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Temps de lecture estimé : 14 mn
22/11/06
Résumé:  Une affaire dans laquelle je n'ai eu guère plus d'importance que l'objet qui a fait la gloire de Marcel Duchamp, Villeroy & Bosch.
Critères:  fh ffh hsoumis fdomine cunnilingu uro
Auteur : Julien 3
Petits arrangements entre filles

Cela faisait quelques mois que je vivais avec Marie-Thé. Belle fille bien sous tous rapports. Jeune, gaie, entraînante, la vie avec elle semblait facile, nous étions faits pour être ensemble, notre entente était telle que nous avons décidé de faire un petit bout de chemin ensemble. Bien sûr, comme dans tous les couples, il y a eu quelques engueulades mais ni plus ni moins que chez les autres ; on apprend à faire des concessions. Dans ces cas là, une bonne baise et nous repartions sur des bonnes bases. À propos de baise, notre entente était bonne bien qu’elle me refusait l’entrée de service et que je ne la recommanderais pas à un concours de pipes. Dans notre petit deux pièces nous avons baisé partout, sous et sur la table de la cuisine, dans la douche, sur le lavabo de la salle de bain, dans tous les coins du séjour et bien sûr dans le lit que nous avons mis un point d’honneur à essayer en long, en large et en travers ; en missionnaire, en levrette, sur les côtés, en 69. La brouette de zanzibar n’avait plus de secret pour nous.


Mais voilà, l’imagination a des limites, et sans nous en rendre compte les mêmes positions revenaient régulièrement, la routine commençait à gagner notre couple. Si c’était toujours aussi agréable de baiser, il y avait un manque, un fantasme qui me taraudait l’esprit et que je n’osais lui révéler de peur de la choquer. Je rêvais qu’elle me faisait pipi dessus et qu’elle me le donnait à boire mais je ne savais pas comment aborder le sujet.


Un jour sans prévenir, la providence se manifesta, enfin, si l’on peut dire! Nous étions en week-end, et paressions dans le lit, moi, allongé sur le dos et elle sa tête nichée dans le creux de mon épaule, un bras autour du cou et une jambe langoureusement posée par dessus mon ventre, elle me dit d’une voix endormie :



Je saisis la balle au bond.



Ce retour sur terre n’affecta en rien l’habituelle érection matinale aidée en cela par une envie de pisser. Marie-Thé, pas encore bien réveillée, se leva en grommelant contre tous les obsédés de la terre. Lorsqu’elle revint après s’être vidé la vessie, je lui fis remarquer, avec un soupçon de reproche dans la voix, qu’elle n’aurait pas dû s’essuyer. Elle me lança un regard noir et s’allongea sur le dos, les jambes écartées. J’oeuvrais dans le silence et si ce ne fut pas une baise très folichonne, au moins popaul fut soulagé.


Ce fut une occasion ratée mais je ne me décourageais pas. Quelques temps plus tard, j’eus une idée géniale, enfin, que je croyais géniale. Comme tout le monde ou presque, elle faisait un petit détour aux toilettes avant d’aller se coucher. Ce soir-là, j’avais décidé de l’accompagner. Un peu étonnée :



Un haussement d’épaules et elle commença sa miction sans gêne particulière. Assise sur la cuvette des WC, elle me cachait le jet mais j’entendais le bruit affriolant de son pipi qui tombait dans l’eau, elle poussait très fort sans s’apercevoir de l’émoi qui s’emparait de moi. Sans le lui dire, je ne pouvais que regretter de ne pouvoir goûter ce délice.


Le bruit de sa miction s’éteignait doucement, elle prit un morceau de papier toilette qu’elle plia soigneusement en deux, encore deux ou trois petits jets et elle se leva juste à peine de son siège pour s’essuyer. Je retins son poignet. Elle me regarda avec un air interrogateur:



Elle me regarda un peu surprise et son regard reflétait son incompréhension. Je me mis à genoux devant elle et enfin elle comprit.


Sa culotte au niveau des genoux l’empêchait d’ouvrir en grand ses cuisses. Elle l’enleva sans entrain comme l’on part au travail le matin et m’entraîna sur le lit où elle me dit que cela serait plus confortable.


Je goûtais son pipi pour la première fois, ce qui me mis dans un émoi extraordinaire malgré le peu qu’il y en avait ; les deux ou trois minuscules gouttes étaient déjà froides mais très aphrodisiaques. Le bonheur qui m’envahit fut tel que je mis toute mon ardeur dans mon travail de lèche et de succion. Cette ardeur se révéla communicative et Marie-Thé commença alors à répondre à mon désir. Mon sexe était à son apogée et nous fîmes l’amour jusqu’à épuisement.


Cette soirée de baise reste un merveilleux souvenir et elle eut des répliques dans les semaines suivantes. Marie-Thé s’était rendu compte du pouvoir magique de sa miction mais malgré sa bonne volonté et mes supplications, elle ne put jamais me pisser dessus et encore moins me régaler de son champagne. Au moins, ne considérait-elle plus ma "perversion" comme répugnante même si elle ne la comprenait pas.


Je fus donc tout surpris lorsqu’un jour, elle me dit en avoir parlé avec Cécilia, sa meilleure amie.


Marie-Thé et Cécilia travaillaient ensemble, déjeunaient ensemble et se téléphonaient dès qu’elles n’étaient plus ensemble. J’espérais bien pourtant que Marie-Thé aurait été discrète au sujet de mon péché mignon, ce sont des choses trop intimes pour que l’on se les raconte comme ça. Cela aurait dû rester notre jardin secret. Je restais confondu, très mal à l’aise mais j’essayais de prendre un air indifférent pour lui demander :



Je poussais intérieurement un "ouf" de soulagement. Je n’étais pas très rassuré en me demandant quelle attitude j’allais devoir prendre la prochaine fois que je verrais Cécilia mais au moins je ne serais pas un pestiféré, un dépravé à ne pas fréquenter.



Marie-Thé avait prononcé cette phrase sur le ton de la plaisanterie mais avec une expression indéfinissable sur le visage. Se moquait-elle ? Me testait-elle ? Je pris l’attitude de celui qui comprend qu’on lui tend une cabale et fis comme si j’avais pris ça à la rigolade. Sur le même ton, un rien provocateur.



Je ne prenais aucun risque en disant cela, c’était pour provoquer ma compagne, d’autant que Cécilia n’était pas du tout mon genre de fille bien qu’elle ne se soit jamais gênée pour me faire comprendre qu’il me suffisait d’un mot, d’un geste, pour me tomber dans les bras. Extravertie, elle avait un corps superbement bien proportionné avec une légère tendance à s’empâter. Elle avait, malheureusement pour elle, un visage ingrat qui lui valait des "fiancés" surtout attirés par le sexe, mais qui ne répondaient pas à son besoin de tendresse. Toujours entre deux régimes, elle compensait en essayant de garder un dynamisme volontaire qui était finalement très fatigant pour son entourage.


J’ai croisé Cécilia à une ou deux reprises dans la semaine qui suivie cet échange, ce fut comme d’habitude. Rassuré sur d’éventuelles remarques pernicieuses, j’oubliais notre conversation. Ce fut donc sans appréhension, le samedi soir, que je saluais Cécilia qui passait nous voir comme elle le faisait de temps en temps lorsqu’elle n’avait de petit ami en cours.


Rien que du très naturel ; ce qui le fut beaucoup moins, c’est lorsqu’au moment de servir le café, Cécilia, une main entre ses cuisses, susurra en nous regardant alternativement Marie-Thé et moi.



Surpris, je savais qu’elle connaissait la maison et ne faisant aucune relation avec ma conversation avec Marie-Thé, je lui répondis sur le ton de la blague.



Je me croyais spirituel mais Marie-Thé me contra.



Je tombais des nues, elle m’avait pris au mot, et le pire c’est qu’elle me jetait dans les bras de sa meilleure amie. Nous n’avions pourtant, ni l’un ni l’autre, de prédispositions aux partouzes ou à l’échangisme, j’aurais pu au moins espérer qu’il y aurait un peu de jalousie de sa part à mon sujet. J’en restais bouche bée.


Comment pouvait-on pratiquer des particularités sexuelles comme ça, de but en blanc? Pour moi, l’uro est un raffinement parmi des pratiques un peu plus ordinaires, d’autant plus délicat qu’il se trouve aux frontières du crade. Cela fait partie des préliminaires qui mettent en harmonie des personnes en créant de la complicité et le sentiment de faire des choses uniques entre elles.


Un ange passa. Il y eut comme un flottement dans l’air.



Cécilia essayait de dédramatiser la situation. Mais moi, dans la partie de poker menteur à laquelle nous nous étions engagés tous les trois, je ne voulais pas jouer petit bras. Ma crédibilité et peut-être même ma virilité étaient en jeu, sûrement mon côté macho. Et puis tout doucement, la curiosité aidant, une douce euphorie commençait à me grignoter le cerveau et me disant qu’au pire, c’était l’occasion ou jamais.



La réplique était banale mais elle était le prélude à des événements qui risquaient eux de le devenir moins. Brusquement Les choses se figèrent autour de nous. C’était bien de faire le fanfaron, mais il fallait assumer. Les attitudes se crispèrent, tout le monde s’observait, qui allait faire le premier pas. Cécilia fut la première à réagir.



Et après un silence qui sembla durer une heure, elle enchaîna, toujours sur le ton de la rigolade tout en recherchant une approbation dans le regard de Marie-Thé :



C’était sérieux ! Brusquement, l’atmosphère devint électrique, elle ne rigolait plus. Sa question était une affirmation. Dans un mouvement gracieux, elle enleva son string. La tension dans l’air était à son apogée, j’avais du mal à respirer, moi qui n’avais encore jamais trompé Marie-Thé, voila que j’étais sur le point de le faire devant elle et en plus avec sa complicité. Le moment de vérité approchait, j’étais maintenant complètement dans l’ambiance.



Sa voix résonnait, comme irréelle, mais son entrain ne m’étonnait pas, cela correspondait bien à son personnage, et manifestement les deux filles avaient préparé leur coup. Marie-Thé nous épiait, et, à mon grand dépit, ne semblait pas du tout offusquée, curieuse de voir si j’allais assumer jusqu’au bout … Ou alors ?


Pris au piège, je n’avais plus les moyens, ou plutôt, plus l’envie de reculer, d’autant plus que la jupe relevée de Cécilia laissait entrevoir un sexe lisse.


Sachant parfaitement ce qu’elle voulait, elle le tirait vers le haut avec deux doigts en V inversé, l’ouvrant en grand tout en l’exposant à mon regard lubrique. Je ne pouvais rester insensible devant cette fleur triomphante, suintante de mouille, le rose humide de ses lèvres intérieures boursouflées était un appel au crime. Je comparais ce sexe avec celui, poilu, de Marie-Thé. Marie-Thé à qui j’avais souvent suggéré de se débarrasser de cette pilosité qui cachait plus ou moins sa fente, ces poils qui me chatouillaient le nez, et dont, parfois, un spécimen se détachait pour se ficher entre mes dents pendant les séances de lèche.

La perversité d’un sexe lisse n’étant plus à démontrer, j’étais comblé et encouragé par le silence de Marie-Thé qui valait approbation. L’indicateur de ma libido se mit à grimper sans prévenir.

Hypnotisé, comme dans rêve et sans un regard pour Marie-Thé qui scrutait la scène, je m’agenouillai devant Cécilia, glissant ma tête entre ses cuisses brûlantes. Une délicieuse odeur de femme en rut envahit mes narines et me monta au cerveau, ajoutant à la confusion. Cette odeur était violente et je l’appréciais d’autant plus que cela me changeait de l’odeur et le goût de savon que dégageait Marie-Thé ; avec cette dernière, c’est tout juste si je ne respirais pas le cinq de Channel lorsque je lui léchais la raie du cul.


Ma bouche vint au contact, mélange de senteurs et d’épices, je glissais ma langue à l’intérieur de la rose sanguine, à la recherche du bouton qui fait réagir ces dames. Pendant ce temps, Cécilia commença à pousser. Ma langue caressait le pourtour de son urètre que je sentais grossir sous l’effort. Au même moment commença un dialogue surréaliste entre les deux femmes.


Marie-Thé s’adressant à Cécilia :



Les commentaires de Cécilia étaient entrecoupés de respiration saccadée et de soupirs qui me rassurèrent sur mes compétences en ce domaine. Elle continuait à pousser de plus en plus fort au point que je me mis à craindre la catastrophe, pour éviter tout accident, je pris ses fesses entre mes mains et les serrais très fort. Cela eut un effet bénéfique, un mince filet salé sortit de son méat. Aussitôt, je m’activai pour faire disparaître toute trace, ce qui eu le don de faire faire des soubresauts à ma bienfaitrice.


Marie-Thé s’informa aussitôt:



Délaissant ma position le temps de glisser dans un souffle :



Je me replongeai entre les cuisses douillettes, bouche ouverte contre la source divine. Cécilia redoublait d’efforts sans pour autant me gratifier de résultats plus probants. Je me jetais sur la moindre goutte. Ce petit jeu durait et à part le fait d’avoir mal aux genoux, nous nous trouvions bien chacun à notre place.

Finalement, ce fut Marie-Thé qui s’impatienta :



Bien que m’étant adressé, ce petit geste ne me signifiait pas de cesser mais était plutôt à l’intention de Marie-Thé. Je décidais de changer de stratégie et retirant ma langue, ouvrit ma bouche en grand comme pour dire, je suis prêt. Cette attitude fut couronnée de succès. Après une énième poussée, Cécilia expulsa un jet violent et copieux qui m’atteignit le palais. Le bonheur fut alors fulgurant, l’espace de quelques secondes je venais d’atteindre le nirvana. Enfin je connaissais cette impression qui m’avait tant fait fantasmer.


Sans m’attarder à déguster le nectar, je m’empressai d’avaler ce que je pouvais mais j’avais été surpris et avais laissé échapper une quantité non négligeable. Cécilia eut un mouvement de recul.



Fou de bonheur, en cet instant, j’étais prêt à faire n’importe quoi, capable de me jeter du haut d’une falaise si elle me le demandait. Servile, je nettoyais consciencieusement avec ma langue la moindre parcelle de peau touchée par le pipi, jusqu’à son petit trou plissé que Cécilia, qui avait posé ses jambes sur mes épaules, me présentait complaisamment.


Cécilia repris sa position du début sur le bord de la chaise, semble-t-il à regrets. D’un ton ironique et légèrement dominateur :



Sans un mot, je me remis à ma place, la bouche et les sens ouverts prêt à déguster ce champagne si généreusement offert.


Cet épisode avait complètement décontracté ma généreuse donatrice. Dès lors, sans effort particulier, elle se mit à pisser par petits jets délicatement dosés, me laissant le temps de déguster et d’avaler le breuvage aphrodisiaque au fur et à mesure de sa production.

Elle se permit même des commentaires en direction de Marie-Thé me ramenant à la condition d’accessoire :



Marie-Thé ne disait rien.



Cécilia était euphorique.



Joignant l’action à la parole, elle laissa filer un long jet peu puissant mais intarissable. Respirant par le nez, je réussis, entre succions et déglutitions, à faire face à la situation sans en laisser échapper une goutte. Lorsque tout sembla fini, je la léchai avec application pour nettoyer ce sexe devenu soudainement le centre du monde. De son côté, elle se laissait faire négligemment et puis sentant venir la fin inéluctable de ma mission et sans respect pour le nettoyage que je venais d’accomplir avec dévotion, elle trouva les ressources nécessaires pour produire encore deux petits jets pour se vider parfaitement la vessie.



Après l’avoir bien nettoyée de nouveau, je me relevai bandant comme un porc, le visage rouge ne sachant quelle attitude prendre entre les deux femmes.


Cécilia semblait très décontractée, Marie-Thé était plus crispée, elle m’interrogea néanmoins :



Cécilia se leva, et tout en réajustant sa petite culotte, elle déclara, moqueuse :



Elle avait à peine tourné les talons que, fébrile, je pris Marie-Thé dans mes bras, celle-ci se raidit en détournant la tête.



Je n’en avais pas l’intention, je n’avais que faire d’un baiser de cinéma, n’ayant qu’une envie, mais c’était une très grosse envie, de celles qui vous ramènent à l’état de bête sauvage, je ne pensais qu’a soulager ma queue tendue au maximum. La renversant sur la table, je la fourrais jusqu’à la garde, mon chibre nageant dans un océan de bonheur, découvrant la plénitude de l’espace intersidéral où plus rien n’existe des contingences terriennes.

Apparemment le spectacle ne l’avait pas laissée de marbre. Marie-Thé, un peu choquée de ma fougue du début, se mit au diapason. Nous voguâmes dans des contrées lointaines, jusqu’à ce que, n’en pouvant plus de bonheur, l’émotion nous entraînant aux limites du paradis, je ne pus retenir plus longtemps le flot de ma jouissance. Et la soirée ne faisait que commencer.


Après avoir repris ma respiration, je m’attachai à entraîner Marie-Thé dans mon délire. L’entraînant dans le lit, je la léchai partout et surtout aux endroits où elle était le plus sensible, la sueur avait pris le dessus sur le cinq de Channel, je taraudais sa petite rosette de ma langue. Lorsque je me rendis compte que j’étais parvenu à mes fins, paraphrasant Cyrano citant Scaramouche "À la fin de l’envoi je touche !"


Nous continuâmes ainsi nos jeux comme au bon vieux temps de la découverte.


Fatigués, repus, nous nous endormîmes sans nous en rendre compte et sans savoir que cette baise était comme le chant du cygne. Ce fut la dernière fois où nous avons baisé avec autant d’intensité.


Quelques jours plus tard, Marie-Thé m’informa qu’elle devait pour son travail, participer à un séminaire en Tunisie. Elle m’en avait effectivement parlé un mois auparavant mais à l’époque, m’avait assuré qu’elle avait réussi à passer à travers. Là, brusquement, plus question de se désister. Plutôt déçu, il ne me restait plus qu’à m’incliner.

Marie-Thé avait changé, le départ devant avoir lieu en fin de semaine. Elle se refusa à moi jusqu’à la veille de son départ, ne m’autorisant qu’à me soulager sans s’impliquer davantage. À son retour, les choses allaient en empirant, les non-dits créaient une tension entre nous jusqu’au jour où elle m’avoua qu’elle avait cédé aux avances de son supérieur pendant le séminaire. D’un commun accord nous décidâmes de prendre du recul pour faire le point chacun de son côté.



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Epilogue



Deux semaines après notre séparation, je rencontrai Cécilia comme par hasard, enfin, hasard pour moi ; la suite me confirma que le hasard n’y était pour rien. Elle m’invita à venir manger le lendemain chez elle.


Etre invité à manger est toujours une aubaine pour un célibataire esseulé, et puis cela serait l’occasion d’en savoir un peu plus sur Marie-Thé.


Je me présentai le lendemain, un bouquet de marguerites à la main, tradition oblige. J’étais attendu, Cécilia était sur son 31, décolleté pigeonnant, jupe froufroutante, talons aiguilles. Ce fut comme une révélation, découvrant ce que je refusais de voir jusqu’à présent et me rendant compte que les événements des dernières semaines avaient été soigneusement préparés par les deux filles.


Marie-Thé m’avait jeté dans les bras de Cécilia, je venais ni plus ni moins de changer de maîtresse et finalement, je décidai que cette perspective était plutôt agréable.


Je suivis Cécilia dans son appartement. Tout en louchant sur sa croupe affriolante qui dansait devant moi, je me disais que j’allais bientôt pouvoir vautrer mon visage dans cette raie que je devinais à travers la robe. Pour le compte, perspective très agréable.