Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 10949Fiche technique13053 caractères13053
Temps de lecture estimé : 9 mn
04/11/06
Résumé:  Un couple se réveille pour une sodomie.
Critères:  fh couple revede fsodo
Auteur : Macapi            Envoi mini-message
Comme un rêve

Notre petite soirée au salon s’est bien terminée, mais il était quand même tard. Nous avions commencé à parler vers onze heures du soir. De fil en aiguille, nous n’avions pas vu le temps passer. Nous parlions de nos vies, de notre futur, de notre rencontre trois mois auparavant. Nous étions tout simplement heureux. Heureux mais fatigués tout de même lorsque deux heures du matin nous a vus toujours debout.


Il m’a alors prise dans ses bras et m’a portée dans son lit. Je savais que nous ne ferions pas l’amour ce soir. Ce matin avait été particulièrement chaud, je ne m’attendais donc à aucune initiative de ce côté, et j’avais plus envie de dormir qu’autre chose. Nous avions 25 ans tous les deux, moi une brunette mince mais assez bien roulée aux yeux verts, lui un grand musclé aux yeux et aux cheveux noirs. Les séances de gym lui avaient bien réussi.


Il m’a donc portée dans son lit. J’étais blottie dans ses bras, j’avais l’impression de ne peser qu’une plume. Il m’a doucement déposée de mon côté du lit, parce que nous avons déjà chacun notre côté, lui à droite, moi à gauche. Le choix s’était fait naturellement. Chez moi, je place l’horloge à gauche, tandis que chez lui il la place à droite. Donc chacun ses habitudes. Encore des points en commun, des éléments qui nous rapprochent simplement, des conflits évités sans heurts.


Il a commencé à se déshabiller. J’ai compris qu’il fallait que je fasse de même. Les vêtements sont tombés les uns après les autres, dans des froissements furtifs, en un tas diffus au pied du lit qu’on ramasserait le lendemain. Je me suis entièrement déshabillée. Je n’avais pas de nuisette à enfiler, je préférais donc dormir nue. De son côté, il avait conservé son caleçon moulant aux motifs qui me font penser à une peinture de Monet. Je le trouve tellement séduisant, les fesses mises en valeur par le tissu satiné, le sexe légèrement comprimé, les cuisses fortes sortant comme une agréable surprise du bas du sous-vêtement. Il savait que j’aimais le regarder. J’ai passé une main sur son dos, en descendant vers ses fesses et j’ai apprécié un instant la douceur sous ma main. Il m’a serrée dans ses bras, nous nous sommes caressé le dos quelques minutes. Puis il s’est allongé, m’entraînant avec lui.



Nous étions passablement fatigués et je crois que c’est la raison pour laquelle aucun de nous deux n’a insisté pour faire l’amour ce soir-là, ou plutôt ce petit matin-là, vu l’heure avancée.


J’ai sombré dans un sommeil réparateur très rapidement. Je n’ai même pas eu le temps de l’entendre commencer à respirer plus profondément. Je suppose que lui aussi s’est endormi.


Quelques heures se sont écoulées. Je rêve maintenant qu’il fait froid et que je dois absolument me battre avec la couverture pour conserver toute ma chaleur. Je me pelotonne encore plus dans le lit. Je me couche en position fœtale, je me colle sur ce corps chaud à mes côtés. Je sens maintenant une douce chaleur m’envahir. Je vois au loin un feu de camp. Je m’approche lentement. Je tends les mains et je sens que je me réchauffe au fur et à mesure que j’avance. Assis à côté du feu, il y a un homme. Je ne vois pas encore son visage. Je vais m’asseoir par terre à ses côtés et il soulève la couverture sous laquelle il s’était mis pour me faire une place au chaud. Je me colle à lui. Je ne vois toujours pas son visage. Je regarde le feu de camp qui ne semble jamais vouloir s’éteindre. De position assise, je me retrouve sans m’en rendre compte allongée tout contre l’inconnu. Il m’attire à lui pour que mes fesses se retrouvent sur son sexe. Cette position de cuillère me réconforte. Je me sens bien. Je pourrais m’endormir en cet endroit, devant le feu qui ne meurt toujours pas.


Puis je sens une petite secousse contre mes fesses. Son sexe était maintenant en érection et je le sentais qui voulait forcer la barrière de ses vêtements pour entrer en moi. Je n’allais quand même pas me laisser aller à faire ainsi l’amour avec un inconnu !


Une douce chaleur m’envahit. Le feu de camp semble s’éloigner. Sa chaleur est remplacée par une chaleur qui m’emprisonne toute entière. Un léger gémissement s’échappe soudain de mes lèvres. Je ne suis plus couché par terre, je suis maintenant dans un lit. Un corps collé au mien m’enlace. Je me fais chatte et j’ondule contre ce corps que je ne reconnais pas encore. Une main se promène sur ma poitrine et agace au passage les pointes de mes seins qui se dressent instantanément.


Un soupir sort de ma bouche alors que je commence à me rendre compte que je suis dans mon lit, que je ne rêve plus, que mon compagnon est collé à mon dos et qu’il me fait l’amour. J’ouvre les yeux et je les referme aussitôt. Je ne veux pas me réveiller complètement. Je veux croire que je rêve encore un peu.


Mon homme est bien bandé et je le sens à travers son caleçon. Je suis nue. Je sens donc le tissu qui se déforme et qui tente de se frayer un passage entre mes fesses. Parallèle à ma raie, il se masturbe doucement. Je bouge un peu le bassin et essaie de modifier un peu sa position pour qu’il entre un peu en moi. Je mouille abondamment maintenant. Je m’accroche à son bras et presse sa main sur mon sein. J’ai envie de lui. L’esprit encore dans la brume, je trouve la situation terriblement excitante. Je ne sais pas exactement ce que je fais, je ne veux pas être tout à fait consciente.


Mes mains partent en arrière à la découverte de son corps. Je le caresse et rencontre bien vite le dernier rempart qui nous sépare. Je l’attire contre moi, dans l’espoir qu’il se fonde dans mon corps, que nous ne fassions plus qu’un. Il commence lui aussi à gémir. Il se frotte de plus en plus vite à moi. Je suis excitée rien que par ce frottement. Mon sexe dégouline. J’ai envie de me masturber, mais je préfère qu’il finisse par me faire réellement l’amour.


J’accroche le haut de son caleçon et je commence à le déshabiller. Je le veux nu contre moi. Je veux sentir le contact de sa peau nue qui m’électrise. Il m’aide en se débarrassant rapidement du vêtement légèrement récalcitrant, en laissant le plus possible son sexe contre moi, pour que je le sente vibrer. Enfin nu, il se serre encore plus contre moi, cale son sexe sur le haut de mes fesses et recommence à se masturber.


J’ai envie de lui. Je le veux en moi. Comme il se frotte à mon cul, c’est dans ce trou que j’aimerais le sentir. Il commence d’ailleurs à mouiller et il glisse plus facilement entre mes deux globes. Je modifie comme je peux ma position pour que son gland accroche mon anus. Je fantasme sur cette sodomie qu’il n’effectue pas. Je me frotte à lui. Je n’en peux plus, je gémis de manque, je l’attire à moi.


Ma main caresse le bas de son dos et son pubis. J’en profite pour écarter un peu plus mes fesses et ainsi lui laisser le passage. J’essaie autant que possible d’aligner ma rosette avec le bout de son sexe tendu à l’extrême. Il semble trouver également beaucoup de plaisir à cette situation ambiguë. Une fois qu’il est bien calé contre ma petite fleur, je le sens qui pousse un peu et tente d’entrer. Il voudrait donc lui aussi me pénétrer de cette façon.


Au fur et à mesure qu’il se frotte à moi, son liquide lubrifiant se répand sur mes fesses et commence à faire son oeuvre. Il a maintenant un accès presque préparé à mon fondement. Je ne lui dis pas clairement mon envie, mais je le presse contre ma rondelle en plaquant son corps contre le mien de toutes mes forces.


Son sexe glisse une fois de plus vers le haut de mes fesses. Il continue à se masturber de la sorte tout en me caressant les seins. Je gémis de plus belle. Je pousse mon bassin vers l’arrière un peu plus à sa rencontre. Les yeux toujours fermés, je bouge comme dans de la ouate. Je me sens transportée dans un monde de sensations. Je n’ai plus vraiment conscience de l’endroit où je suis.


Je me déplace encore une fois à la recherche de son gland. Je veux le sentir en moi. Je ne veux pas utiliser mes mains pour le mettre en position, ce serait gâcher la magie du moment. Je me tortille un peu, de plaisir, de torture, j’ai tellement envie de lui. Je ne peux plus tenir, je gémis. Il me faut son pénis. Mon clitoris me fait mal, il est tendu de plaisir. Je frotte encore plus fort mes fesses à son membre. Je le sens qui vibre intensément. Ses mains pétrissent mes seins sans ménagement, générant ainsi des ondes de plaisir jusque dans mon bas-ventre.


Il a tellement mouillé de désir que mon cul est maintenant tout trempé. Je l’immobilise un instant en le plaquant par le bas du dos tout contre moi. Il arrête ses mouvements de bassin un instant, pour savourer le plaisir comme nous le faisons souvent. J’en profite pour me repositionner un peu à l’aveuglette. Et finalement, je le sens, son gland est sur mon petit trou. S’il pousse un peu, il va pouvoir entrer et me procurer le plaisir que j’attends. Je l’incite par des pressions de ma main et par mon bassin qui se tend vers lui, désespérément.


Je le sens qui recommence ses va-et-vient tout en gémissant. Il n’a pas changé de position. Son sexe appuie maintenant fermement sur l’entrée de mon cul. Je gémis de plaisir anticipé. Je le veux au plus profond de moi. Je ne bouge plus, je veux garder l’alignement. Ma rondelle se détend un peu sous ses poussées répétées. Toute sa mouille suffit à permettre la lubrification. Je voudrais accélérer les choses. Je voudrais déjà avoir atteint un orgasme fulgurant. Je suis dans un monde de sensations sublimes. Je ne rêve pas, je vis intensément le plaisir qu’il me donne.


Je sens que ma rosette va céder. La douceur de la peau de son sexe contre mes fesses électrise tout mon corps. Il me rend folle d’attente. Je n’ose pas bouger de peur qu’il glisse à nouveau vers le haut. Mais au fil des pressions, ce muscle si particulier finit par absorber le bout de son gland. Cela m’arrache un gémissement encore plus fort que les autres. Il se retire et revient, il s’enfonce un peu plus loin. Il se retire encore, il attend au bord de mon cul, je gémis, je me tortille presque, dans un demi-sommeil je l’attire vers moi. Enfin, il s’enfonce encore en moi, tout le gland est maintenant dans mon fondement. Je le sens bien, il a de petits spasmes qui m’indiquent son niveau de plaisir. Il ne ressort pas, il se colle un peu plus à moi et entre de toute sa longueur. Je le maintiens fermement, je ne veux plus qu’il ressorte. Je suis bien avec son sexe en moi. Il bouge doucement.


Il glisse bien dans mon petit cul. Je lâche un petit cri chaque fois que le sens bien enfoncé. Il est proche de sa jouissance. Il grossit en moi et me remplit encore mieux. Je ne peux pas m’empêcher de bouger sur ce sexe magnifiquement bandé. Je le veux de plus en plus vite, je veux jouir.


Ma main droite délaisse son corps et se dirige maintenant vers mon clitoris hyper-sensible. Je veux accentuer ma jouissance de le sentir dans mon cul. Je veux jouir avec son sexe à l’intérieur. Je me caresse impudiquement, rapidement, il n’est pas ici question de faire durer le plaisir. Je suis au bord d’un orgasme fulgurant. Mon doigt sur mon bouton provoque une contraction de tout mon corps et il le ressent. Mon cul s’est resserré sur son membre, lui arrachant un autre gémissement. Maintenant il peut me défoncer, je veux qu’il jouisse avec moi. Mon doigt s’active et je sens des vagues de plaisir déferler sur moi. Ce plaisir est amplifié par son sexe dans mon cul.


Je crie mon plaisir, chacun de ses coups de boutoir est accompagné de mon doigt sur mon clitoris. Je prends le même rythme que lui, je sens que son plaisir n’est pas loin. Il accélère la cadence de ses va-et-vient, j’accélère le mouvement de mon doigt habile. Des contractions se propagent de mon sexe jusqu’à mon anus. En retour son pénis se gonfle spasmodiquement. Il commence à ahaner, je crie et je me perds dans mon plaisir, je sens un dernier coup de boutoir alors que mon corps se tend pour l’ultime assaut du plaisir.


Je me sens détendue, mon amoureux dans mon dos m’enlace. Vaguement je sens que mes fesses sont mouillées. Un baiser vient se déposer sur mon épaule. Je me cale contre sa poitrine accueillante et je me rendors, apaisée.