n° 10955 | Fiche technique | 9756 caractères | 9756Temps de lecture estimé : 6 mn | 05/11/06 |
Résumé: Martine s'est vraiment ennuyée de son amoureux, mais elle ne s'attendait vraiment pas à la soirée qu'il lui avait préparée. Soirée qui l'a faite frissonner de la tête aux pieds et qu'elle n'est pas prête d'oublier. | ||||
Critères: fh couple volupté fsoumise hdomine cunnilingu pénétratio jeu attache | ||||
Auteur : Vice caché Envoi mini-message |
L’attente enfin récompensée.
Martine l’attendait avec impatience, ça faisait bientôt deux mois qu’elle ne l’avait pas vu ; elle avait tellement eu de plaisir lorsqu’il était venu au mois d’avril, que maintenant son corps le réclamait sans merci. Heureusement, il revenait définitivement ; en effet, c’était la fin de son contrat et il lui avait dit qu’ils fêteraient cet événement de belle façon.
Enfin la sonnerie de la porte retentit, elle se dépêcha d’aller actionner l’ouverture de l’entrée extérieure, vérifia une dernière fois son apparence et alla ouvrir la porte de l’appartement…
Benoît était là, avec son jean noir et sa chemise vert forêt, il était tout simplement époustouflant. Il s’avança doucement vers elle et la prit tendrement dans ses bras.
Martine se sentit fondre de bonheur,
Benoît se pencha vers elle et lui prit tendrement les lèvres, le baiser fut doux et tendre tout d’abord, puis de plus en plus passionné à mesure qu’elle y répondait ; elle commençait à sentir ses jambes trembler sous elle en même temps qu’une douce chaleur s’insinuait sournoisement en elle. Ils durent enfin se résoudre à se séparer pour reprendre leur souffle.
Elle revint avec les verres pendant qu’il débouchait la bouteille et il les remplit tous les deux.
C’est alors qu’elle remarqua qu’il avait déposé un sac sur la table du salon.
Martine sentit sa curiosité s’éveiller, que pouvait-il bien y avoir dans ce sac, serait-ce un cadeau pour elle ou autre chose ?
Après quelques instants, leurs verres vides furent déposés sur la table et Benoît se tourna vers Martine.
Il se leva et prit son petit sac en se dirigeant avec elle vers sa chambre.
Il s’avança alors vers elle et commença à déboutonner sa blouse lentement. Elle voulut, elle aussi, déboutonner sa chemise, mais il l’en empêcha.
Après qu’il eût fini de déboutonner sa blouse entièrement, il la laissa glisser doucement sur ses épaules et défit l’unique bouton de sa jupe, pour ensuite en faire descendre la fermeture Eclair. Son vêtement s’étala tel une corolle de fleurs à ses pieds. Il ne lui laissa que ses sous-vêtements de dentelle.
Il l’attira ensuite vers le lit.
Martine obtempéra et s’allongea sur le lit.
Benoît prit alors son sac et en sortit deux foulards de soie, un éclair de compréhension s’alluma alors dans le regard de Martine.
Il se pencha alors tout doucement vers elle et lui lia tendrement le poignet droit à la tête du lit et fit ensuite de même avec le gauche.
Il sortit alors de son sac une plume et commença à lui caresser doucement le visage, faisant glisser la plume sur son front, son nez, ses lèvres, la ligne de sa mâchoire et son cou, tout en déposant de légers baisers à tous les endroits où la plume s’arrêtait. Martine se sentait frissonner de plaisir. Il suivit la courbe de sa gorge pour s’arrêter à sa poitrine gonflée de désir, il dégrafa enfin son soutien-gorge pour libérer ses seins chauds et souples. Il continua alors à l’effleurer avec sa plume diabolique, le contour de ses seins, puis leurs pointes déjà durcies, le tout toujours suivi d’une pluie de baisers. Benoît continua à la taquiner avec sa plume, maintenant il la promenait sur ses jambes jusqu’à l’intérieur de ses cuisses, il y déposa un dernier baiser et se leva.
Il s’y dirigea et elle l’entendit farfouiller dans le réfrigérateur et les armoires pour en revenir avec un plat en plastique fermé dans les mains. Il entreprit alors de se dévêtir, Martine se sentit défaillir à la vue de son corps ferme et musclé. Il prit alors la boîte dans ses mains, l’ouvrit et en saisit le contenu du bout de ses doigts ; il lui montra alors ce qu’ils contenaient… Un glaçon.
Il prit le glaçon et le passa sur ses lèvres frémissantes, sur ses seins et Martine cambra les hanches de surprise ; il fit des cercles de plus en plus rapprochés autour des aréoles pour finir par en taquiner la pointe ; il laissa alors le glaçon glisser jusqu’à son ventre pour qu’il y fonde doucement. Martine était parcourue de frissons, dus autant au froid qu’au plaisir. Il s’abaissa alors doucement vers elle et fit glisser lentement de ses jambes son string de dentelle noir, qu’elle avait mis tout spécialement pour lui. Benoît prit alors un autre glaçon dans la boîte et se mit à lui caresser les jambes jusqu’à l’intérieur de ses cuisses ; il s’y attarda un peu et commença à passer le glaçon sur son sexe palpitant. Il écarta doucement les lèvres et glissa le glaçon à l’intérieur d’elle.
Il se pencha vers elle et l’embrassa, il massa sa langue de la sienne et explora à fond toutes les cavités de sa bouche gourmande.
Martine se sentait complètement déboussolée, elle était à la fois envahie par la chaleur du baiser et par le froid glacial entre ses jambes. Il mit fin au baiser et se pencha sur ses seins qu’on aurait dit sur le point d’exploser, tellement ils étaient gonflés d’excitation ; il en prit un dans sa main et de ses doigts agiles en pinça doucement la pointe et mena sa bouche au deuxième pour en sucer doucement le bout. Martine laissa échapper un gémissement langoureux, elle sentait l’humidité qui s’échappait d’elle de plus en plus, à mesure qu’il lui prodiguait ces douces tortures.
Martine s’y employa aussitôt.
Il s’approcha et inséra un doigt qui glissa tout naturellement en elle et commença à le bouger lentement. Il s’avança pour stimuler son clitoris de sa langue, il ajouta un deuxième doigt, puis un troisième, tout en continuant son mouvement de va-et-vient lancinant. Puis lorsque Martine fut au bord de la jouissance, il retira ses doigts et s’empala prestement en elle. Martine sentit tout contrôle l’abandonner, son corps jaillissait de lui-même pour le rencontrer comme un possédé et sa tête remuait de gauche à droite, comme si elle était désarticulée. Elle aurait aimé pouvoir s’accrocher à lui, mais ses mains ligotées l’en empêchaient et il la martelait de plus en plus vite et de plus en plus fort. Elle sentait naître et se développer en elle l’orgasme le plus gigantesque qu’elle ait connu, il déferla sur elle comme un raz-de-marée. Elle cria et tout son corps s’arqua vers lui, elle se contracta et il la suivit aussitôt sur cette vague énorme qu’était leur orgasme. Il retomba ensuite épuisé sur elle.
Leurs corps tremblaient encore quelques minutes après que la dernière vague de plaisir se soit dissipée. Ils se détendirent enfin, il la détacha et il la prit tendrement entre ses bras puissants. Martine, avant de s’endormir se promit que la prochaine fois, ce serait elle qui prendrait le contrôle et que lui, se laisserait faire.
Fin