n° 10892 | Fiche technique | 13942 caractères | 13942Temps de lecture estimé : 9 mn | 15/10/06 |
Résumé: Un homme épris secrètement d'une de ses collègues, reine de ses fantasmes, va avoir l'opportunité de satisfaire l'un d'eux. | ||||
Critères: fh collègues caférestau nopéné init | ||||
Auteur : Diablotin (homme de 35 ans s'essayant à l'écriture pour voir) Envoi mini-message |
Une pile de dossiers sous le bras, Marc marche rapidement dans le couloir le menant à la salle de réunion. En passant devant les bureaux, il entend les sonneries de téléphone se mêler à des bribes de conversations. Il arrive devant la porte de la salle de réunion. Il frappe, puis entre, saluant les personnes déjà présentes autour de la grande table rectangulaire. Il s’agit d’une réunion restreinte concernant les investissements futurs de la société. Marc pose ses dossiers sur la table et s’installe. À sa droite se trouve Jean-Luc le directeur des ressources humaines, un homme de grande taille aux cheveux ébouriffés, semblant toujours surpris de ce qui se passe. À côté de Jean-Luc, au bout de la table trône Pascal, le patron de l’entreprise, un homme grand et sec donc le visage s’orne d’un collier de barbe blanche assorti à ses cheveux courts. Puis, face à Marc se trouve Sylvie, la comptable.
Marc lui sourit et laisse son regard se promener un peu sur elle pendant qu’elle tourne les pages d’un classeur. Sylvie est une jolie femme d’une quarantaine d’années de taille moyenne, sans enfants, fraîchement séparée de son mari. Ses cheveux courts, blonds comme les blés encadrent de jolis yeux verts rieurs. Son tailleur vert à la coupe impeccable lui va comme un gant, mettant en valeur son corps entretenu par des cours réguliers d’aérobic. De belles jambes bien galbées emprisonnées dans des bas montent sous la jupe, toujours trop longue au goût de Marc. Son chemisier est bien rempli, et son léger décolleté laisse voir la naissance de courbes qui laisse Marc rêveur.
La voix de Pascal tire Marc de ses pensées, il doit présenter le bilan mensuel. Il se lève et va devant un écran commenter des chiffres et des tableaux se rapportant à l’activité de l’entreprise. Marc est un garçon de trente-cinq ans, célibataire. Ses cheveux bruns et ses yeux marron trahissent des origines méditerranéennes. Son corps grand et nerveux vient du fait que ce garçon timide occupe la majeure partie de son temps libre à faire du sport. Marc vit seul. Ce n’est pas qu’il ne plaît pas aux filles ou qu’il ne s’intéresse pas à elles, mais sa timidité envers la gent féminine rend sa vie amoureuse extrêmement difficile. Une fois son exposé terminé, Marc cède sa place à Sylvie devant l’écran. Il va pouvoir l’admirer pendant un petit moment. Marc aime beaucoup Sylvie et s’entend très bien avec elle, ils discutent souvent durant la pause café du matin, il aime plaisanter avec elle, entendre son rire et voir son joli sourire. Il aimerait être beaucoup plus pour elle, mais n’ose pas franchir le pas. Des pensées contradictoires se bousculent dans sa tête :
Le bruit de Jean-Luc se levant de sa chaise pour prendre la place de Sylvie devant l’écran tire Marc de ses tiraillements internes. La réunion se termine une vingtaine de minutes plus tard, une fois l’exposé de Jean-Luc terminé. Marc rassemble ses affaires et se met en route vers son bureau. Il se retourne et aperçoit Sylvie qui arrive ses classeurs sur les bras. Il s’arrête pour l’attendre :
Marc entre dans son bureau, pose ses dossiers et ressort aussitôt pour rejoindre la salle où se trouvait le distributeur à café. Sylvie arrive peu de temps après.
Marc sert deux cafés longs sans sucre et ils s’installent à une table. Ils discutent de choses et d’autres, lorsque Micheline entre. Micheline s’occupe du service facturation.
Et sur ce, Micheline repart avec son café fumant s’enfermer dans son bureau, bientôt imitée par Marc et Sylvie.
17 heures 30, la journée de bureau se termine. Marc range une pile de dossiers dans le placard et met sa veste. En attendant l’heure du pot, il décide d’aller prendre un café. Puis 18 heures approchant, il se met en route. Lorsqu’il arrive, tout le monde est déjà là. Comme l’avait dit Micheline, ils sont une petite dizaine. Marc se dirige vers le groupe et salue toutes les personnes qu’il n’a pas vues au cours de la journée, puis il prend une chaise et s’installe aux côtés de Sylvie.
Le pot d’adieu est bien avancé, et quelques verres ont été bus. L’ambiance est à la franche rigolade l’alcool aidant, certains se libèrent et se montrent sous un nouveau jour. Il n’est pas loin de 20 heures lorsque tout le monde décide de partir. Marc et Sylvie les deux seuls célibataires du groupe saluent tout le monde et restent seuls à la table le temps de finir leur dernier verre. Rien ne presse, personne ne les attend. Marc est très bavard ce soir, et Sylvie semble, elle aussi, très détendue, ils discutent, blaguent et rient beaucoup. Une fois leur verre terminé, ils se lèvent et sortent du café. Marc désinhibé par l’alcool se lance.
Marc n’en croit pas ses oreilles ! Elle n’a même pas hésité !
Ils se dirigent tous les deux vers la voiture de Marc et se mettent en route. Marc est aux anges. Ce dîner est un rêve. Il ne peut quitter Sylvie des yeux. Il boit ses paroles et ne se lasse pas de la regarder. Au cours du repas, leurs mains se frôlent et se touchent plusieurs fois faisant monter la tension d’un cran. Il ne sait pas si c’est l’effet du vin, mais il lui a semblé que Sylvie avait l’air aussi perturbé que lui. Le déclic arriva de dessous la table. Le pied de Marc rentre involontairement en contact avec celui de Sylvie.
Sylvie ne répond pas. Elle lui jette un regard rieur et continue de manger. Enhardi par les vapeurs de vin, Marc repart au contact de ce pied sous la table, il ne quitte pas Sylvie des yeux. Sylvie arrête un moment le mouvement de sa fourchette et plante son regard dans les yeux de Marc. Puis l’air de rien, elle continue son repas. Marc appuie de plus en plus et il a même l’impression que ce pied lui répond. Il arrête de bouger un peu et sent le pied de Sylvie venir au contact du sien. Oui ! Il ne rêve pas ce pied joue avec le sien. Il s’enhardit encore un peu et sous la table, ôte sa chaussure. Il caresse le pied, puis lentement, il monte caresser le mollet. Sylvie cette fois a carrément posé ses couverts. Elle regarde autour d’elle si quelqu’un regarde dans leur direction, mais les grandes nappes, arrivant presque jusqu’au sol, cachent leurs jeux de jambes.
Marc sent aussi une pression sur son mollet et devine le pied déchaussé de Sylvie. Ils n’ont pas échangé un mot depuis le début de leurs effleurements. Marc prend de l’assurance et monte de plus en plus haut sur la jambe, son pied est au-dessus du genou de Sylvie. Il le devine à l’orée de la jupe. Il l’imagine prêt à s’engouffrer dessous pour aller toucher le moelleux des cuisses. Sylvie bouge sur sa chaise, elle se colle un peu plus à la table. Marc prend cela comme une invitation et fait passer la barrière de la jupe à son pied qui s’immisce entre les cuisses qu’il sent s’écarter. Il prend les mains de Sylvie dans les siennes et les caresse du bout des doigts pendant que son pied est en contact avec la chaleur de sa culotte. Son pied exerce une petite pression et suit la fente qu’il devine en train de s’humidifier. Il sent la pression qu’exerce Sylvie avec son bassin sur son pied qui bouge lentement.
Le serveur arrive et demande si tout se passe bien. Tandis que Marc, tout en continuant sa pression sur le bas-ventre de Sylvie, lui répond par l’affirmative, Sylvie lance un petit « oui » d’une drôle de voix. Le serveur passe à une autre table. Sylvie regarde Marc, les yeux brillants, sa respiration semble être plus rapide.
Marc la regarde s’éloigner, décontenancé. Il a une vive douleur dans son pantalon, son sexe est torturé par la situation torride qu’il vient de vivre. Même s’il est déçu que Sylvie ait mis fin au jeu, il est heureux d’avoir pu aller si loin avec elle. Même s’il préférerait aller encore plus loin, beaucoup plus loin…
Sylvie revient à la table et se rassoit, le gratifiant d’un sourire. Alors que Marc reprend ses couverts pour continuer son repas, il sent le pied de Sylvie sur sa cuisse, faisant encore monter la pression dans son pantalon. Il reprend, lui aussi, sa caresse où il l’avait laissée. Lorsqu’il arrive à hauteur du genou, il voit Sylvie mettre ses mains sous la table. Elle lui attrape le pied et le pose directement sur son sexe. Marc n’en revient pas. Elle est allée retirer sa culotte. Son pied peut sentir la toison humide et du coup, peut jouer plus facilement avec sa fente qui ne semble demander qu’à s’ouvrir encore plus. Sylvie se penche sur la table pendant qu’il lui astique sa fente de plus en plus mouillée.
Marc augmente la pression et accélère le mouvement, Sylvie se mord la lèvre et fait onduler son bassin sur le pied de Marc de plus en plus rapidement, les bouts de ses seins pointent sous le chemisier, sa respiration s’accélère, ses mains se crispent sur celles de Marc. Marc jette un rapide coup d’œil autour de lui et ne voyant personne ose lancer son bras en avant pour pincer doucement et faire rouler le bout d’un sein qu’il voit saillir sous le chemisier. La réaction est immédiate, Sylvie lâche un petit cri et son bassin augmente de cadence, il semble animé d’une vie propre, les mouvements accélèrent encore puis d’un seul coup s’arrêtent.
Marc a l’impression que son pied est pris dans un étau, il regarde Sylvie qui, les yeux brillants, a mis sa serviette devant sa bouche et gémit dedans le plus discrètement qu’elle le peut. Marc n’en perd pas une miette, il regarde cette femme superbe, sur laquelle il a tant fantasmé, jouir devant lui. Puis la pression se relâche sur le pied de Marc, elle semble s’être déplacée dans son pantalon, où son sexe est prisonnier et prêt à éclater. Il a l’impression que juste un effleurement à ce niveau le ferait exploser tellement il est excité par la situation.
D’un geste Sylvie appela le serveur et demanda l’addition, en jetant un regard gourmand à Marc. Une fois l’addition réglée par Marc, ils se lèvent et quittent le restaurant.
Arrivés à la voiture, Sylvie demande :
Ils montent dans la voiture et s’éloignent dans la nuit, vers d’autres plaisirs…