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n° 10890Fiche technique11207 caractères11207
1994
Temps de lecture estimé : 7 mn
15/10/06
Résumé:  La soirée continue et les rêves se réalisent.
Critères:  fhh double sandwich fdanus fsodo
Auteur : Paname7783      

Série : Une soirée très spéciale

Chapitre 02 / 02
Une soirée très spéciale (2)

Francine était revenue avec le café et tout en le buvant, nous discutions comme si de rien n’était. Stéphane et moi toujours à moitié déshabillés tandis que Francine était de son côté parfaitement habillée. À la voir, rien ne laissait supposer de ce qui venait se passer.


Nous avons parlé de tout et de rien pendant une bonne demi-heure avant que Stéphane nous dise tout à coup qu’il avait un peu faim. Comme tout le monde se rangeait à son avis, Francine est allée chercher un peu de charcuterie et de fromage et nous voilà à table à remanger un petit morceau.


Je ne sais pas pour les autres hommes mais quant à moi, j’ai besoin d’un peu de temps pour « me remettre en forme » quand je viens de faire l’amour.


Après ce petit intermède, en repensant à ce qui venait de se passer (c’est venu d’un coup, rien dans la conversation ou dans les gestes des uns et des autres n’y ramenait), j’ai senti le désir remonter en moi. C’était un sentiment confus, pas vraiment quelque chose de sexuel, même si, en ayant découvert la nouvelle nature de mes amis, je me doutais bien que ça n’allait pas tarder, c’était plutôt ces moments où l’on se sent bien, à l’aise, je dirais plus que c’était de la tendresse ou de l’affection qu’autre chose.


Francine était assise dans un fauteuil, Stéphane lui faisait face dans un autre, quant à moi j’étais de nouveau assis sur le canapé, prétextant une envie pressante, je me suis levé et suis allé aux toilettes. En revenant - Francine dans son fauteuil me tournait le dos tandis que Stéphane, lui, me voyait rentrer - je me suis approché tout doucement d’elle, je lui ai posé les mains sur les épaules et, en la massant légèrement je suis descendu vers ses seins. Je les ai caressés doucement, puis j’ai penché la tête vers elle. Elle a eu un petit sursaut, car elle ne s’y attendait pas mais elle a levé la tête vers moi et m’a tendu ses lèvres. Nous nous sommes embrassés tendrement, encore une fois, c’était plus, là, de la tendresse qu’un désir fou comme au début de la soirée.


Comme depuis le début de la soirée, une radio diffusait de la musique et qu’il passait un slow à ce moment-là, j’ai invité Francine à danser. Elle s’est levée, son corps est venu se coller contre le mien pas du tout comme lors de nos précédentes soirées où nous dansions en copains avec une distance raisonnable entre nous, non, là, son corps a épousé le mien, ses seins s’écrasaient contre ma poitrine tandis que son pubis venait se frotter à mon sexe. Bien sûr, comme vous le supposez, mon corps réagissait et au petit sourire de Francine ainsi qu’à la façon dont elle m’embrassait maintenant j’ai bien vu qu’elle avait compris que nous avions passé une étape.


Mes mains se promenaient sur son corps, sur ses seins, sur ses fesses qu’en fin de compte je touchais pour la première fois et ma foi elle avait l’air d’apprécier autant que moi cette retenue que je m’imposais, souhaitant prolonger au maximum cet instant. Pendant que nous dansions, elle a voulu descendre sa main pour me caresser, mais je l’en ai empêchée, elle m’a dit à l’oreille, avec cette voix si spéciale quelle avait quand elle était excitée, qu’elle en avait envie mais je lui ai rappelé sa promesse de faire ce que je voulais. Elle a souri puis a dit comme tu veux.


J’ai fait signe à Stéphane de venir nous rejoindre et nous avons terminé le slow en dansant tous les trois, moi en face de Francine et Stéphane se serrant contre son dos. Toujours en me parlant tout doucement à l’oreille, Francine m’a dit qu’elle adorait cette situation me demandant ce que je voulais faire. Je ne lui ai pas répondu, mais je l’ai embrassée, puis elle a tourné un peu la tête et a embrassé Stéphane, je la sentais qui tremblait contre moi et j’adorais sentir qu’elle avait de plus en plus de mal à se contrôler alors qu’il me semblait que je restais parfaitement maître de moi.


J’ai moi aussi avancé la tête et je les ai rejoints dans leur baiser, quelle sensation de sentir deux langues contre la sienne, j’ai, cette fois-ci volontairement, embrassé Stéphane jouant de ma langue avec la sienne, sentant de temps en temps celle de Francine venir nous rejoindre. Le slow terminé, j’ai demandé à Stéphane de retourner s’asseoir et d’attendre que je l’appelle. Fidèle à sa promesse de tout à l’heure, il n’a pas hésité.


J’ai repris Francine dans mes bras, je l’ai embrassée et je lui ai demandé de se déshabiller lentement pour nous, de la manière la plus érotique possible. Elle s’est reculée, tandis que je m’asseyais sur le canapé et elle nous a gratifiés d’un strip-tease mémorable. Ce n’était évidemment pas une artiste et beaucoup de ses gestes étaient malhabiles, mais c’était tellement plus érotique que toutes ces mises en scène que l’on voit dans les discothèques. Quand elle s’est retrouvée nue, je lui ai demandé de se caresser car je ne l’avais pas bien vu tout à l’heure. Ses mains se sont arrêtées sur ses seins qu’elle a caressés, je ne sais pas si c’est vraiment excitant quand une fille se fait cela elle-même ou si c’était pour nous, mais nous avions vraiment l’impression qu’elle en tirait un grand plaisir, puis elle a descendu ses mains vers son sexe et s’est masturbée en nous disant qu’elle adorait faire ça devant deux hommes. Elle a atteint son plaisir très vite. Cette fois, contrairement à tout à l’heure où Stéphane et moi étions à moitié déshabillés et elle parfaitement habillée, elle était totalement nue, offerte tandis que Stéphane et moi étions parfaitement habillés. J’en ai ressenti une drôle d’impression.


Alors, je me suis levé et je lui ai demandé de me déshabiller. Avec un grand sourire, Francine s’est approchée de moi, m’a embrassé, puis a défait un à un les boutons de ma chemise avant de me l’enlever. Elle semblait, paradoxalement, plus à l’aise et plus habile pour me déshabiller que quand elle se le faisait toute seule pour nous. Elle s’est collée contre moi pour m’embrasser, j’ai senti ses seins contre ma poitrine, j’ai ressenti des grands frissons me parcourir tout le corps. Francine l’a bien senti. Elle a défait ma ceinture, ouvert le bouton de mon pantalon et a défait la braguette, puis en le faisant glisser l’a laissé descendre le long de mes jambes. Elle m’a de nouveau embrassé puis me faisant des petits bisous sur tout le corps, en évitant soigneusement mon sexe et en passant le long de mes jambes, elle m’a enlevé mes chaussures, mes chaussettes et a fini de m’enlever totalement mon pantalon. De sa langue, elle a continué de me faire des caresses le long de mes jambes, remontant à l’intérieur de mes cuisses, puis elle a posé ses lèvres sur mon sexe par-dessus mon slip en me faisant plein de petits bisous puis elle m’a enlevé mon slip et l’a fait glisser le long de mes jambes. J’étais à mon tour totalement nu. Elle a alors pris mon sexe dans sa bouche et m’a prodigué une de ces fellations dont elle avait le secret.


J’en ai profité quelques minutes car c’était vraiment très bon, puis je l’ai relevée, l’ai embrassée puis je l’ai assise sur le canapé et à mon tour je l’ai embrassée sur tout le corps, m’attardant sur ses seins dont je me remplissais la vue (ayant longuement fantasmé dessus avant ce jour-là…). Elle semblait vraiment apprécier mes caresses. J’avais très envie de lui sucer le sexe, de m’abreuver à son désir. Il faut dire que c’est quelque chose que j’apprécie beaucoup, je peux rester très longtemps à sucer une femme comme cela, je prends (dans ma tête) autant sinon plus de plaisir qu’elle quand je sens monter l’orgasme de la femme. Ses mains ont appuyé sur ma tête et je l’ai senti jouir très fort. Après quelques baisers assis à côté d’elle sur le canapé, je lui dis que mon rêve serait que Stéphane et moi nous lui faisions l’amour à deux. Elle a, vous le pensez bien, dit oui tout de suite. Je lui ai demandé de déshabiller Stéphane comme elle l’avait fait pour moi juste avant, ce qu’elle a fait tout de suite. Puis je me suis approché d’eux et je lui ai demandé de nous sucer tous les deux. La voir s’occuper alternativement de lui ou de moi m’a encore une fois procuré un intense plaisir intellectuel. Que ceux qui n’ont jamais essayé le tentent et ils verront !


Je l’ai relevée, et Stéphane et moi nous sommes descendus et pendant qu’il s’occupait de son sexe, je me suis approché de sa petite rondelle que j’ai sucée, puis pour la préparer pour mon envie, j’ai glissé un doigt puis deux. Elle soupirait bruyamment que c’était bon qu’elle aimait cela, etc.


Enfin, je lui ai demandé de réaliser mon envie, Stéphane s’est assis sur le canapé, elle est venue par-dessus lui et a introduit sa queue dans son sexe, puis je l’ai penché en avant et j’ai présenté mon sexe et tout doucement, avec un peu de difficulté au début, je me suis introduit. Francine était déchaînée, elle semblait ne plus pouvoir se contenir. Quant à moi, je réalisais enfin un de mes plus vieux rêves, posséder une femme par les deux côtés à la foi. Stéphane et moi, nous avons commencé à bouger, d’abord d’une manière un peu désordonnée puis nous avons réussi à trouver un rythme commun. Quel plaisir de sentir Francine bouger entre nos deux sexes, ressentir un grand plaisir. Nous sommes parvenus assez rapidement à jouir tous les trois pratiquement ensemble. C’était divin.


Après cela, nous sommes restés un long moment blottis tous les trois ensemble. Au delà du simple plaisir, j’étais vraiment bien, je ressentais un calme, une plénitude de l’instant qui était peut-être encore plus important que le désir et le plaisir que nous venions d’avoir.


Après cela, nous avons pris une douche tous les trois ensemble (je ne vous dis pas la partie de rigolade) et nous sommes allés nous coucher, Stéphane programmant le réveil pour un peu plus tard afin que je retourne dans la chambre qui m’était réservée avant que leurs enfants ne se réveillent. Avant cela nous avons refait l’amour et nous avons très peu dormi. Par la suite, nous avons recommencé quelques soirées de ce type, notamment quand leurs enfants étaient chez les grands-parents. Je dois avouer toutefois que, même si par la suite j’ai connu de grands plaisirs, je n’ai jamais retrouvé la saveur particulière de ce premier soir où rien n’avait été prévu (du moins de mon côté et je pense pour eux aussi) et où tout s’est enchaîné comme cela presque naturellement.



Voilà c’est ici la fin de ma soirée très spéciale. J’espère que vous aurez eu autant de plaisir à la lire que moi à la vivre et aujourd’hui à l’écrire.


Paname7783