Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 10906Fiche technique23403 caractères23403
Temps de lecture estimé : 14 mn
19/10/06
Résumé:  Un jeune contrôleur découvre les plaisirs des voyages transeuropéens.
Critères:  fh fhh hplusag extracon inconnu nympho grossexe train voir intermast fellation pénétratio double sandwich
Auteur : Jfcorto            Envoi mini-message
Contrôleur des wagons-lits

Contrôleur des wagons-lits, un beau métier…


Jeune étudiant, Marc travaillait comme contrôleur dans les wagons-lits sur une ligne transeuropéenne. Son boulot consistait à accueillir les voyageurs et à s’assurer de leur bien-être au cours des trois jours que durait le voyage. Un soir, il vit arriver sur le quai une superbe blonde, très classe, d’environ trente ans, accompagnée d’un homme nettement plus âgé, qu’il imagina être son père. Tandis qu’elle marchait sur les quais, son manteau léger s’ouvrait sur des jambes nerveuses, gainées de beige, dévoilées par sa courte jupe portefeuille.


Quand elle grimpa sur le marchepied, les pans de sa jupe s’ouvrirent sur sa cuisse, au grand plaisir de Marc, la dénudant quasiment jusqu’à l’aine et révélant sa peau bronzée au-dessus de son bas beige tenu par de fines jarretelles blanches. Dans la cabine, pendant qu’il montait son sac, elle ôta son manteau, qui laissa apparaître un chemisier blanc et ajusté qui laissait deviner le dessin de son fin soutien-gorge immaculé. Elle était grande, très fine et élancée, avec une petite poitrine et surtout une croupe superbe, étroite mais très cambrée. Malgré ses très beaux yeux verts, son visage triangulaire, auréolé d’une couronne de cheveux blonds coupés assez courts, était froid et hautain tout en dégageant une classe indéniable. L’homme, lui, était bedonnant et manifestement riche, comme le prouvaient ses vêtements d’excellente facture et sa montre de luxe.

Au moment où il sortit de la cabine, ils fermèrent les rideaux.


En repassant devant la porte cinq minutes plus tard, profitant du couloir désert, il jeta un coup d’oeil à travers une fente du tissu. Il ne vit d’abord que le buste de l’homme, assis, l’air béat. En élargissant son angle de vision, il découvrit avec stupeur la fille, de dos, agenouillée devant lui, le visage entre ses cuisses. Les mouvements réguliers de sa tête ne laissaient aucune équivoque sur ce qu’elle lui prodiguait, confirmant en tous cas que ce n’était pas sa fille… Dans cette position, il avait une vue imprenable sur sa croupe moulée par sa jupe s’arrêtant au ras de ses fesses, qui marquait le V échancré de sa culotte et dévoilait très largement le haut de ses bas. L’homme lui plaqua la main sur la nuque pour accélérer le mouvement et poussa un grognement quand il jouit, lui gardant le visage collé contre son bas-ventre. Quand elle se releva, les lèvres gonflées et humides, elle esquissa une moue de dégoût, qui ne laissait aucun doute sur la qualité de leur relation de couple…


Il fut appelé dans la cabine peu après. L’homme était seul et lui demanda le menu du wagon-restaurant. Il commença à le réciter, mais se mit à bredouiller quand, par la porte de la petite salle de bains entrouverte, il vit dans le reflet de la glace la fille en train de se remaquiller la bouche. Il était troublé, moins par le ballet du rouge à lèvres sur sa bouche qui lui rappelait ce qu’elle venait de faire, que par le fait qu’elle n’était plus vêtue que de ses sous-vêtements. Sa lingerie de soie blanche unie mettait en valeur son bronzage.

Il s’attarda sur son bas-ventre encadré de son porte-jarretelles marquant sa taille fine, les jarretelles et les bas beiges bien tirés sur ses longues jambes. Elle faisait partie de ces filles qui, même jambes serrées, gardent un creux à la jointure de leurs cuisses, ce qui dégageait le bombé de son sexe moulé par la soie. Il s’empourpra quand il croisa son regard dans le miroir, comme un adolescent pris en faute. Mais loin de se formaliser de son indiscrétion, elle se contenta de lui sourire et reprit son maquillage sans chercher à cacher sa semi-nudité. Des fantasmes pleins la tête, il détourna malgré tout les yeux, de peur de se faire repérer par le mari, et sortit, les jambes un peu flageolantes.


Il fut appelé de nouveau, après leur retour du wagon-restaurant, pour préparer les couchettes. La fille s’était changée pour aller dîner et portait une jupe moulante assez courte dévoilant très haut ses cuisses nues. Ils étaient plongés tous les deux dans leur lecture et ne lui prêtèrent pas attention. Pendant qu’il refaisait les lits, il loucha malgré lui sur ses jambes croisées et déglutit quand elle les décroisa et les garda suffisamment entrouvertes pour qu’il puisse distinguer le fin dessin de la dentelle blanche de sa nouvelle culotte et la tache plus sombre de sa toison en transparence. Elle releva les yeux et eut de nouveau un sourire un peu ambigu, quand elle s’aperçut de la direction de son regard. Elle lui demanda :



Jamais il n’avait encore eu l’occasion de fréquenter une fille aussi classe et sexy et l’idée de devoir pénétrer de nuit dans sa cabine à sa demande le rendait de plus en plus fébrile à l’approche de l’échéance. À l’heure dite, il entra dans la cabine endormie. Couchée en chien de fusil, dos à lui, la fille avait laissé sa lampe de chevet allumée, révélant sous le drap fin la fine silhouette de son corps. Le tissu moulait le bel arrondi de ses hanches et ses fesses bien cambrées. S’approchant d’elle un peu gêné, il posa délicatement sa main sur son épaule nue pour la réveiller. Elle bougea un peu, sans pour autant sortir de son sommeil. Dans le mouvement, le drap glissa à terre, dévoilant sa nuisette de satin à fines bretelles qui s’arrêtait à mi-cuisses. L’absence de marque sous le satin semblait prouver qu’elle était nue en dessous. Il déglutit, partagé entre le désir d’aller plus loin et la peur de se faire prendre et de risquer de perdre son boulot. Mais se faire virer d’un job d’étudiant lui sembla peu de choses, comparé à la possibilité de découvrir un peu plus de cette chair tentatrice. Jetant un coup d’œil au mari qui dormait profondément, il s’enhardit et, du bout des doigts, souleva très doucement le fin tissu, suffisamment pour dévoiler en se penchant le pli sensuel de ses fesses nues au creux duquel il distinguait le départ de ses fines lèvres ourlées.

Elle avait vraiment une croupe magnifique et Marc, fébrile, continua de tirer sur le tissu pour finalement retrousser la nuisette au-dessus de la taille dénudant complètement la chute de ses reins au sillon profond et tentateur. Elle se tourna dans son sommeil et se mit sur le dos, lui dévoilant au creux de son ventre plat son pubis légèrement bombé, à la toison claire, discrète et bien dessinée, mis en valeur par la trace plus blanche de la marque de bronzage d’un maillot qui devait être assez étroit. Tandis qu’elle était ainsi abandonnée dans son sommeil, il put à loisir admirer la sensualité de ses courbes.


Le souffle court, sentant son sexe à l’étroit dans son pantalon, il ne put résister et posa une main sur le haut de sa cuisse, appréciant la douceur de sa peau. Devant le manque de réaction, il s’enhardit et plongea lentement entre ses jambes avec le tranchant de sa main, les desserrant, ouvrant le chemin de son ventre. N’y tenant plus, il remonta contre son sexe brûlant et vint frôler son intimité. Il la sentit frémir et le compas de ses cuisses s’ouvrit plus largement, l’exhibant complètement. La tête en feu, toute raison envolée devant l’abricot tentateur, il sortit son sexe et commença mécaniquement à se masturber devant le visage de la fille toujours endormie, pendant que, penché sur son ventre, il scrutait les lèvres roses pâles qu’il ouvrait de deux doigts, dévoilant l’orée de son vagin humide et son clitoris qui se dressa sous le contact. Une houle imperceptible commençait à agiter le ventre de la fille sensibilisée par la caresse, ce qui l’incita à aller plus loin et à la forcer d’un doigt. Tempes battantes, il pénétra sans difficulté son sexe, qu’il fut surpris de trouver aussi trempé, la faisant gémir dans son sommeil. Rentrant un deuxième doigt, fasciné, il les fixait disparaître dans son ventre et ressortir luisant de son plaisir avant de replonger et palper doucement les parois intimes.


Marc sentit avec surprise quelque chose de chaud et humide envelopper son sexe et se recula brusquement, découvrant la fille, bouche encore entrouverte, les yeux brillants et bien ouverts, prouvant qu’elle était réveillée depuis un long moment, se jouant de lui. Devant son air pétrifié, elle fit « chut » avec son doigt et, attrapant de la main son sexe tendu, le força à se rapprocher à nouveau. Elle écarta encore plus les cuisses en une invite muette, accueillant ses doigts avec un long gémissement tandis qu’elle gobait à nouveau son sexe, jouant de la langue sur son gland, avant de l’avaler plus franchement. Très excité par la vision de ce beau visage classique aux joues déformées par son membre, il la fouillait maintenant de trois doigts sans difficulté, distendant les lèvres fines, la faisant se tordre sur sa couche.


Il laissa son petit doigt venir s’égarer au creux des fesses, agaçant le puits froncé de ses reins. Il sentit la bouche se faire plus pressante sur son membre, prouvant que ce contact ne la laissait pas indifférente, et, poussant son avantage, il glissa une phalange dans l’étroit fourreau. Mais à peine avait-il rentré la deuxième phalange qu’elle s’arqua sur les talons et jouit avec un gémissement contenu, crispant sa main sur ses testicules, le faisant exploser quasi-simultanément au fond de sa bouche. Elle avala sa semence sans frémir et le lapa pour finir de le nettoyer.


La perversité de cette fille magnifique le rendait fou et, encore dur, il se rapprocha de ses cuisses pour la pénétrer. Mais elle rabattit sa nuisette en faisant non avec la tête, tira le drap, masquant sa nudité, et se retourna, sans lui accorder plus d’attention, les sens apaisés. Il sortit, hébété, aucun mot n’ayant été échangé.



Il revit le couple le lendemain dans le wagon-bar au petit-déjeuner, en discussion avec un diplomate africain au crâne rasé, plutôt beau gosse. Elle portait une jupe plissée blanche avec un spencer, et ses jambes croisées haut lui permirent de voir en se penchant qu’elle avait remis des bas. Elle ne lui accorda pas un regard et semblait plutôt fascinée par le Noir, bâti en athlète. Ce dernier ne semblait pas s’en soucier et Marc pouvait voir le dépit sur le visage de la belle blonde. Il la croisa à nouveau dans le couloir, mais elle fit semblant de l’ignorer. Malgré tout, il profita de l’étroitesse du corridor pour égarer une main sur sa croupe, sentant sous le tissu le relief d’une jarretelle et la marque de l’élastique de sa culotte étroite. Elle se dégagea et lui jeta un regard furieux, montrant ainsi que leur aventure n’aurait pas de suite. Un peu dépité, Marc n’insista pas, imaginant plutôt un stratagème pour la faire changer d’idée.

Plus tard le soir, quand elle sortit de sa cabine pour fumer dans le couloir, elle le vit s’approcher d’elle. Son visage se durcit et elle s’apprêtait à le jeter de nouveau quand il fit « chut » avec son doigt et lui fit signe de rentrer avec lui dans la petite cabine du contrôleur, prévue pour le repos du personnel.



Surprise et cédant à une curiosité très féminine, elle le suivit et le vit ouvrir un petit volet étroit sur le mur et lui faire signe de regarder. Intriguée, se glissant entre lui et le mur, elle se rapprocha de la fente. Ce qu’elle vit lui fit naître une boule de chaleur au creux de son ventre, découvrant dans le compartiment voisin le grand Noir allongé, nu sur son lit, en train de lire.


C’était un vieux contrôleur qui, sous le sceau du secret, avait indiqué à Marc cette combine qui existait dans certains trains, héritage de quelques employés pervers et bricoleurs. Il n’avait jamais pu en profiter, la distribution aléatoire des passagers par cabine de la part des agences de voyages n’ayant placé jusqu’à présent que des hommes seuls ou des couples âgés dans la cabine mitoyenne au cours de ses différents voyages. Quand il avait vérifié le nom de l’occupant en arrivant dans le train, il n’avait pas imaginé que la présence de ce diplomate noir pourrait lui permettre d’en profiter, pour une fois, de manière indirecte.


En effet, la jeune femme, troublée par le rôle de voyeuse qu’il lui faisait jouer et par la vision du sexe sombre, imposant même au repos, ne réagit pas quand, profitant de la promiscuité et des cahots du train, le corps du jeune homme se colla de manière insidieuse au sien tandis que ses mains se posaient sur la taille fine, le récompensant ainsi de son coup de poker. Le jeune garçon se retenait de ne pas la trousser tout de suite, de peur d’essuyer un nouveau refus. Il y a alla tout en douceur, caressant d’abord ses hanches avant de redescendre sur ses fesses, palpant ses formes pleines à travers la jupe plissée. Remontant les mains, il entraîna doucement le tissu jusqu’à la taille, dévoilant sa croupe qui semblait avaler sa culotte de dentelle blanche assortie aux porte-jarretelles.

Devant son manque de réaction, il se mit à genoux derrière elle pour mieux profiter du spectacle révélé par la dentelle ajourée qui dévoilait le sillon profond de ses fesses et moulait son sexe bombé. Il s’amusa à frôler la peau nue des hanches, des fesses, en passant par le haut de ses cuisses au-dessus de ses bas, mais sans toucher son sexe, l’électrisant malgré elle. Ses yeux toujours fixés sur le Noir, elle commençait à haleter sous la caresse perverse. Il rabattit alors sa culotte à mi-cuisse, dénudant sa toison blonde taillée en pointe au creux de laquelle tranchaient ses lèvres roses, gonflées et luisantes, qui trahissaient son plaisir. Elle sursauta quand elle sentit le visage du jeune homme s’enfouir entre ses fesses et sa bouche se plaquer contre son intimité offerte.


Se repaissant de son odeur de femme un peu poivrée, il embrassait les chairs délicates, jouant de la langue le long de ses lèvres, la sentant éclore, dégageant le capuchon gonflé de son clitoris qu’il agaça délicatement. Mains plaquées sur le mur, elle se mit à gémir doucement, le ventre en feu.

Il se redressa et elle entendit le zip de son pantalon avant de sentir le sexe durci battre contre ses fesses nues. Elle sentait qu’elle perdait la maîtrise du jeu et se crispa :



Elle serra les jambes instinctivement dans une défense dérisoire. En effet, le creux naturel entre ses cuisses et la cambrure de ses fesses offrait son intimité sur un plateau à Marc. Il put ainsi caler sans difficulté son gland contre sa vulve, et il poussa verticalement. Les lèvres humides s’ouvrirent pour avaler le gland, mais il buta contre l’orée de son vagin qu’elle gardait contracté, ne voulant pas être pénétrée. Il essayait de la décontracter en glissant le long de ses lèvres, mais il butait toujours sur sa résistance passive. La jeune femme avait l’habitude de dominer les hommes et ne voulait pas lui laisser ainsi l’initiative. Sa résistance de principe s’effrita quand elle vit le Noir commencer à caresser machinalement son sexe imposant qui commençait à bander.

Le spectacle de ce membre qui se dressait la fit frissonner et il la sentit s’ouvrir d’un coup, le laissant enfin s’enfoncer dans son ventre. Il sentit le fourreau brûlant enserrer délicieusement son sexe et, en une seule poussée verticale, il vint buter contre les fesses fermes, lui faisant pousser un petit cri. Crochant ses hanches au niveau de la ceinture de dentelle, il commença à coulisser doucement dans la gaine trempée. La sensation de ce pieu qui l’envahissait la fit chavirer et, toute volonté de résistance abandonnée, elle écarta les jambes autant que le lui permettait sa culotte tirée à mi-cuisse, pliant les genoux pour mieux être pénétrée.

Il accéléra, la faisant onduler sous lui. Glissant une main sous son ventre, il descendit contre sa toison pour titiller son clitoris, avant de remonter l’autre sous sa veste, empaumant sa poitrine menue mais bien ferme, libre de toute entrave. Les pointes durcirent vite contre sa paume. Il les tordit avec les doigts, continuant de les allonger, et les tétons furent bientôt aussi durs et gros que des bouts de crayons, irradiant les sens de la jeune femme.


Gémissant sans discontinuer, elle roulait maintenant elle-même des hanches pour mieux se faire pénétrer. Marc crocha dans son porte-jarretelles et accéléra la cadence, son bas ventre claquant contre la croupe. Avec un grognement, il se déversa dans le ventre de la fille, déclenchant également sa jouissance. Se réajustant, il flatta une dernière fois les reins offerts et sortit, la laissant haletante, les bras encore plaqués au mur.



Il la revit le soir au bar, seule, en pleine conversation avec le Noir, et les observa discrètement. Elle portait maintenant une robe noire moulante assez courte qui dessinait joliment sa poitrine aux pointes légèrement apparentes et qui dévoilait très haut ses superbes jambes. D’après le regard du Noir, qui baissait souvent les yeux, elle devait même lui dévoiler beaucoup plus que ses cuisses qu’elle gardait légèrement desserrées. Manifestement émoustillée par ce qu’elle avait vu dans l’après-midi, elle lui sortait le grand jeu de séduction, se montrant très chatte. Elle lui murmura quelque chose à l’oreille et il vit les yeux de l’homme briller d’une lueur de concupiscence. Ils se levèrent alors et se dirigèrent vers la cabine du diplomate. Le jeune homme les avait précédés dans le couloir et avant de rentrer, elle se tourna vers lui et lui fit un clin d’œil complice, lui montrant la cabine d’à côté, lui signifiant qu’elle voulait qu’il les regarde.


Ouvrant fébrilement le volet, Marc les vit s’embrasser fougueusement, l’homme collé dos au mur. Il lui palpait furieusement les fesses, faisant remonter le tissu de sa robe, dévoilant la fourche de ses cuisses puis ses fesses rebondies barrées par le V étroit de la culotte de dentelle noire. Les mains pétrissaient avidement les rondeurs offertes, appréciant l’élasticité de la croupe que Marc avait pu déjà tester. Elle avait dégagé le sexe de l’homme et commençait déjà à le masturber. Pour toute réponse, il plongea sa main par-devant entre ses cuisses, lui empaumant le Mont de Vénus et la faisant se cambrer. Ils tanguèrent ainsi un moment, se caressant mutuellement en grognant.

Il voyait les doigts du Noir la palper à travers la dentelle. Le tissu était si fin qu’elle avait l’impression d’être nue sous ses doigts et elle craqua la première, laissant fuser son premier orgasme, trempant sa culotte, les mains crispées sur la verge tendue.


Fou de désir, le Noir lui arracha la dentelle et, la jetant sur le lit, se rua sur elle. Acceptant l’assaut bestial, la robe troussée à la taille, elle ouvrit largement les cuisses et le sexe imposant vint battre contre sa vulve offerte. Fébrile, elle le guida en elle, l’accueillant, malgré sa taille, avec un râle de plaisir. Le jeune homme vit le pieu noir disparaître entre les cuisses de la fille, au creux de la toison mousseuse. D’elle-même, elle bougeait le bassin, coulissant délicieusement sur le membre viril. Le Noir n’en revenait pas de posséder cette superbe blonde ainsi offerte. Lui remontant les cuisses sur la poitrine, il la pilonna sauvagement, la faisant se tordre et finit par exploser en elle, l’inondant de sa semence brûlante en rugissant, et retomba sur le côté, épuisé.


Mais la fille ne comptait pas en rester là. Se mettant debout, elle acheva face à lui de rouler sa robe, lui apparaissant totalement nue, superbe. Elle jeta un regard trouble derrière elle, vers la fente d’où matait le garçon et, se mettant à genoux, elle embrassa le sexe ramolli du Noir. Jouant de la langue, des lèvres et des doigts, elle le sentit à nouveau gonfler et s’en caressa le visage, avant de l’avaler, les yeux fixés sur la tige brûlante, entre ses lèvres distendues par l’épaisseur du membre. Elle sentait comme une caresse le regard de Marc sur sa croupe offerte et se cambra pour mieux s’exhiber.


Elle vint s’accroupir sur le sexe, le guidant d’une main, s’écartant de l’autre, sous l’oeil extasié du diplomate. Son gland força facilement les lèvres roses et disparut dans son ventre bouillant, quand elle s’empala complètement sur lui, malgré sa taille, fesses écrasées sur les bourses gonflées. Elle se mit à le chevaucher avec furie, révélant sa nature volcanique, se frottant contre le bas-ventre de l’homme, irradiant son clitoris. Marc savourait le spectacle du pieu imposant disparaissant régulièrement au creux de ses cuisses, et des lèvres pales coulissant sur le sexe sombre quand il ressortait de la grotte brûlante. Le jeune homme n’en crut pas ses yeux quand il la vit se retourner et, les yeux brillants, lui faire signe de les rejoindre. Quand il rentra dans la cabine, le Noir eut un mouvement vite réprimé par la fille :



Et, le pieu toujours fiché entre ses cuisses, elle se courba sur le Noir et l’embrassa pour le faire taire, cambrant les reins et ouvrant des mains le sillon profond de sa croupe, dévoilant son anus rose pâle en une invite explicite. Les yeux exorbités par le spectacle des reins ainsi offerts, Marc grimpa sur le lit, crocha les fesses fermes et, calant son sexe contre le puits froncé, força sans ménagement l’étroit oeillet avec son gland. D’une seule poussée virile, il la sodomisa entièrement, lui faisant dresser la tête. La facilité avec laquelle il s’enfonça entre ses fesses lui fit comprendre que ce ne devait pas sa première sodomie.


Le sexe et les reins écartelés par les deux sexes qui l’envahissaient, elle haletait bruyamment au rythme de leurs mouvements, le ventre brûlant, ondulant des hanches pour mieux les sentir au fond d’elle. Les seins dressés frottant contre le buste du Noir, yeux écarquillés, bouche entrouverte, elle s’abandonnait sans limite au plaisir de la double pénétration. Le Noir jouit le premier et le jeune homme, libre de toute contrainte, en profita pour accélérer le rythme, lui défonçant les reins, la faisant crier de plaisir, pendant que le Noir mordait sauvagement ses tétons durcis. Ils jouirent intensément ensemble et il se retira, la laissant le ventre encore agité de soubresauts.