n° 11050 | Fiche technique | 14914 caractères | 14914 2529 Temps de lecture estimé : 11 mn |
20/12/06 |
Résumé: Un week-end au Club qui se passe bien + Version remaniée de la tirade du Cid. | ||||
Critères: #humour fh hplusag inconnu vacances hotel douche voir intermast entreseins fellation cunnilingu 69 nopéné fdanus uro | ||||
Auteur : Bodding Envoi mini-message |
1 / Baise rapide au Club
J’étais au Club Med de XXX, seul pour un long week-end. Au premier dîner est venue s’installer à ma table une maman avec un petit bambin de cinq ans. Ce qui m’a frappé au premier regard c’est le décolleté très généreux de cette femme, montrant bien largement une poitrine tout aussi généreuse maintenue dans un soutien noir. À chacun de ses mouvements, ces deux masses de chair bougeaient voluptueusement, accroissant ou diminuant le sillon médian, remontant les globes laiteux… J’en étais sans voix !
J’étais venu au Club pour trois jours de repos et pour l’un ou l’autre parcours golfique mais certainement pas pour une aventure… mais, c’est l’occasion qui fait le larron.
J’ai pu, après quelques secondes de tétanisation, enlever mon regard des appas de ma convive. J’ai cru voir ses lèvres esquisser un léger sourire… À part cela, cette femme n’avait rien de particulier, visage comme on en voit douze à la dizaine, quasi pas maquillée mais avec des yeux verts pétillants.
Nous étions finalement six à table et la conversation était générale. Je ne pouvais cependant m’empêcher de jeter des regards furtifs dans le décolleté dont la vue s’offrait à moi.
Le repas terminé, chacun s’en est allé vers des occupations ludiques. J’ai quitté le restaurant avec la jeune maman. Elle se rendait à la salle de théâtre pour voir le spectacle des enfants, auquel d’ailleurs son bambin participait. Comme beaucoup d’autres je me rendais au même endroit et nous nous sommes retrouvés sur des sièges voisins. Très rapidement ma voisine m’a avoué avoir 38 ans et être en instance de divorce. J’en avais 67, mais je connaissais mon charme de senior aux tempes argentées, ma haute taille, toujours élégant et… toute mon expérience de la drague !
Tout en parlant, ma voisine déplaçait ses bras et faisait ainsi copieusement bouger sa copieuse poitrine, pour mon plus grand plaisir visuel.
Lorsque la lumière s’est éteinte et que le spectacle a commencé, ma voisine de siège a déposé sa main sur ma cuisse, un peu trop haut pour que ce soit innocent et point trop haut si ce geste était mal pris. Voulant savoir où Anne (c’est son prénom… elle me l’avait dit) voulait en venir, j’ai mis ma main sur la sienne et l’ai remontée encore un peu, très proche du creux de l’aine. Elle l’a laissée en place et s’est mis à exercer des pressions légères en cet endroit très sensible. Plus d’équivoque maintenant…
Le spectacle terminé, nous avons choisi une table un peu reculée du bar de nuit et commandé deux Cointreau. Le bambin jouait tout proche avec d’autres gamins.
Après deux gorgées de cette excellente liqueur, je me suis approché d’Anne et, un peu troublé, j’ai glissé mon doigt dans le profond sillon de ses seins. La regardant, je lui ai expliqué que je n’étais pas un jeune étalon et qu’elle serait peut-être déçue de ma prestation. En effet, souffrant d’un petit problème prostatique, mes érections étaient courtes et difficiles, au grand dam quelquefois de mes partenaires non averties. Au fil des ans j’avais cependant affiné mon doigté ( si vous voyez ce que je veux dire !) ainsi que mon adresse linguale.
Anne m’écouta et mit un doigt mutin sur ma bouche pour me demander de me taire. Elle dit simplement :
On ne peut vraiment pas être plus gentille. Mais comment faire, vu la présence du gamin ? C’est elle qui avait déjà préparé une solution ! Fallait-il qu’elle ait envie !
Faudra assumer.
Vite fait bien fait, j’ai encore bu rapidement un verre de Cointreau pour me donner du tonus et j’ai rejoint ma chambre où j’ai rapidement fait un brin de toilette (rasage pour être net et intime pour sentir bon ! )
J’avais à peine terminé que l’on frappait à ma porte. Anne ne s’était pas changée et arborait toujours son décolleté si tentateur.
Elle était devenue un peu timide et, se blottissant contre moi, elle me raconta qu’elle avait très mal vécu son divorce et que depuis elle s’était bien gardée d’encore rencontrer des hommes. Je lui avais plu justement par mon calme et ma maturité… Elle voulait maintenant se faire gâter. Elle s’excusait presque.
Pendant qu’elle parlait, je lui ai caressé les cheveux et glissé ma main tout au long de son dos. Et puis, constatant son inertie dans mes bras, je me suis mis à lui caresser son opulente poitrine sur sa robe et à palper très délicatement son entrejambe et son postérieur. J’ai ainsi découvert tous les secrets de son corps sans l’avoir dévêtue.
Je sentais Anne s’alanguir entre mes bras et répondre à mes caresses en m’offrant sa bouche.
Ce fut un baiser d’abord très doux et puis il s’est enflammé, de par la volonté de ma compagne qui s’est mise à me mordre les lèvres, à faire virevolter sa langue autour de la mienne, à l’aspirer et à me la sucer comme un petit sexe tendu.
Elle me dit :
Tout en restant soudé à sa bouche, j’ouvris la fermeture Éclair de sa robe et fis glisser celle-ci le long de ses hanches.
Ma partenaire était maintenant devant moi quasi nue, en soutien-gorge et slip.
Comme je fantasmais depuis plusieurs heures sur sa poitrine, j’ai vivement fait sauter l’attache de son soutien pour libérer ses seins du tissu qui les protégeait.
Quelle abondance… quelle beauté. Malgré mon expérience c’est la première fois que je voyais deux globes aussi majestueux, pleins de souplesse et de dureté tout à la fois. Les tétons bien proportionnés et une légère propension à céder à la pesanteur qui donnait encore plus de charme à cette poitrine somptueuse…
Je me régalais tant des yeux que des mains.
Anne avait ouvert mon pantalon et de sa main, cherchait mon sexe au-delà de mon caleçon. J’adorais cela… une main de femme dans mon pantalon. Je ne bandais pas mais cette main baladeuse me provoquait une douce demi-érection d’autant plus qu’elle s’attardait à me pétrir délicatement les bourses et à palper mon sexe…
Aidé par ma partenaire je me suis rapidement déshabillé… et, dans le même tourbillon de vêtements, le slip d’Anne s’est retrouvé au sol.
Sa chatte était nature (comme je les aime…), sans coups de ciseaux ou rasage inopportun, et poilue sans trop s’en faut…
Nous étions maintenant nus tous les deux, blottis l’un contre l’autre, nos bouches s’effleurant, se touchant, se pénétrant au fil de nos envies. Nos mains parcouraient nos corps avec recherche du plaisir… Nous titubions quelquefois ensemble et finalement nous nous sommes retrouvés sur le lit…
Je ne bandais toujours pas mais j’avais le bas-ventre en feu de plaisir, et de mon sexe mou s’écoulaient des gouttelettes de début de jouissance…
Ma délicieuse compagne m’avait pris en bouche et entreprenait une fellation calme, posée, destinée à amener un peu de raideur à ma verge… Elle le faisait avec un réel plaisir.
J’étais parvenu à la renverser sur moi et j’avais maintenant sa chatte à ma bouche avec à portée de main sa volumineuse poitrine qui ballottait avec indécence sous elle.
J’ai toujours aimé l’odeur d’un sexe de femme mais ici j’étais gâté car c’étaient des effluves où je percevais tant déjà de la jouissance qu’un parfum sui generis léger mais obsédant.
Je me suis mis à lécher et mordiller le bouton d’amour qui, bien proportionné et légèrement décapuchonné, s’offrait à ma bouche avide. Je le quittais parfois pour introduire ma langue au plus profond du conduit soyeux bien ouvert devant moi.
Aux soubresauts et mouvements désordonnés des fesses de ma cavalière, j’ai compris qu’elle aimait ce que je lui faisais et qu’elle en redemandait !
D’une main, je suivais le mouvement de balancier de ses seins, les soupesant, titillant la pointe tandis que de l’autre je lui caressais la raie fessière, m’attardant à son anus dont l’ouverture vibrait sous mes caresses. D’un doigt un peu inquisiteur, j’ai pénétré cet antre délaissé par beaucoup d’hommes et de femmes, sans réaction négative de ma partenaire.
De son côté, ma douce compagne continuait ses mouvements de succions et de caresses étant finalement parvenue à entretenir une belle semi-érection dont je n’avais plus l’habitude. Très habilement, elle avait compris le plaisir que j’avais à jouer dans sa raie fessière et elle s’était mise à en faire de même avec moi… Glissant des bourses au scrotum et de celui-ci vers mon petit orifice arrière elle avait ainsi accentué mon plaisir et elle le sentait dans sa bouche…
Nous étions ainsi tête-bêche depuis un très long moment, à nous donner du plaisir par nos langues, bouches, mains et doigts, gémissants quelquefois de plaisir, grognant quelquefois lorsque la bouche pleine nous voulions exprimer notre satisfaction…
Dans un couple normal, le moment aurait été venu de conclure par une triomphale chevauchée de pénétration… mais j’avais averti ma partenaire !
Je lui laissais l’initiative pour voir comment elle-même voulait conclure son plaisir, quoique au volume des sécrétions qui sortaient d’elle j’estimais qu’elle devait avoir eu au moins deux orgasmes déjà.
Nos corps se comprenaient bien.
Anne a finalement quitté sa position et est venue se coucher sur moi, rejoignant ma bouche. Nous mélangions ainsi nos salives tout autant que nos langues.
Elle me dit :
J’en étais tout fier !
Il n’était pas question de s’arrêter en aussi bon chemin et, connaissant mon attirance pour sa poitrine, ma partenaire s’est mise à me caresser le bas-ventre avec.
Suprême ! Avant mes petits déboires d’érection j’avais grand plaisir à blottir ma verge au creux du sillon de la poitrine de mes maîtresses et d’y rester comme dans un lit douillet et bien chaud, pour ensuite leur lancer toute ma semence au visage… mais cela, c’est du passé. Hélas !
Tout en me caressant ainsi de ses seins, elle avait aussi débuté une masturbation après avoir décalotté mon gland… C’était divin… et efficace car j’ai commencé à sentir les premières montées de sève…
Anne, habile, le pressentait aussi car elle me dit :
Accélérant son mouvement de la main elle m’amena au plaisir et je me suis laissé aller à inonder (oh modestement) sa main et ses seins.
J’étais un peu honteux de m’être ainsi laissé aller à un plaisir d’adolescent inexpérimenté mais ma compagne me réconforta en me disant :
Entendant cela, je me suis mis à l’embrasser avec fougue comme pour lui dire des mercis sans fin.
Elle s’est emparée de ma main et l’a glissée sur sa chatte pour me faire comprendre qu’elle voulait « encore ». J’ai réuni toute mon expérience pour lui faire un doigté soigné, alternant le nombre de doigts, le mouvement circulaire et de va-et-vient… Elle avait très largement ouvert les cuisses et remonté les genoux pour encore mieux me sentir en elle…
Je lui embrassais tantôt la poitrine tantôt la bouche tout en continuant ces mouvements intimes en elle, provoquant un très agréable bruit de clapotis…
Je sentais Anne arriver au paroxysme de son plaisir et, accélérant le rythme de mes doigts, je la fis finalement hurler. Convulsivement elle ouvrait et fermait ses cuisses, bloquant ma main ou la libérant… elle conduisait mes doigts vers son explosion.
Tout son corps était agité et se tordait vers la recherche du meilleur plaisir.
Elle hurlait son orgasme et coulait avec abondance, inondant ses cuisses…
Nous étions repus tous deux…
Nous sommes restés enlacés nus et mouillés très longtemps, à nous bécoter et à nous caresser doucement, avec le seul objectif de profiter le plus longtemps possible de nos corps.
Finalement, il a fallu cesser nos jeux amoureux car ma compagne ne voulait pas laisser son fils seul trop longtemps.
Nous avons échoué dans la salle de bains où, lors de la douche commune nous nous sommes lavés mutuellement, même et surtout à nos endroits les plus intimes.
Pour finir, bien que ce ne soit une habitude ni pour l’un ni pour l’autre, nous avons fait pipi ensemble. Anne jouait avec ma verge, conduisant mon jet d’or vers sa chatte où, de ma main, je sentais aussi couler son liquide chaud et odorant.
Le lendemain nous avons fait la sieste ensemble… nos corps n’appelaient plus le plaisir mais simplement le contact. Nous nous sommes fait jouir mutuellement, bien calmement, sachant que nous ne nous reverrions plus.
Délicieux souvenir d’un week-end.
2/ La tirade du Cid
Ô rage ! ô désespoir ! ô vieillesse ennemie !
N’ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ?
Et ne suis-je blanchi dans les travaux d’Eros
Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers ?
Ma verge qu’avec respect toutes les femmes admirent,
Ma verge, qui tant de fois a fait vibrer les jouvencelles,
Tant de fois humidifié des chattes velues,
Trahit donc ma querelle, et ne fait rien pour moi ?
Ô cruel souvenir de ma gloire passée !
Œuvre de tant de jours en un jour effacée !
Combien te faut-il maintenant de seins juvéniles ou
D’approches câlines pour enfin revenir droit (ou presque) ?
Nouvelle dignité éphémère fatale à mon bonheur !
Précipice élevé d’où tombe rapidement mon honneur !
Dois-je mourir sans pénétration, ou vivre dans la honte ?
Toi, jeune, sois de mon vit à présent substitut
Ce haut rang que je te confère
N’admet point un homme sans vigueur ;
Et ton jaloux orgueil par cet honneur insigne
Malgré mes efforts, m’en a su rendre indigne.
Et toi, de mes exploits passés sois le glorieux instrument,
Remplace un corps tout de glace avec un inutile ornement,
Verge, jadis tant crainte des maris, et qui, dans cette offense,
Va, quitte désormais le dernier des humains,
Passe, pour me venger, en de meilleures mains.
Ces mains qui comme moi d’antan, pétriront les chairs
Caresseront les mamelons dodus, s’introduiront dans des replis cachés
Exploreront des zones interdites et feront triompher
Comme moi jadis… la vigueur de l’homme.
Jeune, sache que tu vieilliras un jour et que, comme moi,
Tes matins ne seront plus triomphants.
Use donc, abuse et profite de tes capacités présentes.
Ne recule devant aucune difficulté et, toujours tendu, va de l’avant
Dans les grottes sombres qui s’offrent à toi.
Mieux vaut avoir des remords que des regrets.
Je te vois déjà, flamberge au vent, chevaucher les damoiselles,
Les faire crier sous toi et les inonder de ton plaisir.
Je te vois déjà te faire manger, avaler par des bouches matures,
Qui, en souvenir des plaisirs qu’ils ont jadis reçus de moi,
Se déchaîneront devant ce glaive que tu leur tends.
Gausse-toi des maris et amants, car si leurs femmes
Gémissent sous toi c’est que, distraits par d’autres plaisirs
Ils négligent les trésors qu’ils ont proche.
Et, lorsque repu de plaisir tu interrompras ta quête sexuelle,
Passe me voir et conte-moi tes exploits par le menu.
Peut-être qu’alors les souvenirs enfouis remonteront et
Peut-être qu’alors, doucement ma verge reprendra forme et
Peut-être qu’alors d’une main attentive je ferai renaître le plaisir.