n° 11053 | Fiche technique | 21238 caractères | 21238Temps de lecture estimé : 13 mn | 25/12/06 |
Résumé: Histoire d'un couple emmené par des amis aux sports d'hiver, où ils découvrent la pluralité. | ||||
Critères: ffh 2couples couplus vacances massage cunnilingu pénétratio échange init | ||||
Auteur : Cate |
La semaine dernière, nous avions réservé dans les Hautes-Alpes, dans une petite pension qui mettait à disposition des appartements. Nous avions décidé de partir avec un couple d’amis et leurs deux garçons de douze et quatorze ans. Nous avions l’habitude de partir plutôt seuls, mon mari ayant toujours envie de vivre à son propre rythme, mais pour une fois depuis le départ de nos filles, notre fils se trouvait seul et l’idée d’avoir des copains de ski l’enthousiasmait et puis nous étions tous partants pour une semaine de vacances sportives.
Nous n’étions jamais partis en vacances ni en week-end avec ces amis que nous avions rencontrés assez récemment par l’intermédiaire de l’école. La décision avait été rapide, en décembre, avec cette envie de quitter Paris et de prendre l’air des cimes pendant les vacances de février.
Véronique et Bruno avaient notre âge, 42 ans. Lui : brun, assez sportif d’allure. Elle : blonde, un peu ronde et très rigolote, toujours de bonne humeur. Je m’appelle Catie et mon mari Laurent, je pratique la course à pied et beaucoup de natation, Laurent ne fait aucun sport régulier.
Laurent, occupé comme d’habitude par son boulot, devait nous rejoindre en train lundi, soit deux jours après notre arrivée.
Nous sommes arrivés vers dix heures du matin, ayant pris la route vers trois heures du matin pour arriver sans les embouteillages.
La pension était charmante, la propriétaire nous fit visiter les appartements, au dernier étage : un petit studio pour nous trois, avec un grand lit, deux petits lits superposés et une salle de douche ; juste à côté, un appartement plus grand (quoique, on est à la montagne), un coin chambre avec un grand lit, un canapé-lit, deux autres petits lits et une salle de bain.
Nous descendîmes chercher les premiers bagages. Les enfants avaient déjà squatté notre petit appartement avec leurs jeux de société. C’est alors que Véronique me dit :
Je dois avouer que cette idée ne m’enthousiasmait pas beaucoup, car j’aime bien mes aises et je supposais que Laurent serait de cet avis, mais, mon amie insistant, j’ai dit : « OK », tout en me demandant ce que Laurent en penserait à son arrivée.
À midi, une fois les affaires posées mais pas encore rangées, nous sommes allés louer les skis, acheter les forfaits, grignoter au pied des pistes et faire quelques descentes de ski pour se mettre en jambes pour le lendemain.
À seize heures, tous épuisés par la route et les quelques descentes, nous sommes rentrés dans notre pension au pied des pistes. C’était pratique finalement puisque les garçons avaient leur clé d’appart et pouvaient donc être autonomes.
J’avais envie de me doucher après tout ces efforts, c’est là que je me suis rendu compte que la promiscuité devenait plus gênante, surtout avec des amis que l’on ne connaissait pas très bien.
Après la douche prise chacun notre tour, j’ai rangé les bagages. Bruno dit :
À vrai dire, il n’y avait pas grande différence, le coin chambre n’ayant pas de porte et donnant vue directe sur le canapé-lit ; la seule différence était que tous les matins et soirs il faudrait plier et déplier ce canapé. Je suis tombée sur le canapé-lit.
Le soir, après le repas pris dans la salle commune de la pension, nous ne pensions qu’à une chose : dormir pour récupérer de cette longue journée. Les enfants furent couchés et endormis dès 20 h 30.
Les adultes aussi, je n’arrêtais pas de bailler et me précipitai dans la salle de bain. Une douche et j’enfilai un joli pyjama de soie. Bruno m’aida à déployer le canapé et je m’allongeai pour dormir. Mes amis avaient investi la salle de bain et laissé juste une petite lumière au pied du lit dans la chambrette.
Quelques minutes plus tard, Bruno et Véro sortirent tous deux en peignoirs. J’aperçus discrètement Véronique laisser son peignoir et se glisser nue dans le canapé et Bruno nu de dos faire de même. Je m’endormis épuisée.
Le lendemain matin, branle-bas de combat, tous au ski de bonne heure. Une excellente journée sous le soleil.
Dîner sympa dans la salle de la pension auprès d’une belle cheminée où crépitait un bon feu de bois.
Les enfants étaient fatigués mais encore excités de cette première journée.
Pendant que je m’occupais des enfants (ah, les lectures du soir !), Bruno et Véro squattèrent la douche les premiers et nous nous retrouvâmes tous pour faire les câlins des bambinos.
Je pus enfin me détendre sous une douche bien chaude et méritée. En sortant de la douche enveloppée dans mon peignoir, quelle ne fut pas ma surprise de voir Véro, allongée sur le lit dans la chambrette, nue sur le ventre, se faire masser à l’huile par Bruno. Bruno avait un paréo autour de taille. Ils étaient plutôt cool les copains. Je pense que je rougis un peu. Véro me dit :
J’avoue que les voir tous les deux ainsi me donna chaud. Je voyais Bruno accroupi au-dessus du corps de Véro l’enduire d’huile et l’envelopper fermement de ses mains. J’allai jusqu’au canapé, m’allongeai sur le côté et pris un livre pour me donner de la contenance mais je ne pouvais m’empêcher de les regarder.
Véro se retournant sur le dos, nos regards se croisèrent. Je me replongeai dans ma lecture, mais mon regard était sans cesse attiré par eux. Je voyais les mains de Bruno glisser sur le corps de Véro, elle avait les yeux mi-clos et semblait y goûter avec délice. C’est alors que j’entendis Véro me dire :
Je dois vous avouer que je bafouillai un peu entre gêne et désir, et que va penser Laurent s’il apprend ? Depuis mon mariage je n’avais jamais connu d’autres aventures même si de temps en temps avec quelques copines on rêvait toutes de quelques fantasmes.
Je ne bougeais pas dans un premier temps, puis Véro insista. Je me suis levée, enveloppée de mon pyjama de soie, pour rejoindre le lit.
Véro s’était dressée, elle était belle, nue, son sexe presque rasé. Bruno était resté sur les genoux, son paréo noué autour de la taille. Il me regardait en souriant. Véro dénoua la ceinture de mon haut de pyjama et fit glisser ce dernier laissant apparaît mon torse nu. Je voyais le regard Bruno posé sur mes seins. Gênée, je crois que je rougis et m’assis sur le bord du lit, dos à Bruno.
Véro doucement me dit :
Elle me fit signe de retirer mon bas :
Je me glissai sur le ventre à côté d’elle. Véro me laissa un peu de place. Elle se redressa, prit la bouteille d’huile et m’enduisit des pieds à la tête. Puis elle commença doucement à me masser les épaules et le bas du dos. Doucement je me détendais, je dois dire que j’étais arrivée un peu crispée. Après quinze minutes, la chaleur du massage commençait à envahir mon corps.
Je sentis des mains plus larges que celle de Véro qui prenaient le relais. Bruno me massait le creux des reins de façon énergique. Je tournai la tête et vis Bruno à genoux à côté de moi. Véro s’est levée pour chercher de l’eau.
Bruno me dit :
J’ai eu un moment d’hésitation, me trouver nue seins à l’air et le sexe exposé à sa vue me gênait. Véro, très cool, revenait avec sa bouteille d’eau :
Je me retournai, abandonnant mon corps à leur vue, mon sexe était presque rasé, juste une petite touffe en haut.
Ce fut Bruno qui m’enduisit d’huile, je frémis quand il passa doucement entre mes seins, mes tétons étaient en érection, Véro me massait les jambes et Bruno passait de longs massages sur le côté, il remontait sur mon ventre en terminant en cercle. Les yeux clos, je me laissais bercer par ce massage à quatre mains. Quand j’ouvris les yeux, Véro s’était installée à cheval sur une de mes jambes qu’elle pétrissait doucement et Bruno était toujours sur le côté. Mais il avait ôté son paréo et son sexe brun ballottait au rythme du massage. Il était bel homme.
C’était anachronique que de se trouver après deux soirs, allongée nue entre un couple d’amis. Je me demandais qu’est ce que j’allais dire à Laurent (rien sûrement).
Les mains de Bruno descendaient de plus en plus bas, elles glissaient sur mon sexe, tout d’abord doucement. Je sentis progressivement une pression plus forte, par réflexe je serrai les jambes, mais Véro à cheval sur une de mes jambes bloquait toute tentative. Sa main s’arrêta sur mon sexe, je lui attrapai le bras ; il ne bougea plus, j’étais rouge pivoine, nos regards se croisèrent. Je crois qu’il vit dans mes yeux un mélange d’envie et d’inquiétude. Je n’osais rien dire.
Véro prit dans sa main le sexe de son homme et commença à le caresser. Bruno reprit son massage, il était très doux, ses doigts passaient sur ma vulve. Je sentais le désir monter, un peu de liqueur s’échappait. Il redoubla ses caresses, roulant sur mon clitoris complètement en érection. Véro caressait son sexe bandé au-dessus de moi. Cette situation était excitante, je haletais, offrant mon sexe aux mains de Bruno. Je me sentais au bord de la jouissance.
Tout à coup Véro l’écarta et plongea la tête sur mon sexe désormais trempé, sa langue agile trouva mon bouton. Bruno, lui, s’était placé derrière sa femme, son sexe bandé, et il la pénétra pendant qu’elle jouait avec mon sexe de longues minutes, relâchant la tension quand elle devenait trop vive. Je sentais les coups de reins de Bruno à travers les lèvres de mon amie. Mon corps s’était abandonné comme si je m’étais désinhibée. Je jouis plusieurs fois sous les lèvres de mon amie. Elle semblait elle-même au bord de la jouissance. Le souffle de Bruno s’accélérait, je sentis mon amie jouir, puis elle s’allongea sur moi, m’enlaçant de ses bras.
Je n’avais pas fait l’amour avec une fille depuis que j’ai quitté la vie étudiante, que c’était doux. J’étais encore excitée par la situation. Bruno était resté debout au pied du lit, il s’allongea à côté de nous deux enlacées. Sa main caressait les fesses de Véro, descendait le long de son sexe et venait s’attarder ensuite sur ma vulve, j’étais complètement trempée et je sentais ses doigts jouer avec mes lèvres.
Véro se redressa, me demanda de glisser un peu vers le bas du lit, j’avais les jambes pendantes hors du lit, elle s’agenouilla au-dessus de ma tête, son sexe au-dessus de mes lèvres, elle commença à s’approcher en me demandant de la prendre dans ma bouche Avec ma langue et mes lèvres je saisis son sexe ; elle était très excitée et son bassin allait et venait. Bruno s’était redressé, il s’agenouilla au pied du lit et prit mon sexe dans sa bouche. Il m’aspirait, je haletais de plaisir, tout en léchant le sexe de Véro. Puis, ses mains remplacèrent sa bouche, il m’introduisit deux doigts dans le vagin et commença un lent va-et-vient, je gémissais. Il arrêta d’un coup. Je redressai la tête, Bruno s’était approché, le sexe brun tuméfié. Un peu paniquée je lui dis :
Son sexe s’approcha de mes lèvres, il le poussa doucement, une chaleur m’envahit, j’écartai les jambes au maximum pour profiter de son sexe. Je haletais comme une folle à chaque coup de butoir, mes seins volaient, avec rage il soufflait et rugissait, moi je hurlais, pendant près de dix minutes il me fit l’amour. Je sentis une immense giclée de sperme au fond de moi. Dans un dernier hurlement il se retira et le dernier jet gicla sur mon ventre en sueur.
Véro était restée près de moi à me caresser. Il s’allongea tout contre moi et nous nous câlinâmes pendant un long moment. Nous nous endormîmes tous les trois dans le lit.
Le matin je me suis réveillée blottie contre Véro. Bruno était déjà sorti.
Les enfants tambourinaient à la porte. D’un bond j’enfilai mon peignoir et allai leur ouvrir.
Ils étaient déjà prêts pour le petit déjeuner. Je m’habillai en hâte et les descendis prendre des forces.
Nous nous retrouvâmes tous sur les pistes avec Bruno qui était déjà parti de bon matin pour changer ses skis. Durant la journée nous ne fîmes aucune allusion à ce qui s’était passé la veille.
J’appréhendais un peu car Laurent arrivait ce soir et je souhaitais qu’il ne sache rien de ce qui s’était passé. Je suis allée le chercher à la gare, Bruno et Véro s’occupaient de mes deux lascars, ravis d’être en vacances avec des copains.
La soirée fut sympa. Laurent, bien que fatigué par presque une journée de travail et le transport, se détendait. J’étais contente de le retrouver, car je dois avouer que je culpabilisais de m’être lâchée la veille comme jamais.
Laurent découvrit l’espace de logement où durant quelques jours nous serions amenés à vivre en promiscuité. Je lui faisais l’article tout en lui indiquant que le tirage au sort nous avait laissé le canapé-lit dans le salon. Il trouva cela plutôt sympathique. Il alla sous la douche. Ce soir-là, tout le monde se coucha bien sagement, nous crevés par une première journée pleine de ski, et lui, de son voyage.
Matin, branle-bas de combat, le soleil est au rendez-vous pour une superbe journée de ski.
Le soir, tout le monde avait pris des couleurs, les enfants étaient ravis et épuisés par cette intensive journée de cours. Nous les adultes avions enchaînés les pistes. J’avais les jambes fourbues en cette fin de journée.
Après le dîner rapidement pris, nous couchâmes les enfants trop contents de se retrouver seuls pour faire la foire dans leur petit appartement.
Moi j’appréhendais un peu les soirées, je n’avais pas vraiment envie que Laurent apprenne ce qui s’était passé il y a deux jours.
Nous sommes passés sous la douche tous les deux, cela fait un bien fou, une douche brûlante après le ski. J’ai enfilé un peignoir et Laurent s’est rhabillé. Bruno et Véro passèrent à leur tour sous la douche. Véro, toujours très cool, sortit une serviette autour des reins et une serviette autour du cou, on devinait ses seins, je surpris le regard appuyé de Laurent, quant à Bruno il était en peignoir comme moi. Une fois séchée, Véro enfila un peignoir.
Visiblement, ni Véro, ni Bruno, ni Laurent d’ailleurs, n’avaient envie de se coucher, alors que moi j’étais crevée. Véro suggéra de faire un Uno, un jeu de carte qui peut se jouer à plusieurs.
On fit deux équipes. Laurent et moi contre Véro et Bruno avec 100 allumettes dans chaque camp et dix parties. Les premières parties furent endiablées, à tel point que pour annoncer le « uno », les mains volaient. Arrivés à la cinquième partie, il ne leur restait plus que dix allumettes. À la sixième, ils perdirent tout. Véro dit alors :
Tout le monde fut d’accord.
La partie tourna rapidement court au détriment de Véro et Bruno qui au neuvième tour avaient perdu tout ce que l’on leur avait donné comme allumettes.
On mit dans un bonnet tout les petits papiers et Véro tira la première. Elle annonça :
Nous nous levâmes tous, Laurent dit en me regardant un peu gêné :
Comment fait-on ?
Bruno dit :
Véro dit :
Bruno alla chercher une bouteille d’huile de massage dans la salle de bain. Il avait ôté le jean et son tee-shirt et était resté en boxer, moi j’avais toujours mon peignoir sur le dos mais j’étais nue dessous. Avant que Bruno ne revienne, je l’ôtai et me mis sur le ventre. Laurent me voyant laissa finalement tomber son caleçon et s’allongea rapidement sur le dos. Allongés côte à côte, il me prit la main et me fit un bisou sur les lèvres.
Bruno revint avec une grande bouteille d’huile. Véro s’était installée au pied de Laurent et Bruno fit de même. Véro enleva son peignoir et Bruno fit de même. Tous les deux nus au-dessus de nous.
Bruno aspergea les dos d’huile et ils commencèrent à nous masser en cadence. Laurent était un peu tendu, il me serrait toujours la main. Il faut dire que pour lui la situation était inédite, moi j’étais plutôt décontractée.
Je sentais les mains fermes de Bruno sur mon corps, mon dos. Véro massait les fesses de Laurent, elle lui avait demandé d’écarter les jambes. Je sentais à son air qu’elle lui massait l’intérieur des cuisses, il m’avait lâché la main et, détendu, il fermait les yeux.
Bruno me massait à son tour les fesses et m’avait sensiblement écarté les jambes, sa main descendait le long de ma raie des fesses. Je soupirais et mon sexe s’humidifiait
Après ce long et langoureux massage, Véro donna le top en disant : « On se retourne ». Laurent se retourna doucement, la vue de Véro nue à genoux devant lui provoqua une érection. Je m’étais retournée également, face à Bruno, il était nu également, son sexe brun légèrement dressé.
D’un geste, Bruno aspergea mon corps d’huile et celui de Laurent. Véro de ses mains étala l’huile sur Laurent et souplement elle colla son corps au sein et commença un body-body avec ses seins. Le sexe de Laurent était complètement dressé, plein de désir, il me regardait un peu paniqué dans ses yeux, je lui souris. Il vit les mains de Bruno s’emparer de mes seins et les peloter, les exciter. Bruno saisit mon bassin et le souleva jusqu’à ses lèvres, me prit mon sexe dans la bouche et me suça à grand bruit, il me lapait. Je ressentais une excitation terrible et commençai à haleter.
Véro était également excitée par la situation. Elle enjamba Laurent, attrapa son sexe dans la main et vint l’introduire dans son vagin. Elle commença un va-et-vient d’abord doux puis de plus en plus fort, en hurlant. Laurent donnait des coups de reins avec des « Hon, hon, hon », j’entendais les bruits de succion. Bruno n’y tenait plus, il me prit par-devant, allant et venant avec son long sexe brun.
Tous nous crions et jouissons dans un formidable vacarme avec les « Encore, encore ! Ouh, oui ! » de Véro, les coups de sexe de Bruno qui rentrait et sortait tandis que je hurlais, trempée de désir. Bruno m’embrassait comme un fou, j’avais l’impression de mes premiers amours, j’étais insatiable, je voulais le dévorer, et à côté Véro elle aussi voulait jouir, jouir. Bruno voulut sortir au moment d’éjaculer, mais d’un geste je le gardai pour sentir les jets chauds de sperme m’envahir en plusieurs secousses. Nous restâmes un long moment collés l’un contre l’autre, son sexe collé au mien, silencieux, attendant la jouissance finale de Laurent et Véro.
Nous continuâmes à nous caresser les uns les autres, mélangés tous les quatre. Nous nous massâmes encore puis fîmes à nouveau l’amour. Cette soirée torride nous avait bousculé tout les deux, nous étions devenus avides d’expériences, avides de jouissances intenses.
Les vacances passèrent bien vite.
Bises.