n° 10891 | Fiche technique | 15850 caractères | 15850Temps de lecture estimé : 10 mn | 15/10/06 |
Résumé: A l'occasion d'une fête de famille, un jeune homme découvre l'amour pour sa cousine. | ||||
Critères: fh cousins vacances douche cunnilingu pénétratio fdanus fsodo init journal | ||||
Auteur : Armitage Envoi mini-message |
J’ai passé une enfance heureuse, même si mes parents m’ont confié aux bons soins d’un pensionnat chrétien, catholique de surcroît, j’ai néanmoins eu un léger sentiment d’abandon. Toutefois, cela n’a pas entaché ma vie pour autant. C’était toujours un déchirement de quitter le foyer familial le dimanche soir pour rejoindre le dortoir de l’institution. Imaginez, soixante potaches entassés dans une pièce aussi grande que notre salle à manger.
Mes parents possédaient une grande maison de trois étages, une salle de bain et WC par étage, aujourd’hui, ils vivent en appartement. Je n’étais pas à franchement parler un modèle d’enfant, studieux et calme, au contraire je me tenais juste dans la moyenne et je perturbais de temps en temps la classe et la sérénité familiale.
Je venais de satisfaire aux épreuves du BAC. De bonne heure et de bonne humeur, ma mère m’accompagne au lycée pour consulter les listes des heureux élus, mon nom figurant parmi les titulaires de cette feuille de chou. J’allais donc pouvoir poursuivre des études supérieures. Aussi pour fêter l’évènement, mon père organisa un dîner de famille, je le savais fier de son fils, lui qui se désespérait de me voir un jour faire des études, il fut rassuré, je devenais de surcroît, un futur universitaire.
À cette occasion, papa avait réuni quasiment tous les membres de notre famille, au plus profond de mes souvenirs, nous ne devions pas être moins d’une quarantaine de personnes. Cousins, cousines, oncles et tantes vinrent me féliciter, me couvrant de bisous et de présents, il faut le dire, chez nous, tout le monde était généreux. Mais ce qui me fit le plus plaisir à cet instant, fut le baiser de ma cousine Lucie, qui de sa bouche avait couvert une partie de ma bouche, éveillant en moi, une sensation, tout comme celle que j’avais ressentie deux jours avant cette fête organisée…
Le facteur avait apporté une lettre à l’intention de mes parents, porteuse de bonnes nouvelles, la missive annonçait, officiellement que j’avais été reçu au BAC. La journée avait été habituelle et je m’étais couché de bonne heure, d’ailleurs je ne mangeais jamais avec mes parents, mais bien avant eux. Mon père m’avait assuré d’une surprise et je mis longtemps à m’endormir, cogitant sur la surprise annoncée. Il faisait chaud dans ma chambre du dernier étage et je dormais toujours en slip propre après avoir pris une douche, un reste d’éducation de ma mère, scrupuleuse sur l’hygiène, que j’observe encore à ce jour.
Très satisfait d’avoir obtenu ce diplôme, il me manquait néanmoins une chose pour être totalement heureux : une copine officielle. J’avais eu quelques relations amoureuses, tel un papillon, j’avais aussi butiné quelques fleurs et je souhaitais me fixer. J’avais des vues sur Élodie, une jeune fille de mon âge, qui venait faire le ménage chez mes parents, deux fois par semaines. Il me tardait d’ailleurs de lui annoncer que j’étais un bachelier, on ne sait jamais, cela peut, dans un premier temps, impressionner, quoique j’aie dépassé l’âge normal de la plupart de ces titulaires. Une chose est certaine, quel que soit l’âge d’obtention d’un diplôme, ce n’est pas écrit sur le front de la personne.
Il m’arrivait de faire des rêves érotiques et ce soir-là, une sensation bizarre voulait sortir de mon ventre. J’avais chaud et froid à la fois, le drap au pied de mon lit, j’étais étendu tout en travers et d’un seul coup une onde parcourut mon corps. C’était délicieux et même meilleur que la mousse au chocolat de maman. Je m’entends encore gémir sous ce plaisir grandissant qui embrasait mon bas-ventre, je venais d’éjaculer dans mon slip, sublime. Mon slip blanc était mouillé et rempli de substance organique, j’étais encore sous le coup de ce plaisir, que j’aurais mille fois voulu faire partager.
Cela faisait des mois que je n’avais pas fait l’amour et à part quelques masturbations, cela ne calmait pas vraiment le feu qui couvait dans mon ventre. Enfin, les vacances arrivaient à grands pas, j’allais avoir du temps pour me consacrer à la conquête d’une « belle ».
C’est de bonne heure que les membres de ma famille débarquent dans la maison, animée d’un seul coup, comme une ruche d’abeilles travailleuses. Émerveillement parmi les émerveillements, ma cousine Lucie avait daigné venir me voir et diamant sur la tiare, elle avait laissé son copain pour venir seule. Quand Lucie ma grande cousine, m’avait embrassé, juste sur le coin des lèvres, j’en fus un peu troublé. Lucie faisait partie d’une branche éloignée de ma famille, un beau brin de fille, qui faisait la fierté de ses parents, belle et brillante.
De toute la soirée je ne pus m’empêcher de ne pas la regarder, je devinais sous son pull moulant ses seins généreux qui ne manquaient pas d’attirer le regard, je savais qu’elle avait un copain, j’en étais intérieurement jaloux. Je me disais qu’à son âge, elle devait faire l’amour avec son copain et qu’elle prenait du plaisir avec lui. Et quand je pense qu’elle allait dormir sous le même toit que moi, j’en bavais déjà, mais sans illusion, le cœur de Lucie était pris et c’était ma cousine, éloignée, certes, mais ma cousine.
Nous avons mangé, dansé, rigolé et raconté des blagues, les parents d’un côté, les jeunes de l’autre, Lucie était venue s’asseoir à nos côtés, je pouvais sentir son parfum et de temps en temps je frottais ma main sur sa cuisse nue. Elle était douce sa cuisse, bien sûr je ne le faisais pas à la vue de tous les autres, j’avais posé ma main sous un pli de sa jupe, juste à la rencontre de sa petite culotte. Au diable les risques où la honte d’une paire de gifles, je trouverais bien une excuse, mais ce contact furtif eut pour réaction, non seulement le silence de Lucie, mais une belle érection dans ma culotte.
La fête dura toute la nuit, une exception, mais vers deux heures du matin, je suis allé me coucher. Il y avait trois chambres au dernier étage de la maison, dont une avait été réservée pour Lucie, je n’arrivais pas à dormir, même après avoir bu pour la première fois de ma vie, une coupe de champagne. Je m’imaginais Lucie nue, dans son lit, un fantasme de potache et je sombrais dans un sommeil agité. J’avais néanmoins dû m’assoupir quand j’ai entendu du bruit dans la salle de bain. Je me levai comme un diable sortant de sa boîte pour me diriger vers la lumière, la maison dormait, trois heures et demie du matin venaient de sonner à la grande Comtoise du salon.
J’entrebâillai la porte de la salle de bain et je vis Lucie de dos, nue. Impossible de détacher mon regard, ma cousine m’offrait ses fesses, je pouvais voir son sexe et même son anus, elle se brossait les dents, penchée sur le lavabo. Quel spectacle, je m’en souviens encore, même l’âge n’a pas affecté sa plastique à ce jour, nous nous revoyons à l’occasion de fêtes diverses.
J’ai senti en moi un bouleversement, plus précisément dans mon bas-ventre, ma verge avait pris une taille que je ne lui connaissais pas et formait une bosse avec mon slip. Puis, ce fut une vision extraordinaire, Lucie se retourna, le sixième sens féminin, je voyais ses deux seins et surtout son pubis couvert de poils blonds. J’ai toujours aimé voir le sexe des anges, c’est beau et discret en comparaison de la verge des hommes, qui ne laisse planer aucun doute sur notre état. Perdu dans mes pensées, je levai les yeux, Lucie me fixait, j’étais terrassé, je l’entendais déjà hurler comme une sirène d’alerte, réveillant toute la maison, j’allais passer un sale quart d’heure.
Mais non, le silence tonna à mes oreilles, Lucie me fixait, un doigt sur ses lèvres en signe de silence. Elle me fait signe d’avancer, mais impossible de faire un pas, elle dut me prendre par la main pour me faire entrer dans la salle de bain. Je voyais ses deux seins où émergeaient deux tétons dressés sur une aréole brune, son ventre plat ondulait lentement et je voyais aussi son sexe, tout près. Elle sentait bon le parfum du savon de la douche. Elle me fit asseoir sur le bord de la baignoire et retira mon slip, ma verge jaillit, elle esquissa un sourire, j’étais tétanisé. Je ne savais pas comment réagir face à cette situation, m’enfuir en courant ou me laisser faire, Lucie prit les devants.
D’une main douce, elle empoigna mon sexe et son autre main fila dessous pour caresser mes bourses en une délicieuse caresse. Ma verge enfla encore un peu, je voyais la main courir le long de ma hampe et de temps en temps la peau de mon prépuce décalottait un peu le gland. Son mouvement de main n’avait rien de comparable au mien, lors de ma masturbation, là, le Nirvana m’agrippa avec lui. À un moment, elle me fit mal, mon gland n’allait pas se décalotter comme ça, à chacun de ses va-et-vient, elle me décalottait un peu plus le gland, je ressentis une douleur, comme un coup d’aiguille dans le bas-ventre.
Puis la douleur s’estompa pour revenir plus violente, d’un coup, elle tira violemment sur la peau et mon gland apparu, sa bouche le fit disparaître et sa langue me caressa. Une délicieuse caresse qui embrasa mon ventre, j’allais jouir, c’est sûr. Tout en lui éjaculant dans la bouche, Lucie continuait à me sucer, elle m’avalait au point que son nez touchait mon ventre. Fermant les yeux, je m’abandonne dans la bouche accueillante de ma cousine. Je voulais rester dans sa bouche, tellement le plaisir irradiait mon corps.
Lucie se leva puis m’embrassa sur la bouche, sa langue chercha la mienne, elle prit la situation en main, je me laissai guider. Lucie s’allongea sur le carrelage de la salle de bain, en m’attirant à elle, tout en guidant ma tête vers son bas-ventre. À genoux entre ses cuisses, je pétrissais maladroitement ses seins, je gobai même l’un de ses tétons pour le mordiller entre mes dents, Lucie bougea, sa respiration était plus forte. Ma main s’enhardit vers son entre jambe, je la plaquai sur sa vulve et laissai mes doigts courir le long de la fente des grandes lèvres. C’était doux et soyeux. Tout en haut des lèvres, je découvris un petit bouton que je sentais grossir sous mon doigt et Lucie se tortilla comme un ver en gémissant.
Je n’en revenais pas, elle devait avoir le même plaisir que j’avais eu quand elle me suçait, son ventre telle une vague ondulait sous la caresse de mon doigt. Je fis pénétrer un doigt dans son vagin entrouvert, c’était chaud et humide et je me mis à faire danser mon doigt dans son ventre, pour en enfiler un autre. Lucie prit ma tête entre ses mains, elle voulait que je la suce à mon tour, je ne pouvais pas me défiler au risque de passer pour un morveux. Ma langue glissa le long de la fente de ses lèvres, elle était toute mouillée d’un jus visqueux, mais agréable au goût, ma langue titilla son petit bouton et là ce fut le déluge. Lucie banda les muscles de son ventre et je sentis dans ma bouche couler un liquide plus abondant, je la léchais comme un petit chien lape son lait. Lucie, si discrète d’habitude, se livra à moi dans un long gémissement de bonheur et je bus aux lèvres de son entrecuisse.
Cet intermède m’avait redonné des forces, ma verge avait de nouveau une belle taille, je me disais que vu l’état de Lucie je pourrais en profiter pour m’introduire en elle. Elle m’attira entre ses jambes, saisit mon sexe pour le guider jusqu’à l’entrée de son vagin, je m’y enfouis de toute ma longueur. C’était encore plus doux que sa bouche, j’eus l’impression que des milliers de bouches me suçaient. Je voulais m’enfoncer encore plus en elle, j’écartai ses cuisses au maximum comme un compas et je fis quelques va-et-vient. Je sentais la peau de mon prépuce totalement décalotté, frotter sur ses parois intimes, je ne puis durer bien longtemps que déjà je sentais en moi la même impression de plaisir venir. Ma verge gonfla d’un seul coup et Lucie me murmura à l’oreille un « pas encore » que je ne compris pas, elle ondula du bassin pour me stopper et je calmai mes va-et-vient. Mais le plaisir ne demandait qu’à jaillir de ma verge, je le savais et je voulais jouir, mais Lucie m’emprisonnait.
Elle relâcha la tension, j’en profitai pour mieux m’enfoncer en elle, l’intérieur du vagin de Lucie se serra autour de ma verge. Elle me serra entre ses bras si fort que je faillis être étouffé, j’éjaculai en elle en de longs jets du même liquide qui était sorti de mon sexe. Cela pulsa si fort que je pouvais sentir les tressautements de mon gland dans son vagin. Lucie avait serré ses jambes autour de ma taille et ma tête était enfouie entre ses seins, je sentais les convulsions de son corps ainsi que les miennes. Dans un râle, Lucie parlait :
Je restai un moment dans son ventre tout en la berçant comme un enfant, ma verge sortit d’elle-même de son vagin et je sentis couler du liquide de sa vulve, sûrement mon liquide à moi. Je lui fis quelques bisous et attendis qu’elle s’apaise lentement, allongé sur son corps nu, jamais je n’aurais voulu quitter cet endroit. Je me relevai et contemplai Lucie sur le carrelage, ses cuisses encore ouvertes et ses gros seins ronds me donnaient encore envie d’être en elle. Mais ma verge ne voulait plus rien savoir aussi je me mis à la masser tendrement entre les jambes et sur les seins, mais je m’attardais sur son petit bouton, la clé de son paradis. Je glissai deux doigts dans le vagin de Lucie pour remonter jusqu’à son clitoris, mot que j’appris plus tard au pensionnat.
Je me disais que les filles devaient aussi se masturber comme tous les garçons, aussi c’est ce que je lui fis. Je trouvai sous les lèvres de sa vulve son clitoris encore grossi par le plaisir récent et tout en farfouillant son ventre ma deuxième main masturbait son clitoris. Lucie se caressa les seins tout en se tordant comme un ver à qui l’on aurait coupé un morceau du corps, mais là, c’était de plaisir, je le savais. Mes doigts dans son vagin dansaient comme des patineurs en plein concours officiel et le fait de faire du bien à Lucie me faisait du bien aussi à moi, même si ma verge pendait entre mes cuisses.
Tout en laissant gesticuler mes doigts dans son vagin, j’appliquai ma bouche sur sa vulve et ma langue suça son clitoris. La vulve de Lucie se contracta, je le sentis à mes doigts emprisonnés, elle étouffa un cri et je sentis du chaud, Lucie jouissait sur mes doigts, j’étais heureux. Je les retirai de son vagin pour goutter cette substance visqueuse qui coulait de mes doigts, cela n’avait pas grand goût, elle sembla ravie…
Mes cousins et cousines partirent le lendemain après le déjeuner, en nous promettant de nous revoir au plus vite. De toute cette fête, sans aucun doute, le cadeau de Lucie fut le plus merveilleux d’entre tous, d’ailleurs je m’en souviens encore aujourd’hui, elle fit de moi ce jour-là, un homme. Je revis Lucie à plusieurs reprises, notamment pour fêter mon anniversaire quelques mois après, mais jamais nous ne réitérâmes ce jeu, nous n’en fîmes même jamais allusion.
Notre secret !
Armitage