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n° 11058Fiche technique19779 caractères19779
Temps de lecture estimé : 13 mn
27/12/06
Résumé:  Le genre d'aveu que me fit ma femme ce matin-là sapa mon moral pour le restant de la journée
Critères:  fh fhh couple extracon collègues exhib fellation cunnilingu humour
Auteur : Malpertuis
L'aveu

J’étais en train de lécher mon épouse avec appétit, quand elle m’avoua soudain qu’elle s’était fait caresser par deux collègues, au cours d’une petite fête organisée à sa boîte.


La matinée avait pourtant bien commencé. J’étais venu la rejoindre discrètement dans la cuisine tandis qu’elle préparait le repas. Je m’étais discrètement agenouillé derrière elle et, baissant d’un seul coup sa jupe, j’avais entrepris d’embrasser son gros fessier. Lorsqu’elle est à la maison, elle ne met jamais de culotte, ce qui est très pratique pour les étreintes urgentes et laisse porte ouverte à mes désirs salaces. Je dois dire aussi que nous sommes un couple très sexuel et que nous passons la plupart de nos week-ends à copuler, ce qui ne nous empêche pas de le faire également très souvent en soirée, le restant de la semaine…

J’ai léché un long moment la raie des fesses de mon épouse, je sais qu’elle adore ça, insistant longuement sur sa pastille que j’ai percée du bout de ma langue. Puis je l’ai faite se retourner pour dévorer avec ferveur son abricot poilu. Elle avait depuis belle lurette relâché ses instruments de cuisine, prenant soin au passage de réduire le feu pour éviter que ça brûle.

Mais, alors que je suçais lentement son bouton, c’est là qu’elle m’a fait cette surprenante révélation :



J’ai redressé la tête, elle n’avait pas l’air de plaisanter. Je ne savais trop comment prendre la chose. Qu’entendait-elle au juste par toucher ?



Je me relève et déchire la liquette de ma pute de femme d’un coup sec :



Elle se désape lentement.



Je lui baise la bouche avec violence, elle tire un peu au cœur. Mais, comme j’ai pitié d’elle, voici maintenant que je me branle simplement comme un fou sur son visage. Je vais lui en coller partout, moi, du sperme, puisque c’est ça qu’elle aime. Je la tire vulgairement par les cheveux, comme une vulgaire prostituée, en me branlant comme un dingue, avant de l’asperger copieusement sur toute la figure.



Je suis hors de moi. Je la repousse violemment et la laisse pantelante sur le carreau. Elle est pitoyable. Mais, devant son air contrit, je prends conscience que j’y suis peut-être allé un peu fort. Après tout, ce sont ces deux salopards qui sont les responsables, je vais leur faire la peau à ces deux pourris. J’imagine déjà quelque vengeance subtile pour les tourner en ridicule. Je ne vais quand même pas leur couper les couilles, mais j’aimerais quand même leur foutre une sacrée frousse.

Tandis que ma femme se relève péniblement et tente de se rajuster, je consulte l’annuaire. Il me semble bien que c’est Roger Derry ou un nom comme ça. Où habite-t-il cette enflure ? Je vais aller de ce pas lui rayer sa caisse et crever ses pneus.



Elle a repris de sa superbe. Elle me défie presque, en tournant lentement la cuillère dans la gamelle.



C’est trop fort, la voici maintenant qui me fait la morale :



Sur ce, elle prend ses cliques et ses claques et se barre de la maison. Juste avant de partir, elle me lance une dernière phrase énigmatique :



Sur le coup, furax, je pense que la seule chose qu’elle regrette, c’est de m’avoir connu. Mais j’en ai autant à son encontre. Et bien, qu’elle se casse, cette pouf ! Qu’elle se trouve quelqu’un d’autre pour lui ramoner les cuisses ! Moi, je ne suis plus intéressé par cette salope et je ferme définitivement boutique.




Je traînasse tout l’après-midi dans la maison vide comme une âme en peine. Je n’ai plus goût à rien. Si je m’attendais à toutes ces révélations en ce début de week-end… Mais comment vivre avec une femme aussi volage ? Je passe un instant dans le bureau, non pas que j’ai vraiment l’intention de travailler, mais je ne sais quoi faire d’autre.

Le calendrier, pourquoi a-t-elle parlé du calendrier ? Ce détail me revient tout d’un coup en mémoire. Je regarde machinalement sur l’éphéméride : 1er avril. Nous sommes le 1er avril. Mama mia. Joli poisson !


Quelle connerie ! Mais quelle connerie ! Je me suis fait complètement piéger. Pourquoi lui avoir raconté l’histoire du séminaire ? Pour l’autre, c’est moins grave, elle s’en doutait déjà. Mais celle du séminaire, c’était mon petit secret et je ne l’ai lâché que pour me venger de ses soi-disant frasques. Ceci dit, elle, de son côté, elle a « une seule chose à me reprocher », oui, une seule, mais c’est quoi cette chose ? En plus, elle a dit ça, sur un ton très acide, après que j’eus avoué tous mes méfaits…




Le soir même, elle est de retour, elle était juste partie faire quelques emplettes.



Elle est complètement hilare, heureuse de la bonne farce qu’elle m’a faite le matin même. Elle exulte tellement que je ne peux plus la tenir. D’ailleurs en ai-je vraiment envie ? Trop heureux que tout ça se termine aussi bien.



A force d’humour, de poses lascives et de sous-entendus suggestifs, elle a fini par me dérider et nous avons fait l’amour dans l’urgence sur la table basse du salon.





Par la suite, nous avons repris notre vie commune, comme si de rien n’était. Oui, mais quelle était donc cette chose qu’elle m’avait cachée ? Mon cousin, son patron, le prof de gym, ses collègues, un voyageur dans un train ? Depuis ce jour-là, cela me turlupine. Mais elle n’a jamais voulu m’en dire plus, ni même en reparler.



Quelqu’un d’autre, oui, mais qui ?