J’étais en train de lécher mon épouse avec appétit, quand elle m’avoua soudain qu’elle s’était fait caresser par deux collègues, au cours d’une petite fête organisée à sa boîte.
La matinée avait pourtant bien commencé. J’étais venu la rejoindre discrètement dans la cuisine tandis qu’elle préparait le repas. Je m’étais discrètement agenouillé derrière elle et, baissant d’un seul coup sa jupe, j’avais entrepris d’embrasser son gros fessier. Lorsqu’elle est à la maison, elle ne met jamais de culotte, ce qui est très pratique pour les étreintes urgentes et laisse porte ouverte à mes désirs salaces. Je dois dire aussi que nous sommes un couple très sexuel et que nous passons la plupart de nos week-ends à copuler, ce qui ne nous empêche pas de le faire également très souvent en soirée, le restant de la semaine…
J’ai léché un long moment la raie des fesses de mon épouse, je sais qu’elle adore ça, insistant longuement sur sa pastille que j’ai percée du bout de ma langue. Puis je l’ai faite se retourner pour dévorer avec ferveur son abricot poilu. Elle avait depuis belle lurette relâché ses instruments de cuisine, prenant soin au passage de réduire le feu pour éviter que ça brûle.
Mais, alors que je suçais lentement son bouton, c’est là qu’elle m’a fait cette surprenante révélation :
- — Mon chéri, il faut que je t’avoue quelque chose… L’autre jour, lors de la fête organisée par le CE, je me suis fait draguer par Lucien et Roger… Et un peu plus que draguer, parce qu’à la fin ils m’ont touchée…
J’ai redressé la tête, elle n’avait pas l’air de plaisanter. Je ne savais trop comment prendre la chose. Qu’entendait-elle au juste par toucher ?
- — Ils m’avaient fait boire et n’arrêtaient pas de me coller, en dansant… Dans le noir, dans la folie des stroboscopes, je sentais des mains baladeuses se poser partout sur moi.
- — Oh ! Les salauds.
- — Bien entendu, à chaque fois que la lumière revenait, ils arrêtaient et cela me donnait quand même un peu de répit pour reprendre mes esprits. Mais je dois t’avouer que tous ces attouchements me donnaient envie et que je n’avais plus tout à fait toute ma tête… Et quand ils m’ont proposé de les accompagner dans un petit bureau à l’écart où nous serions plus tranquilles, je n’ai pas su refuser. Je les ai suivis, comme un petit mouton…
- — MAIS… qu’as-tu fait ?
- — Ils voulaient que je fasse un petit strip-tease. Alors je me suis déshabillée lentement devant eux.
- — Tu t’es foutue à poil devant tes collègues ? Comme ça ? Juste pour leur faire plaisir ? Et sans qu’ils te menacent de quoi que ce soit ? Tu te fous de ma gueule, j’espère !
- — Je te jure, j’étais un peu pétée, je n’avais plus toute ma tête. Et ils m’avaient dit qu’ils voulaient juste me voir nue, pour admirer ma beauté, que cela ne prêtait pas à mal.
- — Et toi tu les as crus ? Tu es tombée dans le panneau, comme une gourdasse ! Tu t’es exhibée devant ces deux vicelards !
- — Oh tu sais, c’est vrai que, ce soir-là, nous étions bien tous les trois et qu’ils étaient vraiment très sympas avec moi. Alors je n’avais pas vraiment l’impression de mal agir.
- — Et tu t’es mise entièrement nue ?
- — Oui, entièrement, je te l’ai dit, nue de la tête aux pieds, j’étais vraiment pompette, je ne savais plus trop ce que je faisais. J’étais à poil et je dansais en ondulant des fesses.
- — Et eux, que faisaient-ils ?
- — Oh, devine, ils en profitaient, ils me mataient. Ensuite, ils se sont levés et ils m’ont touchée un peu partout.
- — Et toi tu te laissais faire ?
- — Ce n’était pas désagréable et puis j’étais vraiment très euphorique, en plein état d’ébriété.
- — Ils ne t’ont pas baisée quand même ?
- — Par chance, ils n’avaient pas de capote, ce qui m’a permis de refuser. Mais ils ont quand même sorti leurs queues et ils m’ont demandé de les soulager. Alors, je leur ai fait une petite gâterie.
- — Tu as fais ça, salope ? Tu les as sucés ?
- — Je me suis agenouillée devant eux et les ai pompés chacun leur tour jusqu’à ce qu’ils éjaculent sur mon visage.
- — Sale pute ! Tu n’es vraiment qu’une grosse catin, tu me dégoûtes. À ton air, je suis sûr que tu as aimé ça, en plus. Tu y as pris du plaisir ! Ca t’a plu de sucer des bites !
- — À la fin, j’étais toute couverte de sperme, j’en avais partout sur la figure et dans les cheveux.
- — Oh, arrête, tu m’écœures.
- — Mais ce n’est pas tout à fait fini… car, depuis ce jour là, ils me font un peu de chantage, ils menacent de t’en parler si je ne les suce pas à nouveau.
- — Quelle merde, je vais les crever ces deux ordures !
- — Alors, pour qu’ils se taisent, ils ont droit à leur petite turlutte quotidienne, tous les soirs, avant de partir du boulot, dans la réserve.
- — Oh, ce n’est pas vrai, tu es une moins que rien, tu me dégoûtes, tu n’es qu’une grosse pouffiasse suceuse de bites.
- — Le problème c’est que maintenant ils en voudraient encore plus… C’est pour cela que je me suis décidée à t’en parler aujourd’hui.
- — Oh, parce qu’une petite turlutte, vite fait, pour toi ce n’est rien du tout. Juste un petit service que tu leur rendais comme ça, avec un grand sourire, je suppose. Et ben, voyons, c’est naturel de sucer ses collègues s’ils en ont envie… Tu ne pouvais pas m’en parler avant ? Je te jure que je vais leur casser la tête à tes deux bâtards.
Je me relève et déchire la liquette de ma pute de femme d’un coup sec :
- — À poil salope, je veux te voir à poil comme ils t’ont vue à poil, ces deux porcs.
Elle se désape lentement.
- — Allez, plus vite, je suis sûr que tu y mettais plus d’entrain, avec ces deux tarés !
- — …
- — Et après, ils te touchaient comment ? Ils te les pressaient comme ça tes gros nichons ? Ou ils te les étiraient ? Ca t’excitait de te faire tripoter comme ça, ma grosse vicieuse ? Avoue ! Avoue que tu as aimé ça qu’ils te pelotent les miches !
- — Ils étaient beaucoup plus vicieux que ça… ils m’avaient fait allonger par terre et ils me fouillaient tantôt le con, tantôt le cul, avec leurs doigts épais.
- — Tais-toi, tu n’es qu’une grosse catin, je suis sûr que t’y prenais un pied d’enfer. Ils te branlaient comment, comme ça ou alors encore plus fort. Et dans le cul, ils t’enfonçaient le pouce ?
- — Et, pendant ce temps-là, j’avais leurs deux bites qui ballottaient devant mes yeux, elles étaient très excitantes, surtout celle de Roger car il est monté comme un cheval.
- — Je n’ai jamais rencontré une telle vicelarde. Du moment que cela ressemble à une biroute, c’est ça, tu avales ? Tiens puisque tu aimes ça, bouffe donc la mienne, elle n’est peut-être pas aussi grosse que celle de cette enflure de Roger mais elle va quand même te ramoner la gorge. Suceuse de bites ! Tu mériterais que je te fasse tringler à la chaîne par tous mes potes.
Je lui baise la bouche avec violence, elle tire un peu au cœur. Mais, comme j’ai pitié d’elle, voici maintenant que je me branle simplement comme un fou sur son visage. Je vais lui en coller partout, moi, du sperme, puisque c’est ça qu’elle aime. Je la tire vulgairement par les cheveux, comme une vulgaire prostituée, en me branlant comme un dingue, avant de l’asperger copieusement sur toute la figure.
- — Il n’y en a pas assez ? C’est ça, tu en veux plus ? Tu veux aussi que j’appelle les voisins pour qu’ils complètent ta douche de sperme ?
Je suis hors de moi. Je la repousse violemment et la laisse pantelante sur le carreau. Elle est pitoyable. Mais, devant son air contrit, je prends conscience que j’y suis peut-être allé un peu fort. Après tout, ce sont ces deux salopards qui sont les responsables, je vais leur faire la peau à ces deux pourris. J’imagine déjà quelque vengeance subtile pour les tourner en ridicule. Je ne vais quand même pas leur couper les couilles, mais j’aimerais quand même leur foutre une sacrée frousse.
Tandis que ma femme se relève péniblement et tente de se rajuster, je consulte l’annuaire. Il me semble bien que c’est Roger Derry ou un nom comme ça. Où habite-t-il cette enflure ? Je vais aller de ce pas lui rayer sa caisse et crever ses pneus.
- — Tu ne vaux pas mieux qu’eux, proteste soudain Gisèle.
Elle a repris de sa superbe. Elle me défie presque, en tournant lentement la cuillère dans la gamelle.
- — Oui j’aime les bites, oui j’aime le foutre, oui je suis une grosse salope. Et alors ? Tu en profites assez, non ? Tu aimes ça que je sois une grosse vicieuse. Alors ne viens pas ensuite me le reprocher !
C’est trop fort, la voici maintenant qui me fait la morale :
- — Tu te fous de la gueule de qui ? Ce n’est pas moi qui ai sucé deux mecs.
- — Ça te ferait peut-être pourtant du bien de sucer des mecs !
- — Ha ha ha, madame est trop drôle, eh bien rira bien qui rira le dernier. La petite martiniquaise qui tient la caisse à la station Esso, la prochaine fois que je la vois, et bien, je me la baise. Elle n’est pas farouche et, je ne sais pas trop pourquoi, mais j’ai le ticket avec elle. Alors l’affaire est presque dans le sac. Au prochain plein d’essence, tu seras aussi cocue que je peux l’être aujourd’hui. Comme ça tu verras comme c’est marrant de se faire faire des enfants dans le dos.
- — J’espère que tu prendras au moins la précaution de mettre une capote. Moi, de mon côté, j’ai toujours eu des rapports protégés.
- — Comment ça de ton côté ? Tu viens de me dire que tu n’as fait que sucer ces deux mecs ? Tu ne vas pas me dire maintenant qu’ils t’ont aussi culbutée ?
- — Eux non, mais d’autres, peut-être que si !
- — Comment ça d’autres ? Quels autres ? Qu’est-ce que c’est encore que cette histoire ?
- — Et bien par exemple, rappelle-toi, une fois en Tunisie, il y avait ce bel athlète qui nous faisait faire de la gym aquatique. Toi tu ne voulais pas en entendre parler, mais toutes les femmes du club étaient folles de lui…
- — Ce n’est pas vrai, tu as baisé avec cet arabe !
- — Il était plutôt beau gosse et c’était un sacré bon coup au lit. Il m’a fait grimper au rideau, comme on dit.
- — Mais nous faisions l’amour tous les jours pendant ces vacances là, parfois même plusieurs fois par jour.
- — Et alors ? Un petit extra, ce n’est jamais de refus ! Et ça met du piment dans la vie.
- — Quelle philosophie de merde ! Madame veut jouer les libertines. Mais regarde-toi tu es grosse et ventrue !
- — Il y en a qui aime les femmes qui ont des formes. Toi, par exemple, tu as toujours aimé ça.
- — Pfff. Avec qui m’as-tu trompé encore ?
- — Avec ton charmant cousin. Ça ne doit pas beaucoup t’étonner, si ? Sous prétexte de jeu et de chatouilles, il n’arrêtait pas de me peloter dans la piscine, la dernière fois qu’il est venu chez nous. Tu ne te rappelles pas ? Ce soir-là je n’arrêtais pas de glousser et toi ça t’agaçait au plus haut point. Et bien le lendemain, quand tu es parti au boulot, ce n’était plus des gloussements mais des soupirs de jouissance autour de la piscine, car il ne s’est pas contenté de me peloter, il m’a copieusement tronchée et je peux te dire qu’il a une sacrée vitalité ton cousin…
- — …
- — T’en veux encore ? Et bien tout simplement mon patron, tu sais ce petit gros tout chauve que tu avais trouvé plein de bonhomie. Les filles m’avaient dit que pour avoir un avancement rapide, il fallait demander un entretien privé, alors j’en ai demandé plusieurs et le chef s’est montré vraiment très compréhensif à mon égard. Comment crois-tu que j’ai eu cette place de responsable de service l’année dernière ? Logiquement, c’est Sophie qui aurait dû avoir ce poste. Alors j’ai payé de ma personne, mais je te rassure, cela n’a pas été du tout désagréable. D’ailleurs, s’il faut faire une seconde passe pour un avancement plus rapide, je suis prête pour un second round.
- — C’est tout ? Les poubelliers, le facteur, ton médecin ?
- — Non, désolée, aucun de ceux-là, quoique le petit facteur, il a du charme… mais, par contre, l’antiquaire qui nous a vendu cette belle petite armoire que nous avons achetée pour notre maison de campagne. Et Frédéric, l’ex-petit ami de notre charmante fille, sans compter bien entendu deux ou trois rencontres fortuites dans le train…
- — Casse-toi, je ne veux plus te voir !
- — Mais chéri, tu oublies que la maison m’appartient pour moitié.
- — Et bien casse-toi dans ta moitié à toi et fous-moi la paix dans la mienne ! Je ne savais pas que j’avais épousé une pute !
- — Tu ne vas quand même pas dire que tu ne m’as jamais trompée.
- — Non, pratiquement jamais !
- — C’est le pratiquement qui est de trop.
- — Juste deux petites fois en quinze ans, une broutille par rapport à toi.
- — Et bien, mon con, quelle nouvelle, je tombe de haut ! Si je m’attendais à ça !
- — Oh tu peux jouer ton étonnée mais les reproches d’une pute ne valent pas grand chose.
- — Je parierais que la première fois c’était avec cette fille au pair qui gardait les enfants quand nous étions à Marvinier. Tu n’arrêtais pas de l’encenser, de lui trouver toutes les qualités, et vas-y que je te fais risette, et vas-y que je suis prévenant. Cette petite niasse à moitié boutonneuse a dû finir par succomber à ton manège.
- — Et alors ? Elle n’avait aucun bouton ! Au moins, elle, elle était douce et sensuelle, ce n’était pas une grosse pute avide de sexe comme toi !
- — Et pour la deuxième… je te lis comme dans un livre… j’hésite entre cette secrétaire décolorée que vous aviez pendant un moment à votre boîte (quel mauvais genre cette fille !). Sinon, ce pourrait être aussi la femme de Gontran, elle n’arrête pas de se coller à toi à longueur de soirées, à moins que ce ne soit une ces mères de famille esseulées, du genre de celles que tu rencontres parfois au club de kayak.
- — Désolé, tu as tout faux. La deuxième, tu ne la connais pas, c’est une femme que j’ai rencontrée lors de mon séminaire à Séville.
- — Et bien bravo ! Tes « Ma chérie, ici les réunions sont interminables et j’ai vraiment hâte de rentrer pour te serrer dans mes bras », c’était vraiment pipeau. Quelle gourde j’ai été de croire pareilles sornettes alors que monsieur était en train de se payer des parties de jambes en l’air avec une pute.
- — Question pute, il me semble que tu te poses là. Je n’ai pas fait le dixième de ce que toi tu as fait…
- — Et bien, regarde un peu le calendrier et tu seras surpris !
Sur ce, elle prend ses cliques et ses claques et se barre de la maison. Juste avant de partir, elle me lance une dernière phrase énigmatique :
- — Je n’ai pour l’instant qu’une seule chose à me reprocher, une seule chose que je pourrais regretter, mais je te laisse deviner laquelle.
Sur le coup, furax, je pense que la seule chose qu’elle regrette, c’est de m’avoir connu. Mais j’en ai autant à son encontre. Et bien, qu’elle se casse, cette pouf ! Qu’elle se trouve quelqu’un d’autre pour lui ramoner les cuisses ! Moi, je ne suis plus intéressé par cette salope et je ferme définitivement boutique.
Je traînasse tout l’après-midi dans la maison vide comme une âme en peine. Je n’ai plus goût à rien. Si je m’attendais à toutes ces révélations en ce début de week-end… Mais comment vivre avec une femme aussi volage ? Je passe un instant dans le bureau, non pas que j’ai vraiment l’intention de travailler, mais je ne sais quoi faire d’autre.
Le calendrier, pourquoi a-t-elle parlé du calendrier ? Ce détail me revient tout d’un coup en mémoire. Je regarde machinalement sur l’éphéméride : 1er avril. Nous sommes le 1er avril. Mama mia. Joli poisson !
Quelle connerie ! Mais quelle connerie ! Je me suis fait complètement piéger. Pourquoi lui avoir raconté l’histoire du séminaire ? Pour l’autre, c’est moins grave, elle s’en doutait déjà. Mais celle du séminaire, c’était mon petit secret et je ne l’ai lâché que pour me venger de ses soi-disant frasques. Ceci dit, elle, de son côté, elle a « une seule chose à me reprocher », oui, une seule, mais c’est quoi cette chose ? En plus, elle a dit ça, sur un ton très acide, après que j’eus avoué tous mes méfaits…
Le soir même, elle est de retour, elle était juste partie faire quelques emplettes.
- — C’est la grosse pouffiasse qui revient, crie-t-elle dans la maison avec un enthousiasme démesuré, profitant de l’absence des enfants. Elle vient de se faire troncher, la grosse pouf ! Mais elle a encore besoin du foutre de son connard de mari. Et elle veut se faire limer par tous les trous, s’il le désire.
Elle est complètement hilare, heureuse de la bonne farce qu’elle m’a faite le matin même. Elle exulte tellement que je ne peux plus la tenir. D’ailleurs en ai-je vraiment envie ? Trop heureux que tout ça se termine aussi bien.
- — Je me suis tellement fait baiser tout l’après-midi que j’ai la chatte en feu. Au secours les pompiers, venez vite m’arroser avec votre grosse lance d’incendie.
A force d’humour, de poses lascives et de sous-entendus suggestifs, elle a fini par me dérider et nous avons fait l’amour dans l’urgence sur la table basse du salon.
- — Heureusement qu’il reste encore au moins un amateur de femmes grosses et ventrues et qu’il est précisément chez moi, dans ma maison, a-t-elle ajouté sur un ton ironique, après avoir bien joui.
Par la suite, nous avons repris notre vie commune, comme si de rien n’était. Oui, mais quelle était donc cette chose qu’elle m’avait cachée ? Mon cousin, son patron, le prof de gym, ses collègues, un voyageur dans un train ? Depuis ce jour-là, cela me turlupine. Mais elle n’a jamais voulu m’en dire plus, ni même en reparler.
- — Un prêté pour un rendu, a-t-elle simplement répondu. Toi c’était ton espagnole. Moi c’était quelqu’un d’autre…
Quelqu’un d’autre, oui, mais qui ?