons jusqu’à plus soif. Jusqu’au jour où…
Jusqu’au jour où madame Terraillon nous surprend en train de nous bécoter dans la réserve. Certes, il n’y a pas mort d’homme, mais la vieille est en colère :
Elle est vraiment furax. J’essaie de lui expliquer mais je me fais incendier. Elle me traite de bon à rien, d’incapable, me dit que je ferais mieux de retourner à mes chers cahiers. Françoise fait profil bas et retourne à sa caisse. Les jours qui suivent, la patronne me fait la gueule. Tous les prétextes sont bons pour m’engueuler. J’ai cassé un pack de lait dans la réserve, j’ai oublié d’approvisionner les conserves, j’arrive en retard tous les matins. Au bout de quinze jours, je me dis que j’en ai vraiment assez, que je vais peut-être me casser, j’en ai marre de me faire incendier par cette grosse conne. Avec Françoise, nous avons cessé de nous voir, il me semble d’ailleurs qu’elle n’en a plus très envie.
Un midi, enfin plutôt vers 13h30, alors que j’assure la fermeture avec ma patronne, je prends mon courage à deux mains et me décide à lui parler :
Je ne sais plus quoi dire. Je la regarde, je m’aperçois qu’elle pleure, des larmes coulent sur ses joues, qu’elle balaye d’un geste de sa main. Je ne sais vraiment plus quoi faire, ni quoi penser.
Jalouse ? Ça me laisse pantois. Je reste là, les bras ballants, au milieu du magasin tandis qu’elle s’affaire au-dehors pour couvrir les légumes. Jalouse, elle, cette femme de 55 ans ? Jalouse de qui, jalouse pour quoi ? Jalouse pour moi ? J’en suis sur le cul. Elle rentre et ferme la porte.
De nouveau une larme au coin de l’œil. C’est vrai qu’elle est touchante. Je ne l’aurais jamais cru si sensible. C’est alors que je commets l’impensable, je la prends par les épaules et l’embrasse sur les lèvres. Elle me repousse :
Je me tiens au beau milieu de l’allée. Le magasin étant petit, elle ne peut pas me contourner, surtout avec son embonpoint.
Je pose mes mains sur ses seins lourds et tombants. Elle pousse un gros soupir !
C’est vrai que je bande ferme. Marielle n’a pourtant rien de sexy, avec ses cheveux courts, son cou taurin et son double menton. Je dégrafe lentement sa blouse. Elle me laisse faire et me confirme ainsi son assentiment. Je la pelote doucement à travers son pull.
Elle ferme les yeux, comme pour mieux profiter de mes caresses. Je la pétris comme de la bonne pâte. Ses gros nichons tout mous me font perdre la raison, je les malaxe de plus en plus fort avant de soulever d’un coup son pull. Ils sont emprisonnés dans un soutien-gorge sans grâce. Je les libère un à un avant de téter cette imposante poitrine plutôt tombante. Ses aréoles sont larges et très brunes. Elle gémit sous la tétée, ses dessous de bras poilus sont très excitants.
Je lui fais retirer sa blouse, son pull, son soutien-gorge. Son ventre est rebondi et plein de vergetures. Tout en palpant ses seins, je l’embrasse avec ferveur, à pleine bouche. Elle se donne entièrement à moi, elle embrasse comme une collégienne, nos langues sont fiévreusement enlacées dans un baiser goulu. Alors que je dégrafe sa jupe, elle se retourne vers la vitrine, un peu inquiète :
Cela ne m’empêche pas de baisser sa grande culotte et je ne peux que remarquer la tache jaunâtre qui orne son entrecuisse. Elle a de sacrés cuissots, la Marielle, et aussi deux ou trois bourrelets. Sa chatte, largement poilue, est néanmoins clairsemée. C’est une forêt discrète de longs poils tout bouclés.
À genoux devant elle, je hume son fumet et cherche son bouton avec ma langue.
J’écarte largement ses chairs et dévore son fruit rouge. Elle n’en peut plus, elle commence à vaciller. Ses jambes ne la portent plus. Elle décide elle-même de s’allonger sur le sol glacé et m’offre sa chatte largement écartée. Je la dévore à pleine bouche. J’aime son odeur un peu négligée, j’aime cette odeur de pisse, je bande comme un malade. Je la mange avec appétit, tellement d’appétit que je la sens jouir bientôt dans ma bouche, une vague de liquide chaud m’asperge le visage. Elle se tortille en tous sens et griffe le sol avec ses doigts.
Un peu plus tard, la voici assise par terre, qui me suce avec application. Elle fait cela assez maladroitement. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle n’est pas une pro. Ce n’en est que plus touchant pour une femme de son âge… Elle semble tellement inexpérimentée…
Elle me supplie presque. Alors je viens entre ses cuisses et je la baise avec vigueur. Nous faisons l’amour un bon moment parmi les boîtes de conserve. Un peu plus tard, je la fais mettre à genoux pour la prendre en levrette. Nous sommes face à la vitrine, ses gros seins tombent de sous son corps. Dans la rue, des gens se sont arrêtés pour discuter. Ils ne regardent bien évidemment pas dans notre direction, mais cette impression d’être en danger est vraiment très excitante. Je la chevauche alors comme un forcené en la faisant hurler de jouissance.
Elle gémit.
Elle gémit encore.
C’en est trop pour elle, mes paroles la stimulent. Elle explose complètement de plaisir en poussant un cri de bête, tandis que je la remplis de ma semence. Ensuite elle se retourne et nous nous embrassons durant un long moment sur le sol froid, enlacés comme des amoureux.
Cette fois-ci, les larmes roulent abondamment sur ses joues, je les intercepte avec ma langue.
Je ne réponds pas.
Sa poitrine est secouée par les sanglots. Elle en a vraiment gros sur la patate. Je la trouve touchante de jalousie. C’est sûr qu’elle n’est pas belle, c’est certainement la pire des femmes avec qui j’ai jamais fait l’amour… Mais je ne peux m’empêcher d’avoir de l’affection pour elle, ce qui n’a pas toujours été le cas pour d’autres. Alors je la prends dans mes bras, je lui fais un gros câlin, pour essayer de la rassurer. Sous ses airs bourrus, c’est en fait un cœur tendre, une femme qui souffre, avec plein d’amour en elle. Je sais très bien que je ne ferai pas ma vie avec elle et elle le sait tout comme moi. Ce n’est qu’un petit épisode qui durera ce qu’il durera… le plus longtemps possible… Vivons-le pleinement.
Le pire dans cette histoire, c’est que cette salope de Françoise, découvrant notre idylle (ça devait se voir comme un nez au milieu d’un visage), nous a taillé une sale réputation dans tout le quartier, probablement pour se venger de sa patronne.
Les gens désormais regardaient parfois Marielle d’un autre œil, souvent avec un petit sourire en coin. Cela ne nous empêchait pas de nous retrouver régulièrement. Nous faisions l’amour souvent dans l’arrière-boutique et parfois, pour pimenter, dans la boutique.
Par la suite j’ai arrêté de travailler pour me consacrer à mes exams. Mais ma maîtresse venait souvent l’après-midi me retrouver chez moi. Je crois qu’elle était tout ce qu’il y a de plus amoureuse. Nous aurions eu le même âge, nous nous serions même peut-être mariés (son mari était en bout de course). Quand je lui ai annoncé que je venais de trouver un travail à l’étranger, pour elle cela a été un drame. Elle a fondu en larmes et j’ai eu beaucoup de mal à la consoler. Nous histoire avait duré dix mois. Ce jour-là, tout s’est arrêté net.