n° 11031 | Fiche technique | 18350 caractères | 18350Temps de lecture estimé : 11 mn | 13/12/06 |
Résumé: Un jeu délicieux avec Isabelle. | ||||
Critères: fh fsoumise hdomine fellation fgode jeu | ||||
Auteur : Jean-Michel |
Elle me fixe de ses jolis yeux verts, avec un petit sourire sur son charmant visage encadré de cheveux bouclés châtain clair.
Très séduisante en effet, cette proposition. Tout comme son auteure, d’ailleurs. Quand j’ai commencé ce jeu à gages avec Isabelle, j’étais loin de m’imaginer qu’elle serait si hardie. Je tentais de la séduire depuis quelque temps et nous avions déjà fait plusieurs sorties ensemble. Je la trouvais vraiment charmante avec un petit côté anticonformiste, voire provocateur. Par contre, son physique me semblait tout à fait conforme… conforme à ce qui me séduit toujours chez une fille. Une belle poitrine et des jambes merveilleuses qu’elle savait mettre en valeur en s’habillant un peu court.
Ayant constaté qu’elle semblait apprécier ma compagnie, j’avais fini par l’inviter à boire un verre et de fil en aiguille, j’avais pu, comme on dit, conclure.
Et voilà qu’au moment d’aller plus loin, elle me propose, tout de go, de mettre du piment dans les doux moments qui vont suivre en jouant à un jeu déshabilleur. Un jeu déshabilleur qui, quand nous serions moins habillés, pourrait se transformer en jeu à gages, des gages qui pourraient devenir très coquins.
Evidemment, j’ai accepté. Le gagnant pouvait enlever le vêtement choisi par le perdant. J’ai pu avec délice découvrir ainsi ses cuisses en faisant glisser sa jupette, puis sa poitrine emprisonnée par le soutien-gorge, puis plus emprisonnée du tout quand j’ai dégagé ses beaux seins lourds. J’en avais profité pour caresser au passage ses cuisses veloutées et même ses fesses bien fermes par-dessus sa petite culotte bleu ciel. Une érection prononcée me tenaillait et j’avais hâte d’arriver à la phase « gages cochons ». Il est vrai que j’avais également perdu pas mal de vêtements. En fait, je me retrouvais également en slip et en retirant mon pantalon, la coquine en a profité pour passer une main mutine sur la bosse qui le déformait, en se passant la langue sur les lèvres pour accentuer mon trouble. Mon sang n’a fait qu’un tour et je gagnais donc le tour suivant.
Et voilà qu’au moment où je me dispose à la mettre enfin toute nue devant moi, elle me fait cette proposition.
Je rêve en effet et, dans mes rêves, j’imagine la suite en bandant de plus en plus. Car la proposition est la suivante :
Je rêve ! Et en rêvant, je descends doucement sa petite culotte bleue. Vais-je pouvoir tenir suffisamment longtemps pour pouvoir contempler le doux spectacle d’Isabelle buvant ce cocktail spécial ? ou vais-je devoir le boire moi-même… Le désir est le plus fort :
Je vais lui chercher la corde et je me laisse ligoter. J’ai soudain un soupçon d’inquiétude, car elle m’attache d’une main experte. Ça fait retomber légèrement mon excitation, mais dans un sens je m’en félicite. Elle pose alors ses mains sur ma taille et commence à me descendre le slip. C’est agréable de se faire ainsi déculotter. Mon sexe libéré jaillit soudain devant son visage.
Je m’installe et c’est parti. Elle commence d’abord à me passer les mains sur tout le corps, doucement, très doucement. Puis elle descend et passe d’un coup une main sous mes couilles, ce qui m’arrache un gémissement de plaisir.
Elle continue et m’effleure la hampe puis le gland de ses doigts agiles. Elle virevolte sur mon bas-ventre, me caresse l’intérieur des cuisses. Quelle experte ! C’est divin. Les minutes passent et je bande de plus en plus. Je résiste. Mieux que je pensais.
La cochonne !
Elle continue ses caresses sur mes fesses maintenant. C’est doux ! Elle revient sur mes couilles.
Elle les chatouille, à présent ! Elle fait de même sur mon gland, avec son autre main. C’est affreux, je vais éjaculer un litre de sperme !
La garce, c’est elle qui mène le jeu ! À ces mots, elle saisit le verre, le positionne sous mon gland et continue de me chatouiller les couilles en me regardant d’un air lubrique.
Je ne peux plus résister et j’explose dans un long cri d’intense plaisir. Je sens que j’ai une éjaculation abondante sans pouvoir voir le verre qu’elle maintient autour de mon sexe. Mon orgasme prend fin. Epuisé, je me redresse pour voir le contenu du verre. Evidemment, il est loin d’y en avoir un litre ! Mais le fond du verre à whisky est nappé de liquide blanchâtre.
Elle me détache alors. Puis elle s’agenouille sur le canapé et joint ses mains sur ses fesses. Dans l’intervalle, j’essaye de récupérer un peu.
Quel brin de fille ! Elle ne manque pas d’air. Je prends alors conscience qu’il faut à tout prix que je me montre à la hauteur pour la mériter. Je l’attache, déclenche le chrono et c’est parti. Je commence par profiter de la situation pour passer mes mains sur tout son corps, ce qu’elle semble apprécier.
J’insiste sur ses seins volumineux. Je caresse le dessous. J’en agace successivement les pointes. Elle se trémousse. Je lui caresse l’intérieur des cuisses. J’essaie d’être aussi doux qu’elle le fut tout à l’heure. J’effleure sa peau. Je promène mes doigts avec légèreté sur chaque parcelle de son corps tout en prenant soin d’éviter son sexe. Puis j’y vais enfin. Par-dessous ses fesses, je promène ma main très doucement, très lentement sur sa chatte. Je la trouve toute humide. Je sens les poils me chatouiller les doigts. Comme moi tout à l’heure, elle gémit doucement. Je jette un coup d’œil à la montre : six minutes déjà. Il est temps d’accélérer. J’effleure la raie de ses fesses. Elle se dandine légèrement. La situation commence à m’exciter à nouveau. Je lui glisse dans l’oreille :
Elle ne répond pas. Je commence à caresser simultanément ses seins et sa chatte détrempée et j’y introduis un doigt. Je l’enfonce lentement. Je le ressors. J’introduis alors deux doigts, encore plus lentement. J’entends un :
Elle sourit. Un sourire lascif qui met en valeur la plénitude de ses formes. Qu’elle est belle ! J’ai envie de la voir jouir sans retenue. Et rapidement de préférence, pour la voir avaler le jus de mon désir ! Neuf minutes ! Il faut que je tente le tout pour le tout. Passant ma main par-devant, j’atteins alors son clitoris et, simultanément, je commence à masser l’entrée de son anus. Elle se tend légèrement mais je découvre que c’est de plaisir :
J’insiste alors, puis je commence à introduire un doigt. Je pourrai ainsi détecter son orgasme.
Elle ondule du bassin. C’est très excitant, je bande à nouveau. Au bout de deux minutes de ce traitement, je suis récompensé en sentant des contractions autour de mon doigt.
Stupéfait, je retire mes mains. Ce n’est pas possible ! Furieux, j’ai soudainement envie de durcir le jeu, de voir jusqu’où elle est prête à aller :
Je marque un temps d’arrêt :
Je la vois entrouvrir la bouche de plus en plus et l’ouvrir plus franchement encore quand j’énonce la sentence finale. Je ne peux discerner si c’est la perspective de jouir sous le vibromasseur ou celle de boire mon sperme en abondance qui l’anime le plus. J’ajoute, sans trop y croire :
Elle me regarde dans les yeux et dit calmement :
Je suis stupéfait. Elle le fait exprès. Ou alors, elle croit que je n’oserai pas. Elle a tort. Je commence à rebander trop fermement pour renoncer.
Je file dans la chambre, chercher le vibromasseur que je cache au fond d’un tiroir et je reviens :
Elle le fixe sans mot dire.
Elle s’exécute et j’enfonce l’objet dans sa chatte. Je la vois ouvrir la bouche alors qu’elle se laisse retomber dessus avec un gémissement lascif. Le léger mouvement de ballottement de ses seins me ravit.
Je tourne légèrement l’interrupteur. Le vibromasseur se met en route en émettant un petit bourdonnement. Mais je fais attention de le laisser à petite vitesse, afin de faire durer le plaisir. Elle me dit, la voix plus très ferme :
Cette fois, c’est sûr, elle me provoque ! Eh bien, elle va voir ce qu’elle va boire !
Mais sa voix saccadée traduit la proximité de sa défaite. Je la regarde, rivant mes yeux dans les siens.
Je n’en crois pas mes oreilles.
Je passe un doigt entre ses fesses et je commence à l’insinuer dans son anus en lui disant :
Elle tourne la tête et me regarde la bouche entrouverte. Je tourne l’interrupteur pour accélérer le vibromasseur à la vitesse maximale en émettant un bruit plus aigu. Elle ouvre la bouche démesurément en poussant un gémissement profond. Elle se plie en deux sous le coup de l’orgasme ravageur qui la dévaste. Simultanément, j’agite mon majeur dans son anus. Elle hurle de jouissance. Je continue un long moment pour consommer sa défaite. Puis je me retire. Elle se redresse à demi et me regarde la bouche ouverte.
J’arrête alors le vibromasseur. Elle reprend son souffle et me dit :
Cette acceptation éhontée de sa défaite me rend plus excité encore. Je saisis le verre et l’approche de sa bouche. Je lui incline doucement la tête en arrière et, en faisant tourner le liquide blanchâtre au fond du verre pour le fluidifier, je ne peux m’empêcher de lui dire :
Et pour faire durer le plaisir, j’incline lentement le verre vers sa bouche. Le liquide blanchâtre se rapproche lentement du bord. Isabelle ouvre la bouche en tirant la langue. Merveilleuse image ! Je la savoure un instant avant de me décider. Je finis alors d’incliner le verre pour faire couler d’un coup tout le jus dans sa bouche. Fasciné par ce spectacle, je ne peux m’empêcher de lui murmurer :
Elle avale avec un mouvement de déglutition prononcé et rouvre la bouche dans un soupir de satisfaction.
Et je fais tomber les dernières gouttes dans sa bouche grande ouverte. Elle avale à nouveau :
Elle dit cela d’un air faussement contrit, démenti par la langue gourmande qu’elle promène sur ses lèvres humides.
Je tends la main vers le vibromasseur et tourne l’interrupteur pour l’accélérer. Isabelle gémit aussitôt ; je lui enfonce alors doucement ma queue dans la bouche et j’étouffe ses gémissements. Je sens sa petite langue s’activer sur mon gland. J’entends les vibrations de l’engin qui fait son office, couvert par les gémissements de plus en plus rauques d’Isabelle. Sa petite langue sait me donner du plaisir et j’annonce bientôt :
Sa petite langue se déchaîne. Je jouis en la regardant dans les yeux. Je décharge de longs jets dans sa bouche. Elle avale tout puis explose dans un gémissement rauque. Nous nous écroulons, épuisés. Puis je la détache et l’embrasse tendrement… avant d’ajouter :