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Temps de lecture estimé : 21 mn
12/12/06
Résumé:  Où Caroline découvre que l'habit ne fait pas le moine.
Critères:  ffh fbi religion grossexe grosseins exhib fellation cunnilingu -historiqu
Auteur : Ben      

Série : A la Cour du Roi Soleil

Chapitre 07
Une visite impromptue

Caroline commence petit à petit à s’habituer à la vie parisienne. Deux jours ont passé depuis qu’elle a pour la première fois mis les pieds à Versailles. Deux jours qu’elle a mis à profit pour se reposer un peu. Il faut dire que ses premiers jours dans la capitale avaient été particulièrement chargés et riches d’aventures plus excitantes les unes que les autres. Dehors, le soleil rayonne. Il fait chaud. Allongée sur son lit dans la pénombre des rideaux clos pour garder une certaine fraîcheur dans sa chambre, elle s’est dévêtue, comme elle aime à le faire. Elle repense à tout ce qu’elle a vécu. La rencontre avec Élodie d’abord, avec laquelle une totale complicité s’est très vite installée. La jeune soubrette est tombée amoureuse d’elle dès le premier instant. Elle se demande si cette passion durera, si elle résistera à l’usure du temps et au défi des passions. Jusqu’ici, leurs ébats avec Mme de Marans, leurs diverses séances de voyeurisme n’ont fait qu’alimenter leur passion et augmenter le désir qu’elles ont l’une pour l’autre. Elle ne sait d’ailleurs pas très bien si elle n’est pas elle-même tombée amoureuse de sa domestique. Mais elle est jeune, et tant avide de découvrir les plaisirs. Elle n’imagine pas sacrifier sa soif d’expériences à un amour, fut-il immense. Elle en a vu trop, de ces épouses qui n’ont jamais rien connu, jamais rien appris, jamais rien osé, et qui retrouvent un jour l’homme à qui elles ont tout sacrifié entre les cuisses d’une autre. Elle a décidé de profiter de la vie, de tout essayer avant de prendre son parti. Est-ce que les expériences, qui jusqu’ici n’ont fait qu’attiser leur désir, ne vont pas un jour provoquer un sentiment de jalousie ? Est-ce que Élodie pourra supporter de la voir multiplier les partenaires ? Comment réagira-t-elle la première fois où elle n’aura pas participé à l’acte ?


En réfléchissant à cela, elle ne peut s’empêcher d’évoquer l’image de sa soubrette. Où est-elle pour le moment ? Est-elle dans sa chambre, en train de se reposer ? Est-elle occupée à quelque tâche ménagère ? En tout cas, elle n’est pas auprès de sa mère, puisque celle-ci est sortie seule de la maison. Elle est peut-être en train de prendre du bon temps, avec ce valet si bien membré ? Ou bien, chaude comme elle est, se soulage-t-elle de ses désirs seule dans un coin ?


Soudain, Caroline entend des pas dans l’escalier. On frappe à sa porte. Caroline enfile rapidement un peignoir, et va ouvrir la porte. Elle referme prestement le peignoir en constatant que ce n’est pas Élodie, mais le valet qui a frappé, et qui ne peut s’empêcher de lorgner sur son corps dévoilé. Elle le fait entrer. Il lui annonce que le Cardinal de Royans, qui passait dans le quartier, a voulu rendre une visite de courtoisie à sa mère, et qu’il lui demande si, en l’absence de sa mère, elle ne peut pas le recevoir. Caroline en conçoit un certain émoi. Elle ne peut s’empêcher de se remémorer la scène du château de Versailles.


Elle demande au valet de faire patienter, et s’habille rapidement. Elle n’est pas coiffée, pas parée. Mais une jolie robe de mousseline verte suffit à la rendre tout à fait séduisante. Elle vérifie dans la glace que le large décolleté découvre assez sa poitrine pour la rendre irrésistible, sans pour autant révéler trop de chair et la faire passer pour une catin. Heureusement, il ne s’agit pas d’une robe à corset, qu’elle n’aurait pas pu lacer seule, mais d’une robe assez simple et vite enfilée. C’est qu’elle ne sait s’il serait convenable de faire attendre un Cardinal, et encore moins de lui laisser supposer qu’elle n’était pas encore habillée en pleine après-midi. Elle jette un dernier coup d’œil à son reflet dans la glace. Elle est satisfaite de ce qu’elle voit : une jeune fille fraîche, à la jolie silhouette, faussement ingénue et un rien provocante, ses cheveux en bataille lui donnent l’air d’une petite sauvageonne.


Elle descend au salon. Le Cardinal est assis sur le canapé. Il feuillette un ouvrage. Caroline ne peut s’empêcher de rougir, quand elle se rend compte que le livre qu’il tient est un petit recueil de nouvelles licencieuses qu’elle a trouvé dans la bibliothèque de sa mère et qu’elle a dévoré ce matin, si excitée qu’elle n’a pu s’empêcher de se caresser. Elle l’avait oublié sur la petite table du salon. Les nouvelles sont très bien écrites, l’auteur use d’un vocabulaire très cru, et les histoires sont à vrai dire très cochonnes. En plus, de jolies gravures très explicites ornent l’ouvrage. Visiblement, le cardinal prend beaucoup de plaisir à feuilleter l’ouvrage. Il est tellement captivé qu’il ne l’a même pas entendue entrer. Caroline prend soin de ne pas faire de bruit, et de ne pas bouger pour ne pas manifester sa présence. Après ce qu’elle a vu au château, elle n’est pas surprise de voir le cardinal, excité par sa lecture, commencer à se caresser le membre au travers de sa soutane. Il bande déjà, la forme imposante de son phallus déforme le tissu. Bon dieu, se dit Caroline, cet homme est un vrai bouc. Tous les hommes d’Église sont-ils donc aussi pervers ? Le curé de Rennes aussi était un chaud lapin, qui n’hésitait jamais à satisfaire les envies de sexe de ses paroissiennes.


Le Cardinal passe sa main sous sa soutane, et commence à masturber son pieu. Caroline est embêtée. Elle ne peut plus faire demi-tour, mais elle se demande comment l’homme réagira si elle s’avance et révèle sa présence. D’un autre côté, elle est très excitée par la scène. Deviner le sexe arrogant sous la soutane la fait mouiller entre les cuisses. Elle a eu bien du plaisir depuis son arrivée à Paris, mais pas encore un bon pénis bien dur dans la chatte. Cela fait déjà 3 jours qu’elle n’a pas eu d’homme, et cela commence à lui manquer. C’est à Rennes, la nuit précédant son départ, qu’elle a goûté pour la dernière fois à un pénis (et même à deux, en l’occurrence). En plus, le Cardinal est divinement membré. Se faire défoncer par un tel pieu doit mener tout droit au septième ciel.


Elle en est là dans ses réflexions quand elle sursaute : une voix s’élève derrière elle. Elle se retourne. Elle n’avait pas vu que le cardinal était accompagné. Une sœur, celle qui participait à l’orgie de Versailles, lui sourit, et rejoint le centre de la pièce. Le Cardinal lève les yeux, s’aperçoit de la présence de Caroline. Nullement gêné, c’est tout juste s’il arrête de se branler. Il retire sa main de sa soutane, et se lève. Son sexe dressé déforme sa soutane. Il tend la main, et attend que Caroline vienne lui baiser l’anneau.



Le Cardinal s’est rassis sur le canapé. La religieuse s’est assise sur un fauteuil, en face de lui. Il fait signe à Caroline de le rejoindre sur le canapé. Caroline leur propose de prendre un rafraîchissement. Elle sonne. Le valet entre, et s’incline. Il semble très bien connaître les deux visiteurs. Il repart, et revient très rapidement avec 3 coupes de vin blanc frais. Le Cardinal badine gaiement. Il interroge Caroline sur ses premières impressions de Paris, sur ce qu’elle a pu voir déjà. Elle a soin de taire tous les épisodes sensuels qu’elle a vécus depuis son arrivée. Elle n’est pas habituée à boire du vin, et les premières gorgées l’étourdissent un peu. Elle a chaud, elle sent le rose monter à ses lèvres. Avec l’alcool qui lui monte à la tête, revient le désir qu’elle sent monter au creux de ses reins. Elle ne peut s’empêcher de se remémorer la scène du palais, où elle a vu la queue du Cardinal défoncer le con sublime de Mme de Marans. La savoir si près, à portée de main, tendue et dressée sous la soutane - car visiblement, le Cardinal ne débande pas- la met dans un tel état qu’elle à peine à suivre la conversation et à répondre aux questions qu’on lui pose. Elle sent son sexe qui commence à couler entre ses cuisses. Soudain, elle sent la main de sœur Amélie se poser sur sa cuisse. Elle ne réagit pas, et fait semblant de ne pas s’en apercevoir. Au même moment, le Cardinal qui jusque-là se contentait de converser gaiement, la fixe droit dans les yeux ; son regard la pénètre littéralement :



Tout en parlant, la religieuse a remonté la robe de Caroline sur sa cuisse, et la caresse maintenant à même la peau, sans que la jeune fille ne s’en offusque. Au contraire, elle a insensiblement écarté les jambes, trahissant son état d’excitation intense. Cela n’échappe pas au Cardinal :



La nonne remonte sa main le long de la cuisse de Caroline, atteint son pubis et le tâte. Caroline ferme les yeux. L’autre lui passe un doigt dans la fente, et le ressort poisseux. Comme la jeune fille se laisse aller en arrière et écarte encore un peu les cuisses, elle s’enhardit, et lui enfonce un doigt dans le sexe. Elle rentre sans peine. Quand Caroline rouvre les yeux, elle n’est qu’à moitié surprise de constater que le Cardinal a relevé sa soutane, et caresse lentement son énorme pieu dressé. Elle est fascinée par les mouvements rythmés de la main qui branle la hampe et décalotte le gros gland luisant. Elle a rarement vu sexe plus gros et plus imposant. Très excitée, elle lève ses fesses et remonte sa robe à sa taille pour permettre à la nonne de la masturber sans difficulté. Le Cardinal se lève, vient se placer face aux deux femmes. La religieuse s’empare du sexe, se penche et commence à le lécher avec délectation. Elle titille le gland du bout de la langue, descend jusqu’aux testicules, remonte pour sucer le gland. Fascinée, Caroline la regarde ouvrir très grand sa bouche pour y enfoncer avec peine ce sexe palpitant. Il rentre avec difficulté, la nonne respire bruyamment. Le Cardinal reste immobile, et laisse la nonne s’agiter sur son membre tout en observant la réaction de Caroline. Celle-ci est absorbée par le spectacle, et ne remarque même pas le regard pénétrant du Cardinal : elle admire la technique de la nonne qui alterne mouvements de poignet, coups de langue et pénétrations buccales. Le pénis pénètre difficilement entre ses lèvres, elle est obligée de distendre ses mâchoires. Mais elle maîtrise parfaitement la technique, et excelle à enfoncer le pénis jusqu’au fond de sa gorge. Caroline ne peut s’empêcher de porter sa main à son sexe, et d’y enfoncer deux doigts qui pénètrent sans peine. Ses doigts trouvent son bouton palpitant, et commencent à le taquiner.


Sœur Amélie, sans se retourner, et sans cesser de sucer avec avidité la bite qui lui est offerte, recommence à caresser la cuisse de Caroline. En remontant, elle sent la main de Caroline qui s’agite sur son bouton. Elle interrompt sa fellation.



Tout en parlant, la religieuse s’est levée, et lui a ôté sa robe. Elle est nue dessous. Sœur Amélie se recule pour contempler le corps dénudé de la jeune fille. Les seins sont superbes, arrogants, l’excitation en a durci les bouts. Taille mince, courbes harmonieuses, cuisses puissantes, fesses musclées… cette fille est faite pour le plaisir.



Vaincue par son désir, Caroline a perdu toute pudeur et toute retenue : les propos cochons des deux ecclésiastiques ont libéré en elle des pulsions irrésistibles. Les mains posées sur ses fesses, elle les écarte pour offrir à ses deux mentors une vue parfaite sur son entrejambe. Elle ondule un peu des hanches, et constate avec satisfaction que la nonne ne peut s’empêcher de lui passer un doigt dans la fente. Le doigt ressort barbouillé de jus. La nonne le porte à sa bouche et le suce



Tout en maintenant ses fesses écartées devant le Cardinal, Caroline regarde par dessus son épaule pour le voir s’agenouiller entre ses jambes. Il lui prend les fesses, et tout en commençant à les pétrir, il avance son visage vers son entrejambe. Sa langue chaude et habile commence à lui fouiller la fente. Caroline frissonne de plaisir. Le bout de la langue s’immisce entre ses lèvres, parcourt toute la longueur, titille le clitoris, pénètre le vagin. Elle va devenir folle. Devant elle, la nonne ôte sa chasuble, sans retirer son voile. Caroline la regarde, subjuguée par son corps plantureux. Elle a des seins volumineux, ils lui semblent plus gros encore que dans son souvenir de la scène du palais. Ils sont couronnés de gros bouts gonflés. Un collier de perles, auquel est attachée une croix, coule dans le profond sillon entre les mamelles. Comme l’autre jour, un chapelet constitué de gros grains oblongs ceint sa taille fine. Caroline est fascinée par sa chatte aux lèvres lisses, gonflées et protubérantes. La nonne revient vers elle en tenant ses seins, et en ondulant de la croupe. Elle s’accroupit, et s’empare d’un des seins de Caroline. Elle commence à le caresser, le soupeser, le malaxer. Lorsqu’elle touche le téton durci, Caroline ne peut réprimer un grognement de plaisir. La langue du Cardinal est particulièrement agile et experte pour déclencher des élans de plaisir : elle s’enfonce profondément dans sa vulve, virevolte autour du bouton, parcourt la fente, remonte même jusqu’à sa rosette. La salive se mêle à sa mouille qui coule en telle abondance qu’elle se répand sur ses cuisses. La nonne a écarté les jambes. L’odeur de son sexe est forte et enivrante. Sans cesser de triturer d’une main le sein de la jeune fille, dont elle étire et fait rouler le bout entre ses doigts, elle commence à se branler. Caroline sent le plaisir monter entre ses reins. Elle n’en peut plus, et glisse son doigt vers son clitoris pour hâter son orgasme. Mais le Cardinal l’en empêche :



Allongée sur le canapé, la nonne, dans un geste empreint d’obscénité, écarte les lèvres de son sexe pour faire émerger son gros clitoris érigé. Nullement gênée, Caroline s’agenouille entre ses cuisses, commence à les caresser en contemplant le sexe qui est offert. La nonne se masse la vulve, écartant largement les lèvres, qu’elle a épaisses et gonflées. Le Cardinal ôte sa soutane, et s’installe à côté des deux femmes. La main sur le sexe, il observe avec plaisir les deux femmes qui s’excitent de plus en plus. La nonne abandonne son sexe pour se saisir de ses gros seins. Elle commence à les caresser, à les malaxer, pendant que Caroline commence à lui caresser le sexe. Elle a déjà introduit deux doigts dans le conduit humide, et taquine le bouton avec son pouce. La nonne ferme les yeux et commence déjà à gémir.


Caroline la sent frémir sous ses doigts. Le clitoris est d’une taille et d’une dureté étonnante. Il semble extrêmement sensible : sans doute Amélie est-elle une jouisseuse exceptionnelle. Chaque fois qu’elle touche son bouton érigé, elle sent les muscles des cuisses et du vagin se contacter. À côté d’elles, le Cardinal se masturbe en souriant du spectacle. Sa grosse queue palpite, ses gros testicules s’agitent au rythme de ses coups de poignet. L’odeur du con de la nonne déclenche chez Caroline l’envie de la goûter. Elle avance le visage, sort la langue, la passe dans la fente humide. Le goût est à la fois doux et salé : un merveilleux goût de mer qui lui envahit la bouche et les narines. Elle respire profondément. Sœur Amélie, toujours gémissante, se masse maintenant vigoureusement la poitrine. Elle soulève les globes imposants, les presse l’un contre l’autre, étire et pince les mamelons. Elle rouvre les yeux, et observe la jeune fille s’affairer entre ses jambes. Cette jeune provinciale est très douée pour sucer une chatte. Presque autant que Madame de Marans, dont l’art pour le cunnilingus est renommé dans le Tout-Paris. En plus, la jeune fille y met une spontanéité et une ardeur toute juvénile qui fait monter irrésistiblement son plaisir. Caroline se prend au jeu, grogne d’aise comme une chatte qui a le nez dans son bol de lait : elle lèche avidement en ronronnant. Elle a très envie de se doigter, sa moule dégouline, et son bouton appelle les caresses. Mais le Cardinal lui a interdit. Elle essaie alors de soulager ses envies en serrant très fort les cuisses, puis en les écartant largement. La pression exercée sur son clitoris est loin de la combler. Elle regarde avec appétit le pénis arrogant du Cardinal. Elle sait qu’il finira par la pénétrer, qu’il la baisera, et qu’elle jouira de se sentir comblée. Elle voudrait néanmoins hâter le coït. La nonne émet maintenant de petits cris plaintifs qui manifestent son excitation.



Caroline obéit. À peine a-t-elle enjambé la nonne, que celle-ci lui enlace les cuisses, et attire son sexe béant contre sa bouche. La nonne met un soupçon de perversité dans ses caresses : elle lèche la vulve, les lèvres, mais s’arrête chaque fois qu’elle approche du clitoris. Caroline n’en peut plus. Elle la supplie de lui titiller le bouton. La nonne n’en fait rien. Par contre, elle enfouit plus profondément son visage, la langue dans le sexe, le nez contre la rosette. Elle lui lèche ensuite la raie, et darde le bout de la langue sur son petit trou. Le Cardinal est venu se placer face à elles. Il se délecte du spectacle.



Caroline, qui a commencé à caresser les seins opulents de la nonne tout en contemplant le Cardinal qui tient sa queue dressée entre ses cuisses, hésite un instant. Mais elle se dit que ces religieux sont bien des vicieux, et qu’elle ne doit avoir aucune gêne. Elle se lance :



Le Cardinal approche son gland turgescent de la fente poisseuse de la nonne, le pousse entre ses lèvres qui s’écartent. Il s’enfonce lentement, le diamètre du sexe rend la pénétration difficile. Caroline est fascinée. Il est bientôt au fond. La nonne respire très fort, et prise de frénésie, commence enfin à titiller le clitoris de Caroline. Le Cardinal entame des mouvements longs et profonds qui secouent la poitrine de la nonne et lui arrachent des petits gémissements. Excitée par la vue de ce membre qui dilate le vagin, Caroline triture les gros seins de la nonne de plus en plus violemment.



Le Cardinal se retire. Son sexe dressé palpite. Caroline est à la fois effrayée et excitée par sa taille. Elle a tant envie de le sentir en elle. Elle se met à quatre pattes sur le divan, relève ses fesses et les écarte largement de ses mains pour montrer son sexe dilaté. Elle attend avec impatience le sexe du Cardinal, mais celui-ci fait durer le plaisir.



Caroline ne s’offusque pas d’entendre parler d’elle ainsi ; au contraire, s’entendre traiter de petite vicieuse augmente encore son excitation. Elle ne peut réprimer son envie de sentir le phallus du cardinal en elle. Elle relève encore un peu les fesses :



Soeur Amélie ne se fait pas prier. Elle vient se placer sur le divan, face à Caroline, et écarte les cuisses pour lui présenter sa moule gonflée. Sans se faire prier, Caroline commence à la sucer avidement. La nonne grogne de plaisir, et commence à se caresser la poitrine en regardant Caroline qui s’active entre ses cuisses. Le cardinal prend son sexe, l’approche de la fente de la jeune fille. Le gland écarte les lèvres, pénètre lentement. Caroline gémit un peu, mais le désir est plus fort. Elle donne un grand coup de reins pour faire pénétrer le phallus jusqu’au fond. Le cardinal commence à la ramoner doucement. Soeur Amélie lui prend la tête, lui saisit les cheveux pour plaquer sa bouche sur son sexe avec plus de vigueur. Agités par les coups de reins du Cardinal, les gros seins de Caroline balancent en rythme. Le Cardinal lui caresse les fesses. La nonne lâche ses seins, et s’écarte elle-même les lèvres de son sexe pour faire surgir un clitoris étonnamment gros et dur. Caroline le titille du bout de la langue, puis le suce. La nonne gémit bruyamment.


Excité de sentir son sexe dans le fourreau étroit et trempé, le cardinal accélère et approfondit ses coups de boutoir. Il a saisi Caroline à la taille et lui imprime un rythme soutenu. Comblée par le sexe du Cardinal, Caroline sent le plaisir monter irrésistiblement en elle. Elle porte sa main sur son sexe, et commence à branler son propre bouton. Tout son corps est pris de tremblements. Le Cardinal l’a senti ; il lui donne un claque sur la fesse.



Pour toute réponse, le Cardinal lui donne une nouvelle claque sur les fesses, puis retire son pénis. La sensation de vide est presque insupportable pour Caroline, qui est au bord de l’orgasme. Du coup, elle redouble d’acharnement sur la moule de la nonne, elle multiplie les suçons et les coups de langue. Soeur Amélie ondule des hanches sans discontinuer. Caroline s’empare du chapelet qui lui ceint la traille. Les grains du chapelet ont la taille de grosses olives. Caroline saisit le bout du chapelet, l’attire entre les cuisses de la nonne, le tend pour le faire pénétrer dans sa fente. Elle commence à lui imprimer des mouvements de va-et-vient dans la fente. La nonne a repris ses seins en main, et en étire les bouts en gémissant. Caroline ondule du cul sous les yeux du Cardinal ; excité par le spectacle, il ne peut s’empêcher de revenir et pénétrer à nouveau le sexe poisseux. Caroline soupire d’aise de se sentir à nouveau écartelée. Le Cardinal se penche, et commence à lui pétrir les seins tout en la ramonant.


Les deux femmes gémissent maintenant sans discontinuer. Caroline n’a pu s’empêcher d’enfoncer trois doigts dans la moule de la nonne et la ramone sans cesser de lui sucer le clitoris. Le Cardinal accélère ses mouvements, qui deviennent de plus en plus rapides et puissants. Caroline sent qu’elle va bientôt jouir. Quand elle lui enfonce son petit doigt dans l’anus, elle sent Soeur Amélie se raidir : la nonne serre les cuisses à lui écraser la tête, tout son corps tremble, elle pousse un long cri guttural. Caroline ne peut s’empêcher de se toucher le bouton, et elle jouit immédiatement en criant son plaisir, la bouche pleine du jus de la nonne, le sexe comblé.


Le Cardinal est arrivé également au bord de la jouissance. Il se retire et branle son pieu arrogant. Caroline s’allonge près de Soeur Amélie, qui se caresse toujours les seins. Le Cardinal s’approche des deux femmes qui se font des langues en le regardant. Ses mouvements de branle s’accélèrent. Un premier jet de sperme atteint soeur Amélie au visage. Elle ouvre la bouche, et parvient à accueillir le second sur sa langue. Les jets suivants, moins puissants mais encore fort abondants, les aspergent toutes les deux. À la fin, il enfonce son sexe dans la bouche de soeur Amélie pour qu’elle puisse sucer les dernières gouttes, pendant que Caroline lui lèche le visage. Caroline retrouve avec plaisir le goût du sperme dans sa bouche, et grogne de plaisir. Soeur Amélie ne peut s’empêcher de l’embrasser goulûment. Les deux femmes mêlent leurs langues, et se partagent le sperme du Cardinal.


Lorsqu’elles reprennent leurs esprits, le Cardinal a remis sa soutane. Il presse les deux femmes de se rhabiller. À peine ont-elles retrouvé une apparence normale, qu’on entend du bruit dans le couloir. La mère de Caroline entre dans la pièce. Les trois comparses font comme s’ils conversaient agréablement sur des sujets futiles. Caroline rougit juste un peu en remarquant qu’un peu de sperme a taché le dossier du divan.