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Temps de lecture estimé : 13 mn
13/12/06
Résumé:  Une promenade coquine dans la neige, se terminant au coin du feu.
Critères:  fh fellation cunnilingu pénétratio
Auteur : Petale            Envoi mini-message
Du froid au chaud... au froid... au chaud !




Il avait neigé toute la nuit à gros flocons. La nature avait revêtu son blanc manteau, cette belle parure qui annonce le début de l’hiver. Les sapins pliaient sous le poids des gros flocons, les collines environnantes et le château là-bas au loin, tout en haut, donnaient à ma vue un spectacle féerique.

Robert m’avait invitée à passer quelques jours dans sa demeure, et je me faisais une fête de le retrouver après une longue absence. Il m’avait conseillée de prendre avec moi des vêtements chauds pour une balade entre les coteaux enneigés.

Mon cœur battait la chamade rien qu’à l’idée de le revoir. En descendant de voiture, mes pas survolaient ce tapis blanc et je me jetai dans ses bras.

Mon visage dans sa grosse veste qui sentait bon sa peau, son odeur si familière. Sa joue contre la mienne glissait, me caressait déjà. J’entendais son souffle dans mon cou. Il déposa sur mes lèvres un baiser tendre et doux, et m’accompagna à l’intérieur de sa maison.


De petites bougies lançaient des ombres ondulantes entre les poutres du plafond du chalet. L’air qui circulait dans la pièce en faisait faire des formes étranges et fantastiques.

Il me regardait avec des yeux doux et tendres, attentifs, avec ce petit fond de timidité qui lui est si personnel et que j’adore, une discrétion, un charme « vieille France ». Il s’avança vers moi, me prit dans ses bras et me dit à l’oreille qu’il m’avait réservé une surprise. Je savais qu’il ne manquait pas d’imagination, et je lui faisais entièrement confiance.

Il me demanda de fermer les yeux, me prit la main et m’entraîna à l’extérieur de la maison.



Devant la porte se trouvait un large traîneau et attelés devant, deux chevaux qui attendaient patiemment.

J’écarquillai les yeux surprise, étonnée et lui demandai avec un regard interrogateur ce qu’il avait prévu.



Il mit ses bras autour de mes épaules et me murmura :



Nous nous sommes tous les deux installés sur la banquette, sous les fourrures éparses, et l’attelage a démarré. Les patins glissaient doucement sur la neige glacée, les chevaux marchaient au pas. Il faisait très froid en cette fin d’automne et une légère brise s’était levée.

Il me tenait serrée contre lui, sa main gantée me caressait les bras du manteau, passait sur mon long pantalon. Il mettait dans cette caresse tellement d’amour, de désir, que je fermai les yeux. Je me sentais bien, il arrivait à me faire oublier le présent, le froid, et je me sentais ainsi emportée par nos envies au présent.

Le chemin n’était pas trop chaotique et je me laissai envahir pas de délicieuses sensations chaudes et voluptueuses qui se pointaient dans mon ventre. J’étais heureuse et souhaitais profiter de tous les moments de ce cadeau qu’il m’offrait et surtout entre ses bras être cette femme sensuelle et m’abandonner à ces doux instants.

Il prit mon visage entre ses doigts et le tourna vers le sien. Il prit mes lèvres, y déposa les siennes et, plein de désir, entrouvrit les miennes pour y glisser une langue douce, suave, où nos salives se mêlèrent dans un baiser de plus en plus passionné.

De ma main, je caressais ses vêtements trop épais pour pouvoir atteindre la nudité de sa chair que j’avais envie de palper, de sentir sous mes doigts.


Les chevaux devaient connaître le chemin, car nul besoin de les guider.

Au contact de son corps que je soupçonnais sous ses vêtements, mes sens s’enflammaient, nos cœurs battaient à l’unisson. L’attelage s’arrêta. « Étions-nous donc arrivés ? », pensai-je. Je regardais autour de moi, mais il n’y avait pas âme qui vive ! Toutefois trônait à ma droite, un énorme bonhomme de neige, au cou duquel pendait une grosse écharpe. Au milieu tout un haut un nez tout rouge, un bonnet de travers, et entre ses gros bras un balai. Le tout était si coquasse que j’éclatai de rire. Je sautai toute joyeuse du traîneau, pris la main de mon bien-aimé et en courant nous nous sommes dirigés vers ces grosses boules de neige, semblable à une bonne glace prête à être dégustée. Il n’y manquait que le chocolat, le coulis de framboise, et j’éclatai de rire de mes pensées si dégustatrices.



Contrairement à toute attente Robert m’agrippa par les épaules, et me tira vers lui, son visage devenu soudainement grave. Il me colla contre le bonhomme de neige, mais je réussis à lui échapper et une bataille en règle nous fit retrouver notre âme d’enfant. Le soleil brillait haut dans le ciel, et se réverbérait sur le tapis blanc dans nos yeux et y mettait des étoiles.


Il venait de m’attraper et me plaqua au sol. Je me débattais par jeu, nos yeux à tous deux remplis de malice. Son corps se déposa sur le mien et m’immobilisa. Je sentais au travers de son pantalon son sexe durci par le désir. Nous nous embrassions avec passion, et sa main commença à déboutonner mon corsage.

Je le sentais trembler. Lorsqu’il parvint à atteindre de ses mains mon soutien et réussit à l’enlever, je ne ressentis nullement le froid de l’extérieur mais la brûlure de son souffle sur ma peau, sa langue qui commença à sucer l’un de mes tétons durcis par le désir. Mon corps ondulait sous le sien. Je n’avais plus qu’une seule envie, c’était de lui ôter ses vêtements afin de pouvoir le toucher, le caresser, et embrasser là, chaque parcelle de son corps.


J’étais impatiente de tâter son corps, de sentir son odeur, de ressentir sa chaleur. J’enlevai au plus vite ses vêtements si lourds et si encombrants, nos mains s’emmêlaient dans la hâte, nos bouches se cherchaient. Je passai ma main dans ses cheveux légèrement emmêlés, je les tirai vers moi, son visage plongea dans mon cou, pour venir y mordre cette chair toute douce, et qui à son contact me fit vibrer et trembler.

Sa main pendant ce temps là s’était aventurée à me défaire du reste de mes vêtements et haletants nous nous sommes retrouvés sur les peaux de fourrure qui séparaient de la neige, nos corps brûlants.


Ses yeux brillants plongés dans les miens, me fixaient avec intensité comme pour mieux me transmettre son envie de moi.

Ma main caressait sa peau, son dos, sa nuque, et redescendait le long de sa colonne jusqu’à la raie entre ses fesses. Il émit un son d’approbation à cette approche. Mon souffle s’était accéléré, sa bouche me tétait un mamelon et le pinçait légèrement avec la bouche.



Sa main me caressait le ventre et s’aventurait maintenant entre mes cuisses qu’il avait écartées. Il s’insinuait entre les lèvres trempées de mon sexe, qui coulait sur ses doigts, il y enfonça un doigt, puis deux. Je soulevai mon ventre vers le sien, pour mieux ressentir ce contact si intense et si délicieux.

Nous avions roulé l’un sur l’autre, à la limite du bord des couvertures protectrices. Je pris son sexe dans ma main, dur, si dur, j’aimais tant cela ! Et surtout le voir ainsi tout dressé, violacé, en demande.

Puis soudainement en moi quelque chose de violent et de passionné se déchaîna. Je l’agrippai par les épaules, le griffai dans le dos, et nous avons roulé ensemble sur la neige glacée.

Ensemble et d’un même bond, nous nous sommes retrouvés debout, nous n’avions pas senti le froid, rien que notre chaleur mutuelle qui s’embrasait de plus en plus.

Adossé contre le bonhomme de neige, et avant qu’il ne fasse la grimace, je descendis mon visage le long de son torse tant aimé, jusqu’à ce sexe tout tendu, ainsi offert à ma bouche gourmande. Je le suçai, le léchai. Il coulait dans ma bouche, de cette substance si douce à déguster et légèrement salée. Il m’avait pris la tête entre ses mains et m’accompagnait ainsi dans mes mouvements, ses doigts s’agitaient dans mes cheveux. Je sentais dans ma bouche combien son désir montait. Je dégustais la texture de son sexe, son velouté, cette douceur inégalée.

Il savait trop bien que j’adorais les surprises et puisque je l’avais plaqué contre ce personnage tout glacé, il me souleva de terre et m’allongea sur le sol, loin des couvertures bien douillettes.

Je ne pus protester car il avait appliqué sur ma bouche un baiser des plus torrides où nos langues s’emmêlaient, se cherchaient, s’aspiraient, nos salives mélangées pour ne former plus qu’un seul baiser unique.


J’avais froid dans le dos, c’était mouillé et j’ai pensé avec beaucoup de malice qu’il me le paierait plus tard, d’une autre manière… ne dit-on pas que la vengeance est un plat qui se mange froid ?

Je pris dans mes mains de la neige autour de moi et à titre de revanche en mis sur son dos.

Mais au lieu de ralentir ses ardeurs, ce que je ne souhaitais nullement, il se fit plus insistant, et plongea son visage entre mes cuisses, pour venir avec sa langue, me fouiller, me chercher.


Mon corps ondulait, se cambrait vers cette bouche prometteuse, je le désirais, de tout mon être. De longs frissons m’envahissaient, et ses mains en même temps titillaient mes seins, les malaxaient avec fermeté et précision. Ce mélange subtil que j’aimais chez lui. Tout en finesse, en intelligence. Comme il me connaissait ! Mon cœur battait fort, je haletais sous le plaisir qui montait et que je retenais.

Sa langue m’avait pénétrée le plus loin possible.



Je pris sa tête et son corps glissa le long de mon ventre, de mes seins. Il passa ses mains sous mes fesses les souleva, se mit à genoux, et de son sexe tout raide, vint à la rencontre de cette grotte toute ruisselante de nos nectars mélangés. Il joua d’abord à l’entrée avec son gland, si chaud, tendre, et puis me pénétra en même temps qu’il venait me chercher un baiser appuyé, passionné.


Je le sentais aller et venir avec lenteur, à l’écoute de nos plaisirs respectifs. Mes jambes s’étaient croisées autour de sa taille, afin qu’il entre ainsi en moi plus profondément et que je puisse sentir en moi toute la longueur de son membre.


Nous étions allongés nus sur la neige, nous ne sentions rien que cet amour qui nous unissait, rien que lui et moi, seuls au monde, dans ce paradis blanc, où la chaleur de nos corps étaient bien plus fortes que le froid de la neige sous nos corps allongés, enroulés, emmêlés.

Je sentais dans mon ventre les prémices du plaisir qui montait, il m’attendait. Mes hanches s’agitaient plus rapidement maintenant allant vers son sexe en moi, je le voulais toujours plus loin, plus profond, la frénésie nous gagnait, et en un instant cette grande vague déferlante m’envahit tout entière et je hurlai mon plaisir pendant de longs moments, tandis que lui inlassablement continuait à se laisser aller à la lente progression de son plaisir à venir.

Je sentais son sexe se gonfler encore davantage, pendant que ma jouissance restait là présente, à l’écoute de lui.

Il se fit plus rapide, me serra contre lui, me prononça des paroles tendres à l’oreille, ses bras enroulés autour de mes épaules me malaxaient, revenaient sur mes seins, les pétrir, les sucer, et son sexe dont la chaleur augmentait encore, je le sentis au fond de moi tressaillir, vibrer de tout son corps.



Je le regardais, j’aimais voir son visage ainsi dans le plaisir, se laisser aller sans peur, ni inhibition.

Et alors dans mon ventre par jets, je sentis son sperme chaud, vivant, exploser en moi, de longues secousses si délicieuses à ressentir.

À ce moment-là une seconde vague plus forte que la précédente me secoua entièrement. Un second cri de plaisir conjugué au sien, nous laissa ensuite dans les bras l’un de l’autre heureux.


Nous avons rapidement rejoint les fourrures légèrement éloignées, nous nous y sommes enroulés et sommes ainsi restés de longs moments dans un cocon de bien-être et de délices que seul « l’après » peut nous procurer dans un espace temps légèrement intemporel avec au bout de nos lèvres deux mots éternels murmurés l’un à l’autre.



Il m’entraîne auprès du feu dans la maison, afin que nous nous séchions. Nous sommes nus tous les deux.

Il circule ainsi autour de moi, et j’aime le regarder ainsi évoluer, naturellement, l’observer, le découvrir, admirer la plastique de son corps, admirer ses fesses, et il sait combien je les aime.

Je regarde son sexe qui se dresse devant mes yeux insistants. Comme j’aime le voir ainsi ! C’est beau un homme en pleine érection qui marche, j’aime et je le dis. Il me regarde, il me sourit, se penche vers moi, prend mon visage dans ses mains, dépose un baiser doux sur mes lèvres fermées. Il met ses mains sur mes épaules, m’allonge sur le sol, auprès de la chaleur de l’âtre, et de la sienne qui émane de sa peau.

Il s’étend contre moi, sa main me caresse. Je ferme les yeux et savoure ces moments doux, uniques, rien que pour nous deux.

J’ouvre les yeux, allonge ma main vers son sexe et le prends dans ma main. Il est dur, chaud, et il sait que j’adore cela. Il se met à genoux devant moi et telle une offrande l’avance vers ma bouche. Je le prends ainsi, passe ma langue sur le velouté du gland et plonge dans la petite fente juste au-dessus, là où c’est très sensible. J’y joue par sadisme et par jeu, pour l’exciter, car j’adore cela. Je sens son membre vibrer, vivre dans ma gorge. Il va et il vient, dans ma bouche arrondie. Sa queue est faite pour elle, ce qu’il faut pour que je puisse l’engloutir sans m’étouffer, me pénétrer jusqu’au fond de ma gorge, y buter. Je le suce, je le lèche, je le lâche.


J’aime faire durer le plaisir, le plus longtemps possible, car la jouissance en est d’autant plus explosive pour tous les deux et nous le savons très bien. Nous en usons d’ailleurs avec art, et subtilité.


Il rejoint mes lèvres et y dépose un baiser où nos langues se lient, se délient, s’enroulent, où se mélangent nos salives, dégoulinent dans un baiser passionné le long de nos mentons, mais qu’importe, cette salive excite notre imagination, notre gourmandise.

Oui nous sommes voraces de nos corps, de notre peau mutuelle, de cette partie intime qui nous attire vers le bas de l’autre, afin d’élever notre cœur, et nos corps vers des cimes plus exaltées dans la recherche de la volupté.

Nous nous laissons transporter l’un vers l’autre, abandonné par le temps qui nous entoure.

Il a glissé ses doigts entres mes cuisses toutes mouillées, ruisselantes de désir. Il a commencé à me masturber, avec un doigt, puis deux doigts, tout en me mordillant le bout d’un sein. Mon dos se cambre, je gémis sous ses caresses. Ma respiration se fait plus rapide, et je lui dis une succession de mots, d’invitations, de venir vers moi, en moi.


J’ai envie qu’il me pénètre. Je joue avec le bout de son gland contre ma chatte écartée. J’accroche mes jambes autour de son cou, et pour me rapprocher encore de ce sexe tant convoité, autour de sa taille.


C’est un instant tellement intense pour moi, si spécial, si unique, ce moment-là, jamais le même, et tellement répété.

Il sait que c’est important pour moi, ce fragment de seconde où il pénètre la porte de ce nid tout chaud. Je sens la chaleur de son sexe, qui me pénètre de tout son long, se retire, revient, à l’entrée, c’est exaltant, sublime, j’ai terriblement envie qu’il s’enfonce d’un coup, très fort, tout au fond de moi, mais nous savons que ce n’est pas ce jeu-là pour ce soir.

Il sait que j’ai envie de subtilités, et de raffinement, là où il excelle !

Je me laisse aller à son expérience, sa vigueur l’emporte et me fait tant de bien. Maintenant il est totalement en moi, et je ressens cette forme d’appartenance totale, cette union entre lui et moi, qui font qu’à ce moment-là exactement nous ne formons qu’un seul être, ensemble soudés, collés l’un à l’autre.

Il commence un lent va-et-vient suivi d’un plus rapide, ensuite il s’arrête. Il sait que cela augmente le plaisir de tous les deux, distillé et savamment dosé.

J’aime sa douceur, celle qu’il m’offre, ses bras, sa peau, son visage qui me regarde, où ses yeux reflètent pour moi tant de désir, et aussi tellement d’amour.

Cet amour qui accompagne chacun de nos gestes l’un pour l’autre. Nos caresses dans le dos, sur le ventre, sa langue qui passe aussi dans mon cou, vient me mordiller là juste dans le creux. Il sait que je ne puis résister à cette câlinerie, qui pour moi est insupportable, non pas dans la souffrance, mais dans l’exaspération du plaisir, d’une volupté intense distribuée. Je fonds, je frissonne, je me tends, mes mains s’égarent sur ses fesses, les poussent vers moi également pour qu’il me prenne encore plus profondément.

Entre temps nous nous sommes mis en portefeuille, il a pris mes seins dans ses mains et il a commencé à titiller les bouts avec deux doigts, à les tourner et légèrement les pincer. Le désir me vrille le bas du ventre.

Ma jouissance longtemps retenue, a du mal à ne pas se laisser aller. Mais il est attentif et il sait mettre nos jeux en attente.


Il me pénètre ainsi par l’arrière, je me caresse avec les doigts en même temps, nos mains se mêlent dans nos sexes mélangés, mouillés, mais comme c’est bon et délicieux !


Je lui dis que mon plaisir n’est plus très loin et que j’ai envie de me laisser aller.



À ces mots, il me pénètre cette fois-ci plus rapidement, plus fort, mais j’en ai envie aussi, le désir se fait plus pressant, plus insistant, je sens dans mon ventre, cette chaleur qui m’envahit, ces frissons qui courent le long de ma colonne, je vibre.

Il accélère ses mouvements, il me dit que c’est bon, que mon ventre est chaud, qu’il m’aime, et qu’il se sent si bien en moi, j’écoute ces mots que j’aime entendre.

Je sais qu’il a envie de jouir, mais il m’attend. Je ne dois pas me retenir, surtout pas, mais me laisser aller, pour nous.

Mes mains se crispent sur ses bras, mes ongles s’y enfoncent, ma tête se jette en arrière, et je sens son sexe qui sort et rentre à la fois, et vient chercher mon plaisir tout au fond de moi en se frottant contre mon clitoris en même temps. Mais ma jouissance est vaginale essentiellement et tellement forte, que je m’accroche à lui au moment ultime où la vague m’emporte et où s’échappent alors de ma gorge, les cris de plaisir tant attendus par mon amant. Je ressens alors à ce moment-là, de longues giclées profondes et chaudes qui m’envahissent pendant qu’il me crie des mots sans suite, et qu’ensemble nous nous déchaînons au sommet de notre plaisir.

Nous ne sommes plus que des mains qui s’agrippent, des corps qui se chevauchent, des bouches qui s’embrassent, des bras qui s’enlacent… et nous retombons enfin, épuisés et heureux, pendant que chez moi cette jouissance est encore là bien présente et que je continue à tendre mon ventre vers son sexe encore dur dans mon ventre et que je continue à profiter de ces derniers moments ultimes.

Nous avons uni nos cris ensemble, notre plaisir et notre jouissance, et maintenant, notre respiration s’apaise. Nous sommes dans les bras l’un de l’autre pantelants, abandonnés, repus, et envahis soudain d’une douce langueur. Un nuage de bonheur intense nous envahit pendant quelques secondes, nous enveloppe dans son cocon, pour encore prolonger l’extase finale.