n° 10907 | Fiche technique | 12020 caractères | 12020Temps de lecture estimé : 8 mn | 20/10/06 |
Résumé: Comment une projection privée de photos de vacances dérive sur un besoin irrésistible de faire l'amour à ma femme avec un ami et son frère, tout en douceur. | ||||
Critères: fhhh couplus extraoffre inconnu copains fête amour volupté voir exhib photofilm fellation double sandwich | ||||
Auteur : Bichon Envoi mini-message |
Invitation au diaporama.
Voici le message que nous avait laissé un ami sur notre répondeur : « Passez à la maison dîner demain soir, je suis seul à cause des vacances, j’en profiterai pour vous montrer le diaporama de mon dernier voyage ». Connaissant ses qualités de photographe, le résultat devait être garanti. Je le rappelai pour lui confirmer notre venue.
Le lendemain, je suis rentré à la maison pour me changer, lorsque j’ai croisé ma femme sortant de la douche ; elle avait quitté son travail plus tôt, ravie de cette invitation et se préparait pour cette douce soirée d’été. Elle qui se faisait toujours attendre d’habitude, se préparait avec soin, je la sentais heureuse, je la trouvais radieuse, ses cheveux châtains ondulaient sur ses épaules.
Elle mit des vêtements que j’adore : une jupe patineuse noire lui arrivant à mi-cuisses, un cache-cœur rouge vif, un petit foulard noué autour du cou soulignant son bronzage, elle se maquilla très légèrement. Elle m’annonça qu’elle était prête après avoir passé un châle noir sur les épaules et chaussé ses escarpins. Dans la voiture, mon regard déviait vers ses jambes découvertes, je me posais des questions sur le choix de ses sous-vêtements tout en restant sage pour ne pas être en retard. J’avais pris une bouteille de champagne pour agrémenter cette soirée.
Arrivés chez Luc, nous fûmes présentés à son jeune frère (22ans), venu à l’improviste en l’absence de sa femme. Je découvris que Christelle n’avait pas mis de soutien-gorge lorsqu’elle retira son châle, la coquine !
Un petit punch en apéritif, puis un autre, le repas se passa joyeusement en évoquant ce voyage en Scandinavie. Après un petit digestif, Luc nous invita à nous installer sur le canapé trois places, pour visionner les photos, il agrémenta sa projection d’une musique douce.
Ce canapé un peu trop bas, cette chaleur intérieure due au punch, provoqua chez ma femme une douce euphorie, sa jupe remonta un peu trop haut sur ses jambes lorsqu’elle s’assit, ce qui provoqua une convergence de tous les regards vers elle, souriante de cet effet involontaire sur notre libido.
Elle était assise à ma gauche, tandis qu’Étienne se trouvait dans un fauteuil de trois-quarts face, à sa gauche et Luc debout réglait les appareils entre elle et son frère, l’écran était face à lui, donc à ma droite.
J’aurais pu lui faire remarquer que sa tenue semblait osée, mais l’ambiance érotique de la situation, les vapeurs de punch, ce canapé profond me l’interdisaient, sa jupe qui dévoilait le haut de ses jambes et son cache-cœur rouge vif provoquaient un climat de voyeurisme collectif que je ne désirais pas rompre.
Luc éteignit la lumière et la projection commença. Au bout d’une dizaine de minutes, je sentis ma femme se coller à moi, glissant légèrement en diagonale du fauteuil, la tête en léger appui sur mon épaule. Elle étira un peu ses jambes vers la gauche, écartant légèrement ses cuisses, ce qui eut pour effet de tirer un peu plus sur sa jupe et de tendre un peu son haut. La semi-obscurité de la salle, agrémentée par la musique douce me permettait d’avoir de délicieuses pensées quant à la réalisation de notre fantasme favori de caresses à plusieurs. Je voyais les yeux des autres qui tentaient discrètement de s’insinuer entre ses cuisses bronzées, de découvrir cette culotte mystérieuse, d’essayer d’apercevoir la naissance d’un sein ou ce que faisait sa main, sagement posée sur ma cuisse. Luc toujours debout continuait son commentaire, mais sa voix devenait plus suave, le regard de son frère passait des photos aux cuisses de ma femme, comme s’il attendait une invitation à venir déguster son fruit défendu. Je tournai la tête vers eux pour obtenir des informations sur les photos, faux prétexte pour les observer.
Après une demi-heure de projection, Luc ralluma la lumière sans prévenir. La posture de ma femme me parut encore plus osée lorsque je découvris que de leur position, Luc et son frère devaient apercevoir la lisière de sa culotte.
Au bout de quelques secondes, qui me parurent une éternité, tout le monde retrouva ses esprits, elle se redressa, son cache-cœur bâilla un peu. Étienne nous servit le champagne, pendant que Luc préparait la suite de la projection. Heureusement que la musique masquait le trouble général.
Les verres furent reposés. Nous reprîmes nos places, l’obscurité revint et la projection reprit. Cette fois Christelle enleva ses escarpins, replia ses jambes sur le canapé et appuya sa tête sur mon épaule. Son cache-cœur souffrait de cette position, tendu d’un côté, moulant son sein, bâillant de l’autre côté, offrant son mamelon gauche à mon regard.
Luc s’en aperçut, il prit sa télécommande et se déplaça sur ma droite pour commenter les photos.
Quelques minutes plus tard, Christelle étira de nouveau ses jambes en direction d’Étienne. Elle les écarta innocemment, lui dévoilant sa culotte, tandis que Luc et moi mations son petit sein (85B) qui s’érigeait. Elle s’en aperçut, me sourit, pencha la tête en arrière et m’embrassa sous le regard envieux des autres.
Son expression visuelle semblait attendre mon accord pour s’offrir encore plus aux regards intéressés de nos hôtes.
Étienne ne regardait pratiquement plus les photos, il attendait notre réaction, l’œil fixé sur les cuisses entrouvertes de ma compagne, sur cette lingerie certainement humide.
L’ivresse de la situation m’excitait au plus haut point, mon sexe se trouvait à l’étroit, tout comme ceux d’Étienne et Luc, qui ne savaient pas comment détourner leurs yeux de ce corps quasi offert. Ils n’attendaient que mon feu vert pour entamer des caresses polissonnes sur ce corps si joliment exhibé. La décision m’appartenait, mais avais-je encore réellement le choix !
J’ai caressé les cheveux de Christelle, puis je l’ai faite pivoter sur le dos pour disposer sa tête sur mes cuisses. Elle me fixa, replia sa jambe gauche et écarta franchement ses cuisses, ce qui eut pour effet de faire glisser sa jupe vers son ventre, ainsi prête à subir l’intrusion de mains étrangères sur son corps frissonnant.
Le message fut immédiatement compris par nos amis, un simple regard vers eux leur montra mon accord tacite pour une nuit sublime et inoubliable de tendresse, de caresses et de jouissance. Pour mettre Christelle en confiance, je lui ai caressé délicatement le front de la main droite, et j’ai posé voluptueusement ma main gauche sur son ventre chaud.
Étienne se leva, vint s’agenouiller entre les cuisses écartées de ma douce. Sa main effleura doucement le grain de sa peau, sans se presser, sa bouche déposant de petits baisers sur toutes les parties frôlées ; pendant ce temps, Luc enlevait sa chemise.
La projection bloquée sur une image de fjords, la semi- obscurité, cette musique douce, rendaient l’atmosphère très sensuelle durant ce moment où nous prenions le temps de nous découvrir, de la caresser.
Ma main glissa sur le cache-cœur détendu pour saisir la petite fraise toute dure qui tendait le tissu depuis un bon moment, je la fis rouler doucement entre mes doigts.
Luc vint s’agenouiller au niveau du torse de ma femme, lui caressa le ventre, d’abord au travers de son chemisier, puis introduisit sa main à l’intérieur pour en extraire un sein qu’il prit entre ses lèvres, son autre main dénoua le vêtement devenu inutile. Il écarta les deux pans du cache-cœur, offrant à notre regard les petits seins arrogants de dureté de mon épouse. Christelle, allongée sur le dos, la tête sur mes cuisses, s’arc-boutait sous nos caresses. D’une main, elle me caressait les cheveux, de l’autre elle appuyait sur la tête de Luc qui lui mangeait un sein. C’était surréaliste et tellement sensuel ! J’en ai profité pour ôter ma chemise pour qu’elle puisse embrasser mon ventre.
Étienne, arrivait doucement à l’intérieur des cuisses, là où la peau est si chatouilleuse. Ses sensations provoquèrent le ruissellement sans retenue de son vagin. Il nous dévoila sa petite culotte rouge à volants, embrassa son sexe couvert de satin, puis écarta les bords de cette lingerie excitante pour glisser sa langue sur sa chatte trempée. Quelques léchouilles plus tard, il glissa ses mains de part et d’autre de la jupe pour la faire glisser le long de ses jambes dénudées depuis le début de la projection. Mon amour se souleva pour lui faciliter la tâche, il fit de même avec la culotte avant de plonger sa bouche entre ses cuisses, vers ce puits d’amour inondé. Sa toison châtain clair subissait l’assaut d’une langue et de doigts vicieux. Elle fut sucée, tétée et caressée un long moment, offerte pour la première fois à six mains vagabondes, deux bouches étrangères, par trois hommes qui la cajolaient.
Après un orgasme explosif, elle se leva, entreprit d’enlever mon pantalon, prélude à une suite attendue. Christelle, nue, se pencha, embrassa mon sexe, tandis que les deux frères enlevaient leurs vêtements. Une fois dévêtu, Étienne se colla derrière elle pour saisir à pleines mains ses deux seins dressés. Il appuya son pénis gonflé sur ses fesses et la redressa.
Luc se plaça face à elle, une main sur sa toison trempée d’amour, un doigt inquisiteur cherchant le clitoris, ils la collèrent entre eux. J’avais remarqué sur le buffet une boîte de préservatifs. Elle me fixa amoureusement, je lui tendis un préservatif, puis devant mon sourire, elle descendit doucement vers le pieu qui n’attendait que sa bouche. Je tendis à Étienne une autre capote pour qu’il puisse profiter de ce sexe si bien chauffé par sa bouche, qui n’était plus que fontaine de jouissance. Il la pénétra en douceur pendant qu’elle pompait délicatement la bite de son frère.
Pour ma part je l’observais avec amour, content de son exhibition, de son audace et de la tournure de la soirée, caressant mon sexe raide et sensible face à tant d’érotisme.
Il jouirent en même temps dans ses entrailles, puis la tournèrent vers moi pour partager leur plaisir.
Après une pause-boisson et une petite toilette, nous nous retrouvâmes tous les quatre nus dans la salle à manger à attendre la suite de cette aventure. Luc annonça que le diaporama était presque terminé, cependant il désirait continuer cette agréable soirée de plaisir en proposant à Christelle un sandwich maison. Là, je ne reconnaissais pas, elle accepta sans difficulté. Elle fut embrassée partout, du cou au bas du ventre. Luc insinua sa langue entre ses fesses, sur son œillet fragile. Nous étions de nouveau tous repartis dans une excitation irréelle.
La sentant fléchir sous nos mains et nos bouches, je l’ai attirée sur le canapé, à cheval sur mon sexe en lui écartant les fesses.
Étienne se plaça derrière elle, pointa son épée encapotée vers son petit trou bien lubrifié, puis nous nous mîmes en mouvement calmement, lui arrachant des cris de plaisir. Mon épouse goba le sexe protégé de Luc comme une affamée.
Nous eûmes tous le plaisir de profiter de son appétit sexuel durant cette soirée. L’ambiance tamisée, l’érotisme latent de la situation et la lenteur des caresses ont grandement contribué à la réalisation de ce fantasme dont nous gardons un délicieux souvenir de jouissance, de partage, qui alimente certaines de nos soirées.
Luc nous a promis de convaincre sa femme, absente avec les enfants au moment des faits, de partager une soirée à quatre avec nous : voir deux femmes s’aimer étant un autre de nos fantasmes communs.