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n° 10903Fiche technique28391 caractères28391
Temps de lecture estimé : 15 mn
18/10/06
corrigé 30/05/21
Résumé:  Encore quelques phrases qui m'ont amusé...
Critères:  nonéro humour -perles
Auteur : Gufti Shank            Envoi mini-message

Collection : "Best of" des phrases douteuses
"Best of" des phrases douteuses #8



Voici encore une nouvelle sélection de phrases plus ou moins récentes, qui m’ont fait sourire. Que les auteurs qui se reconnaîtraient ne se révoltent pas, et ne m’écrivent pas, indignés ! Je sais que c’est très facile de se moquer ; d’autant plus que les phrases suivantes sont sorties de leurs contextes originaux.

Désolé par avance pour une ou deux redondances avec le texte de Karl.

Et faites attention, s’il s’avérait curieusement que ce texte vous plaise, mon ami lapinlapin risquerait de vous cataloguer « intégriste adorateur »… Donc, si vous vous sentez faible d’esprit ou trop influençable, arrêtez la lecture…




Comme tous les Polynésiens, je suis bronzé et pèse 78 kg pour 1,81 m.


Si vous en croisez un d’un mètre quatre-vingt-deux, méfiez-vous, c’est sans doute un faux… Et plus loin :



Je suis accueilli par une jolie asiatique, Melissa, d’une trentaine d’années, de petite taille, mince et bien foutue.


Comme toutes les asiatiques… Dans le même esprit, toutes les blondes sont très connes et tous les noirs mangent des blancs.



Quel bonheur d’avoir un sexe aussi gros et épais dans l’anus.


D’ailleurs, maintenant, je ne l’enlève que pour aller chier. Le reste du temps, je le garde…



J’aurais tellement aimé me faire encore enculer.


Facile : achète de l’essence…



Je suis retournée voir Thomas tous les samedis pour me faire enculer.


Il est pompiste, Thomas ?



Ma maison : achetée il y a dix ans, pour une bouchée de pain, elle en vaut maintenant le double…


Soit deux fois rien…



Heureux, je me laisse aller.


Prrrouuutt ! (Avec un sourire béat.)



Elle est vraiment experte dans l’art de la fellation, elle a d’ailleurs donnée des cours à Sophie et à Fadila.



  • — Bonjour, installez-vous, sortez vos affaires. Aujourd’hui, contrôle !
  • — Madame, madame, j’ai oublié mon gode !
  • — Oh, Sophie ! T’es vraiment trop conne ! Comment je vais faire pour te noter ?
  • — Je peux aller chercher Marcel, qui attend dans le couloir pour le cours de SM ?



En s’allongeant, les doigts de Nathalie et mon sexe se retrouvent libérés.


Exercice : Devine qui s’est allongé.



Cette nuit-là, il me fit sept fois l’amour […] Sa dernière éjaculation fut spasmodique : des limaces jaunâtres coulaient de son méat […] Puis il débanda.


Variante (du même niveau) : Cette nuit-là, il a bu dix-sept bières. Quand il ouvrit la dernière avec les dents, elle lui éclata à la gueule : des filets de bave gluante mêlée de bière explosèrent jusqu’à mon visage. Puis il se laissa aller.



Quant à Mamadou, il ne comprenait pas vraiment ce que je voulais de lui.


C’est parce qu’il est noir ! Ils comprennent rien ces gens-là ! Ils sont tout juste bons à manger des blancs !



Mamadou, musulman, refusa au début de boire, mais on finit par le convaincre.


On va quand même pas s’emmerder avec ses convictions !



J’emmenai Mamadou un matin, après une nuit de baise, dans un Décathlon.


Vois… la civilisation !



Vous ne me croirez pas, mais j’ai vu des bites se dresser sur notre passage et les femmes, j’en suis sûre, mouillaient.


Mais si. Moi aussi, d’ailleurs, quand je passe dans la rue, avec mon pack de bières à la main, les femmes se jettent à mes pieds en hurlant et en arrachant leurs vêtements et les hommes se branlent en cachette.



Elle s’est agenouillée devant moi tout en me regardant dans les yeux, a dégrafé ma ceinture, ouvert la braguette, mon sexe jaillit fièrement vers le plafond.


Dans sa face ! Et sous le choc, elle tomba à la renverse, évanouie. Je pus donc la sodomiser tranquillement…



Je passai par ma chambre chercher un préservatif […] Une jouissance inouïe, mon préservatif lui, était resté dans ma poche de pantalon.


Et hop ! Un nouveau cas…



En ce qui me concerne j’étais habillé d’une façon assez classique : pantalon noir, chemise noire, veste noire… Peu de fioriture chez les hommes.


C’est pas comme chez ces connasses de femmes !



Je dois avouer que nos deux cœurs battaient à tout rompre. […] Je dois avouer que mon regard s’est longuement attardé sur Aurélie. […] Dans ces moments-là, je dois avouer qu’on ne juge pas de la banalité de ce qui est dit, on essaie de se détendre comme l’on peut. […] Pendant tout cet échange, je dois avouer qu’Aurélie ne cessait de regarder Laurence. […] Je dois avouer que la vue plongeante qu’elle m’offrait sur sa poitrine a provoqué un profond émoi en ma personne. […] Je dois avouer que je dus arrêter ce plaisir au bout d’un certain temps. […] Je dois avouer que cela ne me déplut absolument pas.


Le narrateur a écrit ce texte sous la torture. Alors il avoue…



Ma conjointe fit de même, tournant sa tête vers l’arrière.


Comme dans l’Exorciste ! Scrounch !



S’enhardissant, il sortit sa langue.


Quelle belle preuve de courage !



Qui n’a jamais vu deux femmes s’occuper l’une de l’autre, n’a aucune idée de ce que peut être la sensualité et la perversion.


[Vieux proverbe zaïrois]



C’est à ce moment qu’elle me demanda une chose fantastique, que jamais je n’aurai cru espérer, surtout pas dans cette situation : « Oh oui, comme c’est bon, qu’est-ce que tu me baises bien, espèce de salaud, tu es tout dur, je te sens si bien, mets-la moi dans le cul, je veux que tu m’encules à fond comme une bonne salope que je suis. Je veux que tu m’inondes le cul et que Pierre jouisse dans ma bouche, je vais avaler tout son foutre chaud.» Ces paroles ne me surprirent pas, bien au contraire.


C’est fantastique, inespéré, surtout là maintenant, mais ça ne le surprend pas, bien au contraire…



Pierre me regarda et ne put s’empêcher de dire : Vas-y enfoiré.



  • — D’accord, connard, je vais essayer ! lui répondis-je.
  • — Tu verras, gros tas de merde, c’est génial !
  • — Bon, allez, j’y vais. Et va chier !
  • — Bonne chance ! Va te faire foutre !




Qui n’a jamais léché les pieds d’une femme ne peut comprendre l’enivrement que cela procure de sentir cette peau si douce.


[Vieux proverbe mexicain]



Enfin Pierre se laissa aller dans un râle.



  • — Râââaaaah ! Prrroouuuttt !
  • — Ah, enfin…
  • — Oui, je croyais qu’il allait jamais sortir celui-là…
  • — Bon, cinq à trois pour toi. À moi.
  • — Vas-y.
  • — Prrrrrrrrrrrrouuuuuuuuuuuttt !
  • — Pas mal.
  • — Oui, celui-ci m’a beaucoup plu.
  • — Cinq à quatre.
  • — Il reste du cassoulet ?



Sa poitrine se met à gonfler comme jamais tandis que je m’approche.


95C, 95D, 95E…



Pris par mon excitation, je me laisse aller à lui dire :


Prrrooouuutttt !



Il faut dire que ma femme est somptueuse, elle a un visage d’ange, de longs cheveux dorés, une poitrine somptueuse, vraiment en tout point parfaite, ses fesses sont splendides. […] Elle commence sa pipe, je sais ce que ressent Guillaume, ma femme est la reine de cette pratique.


Ma femme est également milliardaire, possède la plupart des records de natation et vient d’obtenir le prix Goncourt et la médaille Fields. On lui a également décerné le prix Nobel de la paix, car dès qu’un homme se montre violent, elle le calme en lui faisant une petite pipe, pour mon plus grand plaisir.



Ce qui a pour effet de décupler mon érection.


Et le toit de la maison s’écroula soudain, transpercé par mon sexe…



J’ai voulu adopter aujourd’hui un air très hamiltonien.


De Sir William Hamilton, mathématicien irlandais, inventeur des quaternions…



Je sors son sexe encore un peu mou et découvre un morceau, dont une fois en érection je découvre la taille : 22 sur 5.


Oui, car j’ai toujours ma règle graduée avec moi, au cas où. Donc, en assimilant sa queue à un cylindre de diamètre 5 cm et de hauteur 22 cm, j’estimai rapidement son volume à environ 430 cm3. Je relâchai alors son sexe tendu, puis, me relevant, expliquai à ce brave homme : « Désolée, je ne prends rien en dessous de 500 cm3. » Déçu, il se laissa aller.



Et oui, il rentre, il rentre, mais 5 centimètres de plus, et j’ai le cul qui explose, je me fends en deux autour de sa bite, je lui crie non !!, mais il rentre encore un gros bout de plus.


Et sloup ! Une couille de rentrée… Plus qu’une et j’essaie de mettre une jambe…



Il m’encule, m’encule, et me défonce, défonce, et je crie, je crie, mais je crie encore, "défonce moi, oui, oui, oui" et ma colonne vertébrale durcit, durcit, et d’un coup long, long je me tends, me tends, et c’est y est, je pars, je pars.


Je vous explique : l’auteur a d’abord enregistré ses idées sur un dictaphone, mais celui-ci déconne un petit peu…



Le sexe du garçon était raide et grandissait encore.


25 cm, 30 cm, 35 cm…



Il ne put alors s’empêcher d’entamer un début d’érection.


Poussez-vous, vite, que je puisse bander comme il faut…



Euh… je m’appelle Pascale, lui répond-t-elle sans même hésiter.


Dans le même genre : « Ta gueule ! » lui hurla-t-elle en silence.



Comme chaque fois qu’on lui touche les seins, Pascale réagit au quart de tour. Elle ne peut plus maîtriser son désir, et lâche un petit grognement.


Groumpf ! Groumpf ! C’est devenu un jeu, au boulot, quand elle est au téléphone, on passe chacun notre tour lui toucher les seins.



Il comprit très vite que cela était bon car j’eu mon 1er orgasme !


Tu as bien compris que c’était bon, Mamadou ? Oui ? Alors, recommence…



Quand nous nous rencontrons par hasard dans les couloirs, je suis rapidement obligé de m’arrêter de marcher : à cause d’une érection réflexe


Et je me cache derrière mon sexe tendu…



Fadila propose un petit jeu, il faut compter nos orgasmes du matin.


Fadila, c’est celle qui prenait des cours de pipes avec Sophie. Alors, dans la cour de récréation, au lieu de jouer à la marelle, elles font des jeux de ce genre-là :



  • — Eh, Marcel ? Combien t’as eu d’orgasmes ce matin en cours de SM ? — Aucun, j’ai été puni.
  • — Et toi, Mamadou ?
  • — Moi pas comprendre.
  • — Et toi, Pierre ?
  • — Prout !
  • — Miam, miam !
  • — Non, Mamadou, relâche Marcel !
  • — Eh ben moi, j’ai joui seize fois en suçant mon gode devant la prof de pipes.
  • — Et t’as eu combien au contrôle ?
  • — Ben, seize !
  • — Eh, attention, y a Marcel qui commence à bander, baissez-vous…




C’en est trop, je vais décorer le plafond et la moquette.


Exercice : Imagine ce qui a pu agacer à ce point le narrateur.



C’est sans difficulté que mon doigt rentra dans ton cul franchissant la barrière de ton anus. Naturellement mon pouce trouva seul le chemin de ton autre trou et je compris enfin le rôle de ces deux doigts.


Porter les packs de bières et doigter les deux trous d’une femme…



Je lui attrape ses fesses avec mes mains.


La maîtresse : « Vous avez tous bien compris ? Vous devez compléter le texte suivant avec les bonnes parties du corps. Attention, il y en a certaines que vous pouvez utiliser plusieurs fois… Vous avez trois minutes. »

Tu m’enlaces avec tes . . . . . . . . . . . , on s’embrasse avec nos . . . . . . . . . . . , je te doigte la chatte avec un . . . . . . . . . . . , tu t’agenouilles sur . . . . . . . . . . . . , tu me suces avec ta . . . . . . . . . . . . ., je te tiens la tête avec les . . . . . . . . . . . . , tu t’allonges sur ton . . . . . . . . . . . . , je te lèche avec . . . . . . . . . . , je te sodomise avec . . . . . . . . . . . , je me laisse aller avec . . . . . . . . . . . . . .


Un silence.


  • — Madame ?
  • — Oui, Marcel ?
  • — J’ai pas trouvé le dernier, madame.
  • — Bon, on va voir ça. Nous allons corriger. Sophie, au tableau.

Sophie va au tableau avec son cahier, mais elle se goure de ligne en recopiant. Un silence. Tout le monde la regarde en riant, tandis que la maîtresse passe dans les rangs.


  • — Madame ?
  • — Oui, Mamadou.
  • — Je ne comprends pas.
  • — Encore ? Tu exagères, Mamadou !
  • — Ben, elle a écrit : « Tu m’enlaces avec tes lèvres, on s’embrasse avec nos doigts, je te doigte avec un genou, tu t’agenouilles sur ta bouche… »
  • — Quoi ? hurle la maîtresse en se retournant vivement vers le tableau. Oh, mais Sophie, t’es vraiment trop conne !
  • — Oh, je suis désolée, madame… Attendez, je vais corriger…
  • — Bon, Marcel, lis-nous ce que tu as mis ensuite. Je te tiens la tête avec les …..?
  • — Euh… oreilles ?
  • — Mais enfin, Marcel ?
  • — Ben, si madame, quand je défonce la gueule de Sophie, je lui tiens les oreilles…
  • — Ah oui, Marcel, mais dans ce cas, c’est que tu confonds « par » et « avec ». Tu la tiens « par » les oreilles, mais tu la tiens avec les … ?
  • — Mains !
  • — Oui, Marcel, très bien. Fadila, tu continues, tu t’allonges sur ton … ?
  • — Ventre.
  • — Ton ventre ?
  • — Ben oui, madame.
  • — Non, Fadila, je pense que ce n’est pas ventre, ici, mais plutôt ?
  • — … Je ne sais pas.
  • — Oui, Marcel ?
  • — Matelas !
  • — Marcel, un matelas n’est pas une partie du corps. Alors qui peut répondre ? Pierre ?
  • — Pffffffff !
  • — Oh, Pierre arrête de te laisser aller ! Bon, Sophie, qu’est-ce que tu as mis ?
  • — Euh…
  • — Bon, vous savez ce qu’on va faire ? On va mimer la scène, Sophie, agenouille-toi pour sucer Marcel. Marcel, tu vas la lécher ensuite. Sophie, sachant que Marcel va te lécher, tu t’allonges sur ton …..?
  • — Dos !
  • — Oui, Sophie, bravo !
  • — Fadila, tu continues : je te lèche avec ma …..?
  • — Langue.
  • — Très bien. Marcel, on continue : je te sodomise avec …..?
  • — Ton cul !
  • — Non, Marcel, tu confonds encore « avec » et « par » ! Alors ? Mamadou ?
  • — Avec ma bite !
  • — Oui, mais c’est un peu vulgaire. Qui peut proposer mieux ? Sophie ?
  • — Avec ma queue !
  • — Oui, c’est un tout petit peu mieux, mais pas assez encore. Alors ? Fadila ?
  • — Avec mon sexe.
  • — Oui, par exemple. Bon, et alors, le dernier ? Marcel ? Je me laisse aller avec …..?
  • — Euh… mon cul ?
  • — Non, Marcel.
  • — Avec Pierre ?

La maîtresse, consternée, souffle bruyamment, émettant un bruit de pet avec sa bouche.




Alors apparut la hampe de ma bite humide et dressée contre ta motte.


Et par Word : Cependant naquit le stick de mon billot imprégné et domestiqué contre ton tas.



Tu t’étendis sur moi et je sentis tout ton poids.


Charmant ! Elle est bleue, elle suffoque ! Relève-toi, Marcel !



Une tristesse m’envahit à la pensée que ce rêve s’était interrompu sans que je puisse t’enculer


Même en rêve !



Chose inédite par rapport à mon ex, il parlait pendant l’amour.



  • — Ah, chérie, tu sais qui j’ai vu, aujourd’hui ?
  • — Aaaaaah ! Hmmmm !
  • — Carlos, tu sais, le gros qui faisait la pub pour Oasis…
  • — Hmmmm ! Aaaaah !!! Ouiiiii !
  • — On est allé boire une bière…
  • — Aaaahhhaaaaa !
  • — Tu écoutes ce que je te dis ?



Il passerait volontiers sa journée à « cunnilinguer » ma chatte.


C’est un peu comme « attraper avec les mains »…



Il est endurant et énorme ce soir, la situation l’excite diablement. Il grossit encore et encore.


120 kg, 130 kg, 140 kg…



À ton retour de voyage, mon amour, après ces trop longues nuits d’absence, lorsque les enfants dormiront enfin, lorsque ma journée de travail sera oubliée, comme un rêve lointain, lorsque ton esprit et ton corps seront libres de ces mille et uns détails qui auront auparavant accaparé ta journée, alors, au plus calme de la chambre à coucher, goûtant avec bonheur l’apaisement infini de ta joue sur mon épaule, de ta douceur, de ta chaleur réconfortantes, alors, au plus fort de cet instant de bonheur, nos corps seront aimantés, irrésistiblement attirés l’un vers l’autre, mes mains seront brûlantes de te toucher, de retrouver le contact miraculeux de ta peau, le moelleux de ton ventre, l’affolante rondeur de tes seins, et tes mains seront caressantes, désireuses de parcourir à nouveau les collines et vallons de mon torse, de saisir la douceur et la tension de mon membre viril, mais, mon amour, nous résisterons à cette force impérieuse, nous nous ferons violence, nous refuserons, à nos corps défendant, de céder à ce désir tendre et furieux qui s’emparera de nous.


Mais non, c’est pas chiant ! C’est juste une habitude de lecture à prendre…

Exercice : Dans la phrase précédente, souligne le verbe principal.




Je me regarde dans le miroir : parfaite, un véritable appel au viol !


Et tes parents ? Ils te laissent sortir comme ça ?



Derrière moi Géant vert apparemment vient d’arriver. J’essaie de me retourner comme je peux et effectivement il est très grand ! et assez mignon.


Et il mange du maïs en chantant : « Pom, pom, pom ! ».



La rame continue à se remplir et il se retrouve collé à moi, le problème est que je me retrouve à peu près au niveau de son nombril, un peu au-dessus quand même, je mesure dans les 1,70 m.


Sachant que le nombril d’un humain se situe à peu près aux trois cinquièmes de son corps, on en déduit rapidement que le jeune homme mesure dans les deux mètres quatre-vingts.



Tu me déposes sur un de tes seins.


J’entrevois l’autre dans le lointain. Je devrais pouvoir y arriver seul…



À ce moment la porte des toilettes hommes s’ouvre, un grand Noir nous surprend.


Je ne vois que ses genoux, car il est debout et il est très grand. Pourtant je mesure presque 2 m et je suis blonde et j’ai de gros seins et j’avale et j’aime la sodomie et mon mari aime quand je le trompe devant lui avec plusieurs hommes et même des femmes.



Il se balade à la lisière de mon sein droit ce qui a pour effet de m’exciter énormément car je suis très sensible sur cette zone de mon corps.


Lui ? Oh, c’est Bob, c’est mon morpion…



Hector annonce :



Je le prends au mot, laisse même mon sac dans la voiture et sors.


Marcel annonce : Tiens, tu vois le bord du barrage ? Saute !

Je le prends au mot, laissant même mon string sur la route et enjambe la rambarde de protection.



Une fois totalement excitée et envie d’être prise, je les relève, me dirige vers le poteau électrique juste à côté, le prends des deux mains et attends.


Le lendemain soir, un employé d’EDF qui passait par là est venu m’expliquer que je pouvais lâcher le poteau, qu’il tiendrait bien tout seul.



Hmmm ! Quelle avaleuse je fais quand je veux !


Record battu : deux litres de bière en cinq minutes !



Puis ils jouissent chacun son tour dans chacun de mes trous.


C’est-à-dire que tous ces bonshommes ont éjaculé trois fois chacun… (si toutefois c’est bien d’une femme qu’il s’agit. Si, en revanche, il s’agit d’un gruyère…)



Je me relève, après qu’ils se sont retirés, récupère mon haut sans le remettre et remonte dans la voiture. Hector avait ressorti son membre et bandait. Sans qu’il ne dise rien, j’ai repris ma fellation.


Re- re- re-… Enlevons tous ces re- pour voir : « Je me lève, après qu’ils se sont tirés, récupère mon haut sans le mettre et monte dans la voiture. Hector avait sorti son membre et bandait. Sans qu’il ne dise rien, j’ai pris ma fellation. » Bon, à part la prise de pipe vers la fin, c’est pareil…



Elle est plutôt bien faite, car elle est mince de corps et sa poitrine a un bon volume. […] Je commence donc à l’interroger sur son mec, elle me dit de suite que c’est un gros naze.




  • — Salut, je m’appelle Marcel. Fais voir tes seins.
  • — Tiens, regarde.
  • — Hmm, pas mal. Et t’as un mec ?
  • — Oui, c’est un gros naze.
  • — Attention, recule-toi un peu, je commence à bander…



Je lui demande si elle lui fait envie, et elle me répond avec « Oh oui » qui en disent long. J’ai un sexe d’une longueur intéressante, mais surtout très trapu.


Oh oui !



Et ce n’ai pas finit…


Sais queue l’œuf des buts… Le retour des boucs qui parlent !



Je lui ai offert ce qu’il désirait tant et j’ai joui avec lui au moment même où son sperme inondait ma bouche. Peu de temps après, Jean-Paul me faisait encore l’amour et jouir avec lui avant de me sodomiser.


Oh oui !



Elle me demanda de me laisser aller. […] Je me suis donc laissé aller.



  • — Prout ?
  • — Prout !


Il approche sa bite, l’approche, pousse un peu et petit à petit, me voici bien sodomisée.


Oh oui ! Comment s’appelle la femelle du bouc ?




Prout ! Prout, prout, prout ! Proooooouuuuuuut !



Cette histoire est réelle, n’hésitez pas à donner votre avis.


Prout !



Melissa tortille du cul de plus en plus et elle me pompe, et elle m’aspire, elle veut m’avaler la bite, ma parole !!! La bite, elle est dure comme de l’acier car là, j’ai vraiment envie de bourrer sa petite chatte.


Melissa est donc zoophile et se tape des boucs !



Je sors ma queue et sans le lui demander, je l’encule d’un coup.


Elle se retourne, et sans me le demander, me met un grand coup de latte dans la gueule !



Il admirait sa ronde poitrine qui tressautait, ses cuisses musclées, ses fesses callipyges.



Alors pour les quelques-uns qui, comme moi, ne connaissaient pas le mot callipyge :

Callipyge : se dit d’une statue qui a de belles fesses.

Donc, pour commencer, « fesses callipyges » est un pléonasme, et ensuite : le héros est en train de s’extasier sur une statue…




Un bruit de sussions répondit à ma question.


« Sussions » doit correspondre à un imparfait du subjonctif. Un synonyme pourrait alors en être : « pussions » ou encore « possédassions ».



Il caresse un de mes seins avec l’autre.


Ça paraît difficile en dessous d’un bonnet E ou F. Et encore, il faut que ça pende…



Les filles les jaugèrent des pieds à la tête, les complimentèrent, puis Nathalie s’agrippa à leur bazar pour voir si ils bandaient.


Hélas ils ne bandaient pas… Elle tomba donc lourdement sur le sol, leur arrachant à chacun l’ensemble de leur appareil génital…



Tu te détends un peu avec un verre de rouge.


Une bouteille, oui ! Je te la prêterai quand je l’aurai finie. Toi aussi, tu pourras te détendre avec, ma puce…




Là, il n’y avait plus rien à ajouter.


And the rest is silence…