n° 10903 | Fiche technique | 20930 caractères | 20930 3775 Temps de lecture estimé : 16 mn |
18/10/06 corrigé 30/05/21 |
Résumé: Encore quelques phrases qui m'ont amusé... | ||||
Critères: #revebebe #humour | ||||
Auteur : Gufti Shank Envoi mini-message |
Collection : "Best of" des phrases douteuses |
Voici encore une nouvelle sélection de phrases plus ou moins récentes, qui m’ont fait sourire. Que les auteurs qui se reconnaîtraient ne se révoltent pas, et ne m’écrivent pas, indignés ! Je sais que c’est très facile de se moquer ; d’autant plus que les phrases suivantes sont sorties de leurs contextes originaux.
Désolé par avance pour une ou deux redondances avec le texte de Karl.
Et faites attention, s’il s’avérait curieusement que ce texte vous plaise, mon ami lapinlapin risquerait de vous cataloguer « intégriste adorateur »… Donc, si vous vous sentez faible d’esprit ou trop influençable, arrêtez la lecture…
Comme tous les Polynésiens, je suis bronzé et pèse 78 kg pour 1,81 m.
Je suis accueilli par une jolie asiatique, Melissa, d’une trentaine d’années, de petite taille, mince et bien foutue.
Quel bonheur d’avoir un sexe aussi gros et épais dans l’anus.
J’aurais tellement aimé me faire encore enculer.
Je suis retournée voir Thomas tous les samedis pour me faire enculer.
Ma maison : achetée il y a dix ans, pour une bouchée de pain, elle en vaut maintenant le double…
Heureux, je me laisse aller.
Elle est vraiment experte dans l’art de la fellation, elle a d’ailleurs donnée des cours à Sophie et à Fadila.
En s’allongeant, les doigts de Nathalie et mon sexe se retrouvent libérés.
Cette nuit-là, il me fit sept fois l’amour […] Sa dernière éjaculation fut spasmodique : des limaces jaunâtres coulaient de son méat […] Puis il débanda.
Quant à Mamadou, il ne comprenait pas vraiment ce que je voulais de lui.
Mamadou, musulman, refusa au début de boire, mais on finit par le convaincre.
J’emmenai Mamadou un matin, après une nuit de baise, dans un Décathlon.
Vous ne me croirez pas, mais j’ai vu des bites se dresser sur notre passage et les femmes, j’en suis sûre, mouillaient.
Elle s’est agenouillée devant moi tout en me regardant dans les yeux, a dégrafé ma ceinture, ouvert la braguette, mon sexe jaillit fièrement vers le plafond.
Je passai par ma chambre chercher un préservatif […] Une jouissance inouïe, mon préservatif lui, était resté dans ma poche de pantalon.
En ce qui me concerne j’étais habillé d’une façon assez classique : pantalon noir, chemise noire, veste noire… Peu de fioriture chez les hommes.
Je dois avouer que nos deux cœurs battaient à tout rompre. […] Je dois avouer que mon regard s’est longuement attardé sur Aurélie. […] Dans ces moments-là, je dois avouer qu’on ne juge pas de la banalité de ce qui est dit, on essaie de se détendre comme l’on peut. […] Pendant tout cet échange, je dois avouer qu’Aurélie ne cessait de regarder Laurence. […] Je dois avouer que la vue plongeante qu’elle m’offrait sur sa poitrine a provoqué un profond émoi en ma personne. […] Je dois avouer que je dus arrêter ce plaisir au bout d’un certain temps. […] Je dois avouer que cela ne me déplut absolument pas.
Ma conjointe fit de même, tournant sa tête vers l’arrière.
S’enhardissant, il sortit sa langue.
Qui n’a jamais vu deux femmes s’occuper l’une de l’autre, n’a aucune idée de ce que peut être la sensualité et la perversion.
C’est à ce moment qu’elle me demanda une chose fantastique, que jamais je n’aurai cru espérer, surtout pas dans cette situation : « Oh oui, comme c’est bon, qu’est-ce que tu me baises bien, espèce de salaud, tu es tout dur, je te sens si bien, mets-la moi dans le cul, je veux que tu m’encules à fond comme une bonne salope que je suis. Je veux que tu m’inondes le cul et que Pierre jouisse dans ma bouche, je vais avaler tout son foutre chaud.» Ces paroles ne me surprirent pas, bien au contraire.
Pierre me regarda et ne put s’empêcher de dire : Vas-y enfoiré.
Qui n’a jamais léché les pieds d’une femme ne peut comprendre l’enivrement que cela procure de sentir cette peau si douce.
Enfin Pierre se laissa aller dans un râle.
Sa poitrine se met à gonfler comme jamais tandis que je m’approche.
Pris par mon excitation, je me laisse aller à lui dire :
Il faut dire que ma femme est somptueuse, elle a un visage d’ange, de longs cheveux dorés, une poitrine somptueuse, vraiment en tout point parfaite, ses fesses sont splendides. […] Elle commence sa pipe, je sais ce que ressent Guillaume, ma femme est la reine de cette pratique.
Ce qui a pour effet de décupler mon érection.
J’ai voulu adopter aujourd’hui un air très hamiltonien.
Je sors son sexe encore un peu mou et découvre un morceau, dont une fois en érection je découvre la taille : 22 sur 5.
Et oui, il rentre, il rentre, mais 5 centimètres de plus, et j’ai le cul qui explose, je me fends en deux autour de sa bite, je lui crie non !!, mais il rentre encore un gros bout de plus.
Il m’encule, m’encule, et me défonce, défonce, et je crie, je crie, mais je crie encore, "défonce moi, oui, oui, oui" et ma colonne vertébrale durcit, durcit, et d’un coup long, long je me tends, me tends, et c’est y est, je pars, je pars.
Le sexe du garçon était raide et grandissait encore.
Il ne put alors s’empêcher d’entamer un début d’érection.
Euh… je m’appelle Pascale, lui répond-t-elle sans même hésiter.
Comme chaque fois qu’on lui touche les seins, Pascale réagit au quart de tour. Elle ne peut plus maîtriser son désir, et lâche un petit grognement.
Il comprit très vite que cela était bon car j’eu mon 1er orgasme !
Quand nous nous rencontrons par hasard dans les couloirs, je suis rapidement obligé de m’arrêter de marcher : à cause d’une érection réflexe
Fadila propose un petit jeu, il faut compter nos orgasmes du matin.
C’en est trop, je vais décorer le plafond et la moquette.
C’est sans difficulté que mon doigt rentra dans ton cul franchissant la barrière de ton anus. Naturellement mon pouce trouva seul le chemin de ton autre trou et je compris enfin le rôle de ces deux doigts.
Je lui attrape ses fesses avec mes mains.
Tu m’enlaces avec tes . . . . . . . . . . . , on s’embrasse avec nos . . . . . . . . . . . , je te doigte la chatte avec un . . . . . . . . . . . , tu t’agenouilles sur . . . . . . . . . . . . , tu me suces avec ta . . . . . . . . . . . . ., je te tiens la tête avec les . . . . . . . . . . . . , tu t’allonges sur ton . . . . . . . . . . . . , je te lèche avec . . . . . . . . . . , je te sodomise avec . . . . . . . . . . . , je me laisse aller avec . . . . . . . . . . . . . .
Un silence.
Sophie va au tableau avec son cahier, mais elle se goure de ligne en recopiant. Un silence. Tout le monde la regarde en riant, tandis que la maîtresse passe dans les rangs.
La maîtresse, consternée, souffle bruyamment, émettant un bruit de pet avec sa bouche.
Alors apparut la hampe de ma bite humide et dressée contre ta motte.
Tu t’étendis sur moi et je sentis tout ton poids.
Une tristesse m’envahit à la pensée que ce rêve s’était interrompu sans que je puisse t’enculer
Chose inédite par rapport à mon ex, il parlait pendant l’amour.
Il passerait volontiers sa journée à « cunnilinguer » ma chatte.
Il est endurant et énorme ce soir, la situation l’excite diablement. Il grossit encore et encore.
À ton retour de voyage, mon amour, après ces trop longues nuits d’absence, lorsque les enfants dormiront enfin, lorsque ma journée de travail sera oubliée, comme un rêve lointain, lorsque ton esprit et ton corps seront libres de ces mille et uns détails qui auront auparavant accaparé ta journée, alors, au plus calme de la chambre à coucher, goûtant avec bonheur l’apaisement infini de ta joue sur mon épaule, de ta douceur, de ta chaleur réconfortantes, alors, au plus fort de cet instant de bonheur, nos corps seront aimantés, irrésistiblement attirés l’un vers l’autre, mes mains seront brûlantes de te toucher, de retrouver le contact miraculeux de ta peau, le moelleux de ton ventre, l’affolante rondeur de tes seins, et tes mains seront caressantes, désireuses de parcourir à nouveau les collines et vallons de mon torse, de saisir la douceur et la tension de mon membre viril, mais, mon amour, nous résisterons à cette force impérieuse, nous nous ferons violence, nous refuserons, à nos corps défendant, de céder à ce désir tendre et furieux qui s’emparera de nous.
Mais non, c’est pas chiant ! C’est juste une habitude de lecture à prendre…
Exercice : Dans la phrase précédente, souligne le verbe principal.
Je me regarde dans le miroir : parfaite, un véritable appel au viol !
Derrière moi Géant vert apparemment vient d’arriver. J’essaie de me retourner comme je peux et effectivement il est très grand ! et assez mignon.
La rame continue à se remplir et il se retrouve collé à moi, le problème est que je me retrouve à peu près au niveau de son nombril, un peu au-dessus quand même, je mesure dans les 1,70 m.
Tu me déposes sur un de tes seins.
À ce moment la porte des toilettes hommes s’ouvre, un grand Noir nous surprend.
Il se balade à la lisière de mon sein droit ce qui a pour effet de m’exciter énormément car je suis très sensible sur cette zone de mon corps.
Hector annonce :
Je le prends au mot, laisse même mon sac dans la voiture et sors.
Marcel annonce : Tiens, tu vois le bord du barrage ? Saute !
Je le prends au mot, laissant même mon string sur la route et enjambe la rambarde de protection.
Une fois totalement excitée et envie d’être prise, je les relève, me dirige vers le poteau électrique juste à côté, le prends des deux mains et attends.
Hmmm ! Quelle avaleuse je fais quand je veux !
Puis ils jouissent chacun son tour dans chacun de mes trous.
Je me relève, après qu’ils se sont retirés, récupère mon haut sans le remettre et remonte dans la voiture. Hector avait ressorti son membre et bandait. Sans qu’il ne dise rien, j’ai repris ma fellation.
Elle est plutôt bien faite, car elle est mince de corps et sa poitrine a un bon volume. […] Je commence donc à l’interroger sur son mec, elle me dit de suite que c’est un gros naze.
Je lui demande si elle lui fait envie, et elle me répond avec « Oh oui » qui en disent long. J’ai un sexe d’une longueur intéressante, mais surtout très trapu.
Et ce n’ai pas finit…
Je lui ai offert ce qu’il désirait tant et j’ai joui avec lui au moment même où son sperme inondait ma bouche. Peu de temps après, Jean-Paul me faisait encore l’amour et jouir avec lui avant de me sodomiser.
Elle me demanda de me laisser aller. […] Je me suis donc laissé aller.
Il approche sa bite, l’approche, pousse un peu et petit à petit, me voici bien sodomisée.
Cette histoire est réelle, n’hésitez pas à donner votre avis.
Melissa tortille du cul de plus en plus et elle me pompe, et elle m’aspire, elle veut m’avaler la bite, ma parole !!! La bite, elle est dure comme de l’acier car là, j’ai vraiment envie de bourrer sa petite chatte.
Je sors ma queue et sans le lui demander, je l’encule d’un coup.
Il admirait sa ronde poitrine qui tressautait, ses cuisses musclées, ses fesses callipyges.
Alors pour les quelques-uns qui, comme moi, ne connaissaient pas le mot callipyge :
Callipyge : se dit d’une statue qui a de belles fesses.
Donc, pour commencer, « fesses callipyges » est un pléonasme, et ensuite : le héros est en train de s’extasier sur une statue…
Un bruit de sussions répondit à ma question.
Il caresse un de mes seins avec l’autre.
Les filles les jaugèrent des pieds à la tête, les complimentèrent, puis Nathalie s’agrippa à leur bazar pour voir si ils bandaient.
Tu te détends un peu avec un verre de rouge.
Là, il n’y avait plus rien à ajouter.