n° 10983 | Fiche technique | 22002 caractères | 22002 3614 Temps de lecture estimé : 13 mn |
16/11/06 |
Résumé: Après s'être fait berner par une sexagénaire lubrique, Pierre persiste et signe, bien involontairement, inconscient de sa naiveté chronique ! | ||||
Critères: fh fplusag extracon grosseins vacances exhib noculotte photofilm lingerie entreseins fellation cunnilingu anulingus préservati fdanus fsodo portrait | ||||
Auteur : XXL (Manipulation d'un mâle naïf par des dames âgées et perverses) |
Épisode précédent | Série : La grande désillusion Chapitre 02 / 02 | FIN de la série |
La Grand Place pavée de Bruges inondée de soleil, les calèches bondées de japonais prêts à affronter stoïquement l’odeur du crottin frais et fumant, les lycéennes anglaises aux strings multicolores débordant d’un jean à taille très basse, une bière d’abbaye fraîche en guise d’apéro à la terrasse d’une taverne : que demander de plus à l’occasion d’un jour de détente que je m’étais accordé, comme ça, sur un coup de tête, à deux heures de route de chez moi ?
Face à ma table, à un mètre, de dos, un grand monsieur très chic. Il lit un journal. Son épouse, face à moi, me sourit. Ses cheveux sont gris argent. Son visage a subi un lifting qui, en tirant sur les pommettes, lui donne un petit air asiatique. Deux rides profondes creusent quand même son cou. Elle semble avoir chaud car, elle agite à deux mains le bas de sa jupe plissée, pour éventer ses longues jambes, gainées de bas blancs et nacrés. Elle continue à me sourire et elle soulève plus haut sa jupe, en l’agitant, pour créer un courant d’air sous le tissu. Comme le spectacle semble m’intéresser, elle découvre volontairement le haut de ses cuisses, sur lesquelles cheminent des jarretelles blanches. Je ne détourne pas le regard, elle non plus. Sciemment, elle relève complètement sa jupe, pendant deux secondes au moins. Son porte-jarretelles est recouvert, en partie, d’une petite culotte blanche, fine et transparente, tendue par un pubis proéminent. Sa fente est longue et sombre, comme engloutie entre les deux épaisses boursouflures de sa chatte rasée. Je lui lance un clin d’œil, elle me répond par le même signal complice, avant de sortir un stylo et, de griffonner discrètement un mot sur une carte de visite. Son mari ne relève même pas la tête de son journal quand elle se lève en prenant son sac à main. Elle se dirige vers l’intérieur du café, en faisant un détour vers ma table. Elle est très grande, sa poitrine somptueuse danse, comme si le soutien-gorge avait été desserré de plusieurs crans. Elle dépose la carte sur ma table en me fixant le blanc des yeux, déterminée, puis elle continue son chemin, comme si de rien n’était…
J’avais écris un énorme « OK » sur mon sous verre en carton en attendant son retour. Elle en fut ravie mais ne sembla pas troublée outre mesure. Décidément, j’étais devenu la coqueluche des mamies qui voulaient s’encanailler ! Cette constatation ne me sembla pas du tout gratifiante pour mon image de marque. Comme j’avais du retard d’affection à rattraper, je remis à plus tard une analyse exhaustive de la situation.
La maison flamande était étroite et haute, au bord d’un canal où passaient les bateaux-promenade, remplis de touristes qui mitraillaient le site, avec leurs appareils photo numériques. La dame belge ne prononça aucune parole quand elle m’introduisit dans la riche demeure. Elle écrasa une longue cigarette turque, termina son verre de Chivas, et elle me prit la main pour m’entraîner dans un escalier tournant, en marbre noir. Son long déshabillé rose était opaque et la simple ceinture qui le fermait arrivait à peine à retenir ses seins opulents, libérés de toute entrave. Sa chambre relevait d’un décor de cinéma, avec des tentures fuchsia, un gigantesque lit rond, recouvert d’un drap de satin rose qui scintillait sous l’éclairage des nombreux spots disséminés dans la pièce. Toujours muette, elle entreprit de me dévêtir, accompagnant sa tâche de dizaines de baisers mouillés sur le torse, les cuisses et le pénis.
Pendant que je me débarrassais de mes chaussures, de mon pantalon et de mon caleçon à fleurs, la grande dame s’écarta et fit glisser son déshabillé. Elle ne portait que son porte-jarretelles et ses bas nacrés. Ses seins impressionnants pendouillaient un tout petit peu et la fente de sa chatte rasée n’était plus vraiment rose nourrisson, mais cela n’avait pas l’air de la traumatiser. Sans qu’aucune parole ne soit prononcée, elle se mit à quatre pattes sur le lit, face à moi et agita lentement son buste. Les gros nichons subirent la loi de la gravitation et virevoltèrent, synchrones, dans une rotation qui me déclencha une érection spontanée. Debout en face d’elle, mon sexe vagabondait dans la bouche gourmande de mon hôtesse. Les mains agrippées à ses mamelles hollywoodiennes, j’étais aux portes du paradis blanc. Je dus prendre sur moi pour ne pas me laisser aller à une éjaculation précoce, mais j’avais des principes et une bonne éducation ! La mamie belge bénéficia donc de tout mon savoir-faire dans les caresses préliminaires et, ma foi, s’en trouva fort satisfaite. Sa volumineuse chatte imberbe, moelleuse à souhait, n’avait plus de secret pour ma langue mutine ; le clitoris, incandescent, rosissait de plaisir alors que, son anus, encore encombré de mon index agile, semblait frétiller de reconnaissance.
J’entendis alors le son de sa voix pour la première fois. Avec un savoureux accent belge, la Brugeoise, en me tutoyant, me proposa, si cela ne me choquait pas, de conclure nos ébats par une spécialité française qu’elle avait eu l’occasion d’apprécier en vacances dans notre beau pays… C’était nouveau, ça venait certainement de sortir sur Internet mais moi, je n’étais pas au courant ! Surprise de mon ignorance, elle ne consentit à me dévoiler son caprice qu’à l’oreille, en susurrant : Madame voulait se faire sodomiser, tout simplement, si je peux dire !
En fait, elle voulait concrétiser un phantasme bien précis et je lui laissai l’initiative des opérations. Allongé sur le lit, je venais d’enfiler un préservatif. Le sexe raide bien en main, j’attendais ma partenaire. Elle se lubrifiait énergiquement le trou du cul, avec une crème antirides qui traînait sur sa coiffeuse, semblant ignorer complètement la gigue improvisée de ses gros nichons, entraînés dans le mouvement.
Après m’avoir redemandé si je n’avais pas changé d’avis, ravie, elle escalada le lit. Madame s’accroupit, en baissant la tête pour viser l’extrémité de mon pénis dressé, et elle présenta poliment son trou du cul, pile-poil sur mon gland, très honoré de cette visite. En fait, je n’eus rien à faire. C’est la Brugeoise qui s’enfila elle-même, à son rythme. Elle fermait les yeux, dodelinait de la tête et semblait vraiment prendre son pied. La dame belge accéléra ses mouvements de croupe, me demanda de lui caresser les seins, se masturba frénétiquement le clitoris et poussa un cri rauque, d’animal sauvage, quand elle jouit sans aucune retenue. Finalement, comme son anus était un peu irrité et douloureux, je ne pus qu’éjaculer entre ses gros nichons. Reconnaissante, la mamie m’ôta mon préservatif et, sa bouche aux grosses lèvres pulpeuses (chirurgie plastique à coup sûr) nettoya mon membre, comme un sou neuf. J’étais en sueur, surtout à cause de la rampe de spots que ma partenaire n’avait pas cru bon d’éteindre.
La Brugeoise m’annonça que j’avais tout le temps de prendre une douche vu que, son cher époux était parti voir sa poule des îles (dixit la belge) à Ostende. L’évocation de l’incartade de son époux remplit brièvement son regard de haine, mais un sourire radieux illumina son visage immédiatement après. Alors que, désormais complètement à poil, elle prenait un bain de siège sur le bidet, la Belge se laissa aller à quelques confidences, comme pour vider le trop plein d’amertume qui la minait. C’était une espèce de confessionnal laïque : moi derrière la porte translucide de la douche et elle, assise sur le bidet. Son mari et elle avaient formé longtemps un couple uni, envié par leurs amis puis, vers la cinquantaine, monsieur avait eu quelques maîtresses passagères. Madame décida de lutter en optant pour un lifting, douloureux, qui lui coûta la peau des fesses (au sens propre comme au sens figuré). Et puis, il y eut cette rencontre récente avec la Martiniquaise : la trentaine, divorcée, intelligente et très belle. La mamie belge essaya de raisonner, sans succès, son mari, elle le menaça de prendre un amant et de le faire savoir à leur entourage. Là, elle avait touché le point sensible, car Monsieur tenait à sa réputation et à son honorabilité de conseiller élu du bourgmestre de la ville. Mais le démon de midi (et demi, vu son âge) reprit vite le dessus. La dame humiliée prit sur elle et s’envoya en l’air avec un vieil ami, célibataire. Son mari rigola quand elle lui en fit part. Il ne crut pas une seule seconde que la grand-maman de soixante-six ans, si prude et si peu avide de sexe, ait osé mettre ses menaces à exécution. Alors, humiliée, elle demanda au fils de sa femme de ménage d’installer provisoirement et, en cachette, une caméra de vidéosurveillance, dans sa chambre. Je venais de l’inaugurer !
Depuis un certain temps, plus rien ne m’étonnait ; c’est donc avec un calme olympien que je sortis de la cabine de douche. Pas la moindre vocifération, aucune récrimination sur l’utilisation éhontée de ma personne dans une vidéo pornographique certes, mais, à usage interne et confidentiel. Je m’étonnais moi-même de mon indifférence aux aléas de la vie… le commencement de la vieillesse certainement. La Brugeoise, tout à sa vengeance, était complètement inconsciente de son indélicatesse. Dans le hall d’entrée de la maison bourgeoise, alors que je m’apprêtais à prendre congé courtoisement, elle eut même le culot de me proposer des billets de loterie du club de judo de son petit-fils ! Elle trouva plutôt surprenante la transaction que je lui proposai alors, mais elle l’accepta. Au point où elle en était, elle jugea qu’elle n’était plus à une dépravation près !
Débarrassée de son déshabillé, la grande dame, complètement à poil, prit donc position, respectant mes consignes. Debout, au-dessus de la cuvette des toilettes, les longues jambes légèrement fléchies, Madame fit son gros pipi de l’après-midi, sans état d’âme, en souriant même à l’appareil photo numérique avec lequel j’immortalisais la scène. Un petit bonjour à papa Freud, en passant, mais, ce n’est pas tous les jours qu’on a l’occasion de reluquer une vieille foufoune rasée se transformer en fontaine abondante… Cette fantaisie m’avait coûté cinq carnets de billets de loterie mais, dans ma poche, frissonnait une petite culotte transparente que j’avais récupérée discrètement dans le bac à linge sale, près de la baignoire.
Une poignée d’heures après mon premier tournage de vidéo X, sur l’autoroute du retour, en France, je m’arrêtais pour prendre un café. J’aidais un gringalet, d’une soixantaine d’années, à changer l’énorme roue crevée de son 4x4, sur le parking. Sa femme, qui conduisait, me demanda poliment de les escorter, jusqu’à chez eux (à une dizaine de kilomètres), au cas où une seconde crevaison surviendrait.
Pour me remercier, dans leur pavillon, elle improvisa un repas sur le pouce. Une affiche, de l’île grecque de Santorin, ornait un mur. J’évoquais alors avec mon hôte mes prochaines vacances en Crête. Que le monde est petit ! Le couple était inconditionnel de cette île : après quatre séjours successifs, ils en connaissaient la moindre petite chapelle aux dômes bleus, le moindre hameau inondé de bougainvilliers perdu dans la cambrousse et ignoré des touristes. Le petit homme, joyeux, annonça la nouvelle à son épouse ravie qui revenait de la salle de bains où elle avait changé de tenue. Le tailleur, pied de poule, avait été avantageusement remplacé par une tenue de détente. Cette métamorphose rajeunissait énormément l’apparence de la retraitée que son époux appelait amoureusement « Vivi ».
Le petit homme, aux cheveux courts coiffés en brosse, semblait habitué à cette tenue mais, moi, je ne pus m’empêcher de détailler cette heureuse apparition : une jupe courte et droite, en jean bleu ; les jambes nues avec une chaînette encerclant la cheville droite ; des sandales d’été, rouges, à semelles superposées ; un ras du cou très court, vert d’eau, qui dénudait le nombril et qui moulait la poitrine confortable de Vivi. Ce qui était sûr c’est qu’elle ne portait plus de soutien-gorge car, les aréoles sombres des seins se découpaient sur les mailles, tricotées maison. Ce qui m’avait aussi frappé, sur le parking, c’est sa coiffure, à la garçonne, gris argent mêlé de mèches carrément rouges. Elle gardait en permanence ses lunettes à grosse monture d’écailles, et sa bouche affichait une espèce de moue souriante, assez surprenante.
Installée, sur le divan, à côté de son époux, Vivi sirotait son apéro en intervenant dans notre conversation hellénique. Je me trouvais en face d’eux, dans un fauteuil et j’appréciais énormément les mouvements de jambes féminins : Vivi croisait ses jambes nues bien haut, elle les décroisait en tirant sur sa jupe courte qui remontait régulièrement sur ses petites cuisses fermes. Elle ne semblait pas gênée du tout par mon regard lubrique. Quand son mari lui demanda de resservir à boire, elle s’accroupit pour saisir la bouteille posée sur la table basse qui nous séparait et, commença à remplir mon verre. J’écoutais les conseils du mari sur la Crête quand, Vivi m’interpella, pour savoir si j’avais assez d’Ouzo. Je jetais un coup d’œil à mon verre et je restais pantois. Vivi, tournant le dos à son époux, me regardait, amusée. Accroupie, la jupe remontée à l’extrême, les jambes ouvertes, elle m’offrait volontairement la vision de son entrejambe, dépourvue de toute petite culotte. Une moule bien joufflue, quelques poils gris disséminés et une courte fente hérissée d’une crête rose foncé, assez volumineuse.
Attablé à côté du mari, je l’écoutais me faire une analyse humoristique du guide du routard crétois, en feuilletant leur album photos posé entre nous deux, sur la table. Durant leurs séjours en Crète, je trouvais que Vivi apparaissait beaucoup sur les photos ; souvent les seins nus sur la plage et, plus souvent encore, en compagnie de jeunes gaillards baraqués et bronzés. Viviane trouva que son mari n’était pas assez précis dans ses commentaires, et elle vint se placer derrière nous, debout, pour rajouter son grain de sel. Comme je n’avais rien à faire que d’être faussement attentif, je passais mon avant-bras droit sous la jupe en jean. J’entrepris de caresser les fesses rondelettes puis, la moule de Madame, en passant, par derrière, entre les cuisses qui s’ouvrirent sans problème. J’arrivais facilement à chatouiller le clitoris et à titiller la fente charnue. La mamie me lança simplement un regard amusé, en coin. Je reçus juste un coup de pied dans le tibia quand, elle sentit son anus envahir par, un gros doigt velu. En s’excusant, le mari invita son épouse à me raccompagner et à en profiter pour rentrer leur voiture car, il voulait consulter ses mails et contrôler la fin d’une enchère sur E-bay.
La nuit était tombée, Vivi m’entraîna vivement dans le garage, à l’écart de la maison, en m’adjurant de ne pas la laisser dans cet état-là. La lumière d’un halogène éclaira le déshabillage rapide de la coquine qui ne garda que ses sandales rouges. À genoux sur une couverture, Vivi, très excitée, avait baissé mon pantalon et mon caleçon. Elle me suçait avec fougue et application en me caressant les bourses d’une main experte. Accoudée sur l’établi, la croupe ouverte, elle savoura la grosse gâterie buccale que je lui offris, en m’accroupissant sous ses cuisses béantes. Alors que j’enfilais le préservatif, elle m’invita à la prendre en levrette car elle trouvait la pénétration maximum dans cette position. Elle réalisa très vite que mon pénis s’égarait, dans une ouverture plus étroite et, plus intime. Vivi me menaça, très sérieusement, de m’émasculer à la faucille si je persistais dans ma perversité… J’envoyai finalement mon flot de spermatozoïdes dans l’orifice à faire des bébés après que Madame ait exprimé sa grande satisfaction, en bloquant mon sexe avec les muscles de son vagin et en poussant un gloussement proche de celui, débile, de la pintade.
Je venais de démarrer mon véhicule quand je me rendis compte que j’avais oublié mes gauloises légères. Le couple ne m’entendit pas arriver avec le bruit de mon diesel. Vivi était encore à poil, elle s’essuyait l’entrejambe énergiquement, avec un mouchoir en papier. Le mari, aux anges, la complimentait sur sa prestation mais, il trouva que la précédente, avec le jeune routier Croate, avait été plus chaude et plus excitante. Son épouse, tout en se rinçant minutieusement la moule à l’eau du robinet, lui rétorqua qu’elle pouvait tout de même pas se faire enculer à chaque fois et user un tube de pommade pour calmer l’irritation de son trou du cul, pendant 48 heures d’affilée…
Deux mois plus tard, je posais mon polar, au pied de mon bain de soleil, dans un « all inclusive » Crétois. Les nageurs, en majorité italiens, s’ébrouaient bruyamment dans la grande piscine. Quelques couples homosexuels, des trois sexes, se doraient au soleil. Une teutonne rondelette faisait les yeux doux au plagiste dont le QI ne devait pas dépasser ma température anale, mais il était grec, jeune, baraqué et, curieusement, assez gras. Ma voisine de piscine et son mari, le seul couple français de l’hôtel, sortirent de l’eau en grelottant, regrettant d’avoir choisi les promotions de voyage du mois de septembre… Le mec, la cinquantaine bien tassée, emmitouflé dans son drap de bain, fonça boire un café chaud, arrosé de Raqui, au bar. Son épouse, moins frileuse, entreprit simplement de changer son maillot deux pièces, humide, contre un sec. Elle enroula son drap de bain autour de la taille, se tourna de dos à la piscine et, se débarrassa de son soutien-gorge, qu’elle accrocha au parasol. Ses mignons seins blancs contrastaient avec son bronzage. Ils se prolongeaient par des tétons imposants, rose sombre, qui s’érigeaient fièrement, certainement à cause de l’eau trop fraîche. La française ne prit même pas la peine de passer son soutien-gorge sec, avant de changer le bas de son deux pièces.
Etant bien élevé, je me replongeais dans mon bouquin, mais la Française m’interpella pour connaître mon avis sur les polars de Vargas. Je relevai donc la tête pour lui répondre. Sans aucune pudeur, ma voisine remontait son slip, trop ajusté, le long de ses cuisses. Le drap de bain ouvert, jusqu’au gros nœud qu’elle s’était noué à la taille, elle se contorsionnait pour remonter le bas du maillot. Elle dévoilait ainsi complètement son entrejambe d’une blancheur candide, simplement pollué par un triangle sombre de poils frisés. Le slip à mi-cuisses, la Française arrêta ses efforts et réitéra sa question sur le bouquin que je lisais. Deux protubérances joufflues cachaient presque la fente de la foufoune. La toison abondante aurait, à coup sûr, du mal à s’engouffrer dans le petit textile sec. Les souvenirs humiliants de mes dernières galipettes alertèrent ma méfiance, devant cette exhibition trop orchestrée pour être honnête. Je crus pertinent de faire une intervention orale ; cette fois au moins, je dominerais la situation :
J’attendais, en jubilant d’avance, l’écho de mon triomphe face à cette allumeuse. La Française, impassible, remonta son slip calmement, agrafa son sous-tif, alluma une cigarette et elle me tint un discours courtois et aimable :
On passa donc une partie de la nuit dans ma chambre.
Rien n’allait mal, sauf que, le lendemain midi, à la réception, alors que je demandais le numéro de chambre de mon amante d’une nuit, un jeune éphèbe, parlant un français d’Académicien, me répondit :